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Compte-rendu : Maurice Sartre, l'historien et ses territoires

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Academic year: 2021

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Compte-rendu : Maurice Sartre, l’historien et ses territoires

Sylvie Blétry-Forestier

To cite this version:

Sylvie Blétry-Forestier. Compte-rendu : Maurice Sartre, l’historien et ses territoires. 2015, pp.786-789.

�hal-03077661�

(2)

REVUE DES ÉTUDES ANCIENNES TOME 117, 2015 N ° 2

SOMMAIRE

ARTICLES :

Patrice B run et al., Pidasa et Asandros : une nouvelle inscription (321/0) ... 371

Nathalie A ssAn -L iBé , Errance guerrière et mendicité dans l’Odyssée ... 411

Luis B ALLesteros P Astor , Los príncipes del ponto. La política onomástica de Mitridates ... Eupátor como factor de propaganda dinástica ... 425

P AuL M. M Artin , Cicéron et le regnum ... 447

Alberto D ALLA r osA , P. Silius Nerva (proconsul d’Illyrie en 16 av. J.-C.) vainqueur des ... Trumplini, Camunni et Vennonetes sous les auspices d’Auguste ... 463

CHRONIQUE Bernard r éMy et al., Chronique Gallo-Romaine ... 485

QUESTIONS ET PERSPECTIVES Michel r eDDé , Grands et petits établissements ruraux dans le nord-est de la gaule ... romaine : réflexions critiques ... 575

LECTURES CRITIQUES Sylviane e stiot , Médaillons romains ... 613

François r iPoLL , Les « interactions » entre Stace et Silius Italicus ... 621

François K irBihLer , Le testament d’un historien : Geza Alföldy et l’histoire sociale ... de Rome ... 639

Comptes rendus ... 653

Notes de lecture ... 759

Généralités ... 759

Littérature / Philologie grecque et latine ... 762

Archéologie grecque et latine ... 779

Histoire ancienne ... 786

Histoire grecque et romaine ... 791

Liste des ouvrages reçus ... 815

Table alphabétique par noms d’auteurs ... 823

Table des auteurs d’ouvrages recensés... 831

(3)

786 revue des études anciennes IV. – HISTOIRE ANCIENNE

Maurice Sartre. L’historien et ses territoires.

Choix d’articles. - Textes réunis et édités par P. b

run

. - Bordeaux : Ausonius, 2014. - 740 p. : bibliogr., index. - (Scripta Antiqua, ISSN : 1298.1990 ; 70). - ISBN : 978.2.35613.125.6.

L’ouvrage est dédié à un choix d’articles écrits par Maurice Sartre tout au long de sa carrière prolixe, et donne, ainsi que le rappelle Patrice Brun dans l’avant-propos, « une idée de l’ampleur des thèmes brassés » par l’auteur. Il est divisé en trois parties, la première porte sur des thèmes épigraphiques (on sait l’inestimable contribution apportée, par ailleurs, aux IGLS), la troisième sur des questions historiques : on trouvera aussi une réflexion sur l’Histoire en tant qu’ « art de récit »). La partie centrale et bien plus abondante est consacrée aux travaux sur la Syrie et l’Arabie, tant il est vrai qu’ils ont occupé une place majeure dans l’itinéraire scientifique auquel le lecteur est ici convié.

Aussi bien, l’épigraphie et l’Histoire de ces deux provinces sont aussi évoquées dans les deux autres parties.

Le champ chronologique couvert comprend les périodes hellénistique, romaine et protobyzantine. Les thèmes abordés sont d’une grande diversité : onomastique, numismatique, Histoire religieuse (culte impérial, divinités locales), Histoire urbaine et territoriale, identités culturelles (acculturation, hellénisation, romanisation, colonisation, évergétisme), biographies et carrières officielles.

Cette diversité même rend certes délicate toute tentative de synthèse. Cependant l’ouvrage ne manque pas de cohérence, qui reflète celle d’une carrière tout entière.

On retrouve ainsi parfois plusieurs contributions à un dossier épigraphique complexe,

celui d’un des temples de Canatha (sud de la Syrie), dédié au dieu de Rabbos, Théandrios, examiné à travers l’onomastique, l’étude du théonyme et de l’histoire de la cité sur plusieurs siècles. On peut alors, à travers différents articles rédigés entre 1975 et 2001, suivre avec intérêt la progression de la réflexion de l’auteur sur ce sujet.

Il nous livre aussi plusieurs études ou synthèses centrées strictement sur l’onomastique.

« Le nom ambigu : les limites de l’identité culturelle dans l’onomastique de la Syrie gréco-romaine » pose la question du caractère présumé sémitique, latin ou grec de quelques noms pris à titre d’exemples et examine les phénomènes éventuels de « contamination » d’une langue à l’autre, et d’acculturation qu’ils induisent. Comment savoir s’il s’agit de choix conscient, de la part des familles ou des individus, de noms latins ou grecs aux consonances proches de noms arabes ? Quelle a été la part de la tradition familiale et celle de l’influence du bilinguisme ? On le voit, les préoccupations de Maurice Sartre ont souvent été d’ordre méthodologique, et invitent sans cesse à la prudence quant à nos réflexes de « modernes ». Par ce biais, il touche aussi l’Histoire des mentalités et l’Histoire culturelle.

Ainsi, les études épigraphiques sont le plus souvent pour Maurice Sartre l’occasion de tenter de s’approcher au plus près de la perception du quotidien et du vécu des populations antiques.

On ne peut qu’être frappé par l’homogénéité de sa démarche et par la constance de ses préoccupations scientifiques.

C’est un thème de recherche similaire que l’on retrouve par la suite, et qui parcourt une grande partie du dossier syrien dans la seconde partie de l’ouvrage ( « Culture grecque et traditions indigènes dans l’Arabie romaine » (1992), « Palmyre, cité grecque » (1996),

« Noms, langue et identité culturelle en Syrie

(4)

aux époques hellénistique et romaine » (1998),

« La construction de l’identité des villes de la Syrie hellénistique et impériale » (2002),

« De Pétra à Jérusalem… et retour » et

« La nature de l’hellénisme dans l’Antiquité tardive » (2008), « Chances et risques de la métamorphose : cultures en contact au Proche Orient gréco-romain » (2012)). À plusieurs reprises, il s’inscrit en faux contre notre tentation moderne d’établir une hiérarchie entre les traditions qui relèvent de la culture gréco-romaine et celles qui sont héritées d’un substrat autochtone, distinction et hiérarchie qui, selon lui, ne venaient pas même à l’esprit des Syriens de l’Antiquité. Il note cependant que, dans ce domaine qui touche aux mentalités et à l’intime, il est souvent bien délicat de délimiter la part d’une adhésion réelle à un fonds culturel d’origine étrangère et celle d’un phénomène superficiel de mode.

Son analyse de 1992 en ce qui concerne l’Arabie prend en compte une série de marqueurs tels que l’onomastique, les termes servant à désigner les institutions officielles, les manifestations artistiques, l’adoption du grec, l’urbanisme et les monuments urbains, l’architecture funéraire (…) comme preuve de la pénétration de l’hellénisme. Celle-ci s’effectue dès avant la provincialisation – même si celle-ci accélère le processus. Certes, le phénomène est essentiellement visible à travers l’ « habitus » des élites, et, si certains éléments peuvent être interprétés en faveur d’une hellénisation superficielle, il s’agit surtout de la part des historiens modernes d’un a priori sur lequel il lui semble utile de revenir. Ici encore, il s’avère, selon lui, que les distinctions que les chercheurs contemporains tentent d’établir ne correspondent pas nécessairement aux mentalités antiques. Il prêche donc en faveur de conclusions nuancées et prudentes pour l’analyse d’une civilisation provinciale à « multiples facettes ». En 1996, il se livre à une étude similaire pour Palmyre.

Et il reprend encore le même procédé, en 1998, à propos de la Syrie du Sud, par

l’observation des sources épigraphiques et en s’interrogeant sur les raisons qui ont pu pousser des individus à adopter une langue nouvelle, celle des colonisateurs de surcroît. Maurice Sartre montre encore ici que cette apparente contradiction n’était pas nécessairement ressentie comme telle par ces individus ou ces populations. Faut-il y voir alors un progrès de l’hellénisation ? Pour Maurice Sartre, rien n’est moins sûr ! L’explication qu’il propose est que les habitants de ces régions ont accédé à l’écrit par le biais du grec, mais que cela ne présume en rien de l’abandon des langues locales. Tout au contraire, on assiste ici, à l’inverse d’autres régions « orientales » de l’empire à une survivance vigoureuse des langues autochtones, qui ont même connu, dans un deuxième temps, un regain d’utilisation.

C’est encore à un examen des phénomènes d’acculturation (il préfère parfois « métissage ») au Proche Orient antique d’une façon plus générale qu’il nous convie en 2008, puis en 2012. Il prend les exemples contrastés de la côte syro-libanaise, des juifs de Judée, et de Palmyre. Dans le cas de la Phénicie, la pénétration de l’hellénisme fut facilitée par un passé mythique commun avec les Grecs.

Il est pour lui révélateur, par exemple, que les Phéniciens ont été admis sans peine à participer aux concours grecs – et l’argument est retourné à plusieurs reprises, in absentia, pour Palmyre.

L’abandon progressif de la langue phénicienne

à partir de la période hellénistique est une autre

preuve de cette hellénisation réussie, sans qu’il

faille pour autant minimiser la permanence

de certains traits culturels propres. Le cas des

élites de Judée nous reste facilement accessible

grâce à d’abondantes sources écrites qui

permettent d’appréhender « le point de vue du

vaincu ». Pour ce qui est des notables juifs de

Jérusalem, la séduction que pouvait exercer

sur eux la culture du vainqueur à l’époque

hellénistique est dénoncée dans un certain

nombre de textes bibliques (ce qui témoigne

en réalité de son succès !). Elle a sans doute

(5)

788 revue des études anciennes été accélérée par l’existence d’une diaspora qui

vit depuis longtemps dans les cités grecques et d’une pratique d’interprétation ininterrompue et dynamique des textes bibliques, qui conduit à une adaptation permanente de la société juive à son environnement extérieur. Pour autant, il ne néglige pas certaines manifestations de rejet (la révolte de 175 a.C. n’en est qu’un exemple). Et Maurice Sartre a cette formule savoureuse : « les juifs avaient [...] trouvé comment on pouvait rester juifs en devenant grecs ».

Ces quelques exemples illustrent la méthode féconde que Maurice Sartre applique lors de l’examen de ces questions, qui dénonce les stéréotypes, réfute ce qui apparaît souvent comme des évidences, et, tout en faisant

« assaut de précautions », propose avec circonspection ses interprétations comme autant de pistes à explorer plutôt que de les imposer. Cette prudence méthodologique est une préoccupation constante tout au long de son œuvre, qu’il affine sans cesse en recourant à un vocabulaire varié et pluriel pour décrire le phénomène qu’il étudie, mais dont il déplore souvent le caractère insondable et inaccessible à l’historien : « hellénisation », « acculturation »,

« intégration », « identité culturelle »,

« pénétration », « contacts », « perméabilité »,

« séduction », « société multiculturelle »,

« schizophrénie »; il ne s’agit pas d’hésitations lexicales, mais bien du souci de parvenir à saisir une réalité protéiforme. L’analyse de cette réalité antique est en outre souvent mise en perspective avec profit à travers la comparaison de phénomènes qui nous sont contemporains (de colonisation et de décolonisation, en particulier).

Mises à part sa magistrale et lumineuse démonstration sur le terme de Koilè Syrie (« La Syrie creuse n’existe pas »), qui fait date, et une synthèse biographique sur Odeinath de Palmyre, d’autres de ses intérêts ont trait à l’Histoire urbaine (statut des villes, territoire, géographie historique, pour Antioche, Palmyre, et les villes de Syrie du Sud ou de la Décapole).

La synthèse sur Bostra, écrite en une trentaine de pages pour le Reallexicon für Antike

und Christentum, après un rapide rappel sur la ville et sa chôra, son administration et ses cultes païens, fait un point précieux et précis sur le christianisme sur tout le territoire de la cité, jusqu’au VIII

è

s. à travers les sources archéologiques, épigraphiques, littéraires et historiques.

Les derniers textes réunis dans la partie de l’ouvrage consacrée à la Syrie relèvent de préoccupations presque exclusivement historiques et historiographiques : c’es le cas pour la synthèse qui est présentée sur le cas de Nisibe et celle qui évoque « Rome et les Nabatéens à la fin de la République ».

La troisième partie de l’ouvrage, intitulée

« Histoire » présente des textes consacrés à l’ensemble de l’Orient romain, même si les exemples syriens l’illustrent encore, parmi d’autres. Ainsi, dans « Religion et domination : l’empire séleucide », l’auteur étudie les manifestations de l’autorité royale vis-à-vis du fait religieux (le roi en tant que fidèle, le roi en tant qu’administrateur, le roi en tant que dieu).

Il propose aussi une démarche méthodologique pour une étude des « Villes éphémères » qui reste à faire, mais dont il pose les problématiques.

Il renouvelle également notre point de vue sur « L’évergétisme : comportement social ou moyen de gouvernement de la cité antique », sans se laisser abuser par une impression illusoire d’assister, de la part des notables, à de simples démonstrations de générosité librement consentie. Maurice Sartre nous rappelle ici le poids de la pression sociale, la part de la rivalité (agn) entre les membres de l’élite.

Les actes d’évergétisme sont davantage, dans les faits, à mettre sur le compte d’une sorte de fiscalité contraignante, déguisée et attendue, voire exigée, qui peut aller jusqu’à faire l’objet de marchandages que l’auteur n’hésite pas à qualifier de « sordides ».

Dans « Mémoire et identité civique, les

légendes de fondation des cités grecques aux

époques hellénistiques et impériales », Maurice

Sartre traite de cas orientaux (au sens large)

de fondations tardives qui se mettent sous

le patronage de mythes ou de personnages

(6)

mythiques, pour faire preuve d’hellénisme et établir une parenté originelle avec le « monde civilisé » grec (par exemple, Antioche et sa chôra). Toute relation entre les légendes et les faits historiques semble fortuite, rendant vaine toute recherche d’historicité de ces légendes.

Pour autant, elles n’ont pas été élaborées au hasard. On observe aussi que, dans un corpus réduit de références mythographiques, certains traits géographiques communs avec des sites prestigieux de Grèce propre ou de Macédoine ont pu servir à justifier les choix des mythes de fondation. Ces légendes ont reçu une légitimation officielle (représentations sur le monnayage, dans les textes officiels, dans la statuaire) et ont joué un rôle actif dans la création d’une identité à la fois locale et commune à l’ensemble du monde grec. On a eu recours alors aux talents de grands auteurs pour diffuser ces mythes, quand ce n’est pas pour les créer; la haute Antiquité même de ces légendes les rendait dignes de foi.

L’implantation de « Colonies romaines dans le monde grec » est examinée dans deux articles de synthèse, sous le double prisme de la répartition chronologique et géographique de ces colonies, et des motifs de ces fondations. Elles n’ont pas été systématiquement effectuées avec deductio au profit de vétérans, mais ont aussi fait appel à des civils italiens : elles se présentent davantage comme des noyaux de peuplement, des points d’appui logistiques pour les armées, reçoivent des missions officieuses de surveillance et de contrôle, et garantissent la loyauté des communautés présentes. Ce fut aussi un moyen d’honorer ces cités, en particulier à partir des Sévère, honneur qu’elles ont parfois sollicité.

Il apparaît que le statut de colonie semble alors perçu comme une faveur et une promotion sociale accordée aux habitants de ces cités, doublée d’un avantage fiscal non négligeable.

Mais les préoccupations impériales peuvent être aussi politiques ou économiques. À nouveau, Maurice Sartre se garde de toute simplification et relève au contraire les disparités et la diversité des cas. Qu’en est-il de leur romanisation ? Sont

elles vraiment des îlots de latinité ? On rejoint ici les préoccupations précédemment évoquées sur la Syrie, qui sont ici élargies à l’ensemble de la Méditerranée orientale, voire à la Sicile.

Il constate en outre, notamment par le biais de l’épigraphie, une indéniable vigueur de l’hellénisme, surtout à partir du règne d’Hadrien.

Une fois encore, le marqueur que constitue l’existence de concours grecs, est révélateur. La présence de cultes dédiés à des divinités locales nuance toutefois cette impression. L’identité culturelle, foncièrement grecque, de ces villes et de leur territoire n’est en rien modifiée, et ce fonds culturel semble même adopté par les cadres de l’administration romaine qui y résident. C’est encore sous l’angle de la question de la romanisation que Maurice Sartre se penche un peu plus loin sur l’Asie Mineure.

On pourrait regretter que manquent le plus souvent dans cet ouvrage des illustrations qui éclaireraient ces démonstrations et apporteraient une preuve par l’image à l’appui de ses raisonnements ; par exemple, une ou des cartes permettraient aux non spécialistes de ces régions de situer toutes les villes dont il est ici question. Mais l’ajout d’un post-scriptum à la suite des articles originaux permet fort utilement d’actualiser certains propos et de revenir sur certains aspects en fonction des progrès de la recherche. La bibliographie fournie à la fin de ce recueil recense non seulement les écrits de Maurice Sartre lui-même, mais aussi toutes les publications auxquelles il se réfère dans les articles présentés ici, et fait de cet ouvrage un véritable outil de recherche d’une grande utilité, à la fois complet, synthétique et d’une extrême richesse.

On y retrouve des démonstrations magistrales et l’impeccable maîtrise des sources les plus diverses auxquelles l’auteur de

« D’Alexandre à Zénobie » nous a déjà habitués.

s

ylvie

b

létry

(7)

ISSN 0035-2004

REVUE DES ÉTUDES ANCIENNES TOME 117, 2015 N ° 2

SOMMAIRE

ARTICLES :

Patrice B run et al., Pidasa et Asandros : une nouvelle inscription (321/0) ... 371

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Comptes rendus ... 653

Notes de lecture ... 759

Généralités ... 759

Littérature / Philologie grecque et latine ... 762

Archéologie grecque et latine ... 779

Histoire ancienne ... 786

Histoire grecque et romaine ... 791

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