Sous-variétés lagrangiennes monotones
Texte intégral
Documents relatifs
Ce chapitre a deux objets : premièrement déduire le théorème d’unicité d’Auroux (valable dans le cas absolu) du théorème de Donaldson–Auroux relatif et deuxièmement donner
Nous pr´ecisons dans ce paragraphe le th´eor`eme 1.1 : dans [Am-Da1], nous avons suppos´ e que V n’est contenue dans aucun translat´e d’un sous-tore propre de G n m , pour
La structure cristalline de ce composé a été résolue dans le système Triclinique avec le groupe d’espace P-1, les paramètres de maille sont consignés dans le tableau I.13. Les
On peut observer que la formule (11) du cas plat, aussi bien que la for- mule analogue qui existe dans le cas d’une variété symplectique munie.. d’une connexion
On peut choisir ces formes nulles sur une boule b contenant le point double de 5, et telle que 26 (ê S. Il suffit pour cela de prendre une primitive fj de chaque f3j sur 26, et ^
Nous interprétons ici leur théorie dans le cadre analytique en étudiant particulièrement le cas où la variété symplectique réelle est le fibre conormal extérieur au bord d'un
4.1.1. Soit Y une vari´et´e normale munie d’une action alg´ebrique de G. Supposons que Y est toro¨ıdal. De plus, le sous-groupe d´eriv´e de L H agit trivialement sur S, qui est