Travaux français (fin)

(1)

HAL Id: jpa-00240613

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240613

Submitted on 1 Jan 1902

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Travaux français (fin)

R. Dongier

To cite this version:

R. Dongier. Travaux français (fin). J. Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.320-321.

�10.1051/jphystap:019020010032001�. �jpa-00240613�

(2)

320 et les éléments météorologiques. Êlles indiquent cependant qne la réfraction diminue quand ^la pression augmente, ôu que diminue la différence de température êntre ^{le lieu} d’observation et l’horizon, que l’état hygrolnétrique ^tend ^{à faire} augmenter ^la réfraction, êt que la moyenne des réfractions par ciel serein est 1»oindre que celle ^des réfractions _par ciel couvert. Ceci explique pourquoi ^la réfraction est moindre en Sicile que ^{dans les} âutres régions ôi1 ^le ^ciel êst ^moins

pur.

Ses observations de dépression permettent à l’auteur de détermi-

ner une valeur moyenne ^du coeflicient géodésique de réfraction en

Sicile (n ^..- ² 2013-,2013~ ^{où d} ^est ^la dépression géométrique ^de ^l’hori-

zon, cl,. la dépression réfractée). ^On ^{trouve :}

)1 - 0,10~3.

valeur bien plus faible que celle (0,24) ^que, d’après ^Biot ^et ~lrago, ^on

a employée pour le calcul de la plupart des tables de dépression.

Jules BAILLAUD.

TRAVAUX FRANÇAIS (fin).

A. PÉROT et CH. FABRY. 2013 Méthode interférentielle pour la ^{mesur e} des longueurs d’onde dans le spectre solaire,. - P. 700.

°

La méthode et l’appareil interférentiels de ~I~I. Pérot et Fabry permettent de comparer ^les longueurs ^d’onde ^de deux raies bril- lantes quelconques. Ôn peut âussi comparer ûne raie noire et une

raie brillante. On éclaire, pour cela, ^la ^lame semi-argentée par la lumière de la portion ^d’un spectre ^limitée par ^une fente et compre- nant la raie noire à étudier. Chacune des radiations, ayant ^accès

dans l’appareil, ^fournit ûn système d’anneaux très fin5 ; ^les ânneaux correspondant âux différentes radiations de longueurs ^d’onde ^voi-

sines se fondent les uns dans les autres, excepté ^ceux fournis par ^la radiation qui manque ^et qui apparaissent ^sons forme d’anneaux obscurs. Ces anneaux obscurs sont susceptibles ^d’être ^observés ^de

la mème manière que ^les ^anneaux brillants obtenus avec une raie brillante.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010032001

(3)

321 A. DEBIERNE. - Sur du baryum radioactif artinciel.

^-

P. 333.

Une solution d’actinium mélangée ^à ^une solution de baryum ^rend

cette dernière radioactive ; ^les propriétés radioactives de cette solu- tion ne ressemblent _{pas à} celles du baryum radif’èl°e extrait de la

pechblende.

La radioactivité du chlorure de baryum activé diminue beaucoup

avec le temps ; celle du chlorure de baryum ^radifère ^commence par

augmenter, puis reste constante. On peut donc, par induction,

obtenir ^un baryum radioactif, qui ^se distingue llette111e11t du baryum

et du radium, ^et qui ^se présente ^comme ^terme intermédiaire entre

ces deux éléments. R. DONGIER.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK;

Nos 10, 11 et 12; 1901.

F. TAMM.

^-

1..:e13ol’ df’n Eiiifluss des Luftdrnckes und der Luflfcnchtigkeit ^{auf die} Entladung statischer Elektricit~it aus Sptitzen (Décharge ^de l’électricité par les

pointes, influence de la pression eL de l’état hygrométrique ^de l’air).2013 ^~4~?z.

cl. l’Ir., 1-I, ^259-280.

La différence de potentiel ^minimum ^sous laquelle ^se produit ^la décliarge par ^une pointe ^est ^la ^même, qu’on la détermine en faisant croître le potentiel ^{ou en} le faisant décroître. La décharge ^se produit

dans les mémes conditions à l’intérieur d’un récipient métallique ^ou

à l’air libre.

ha vitesse de déperdition ^varie âvec ^la pression de l’air si e76 êst cette vitesse quand ^la pression êst ⁷⁶ centimètres, ê,. quand la pres- sion est .~ ; ôn peut calculer ex par la formule :

V étant la différence de potentiel ^entre ^la pointe ^et ^le ^conducteur

qui ^{lui fait} ^face.

Travaux français (fin)

HAL Id: jpa-00240613

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240613

Submitted on 1 Jan 1902

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Travaux français (fin)

R. Dongier

To cite this version:

R. Dongier. Travaux français (fin). J. Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.320-321.

�10.1051/jphystap:019020010032001�. �jpa-00240613�

320

pur.

Ses observations de dépression permettent à l’auteur de détermi-

ner une valeur moyenne du coeflicient géodésique de réfraction en

Sicile (n ..- 2 2013-,2013~ où d est la dépression géométrique de l’hori-

zon, cl,. la dépression réfractée). On trouve :

)1 - 0,10~3.

valeur bien plus faible que celle (0,24) que, d’après Biot et ~lrago, on

a employée pour le calcul de la plupart des tables de dépression.

Jules BAILLAUD.

TRAVAUX FRANÇAIS (fin).

A. PÉROT et CH. FABRY. 2013 Méthode interférentielle pour la mesur e des longueurs d’onde dans le spectre solaire,. - P. 700.

La méthode et l’appareil interférentiels de ~I~I. Pérot et Fabry permettent de comparer les longueurs d’onde de deux raies bril- lantes quelconques. On peut aussi comparer une raie noire et une

raie brillante. On éclaire, pour cela, la lame semi-argentée par la lumière de la portion d’un spectre limitée par une fente et compre- nant la raie noire à étudier. Chacune des radiations, ayant accès

dans l’appareil, fournit un système d’anneaux très fin5 ; les anneaux correspondant aux différentes radiations de longueurs d’onde voi-

sines se fondent les uns dans les autres, excepté ceux fournis par la radiation qui manque et qui apparaissent sons forme d’anneaux obscurs. Ces anneaux obscurs sont susceptibles d’être observés de

la mème manière que les anneaux brillants obtenus avec une raie brillante.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010032001

321

A. DEBIERNE. - Sur du baryum radioactif artinciel.

P. 333.

Une solution d’actinium mélangée à une solution de baryum rend

cette dernière radioactive ; les propriétés radioactives de cette solu- tion ne ressemblent pas à celles du baryum radif’èl°e extrait de la

pechblende.

La radioactivité du chlorure de baryum activé diminue beaucoup

avec le temps ; celle du chlorure de baryum radifère commence par

augmenter, puis reste constante. On peut donc, par induction,

obtenir un baryum radioactif, qui se distingue llette111e11t du baryum

et du radium, et qui se présente comme terme intermédiaire entre

ces deux éléments. R. DONGIER.

DRUDE’S ANNALEN DER PHYSIK;

Nos 10, 11 et 12; 1901.

F. TAMM.

1..:e13ol’ df’n Eiiifluss des Luftdrnckes und der Luflfcnchtigkeit auf die Entladung statischer Elektricit~it aus Sptitzen (Décharge de l’électricité par les

pointes, influence de la pression eL de l’état hygrométrique de l’air).2013 ~4~?z.

cl. l’Ir., 1-I, 259-280.

La différence de potentiel minimum sous laquelle se produit la décliarge par une pointe est la même, qu’on la détermine en faisant croître le potentiel ou en le faisant décroître. La décharge se produit

dans les mémes conditions à l’intérieur d’un récipient métallique ou

à l’air libre.

ha vitesse de déperdition varie avec la pression de l’air si e76 est cette vitesse quand la pression est 76 centimètres, e,. quand la pres- sion est .~ ; on peut calculer ex par la formule :

V étant la différence de potentiel entre la pointe et le conducteur

qui lui fait face.

ner une valeur moyenne ^du coeflicient géodésique de réfraction en

Sicile (n ^..- ² 2013-,2013~ ^{où d} ^est ^la dépression géométrique ^de ^l’hori-

zon, cl,. la dépression réfractée). ^On ^{trouve :}

valeur bien plus faible que celle (0,24) ^que, d’après ^Biot ^et ~lrago, ^on

A. PÉROT et CH. FABRY. 2013 Méthode interférentielle pour la ^{mesur e} des longueurs d’onde dans le spectre solaire,. - P. 700.

La méthode et l’appareil interférentiels de ~I~I. Pérot et Fabry permettent de comparer ^les longueurs ^d’onde ^de deux raies bril- lantes quelconques. Ôn peut âussi comparer ûne raie noire et une

raie brillante. On éclaire, pour cela, ^la ^lame semi-argentée par la lumière de la portion ^d’un spectre ^limitée par ^une fente et compre- nant la raie noire à étudier. Chacune des radiations, ayant ^accès

dans l’appareil, ^fournit ûn système d’anneaux très fin5 ; ^les ânneaux correspondant âux différentes radiations de longueurs ^d’onde ^voi-

sines se fondent les uns dans les autres, excepté ^ceux fournis par ^la radiation qui manque ^et qui apparaissent ^sons forme d’anneaux obscurs. Ces anneaux obscurs sont susceptibles ^d’être ^observés ^de

la mème manière que ^les ^anneaux brillants obtenus avec une raie brillante.

Une solution d’actinium mélangée ^à ^une solution de baryum ^rend

cette dernière radioactive ; ^les propriétés radioactives de cette solu- tion ne ressemblent _{pas à} celles du baryum radif’èl°e extrait de la

avec le temps ; celle du chlorure de baryum ^radifère ^commence par

obtenir ^un baryum radioactif, qui ^se distingue llette111e11t du baryum

et du radium, ^et qui ^se présente ^comme ^terme intermédiaire entre

1..:e13ol’ df’n Eiiifluss des Luftdrnckes und der Luflfcnchtigkeit ^{auf die} Entladung statischer Elektricit~it aus Sptitzen (Décharge ^de l’électricité par les

pointes, influence de la pression eL de l’état hygrométrique ^de l’air).2013 ^~4~?z.

cl. l’Ir., 1-I, ^259-280.

La différence de potentiel ^minimum ^sous laquelle ^se produit ^la décliarge par ^une pointe ^est ^la ^même, qu’on la détermine en faisant croître le potentiel ^{ou en} le faisant décroître. La décharge ^se produit

dans les mémes conditions à l’intérieur d’un récipient métallique ^ou

ha vitesse de déperdition ^varie âvec ^la pression de l’air si e76 êst cette vitesse quand ^la pression êst ⁷⁶ centimètres, ê,. quand la pres- sion est .~ ; ôn peut calculer ex par la formule :

V étant la différence de potentiel ^entre ^la pointe ^et ^le ^conducteur

qui ^{lui fait} ^face.