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L’ÉVÉNEMENT DANS LE DOMAINE DE LA SANTÉ ET

DE LA MALADIE

Serena BINDI epuis quelques décennies, les sciences humaines et sociales se sont saisies à nouveau de la question de l’événement. Comme le souligne à juste titre Joseph Lévy (2006) dans un article récent où il fait le point sur la prise en considération de l’événement par différentes disciplines sociales, la notion n’a pas fait son entrée récemment dans les débats des sciences humaines. La philosophie, depuis l’époque grecque jusqu’aux penseurs contem-porains, a fait de l’événement un sujet central de réflexion. Certains des thèmes principaux des travaux contemporains sur l’événement incluent la façon dont l’événement est structuré et comment sa mise en récit le façonne (Ricœur 1991) ; la relation de l’événement à la vérité et la façon dont les conséquences subjectivées de l’événement sont inscrites dans un monde en étant aux prises avec les règles et les inerties de ce monde (Badiou 2006) ; et encore son rapport avec le temps et le sens (Romano 1999). Dans le champ de l’histoire la question de l’événement a également été l’objet d’importants débats d’ordre épistémologique. Critiqué par l’école des annales pour son association avec le temps court au détriment de l’analyse du temps long, l’événement est réintroduit par les historiens contemporains comme une notion clé pour comprendre la société moderne en tant qu’époque des medias de masse (Nora 1974) ou comme un outil essentiel pour la compréhension du cours de l’histoire (Fecteau 2000 ; Lévy 2006 :10).

Les disciplines sociologiques et anthropologiques ont, quant à elles, abordé à maintes reprises la question de l’événement. Néanmoins, malgré les nombreux travaux attachés à son analyse, l’événement reste, de par sa complexité intrinsèque, un objet énigmatique, que les études ont eu du mal à définir de façon univoque. Considéré sous l’angle temporel, l’événement a été défini comme étant ce qui, dans une culture donnée, produit une fracture dans la linéarité du temps (Bensa et Fassin 2002). Du point de vue de la signification qui lui est attribuée, il représente une rupture d’intelligibilité (Bensa et Fassin 2002) dont l’apparition interrompt l’évidence de la compréhension et rend opaque

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et incertain ce qui paraissait jusqu’alors indiscutable. Sur le plan existentiel centré sur l’expérience individuelle, l’événement peut être perçu comme un élément qui, ouvrant la voie à la contingence, est susceptible d’induire chez la personne « une crise de présence » en rendant le rapport au monde, jusqu’alors sûr et « garanti », soudainement problématique et en invalidant les « hypothèses » qui servent de base à l’attitude « naturelle » de l’individu envers lui-même, son corps et le monde extérieur (De Martino 1997). D’autres auteurs se sont attachés à souligner que cette fracture produite par l’événement dans la vie des sujets n’est pas uniquement épistémologique mais aussi émotionnelle (Farge 2002). Des études ont défini l’événement en fonction de la dissonance qu’il produit, en l’envisageant avant tout comme un facteur de désordre. D’autres travaux ont fait apparaître la nécessité de prendre en compte les événements dont les cultures sont le lieu (Affergan 1997) pour la compréhension des structures sociales, et comment à travers cette prise en compte l’événement peut devenir un révélateur des rapports structurels profonds ainsi que de la complexité des instances sociales (Sahlins 1989). Ces perspectives se prolongent dans les travaux récents qui, en le replaçant au centre des débats actuels, s’interrogent sur le statut épistémologique de l’événement et tentent d’explorer comment ce concept peut être mobilisé pour la compréhension du social (Bensa et Fassin 2002 ; Olazabal et Lévy 2006 ; Bessin & al. 2010). Cette diversité de regards sur l’événement, dont on pourrait ici multiplier les exemples, est aussi fonction de la posture de recherche adoptée par les anthropologues: l’une objectivante, dans laquelle l’analyste construit l’événement et lui donne sens ; l’autre « émique » portant le regard sur l’événement vécu par les acteurs1.

Les événements de santé, aussi bien individuels que collectifs, du plus simple au plus complexe, semblent se prêter particulièrement à cet examen de la notion même d’événement et de son statut épistémologique au sein des sciences sociales. La maladie représente, selon Marc Augé (1983), l’une des formes élémentaires de l’événement car, si elle s’inscrit dans le biologique, son interprétation est éminemment sociale. Famines, épidémies et autres formes de

1 Pour un tableau utile des différentes approches et postures de recherche que les sciences

sociales ont adopté dans l’étude de l’événement voir l’ouvrage de Bessin, Bidart et Grossetti (2010).

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souffrance sociale constituent autant d’événements qui coupent la continuité du temps et du sens, qui mobilisent des stratégies d’action et d’interprétation individuelles et collectives, et qui mettent en relief des structures voilées. Dans cette perspective, ce numéro de Mondes Contemporains se propose de cerner certains des enjeux théoriques et empiriques associés à l’événement à travers la prise en considération d’un domaine spécifique : celui des phénomènes liés à la santé et la maladie. Les contributions, qui abordent le sujet d’un point de vue anthropologique, mais aussi philosophique (dans le cas de Eric Fourneret), permettent de questionner la place et le statut épistémo-logique de l’événement dans les sciences sociales de la santé tout en s’attachant à explorer plusieurs questions qui s’articulent autour de la relation entre événement et santé/maladie2.

Un premier questionnement vise à mettre en évidence la façon dont se combinent, dans l’événement de santé, structure collective et agentivité individuelle. L’idée d’événement peut être explorée en relation avec la notion d’agency, agentivité. Celle-ci a été introduite entre la fin des années 1970 et le début des années 1980 par plusieurs auteurs (notamment Bourdieu 1972 ; Giddens 1979 ; Sahlins 1989), pour définir une relative « liberté » d’action qui s’exerce toujours sans outrepasser les limites structurelles et dans le cadre des possibilités culturelles dont les acteurs disposent. Dans quelle mesure la notion d’événement permet-elle de réfléchir sur l’agentivité des acteurs dans la gestion des phénomènes de santé et de maladie ? Il s’agit ici de confronter l’événement de santé aux logiques de continuité et de rupture. Reconstituer le contexte de l’action et le champ des possibilités qu’offre ce contexte permet d’analyser les possibilités d’action des acteurs sociaux et leur relation à l’ordre structurel, notamment les relations de pouvoir au sein desquelles s’inscrivent ces possibilités. Ces problématiques sont au cœur de plusieurs des contributions ici réunies. À partir d’exemples tirés d’univers sociaux différenciés, Sylvie Fainzang montre ainsi la part éventuellement subversive que prend le traitement de l’événement lorsqu’il est en rupture avec celui proposé

2 Cet aspect a également été abordé lors d’une journée d’étude, co-organisée par la

Formation doctorale « santé, populations, politiques sociales » de l’EHESS de Paris et le « Réseau des jeunes chercheurs Santé et sociétés » en 2010 à laquelle ont participé Giacomo Mantovan et Serena Bindi.

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par l’institution médicale. Ces interprétations dissidentes, comme le souligne l’analyse de S. Fainzang, nous montrent encore une fois la nature profondément sociale et politique de la maladie. Ces interpré-tations sont à considérer comme des actes à portée politique car l’événement maladie devient l’occasion pour l’individu d’opposer son propre discours au discours institutionnel. Dans un tout autre contexte géographique, religieux et médical, le cas présenté par Serena Bindi soulève également des interrogations à propos du rapport entre agentivité individuelle et structure. Le cas ethnographique analysé par S. Bindi permet de voir à la fois la portée politique des choix interprétatifs associés à l’événement (les acteurs mettent en acte des stratégies de gestion de l’événement sur la base de leurs positions et intérêts) ainsi que la complexité des processus qui mènent une interprétation et une gestion de l’événement-maladie à prévaloir et à s’affirmer comme légitime. La contribution de Frédéric Bourdier accorde la même attention à l’interprétation légitimée de l’événement. De même que dans les cas mentionnés par Bindi et Fainzang, la construction de l’interprétation d’un événement dans le milieu cambodgien décrit par Frédéric Bourdier est aussi sujette à des procédés de modelage, conscients et inconscients, mais presque toujours en lien étroit avec la position sociale des sujets produisant les versions retenues.

Les contributions de Fainzang, Bindi et Bourdier s’associent en portant une attention particulière sur le rapport entre la façon dont l’événement de la maladie est géré et les compétitions entre les acteurs impliqués dans - et intéressés par - sa gestion. Il est intéressant de souligner comment, dans cette perspective, ces contributions s’inscrivent en continuité avec d’autres travaux sur l’événement touchant des domaines différents de celui de la santé (par exemple, Claverie 2002), qui ont montré comment l’événement - et son interprétation - est dans le contexte local une « ressource » précieuse, d’ailleurs souvent convoitée, faisant l’objet de négociations conflictuelles, pour les individus et les communautés concernés par sa gestion. Cette problématique est intimement liée à un second type de questionnement soulevé dans ce numéro : les procédures d’inscription d’un événement de santé dans la mémoire collective. Tel que l’a montré par exemple Dejan Dimitrijevic (2009), si l’événement se caractérise

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par une rupture, son avenir est caractérisé par l’incertitude. La conservation de l’événement dans les mémoires dépend d’enjeux sociaux complexes et changeants selon le type de regard que le présent porte vers le passé. Comment les événements de santé peuvent-ils contribuer à éclairer ce rapport entre événement et mémoire ? En analysant les processus d’inscription d’un événement de maladie dans la mémoire locale dans le nord-est du Cambodge, F. Bourdier observe que le processus de mémorisation étudié se situe au sein d’enjeux qui dépassent la nature de cet événement lui-même, et est révélateur des différents positionnements des acteurs dans un contexte sociopolitique en forte transformation.

La question de l’événement et de la mémoire est à son tour indissociable d’une interrogation concernant la relation entre l’événement et la construction de son récit (Ricœur 1991) ainsi que d’une réflexion regardant la relation entre événement et médias. Si, comme le souligne Balandier (1971), les médias confèrent à l’événement une sorte d’ubiquité, il n’y a selon Nora (1974) d’événement que par la construction médiatique qui transforme un fait en une donnée événementielle. L’événement de santé permet aussi bien de poursuivre cette interrogation sur le lien intime entre événement et récit (médiatique ou non) que de nourrir la discussion sur le statut ontologique de l’événement. L’événement existe-il en dehors de sa construction en forme de récit ? Quels sont les acteurs et les procédures mis en jeu par cette construction du récit de l’événement ? Telles sont les questions qui alimentent la réflexion de Giacomo Mantovan quand il explore la préparation des récits de vie de Tamouls dans le cadre de la demande d’asile en France. Loin de se limiter à la simple narration de faits temporellement inter reliés, ces récits résultent d’une construction stratégique. C’est à partir du choix sélectif d’un ou plusieurs événe-ments biographiques, qu’on fabrique un récit susceptible de bien fonctionner dans le contexte de la demande d’asile. Ceci implique, entre autre, que l’événement ait laissé une trace visible sur le corps. Selon la formule de Mantovan l’événement ici « n’est pas ce qui se passe dans la réalité, mais ce qui peut et doit être raconté ». Cette dernière observation est également confirmée, selon l’auteur, au niveau de la mémoire collective. Mantovan observe en effet les clivages importants entre les interprétations des événements de la guerre au Sri Lanka

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données respectivement par les organismes ayant autorité pour accorder des protections internationales aux réfugiés, l’Onu, le gouvernement sri lankais et les associations tamoules de la diaspora.

Une autre interrogation traverse plusieurs des contributions recueillies dans ce numéro. Celle-ci concerne l’expérience de l’événement. L’anthropologie de la maladie a depuis plusieurs décennies exploré les processus de socialisation de l’expérience de la maladie, la dialectique entre expérience subjective et significations culturelles, et la façon dont les dynamiques historiques et les rapports de force qui activent certaines stratégies de narration et de gestion de la souffrance modèlent les formes et les expériences du malaise. Comment la notion d’événement peut-elle contribuer à cette vaste exploration des modalités par lesquelles l’expérience individuelle et subjective de la souffrance est modelée par les formes de sa prise en charge ? La contribution d’Irène Maffi offre un regard précieux sur cette question à travers une analyse comparée de la manière dont deux groupes de femmes (respectivement en Suisse et en Jordanie) vivent et conçoivent l’accouchement. Les données ethnographiques présentées par Maffi démontrent de manière effective comment l’expérience de l’accouchement est modelée par le contexte institutionnel, social et culturel. C’est d’ailleurs ce contexte qui détermine aussi le fait qu’il soit vécu et raconté comme un événement ou, au contraire, qu’il ne constitue pas un événement transformateur ou significatif dans la vie des femmes.

Comme le soutiennent par exemple Bastide (1970) et Farge (2002), les événements d’ordre personnel et collectif ne font pas uniquement appel à la sphère intellectuelle en produisant une fracture d’intelligibilité, mais mobilisent une dimension émotive touchant de près la sensibilité de la personne. L’événement de santé se prête particulièrement à une réflexion autour de cette relation problématique entre fabrication de sens, émotion et gestion sociale des événements. La contribution d’Eric Fourneret s’inscrit dans une perspective proche de celle-ci. La maladie grave et la demande d’euthanasie sont analysées par rapport à ce qu’elles signifient pour le sujet qui les vit. La compréhension de la maladie grave, tout comme de la demande personnelle d’euthanasie, impliquent d’aller au-delà de la prise en considération des principes éthiques ou des règles universelles. Les

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aspects saillants de tels événements sont à comprendre à l’arrière plan de la vie intérieure et d’une “texture d’être”, c’est à dire une vision personnelle et sensible de la vie.

Un dernier questionnement que la lecture de ces pages est susceptible de soulever est méthodologique. Entre structurel et accidentel, entre éphémère et durable, l’événement est difficile à appréhender. Étant donné cette complexité intrinsèque à l’événement, quelle sorte d’objet peut-il représenter pour les différentes sciences sociales ? Pour ce qui concerne l’anthropologie, Francis Affergan (1997) souligne par exemple la complexité à la fois épistémologique et méthodologique liée à l’événement. Non seulement l’ethnologue est continuellement confronté dans le travail de terrain à des événements et à des discours portant sur ces événements, mais la rencontre même de l’anthropologue avec chaque culture représente un événement. Quelles relations ethnographiques peuvent ou doivent être nouées, d’un point de vue non seulement pratique ou méthodologique, mais aussi éthique ? C’est l’ensemble de ces problématiques que le présent numéro de la revue se propose d’illustrer, sans prétendre toutefois l’épuiser. Ces propositions, de par leur richesse et leur diversité, témoignent du fait que l’événement continue à constituer pour nos disciplines un terrain heuristique fertile pour la compréhension du contexte social, par ses dynamiques intrinsèques de construction, de reconstruction et de négociation. Qui plus est, ces contributions permettent de mettre en évidence comment ce rapport entre la notion d’événement et les thématiques de la santé et de la maladie est susceptible d’ouvrir une pluralité de questionnements offrant de riches regards sur le social. Ce dossier ouvre ainsi le terrain à un approfondissement de ces thèmes.

Serena BINDI Faculté SHS – Sorbonne, Université Paris Descartes CANTHEL (EA 4545) serena.bindi@parisdescartes.fr *

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Références bibliographiques

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