• Aucun résultat trouvé

COMMUNIQUE DE PRESSE et APPEL d URGENCE au secours des Droits de l Homme et de la Démocratie au Cameroun.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "COMMUNIQUE DE PRESSE et APPEL d URGENCE au secours des Droits de l Homme et de la Démocratie au Cameroun."

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

LIGUE CAMEROUNAISE DES DROITS DE L’HOMME

POUR LA DEFENSE DES LIBERTES FONDAMENTALES ET DU PLURALISME

Membre affilié à la F.I.D.H. accréditée auprès de la Commission de l’O.U.A et de l’O.N.U.

Membre Fondateur de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme.

Membre de l’Association Internationale des Juristes et des Avocats-Experts-Consultants en Droits de l’Homme.

Présidents d’Honneur à titre posthume :

Dr. Félix MOUMIE Ruben UM NYOBE

Ernest OUANDIE Afana OSSENDE

Abel KINGE Monseigneur Albert NDONGMO

COMMUNIQUE DE PRESSE et APPEL d’URGENCE

au secours des Droits de l’Homme et de la Démocratie au Cameroun.

LE PEUPLE CAMEROUNAIS MARTYR

ET SA DIASPORA MARGINALISEE FACE AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES MASCARADES

Au CAMEROUN du 11 octobre 2004

organisées

PAR LE GOUVERNEMENT SANGUINAIRE TORTIONNAIRE de PAUL BIYA et UNE BANDE D’ELEMENTS CONSTITUANT une OPPOSITION

ALIMENTAIRE SOUDOYEE CAUTIONNANT le REGIME CORROMPU OLIGARCHIQUE

ILLEGITIME D’UN ELECTORAT d’à peine 4 MILLIONS D’ELECTEURS FICTIFS INSCRITS

SUR 16 MILLIONS D’HABITANTS que COMPTE AUJOURD’HUI OFFICIELLEMENT

LA POPULATION CAMEROUNAISE

(2)

SITE INTERNET : « MEMOIRE D’AFRIQUE » : http://africa.smol.org

POUR EN SAVOIR PLUS

1) Le sens de la démocratie : rapport – synthèse 1997 présenté au 33ème congrès de la F.I.D.H. de Dakar http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_26.pdf

2) Rappel de l’appel de la L.C.D.H pour l’instauration de l’Etat de Droit au Cameroun contre la corruption et la torture. Rapport d’activité 2000 de la L.C.D.H., http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_02.pdf

3) La communication de la L.C.D.H. au séminaire des Nations Unies de Dakar contre la torture (novembre 2000) et au 34ème congrès de la F.I.D.H. de Casablanca (janvier 2001), http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_05.pdf 4) « Paul BIYA traduit devant le Tribunal à compétence universelle de Bruxelles pour crime de génocide contre

l’Humanité par la l.C.D.H. », article paru dans le journal AFRONEWS n°3 pages 22 et 23, août – septembre 2001. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu09.pdf

5) Terrorisme d’Etat et génocide électoral au Cameroun. Lettre ouverte au peuple camerounais et à sa diaspora marginalisée contre le génocide électoral et le système tortionnaire Paul BIYA, Octobre 2001.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu10.pdf

6) Communication de la L.C.D.H concernant l’existence de prisons privées de torture dans les chefferies traditionnelles et le génocide électoral. Décembre 2001,

http://africa.sml.org/docs/lcdh/lcdh_cpress07.pdf

7) Bamiléké, document témoin versé au dossier de la Plainte contre Paul BIYA, génocidaire tortionnaire, par la L.C.D.H. devant le Tribunal Pénal International en novembre 1998, et le Tribunal Belge à compétence universelle en janvier 2001. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_mail05.pdf

8) Mémorandum – Rapport et Plainte de la L.C.D.H concernant l’état de violations des libertés fondamentales au Cameroun à la Session 2002 de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies à Genève.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu13.pdf

9) Communiqué de presse concernant le résultat des élections municipales et législatives mascarades du 30 juin 2002 au Cameroun dénoncées dès le début par la Ligue Camerounaise des Droits de l'Homme. le 3 juillet 2002.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress16.pdf

10) Communication de la L.C.D.H : « Leçons à tirer des élections mascarades municipales et législatives du 30juin 2002 au Cameroun ». Le 6 août 2002.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress18.pdf

11) La Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme dénonce : « La mascarade électorale sans fin fait rage au Cameroun ». Le 22 septembre 2002.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress20.pdf

12) Communiqué de la Ligue Camerounaise des Droits de l'Homme sur l'actualité des Droits de l'Homme en Afrique après les dernières élections mascarades législatives et municipales au Cameroun. Juin - Septembre 2002. Le 15 octobre 2002. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress21.pdf

13) Mémorandum de la L.C.D.H. et Appel à la conscience nationale et internationale en vue de la mobilisation de la diaspora camerounaise et des forces démocratiques nationales pour l’instauration de l’Etat de Droit contre la corruption et l’impunité des crimes du régime corrompu Paul BIYA, à titre de prévention contre les prochaines élections mascarades prévues en 2004. Le 18 juin 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress38.pdf 14) La L.C.D.H. dénonce l’acharnement du gouvernement corrompu du génocidaire Paul BIYA contre les hautes

autorités religieuses camerounaises qui osent défier la dictature, la torture, les assassinats et l’impunité en vue des prochaines élections présidentielles mascarades prévues pour 2004. Le 09 septembre 2003.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress44.pdf

15) Deuxième lettre ouverte au clergé camerounais complice du régime tortionnaire de Monsieur Paul BIYA.

Réponse de la L.C.D.H. au Cardinal TUMI. Le 26 septembre 2003.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress45.pdf

16) La Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme défend la libre opinion des religieux au Cameroun, l’exemple du Cardinal TUMI menacé. « Que se passe-t-il au Cameroun ? ». Intervention sur les antennes de la radio internationale Africa n°1, le 03 octobre 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress47.pdf

17) Lettre ouverte à Son Excellence le Cardinal TUMI, archevêque du Cameroun, à propos des élections présidentielles 2004 au Cameroun. Le 23 octobre 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress48.pdf

(3)

18) Mémorandum de la L.C.D.H aux élites et aux dirigeants africains face aux peuples et à l’histoire. l’Afrique malade de la démocratie sans démocrate. Quel diagnostic ? Quelle thérapeutique pour la bonne gouvernance transparente alternante ? Le 23 novembre 2003. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress51.pdf

19) Communications de la L.C.D.H. à différents Sommets, Conférence et Forums mondiaux:

- Conférence Mondiale des Nations Unies à Durban (Afrique du Sud) du 28 août au 8 septembre 2001, contre le racisme et la xénophobie.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu07.pdf

- Forum Social de Porto Alegre (Brésil) du 31 janvier au 5 février 2002.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu11.pdf

- Sommet Mondial de la terre à Johannesburg (Afrique du Sud) du 26 août au 04 septembre 2002.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu15.pdf

- Sommet, Contre sommet ou l’autre sommet France-Afrique de paris les 19 et 20 février 2003.

http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_actu30.pdf - Sommet du G8 d’Evian du 1er au 3 juin 2003.

http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress36.pdf

- 35ème Congrès de la F.I.D.H. à Quito (Equateur) du 02 au 05 mars 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu31.pdf

20) Communication de la délégation de la L.C.D.H. à la rencontre de la diaspora camerounaise à Bruxelles sur la situation de la démocratie et des élections mascarades au Cameroun sous le régime tortionnaire antidémocratique de Paul BIYA. Les 09 et 10 décembre 2003.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu17.pdf

21) Appel d’urgence de la L.C.D.H. : « La répression contre les opposants politiques fait rage au Cameroun ». Le 14 janvier 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress53.pdf

22) Communication de la L.C.D.H. au Colloque de l’Assemblée Nationale de Paris « Grande Corne de l’Afrique/Mer Rouge. Enjeux stratégiques de la région dans la mondialisation », organisé par Les Nouvelles d’Addis et les Verts. Le 02 février 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress56.pdf

23) « Campagne internationale d’action pour la démocratie au Cameroun » à Paris les 13 et 14 mars 2004.

Communication du Professeur Kapet de BANA : « Le réveil et l’éveil de la diaspora camerounaise marginalisée pour la bonne gouvernance et l’alternance démocratique au Cameroun contre la corruption et l’impunité du système néocolonial tortionnaire de Paul Biya.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_actu25.pdf

24) Communication du Professeur Kapet de BANA au Colloque interafricain sur l’environnement, la lutte contre la pauvreté, les politiques économiques difficiles, la mondialisation, organisé dans le cadre du 3ème Congrès de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme (U.I.D.H.) sur le thème : « Quel cadre stratégique de lutte contre la pauvreté pour les pays africains ? Constat et perspectives. Ouagadougou du 15 au 19 décembre 2003.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part37.pdf

25) Résolution du 3ème Congrès de l’U.I.D.H. à Ouagadougou du 15 au 19 décembre 2003 sur l’inquiétant état de violation de la démocratie bafouée au Cameroun présenté par la délégation de la L.C.D.H.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh.part46.pdf

26) Election présidentielle au Cameroun en octobre 2004. La responsabilité de l’opposition politique, des élites et des intellectuels camerounais face au Peuple et à l’Histoire devant les élections mascarades criminelles et génocidaires du dictateur Paul BIYA au Cameroun, plongé dans l’obscurité, sans électricité, sans eau potable.

Le 19 mars 2004.http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress60.pdf

27) Communication à la session 2004 de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies de la L.C.D.H.

en partenariat avec le C.M.D.P. Réactivation du Dossier Noir et du Livre Blanc devant la Cour Pénale Internationale sur les victimes des crimes imprescriptibles du régime tortionnaire sanguinaire néocolonial incarné par Paul BIYA au Cameroun, sans eau potable et sans électricité, pour tous, partout. Le 28 mars 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress61.pdf

28) Communication de la L.C.D.H. à la rencontre panafricaine de Montpellier organisée par le Collectif des Africains de Montpellier (C.A.M.), du 02 au 08 avril 2004.

29) Communication de la L.C.D.H. à la rencontre du Club Afrique de l’Assemblée Nationale Française sur « le pillage et les conflits armés en Afrique », le 07 avril 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress63.pdf

30) Communiqué de presse et Appel d’urgence au secours des femmes camerounaises victimes de l’arbitraire, violentées et violées dans les commissariats du 8ème arrondissement de Douala. Le 22 avril 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress64.pdf

31) Alerte aux camerounais et à l’opinion publique contre le voyage du sanguinaire Paul BIYA à Paris. Appel à la Vigilance ! Voir clair et agir ! Le 23 avril 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress65.pdf

(4)

33) La torture, les viols, le rançonnage, les traitements dégradants et inhumains font rage sur les femmes dans les commissariats de police insalubres au Cameroun. Les exemples criards de Douala et Yaoundé. Le 26 avril 2004.http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress67.pd

34) Communiqué de presse de la L.C.D.H. à l’attention de la 60ème Session de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies de Genève et à la prochaine Session de la Commission des Droits de l’Homme et des Peuples de l’Union Africaine en Mai 2004 à Dakar, concernant les élections mascarades du régime néocolonial corrompu sanguinaire de Paul BIYA, prévues en octobre 2004 au Cameroun. La Presse nationale patriotique au secours ! Lire « La Nouvelle Expression » datée du 3 mai 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress68.pdf

35) Après la manifestation de Paris, leçons à tirer ! Grande manifestation des camerounais de la diaspora pour la renaissance du Cameroun des cendres du régime néocolonial corrompu tortionnaire de Paul BIYA au pouvoir à YAOUNDE depuis 40 ans, sans transparence et alternance. Le 06 mai 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress69.pdf

36) La L.C.D.H. dénonce les turpitudes, les atermoiements et les prétextes fallacieux du régime néocolonial corrompu sanguinaire génocidaire de Paul BIYA au Cameroun. Le 16 mai 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress70.pdf

37) Monsieur François Xavier MBOUYOUM, ancien procureur général des tribunaux tortionnaires du Cameroun nommé Président du nouveau ONEL. Encore un KWAYEP ENOCH BIS, (Paix à son âme), mort de remords pour les crimes qu’il a commis au service du génocidaire tortionnaire sanguinaire corrompu Paul BIYA contre les populations endeuillées du Cameroun, plongées dans l’obscurité sans électricité ni eau potable. Le 30 mai 2004.http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress71.pdf

38) Au secours du peuple camerounais plongé dans l’obscurité, sans eau potable et sans électricité par un dictateur criminel sanguinaire tortionnaire Paul BIYA qui s’en va rejoindre AHIDJO qu’il a condamné à mort et qui est mort en exil………. Le 06 juin 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress72.pdf

39) Au secours du peuple camerounais qui se meurt sous la dictature de l’Etat criminel tortionnaire de Paul BIYA.

Les 10 et 11 juin 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress73.pdf

40) Appel d’urgence à la vigilance populaire ! Paul BIYA ressuscité doit répondre de ses crimes d’assassinat, de corruption, de torture, de disparition, de viol, de vol, de détournement de biens publics, et surtout de simulation de mort pour mensonge, en vue des élections présidentielles mascarades truquées en octobre 2004 pour perpétrer le régime néocolonial sanguinaire qui dure depuis 40 ans. Le 16 juin 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress74.pdf

41) Mémorandum de la L.C.D.H. et Appel à la jeunesse, aux forces politiques sociales démocratiques au Cameroun et aux compatriotes de la diaspora. Le 19 juin 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress76.pdf

42) Réponse de la L.C.D.H. à l’article « Pas d’informatisation du processus électoral et la transparence par d’élection présidentielle » de Asongany Tazoacha, et aux différentes réactions des organisations patriotiques de l’intérieur et de l’extérieur relatives à l’organisation des élections présidentielles mascarades d’octobre 2004 au Cameroun. Le 29 juin 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress77.pdf

43) La Ligue Camerounaise des Droits de l’Homme dénonce : la répression contre l’opposition politique qui réclame l’informatisation des listes électorales fait rage au Cameroun, sous le régime tortionnaire corrompu antidémocratique de Paul BIYA, mort vivant. Le 9 juillet 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress78.pdf

44) Contribution de la L.C.D.H. au thème de la semaine du 12 au 17 juillet du J.D.A. de la radio internationale Africa n°1 : « La démocratie en Afrique selon Kofi Annan », Secrétaire Général des Nations Unies. Pour une fois, bravo Kofi ANNAN de parler comme la L.C.D.H. le fait depuis des années pour la démocratie transparente et alternante en Afrique. Le 18 juillet 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress80.pdf

45) Mémorandum et Manifeste. Message et Appel de la L.C.D.H. pour un Gouvernement de renaissance nationale et l’instauration d’un Etat de Droit pour l’alternance démocratique durable au Cameroun. (30 pages) Le 31 juillet 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress81.pdf

46) Appel d’urgence. Au secours des victimes du terrorisme d’Etat qui fait rage au Cameroun contre les forces démocratiques qui demandent la transparence dans les opérations de l’organisation des élections présidentielles en cours. Le 06 août 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress83.pdf

47) Communiqué de presse et alerte de la L.C.D.H. Les militaires bulus de Paul BIYA assassin contre le peuple, la patrie et l’unité nationale au Cameroun. La L.C.D.H. dénonce et alerte l’opinion nationale et internationale contre le népotisme tribaliste antinational de Paul BIYA. Le 17 août 2004.

http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress84.pdf

Que se passe-t-il au Cameroun encore autour du Cardinal TUMI, et cette fois-ci, avec le Premier Ministre en fonction ? Ce que veulent les militaire bulus. Réponse et question de la L.C.D.H. à un citoyen traumatisé, désabusé et désespéré…..Le 23 août 2004. http://africa.smol.org/docs/lcdh/lcdh_cpress85.pdf

(5)

Mardi, 19 octobre 2004

Des sous-officiers de l’armée camerounaise torturés [ NEW-YORK - États-Unis ] ( 18-10-2004) Ndzana Seme

Le régime Biya est actuellement très préoccupé par la popularité du Capitaine Guérandi au sein des forces armées camerounaises. La paranoïa des complots leur fait arrêter et torturer les sous-officiers qui leur paraissent suspects

Notre rédaction ( The African Independent, NDLR) a été sollicitée par les parents et les amis de l’adjudant chef Mbengue et du sergent Toussoumna, afin que TAI informe l’opinion nationale et internationale sur le sort dont sont victimes, dans les geôles de la Sécurité militaire à Yaoundé, les deux sous-officiers de l’armée camerounaise.

En effet, le sergent Toussoumna, bien connu des organisations de défense des droits de l’Homme depuis plus de trois ans, a été arrêté il y a quelques mois par les agents de la sécurité militaire.

Le sergent Toussoumna s’était en effet illustré par sa volonté de dénoncer les exactions criminelles que commettaient ses camarades de l’armée contre les populations, lors des opérations menées dans le Nord Cameroun contre les coupeurs de route.

A cet effet, il avait été protégé par une ONG de défense des droits de l’Homme il y a trois ans, à qui ce sous-officier s’était ouvert.

Ses chefs hiérarchiques s’étant rendus compte de cet acte arbitrairement taxé d’indiscipline – alors que depuis le tribunal de Nuremberg, le militaire a le droit et le devoir de refuser d’obéir et de dénoncer les ordres qui conduisent aux massacres des civils, aux crimes contre l’humanité et aux génocides -, avaient décidé de faire taire à jamais le sergent Toussoumna.

Ce dernier, mis au courant de l’acte ignoble en préparation contre lui, s’était alors enfui dans un pays voisin du Cameroun.

Le sergent Toussoumna réapparut au courant de cette année à Maroua, parce qu’il voulait revoir sa famille.

Malheureusement, il était reconnu par ses anciens camarades d’armes, qui l’avaient aussitôt dénoncé.

Il avait immédiatement été arrêté pour désertion. Depuis trois mois, il croupit dans les geôles de la Sécurité militaire à Yaoundé.

Le contexte lui était particulièrement défavorable, car il était arrêté aux approches des élections présidentielles.

En effet, les services de sécurité en général, et la Division de la Sécurité militaire (la « GESTAPO ») en particulier, sont sur le pied de guerre depuis lors.

D’autant plus qu’en cette période préélectorale de mobilisation générale des forces armées, les services militaires et de renseignements se font concurrence, afin de soutirer chacun le maximum de sous à Paul Biya.

C’est ainsi que le Colonel Loko Bilé se frotte les mains, puisque lui et les siens ont entre les mains celui qui pourrait leur fournir l’alibi de leur business en or.

C’est ainsi que le malheureux et malchanceux sergent Toussoumna est actuellement soumis à toutes sortes de tortures depuis des semaines.

Ses bourreaux lui demandent notamment d’avouer qu’il est en contact avec et est envoyé au Cameroun par le

(6)

Face à cette injustice flagrante et le cœur brisé, l’adjudant chef Mbengue, en service à la Sécurité militaire, avait commis l’erreur d’aider le sergent Toussoumna à rentrer en contact avec sa famille.

Mis au courant, les chefs hiérarchiques de Mbengue l’interpellèrent et lui font actuellement subir des tortures atroces, afin qu’il avoue lui aussi être un des éléments du Capitaine Guérandi.

Selon des informations de notre enquêteur à Yaoundé, les autorités de Yaoundé sont actuellement très préoccupées par la popularité du Capitaine Guérandi au sein des forces armées camerounaises.

C’est ainsi qu’ordre a été donné de tout mettre en œuvre pour remédier à cette situation préjudiciable au pouvoir de Biya. Notamment à travers l’arrestation et la torture de tout militaire ou officier qui se montrerait critique envers les méthodes barbares du régime, aussitôt classé comme ennemi et agent de Guérandi.

Depuis lors, le Colonel Loko Billé inonde sa hiérarchie de fausses informations, qui parviennent aux autres officiers, dont certains, d’une ethnie particulière, seraient déjà mis sur écoutes.

Son objectif est de faire croire qu’il maîtrise la sécurité au sein des armées et, au mieux, de dissuader tout officier qui serait tenté de remettre en cause la dictature établie à Yaoundé. Le Colonel Loko Billé soupçonne ainsi chaque officier de l’armée camerounaise d’être en collaboration avec les nombreux réseaux du Capitaine Guérandi.

Personne ne devrait donc plus être surpris d’apprendre, l’un de ces quatre matins, de la part du pouvoir Biya, qu’un coup d’état a été déjoué grâce au professionnalisme de la Division de la Sécurité Militaire (GESTAPO).

Nos sources font état de ce que les organisations de défense des droits de l’Homme sont braquées sur cette histoire rocambolesque, une de plus, et rendent le ministre Esso Laurent, le colonel Loko Billé et son adjoint, le secrétaire d’état à la gendarmerie, responsables de la vie de l’adjudant chef Mbengue et du sergent Toussoumna.

© The African Independent

http://www.icicemac.com:8080/nouvelle/index.php3?nid=2452

Mardi, 19 octobre 2004

Biya achète les observateurs américains avec l`argent des pauvres camerounais [ Douala - Cameroun ] ( 15/10/2004) Alex Gustave AZEBAZE

Biya a payé une somme colossale, près de 200 millions de Fcfa pour obtenir la présence des

“ observateurs américains ”. Ils ont pour leur part bien rempli leur contrat. Les affaires sont les affaires. Mais nul n’était en mesure de prédire que ce sont des Américains qui viendraient cautionner une opération qui ressemble à tout point de vue, à ce qu’on pourrait qualifier, sans exagération, de banditisme électoral du 11 octobre 2004.

Le gouvernement camerounais a payé une somme colossale pour obtenir la présence des “ observateurs américains

”. Ils ont pour leur part bien rempli leur contrat.

Les “ observateurs américains ” qui ont, moins de 24 h après le scrutin présidentiel pourtant controversé, indiqué au cours d’une conférence de presse à Yaoundé qu’ils n’ont presque pas quitté après leur arrivée quelques jours auparavant, que “ l’élection présidentielle a été transparente et démocratique ” ressemble à une bande d’affairistes payés pour ce faire. Comment penser autrement lors qu’on sait par exemple que leur chef, Greg Lauglin, est partenaire d’affaires du cabinet américain de lobbying Patten § Boggs basé à Washington. Contacté à Washington en juin dernier par Peter Mafany Musongè qui s’y était rendu pour les obsèques de l’ex-président Ronald Reagan, le cabinet Patten § Boggs a signé, en septembre dernier, avec le gouvernement camerounais un contrat d’affaires d’une valeur de … 400.000 dollars $, soit plus de 200 millions de Fcfa! Sa mission, comme l’a révélé hier, notre confrère Mutations était de trouver des personnalités américaines dont la présence à l’élection présidentielle pouvait rassurer l’opinion publique internationale.

(7)

Un contrat en centaine de millions

Depuis la première élection présidentielle multipartite d’octobre 1992 au cours de la quelle l’Ong pro-démocratique américaine Ndi, pourtant invitée par le gouvernement camerounais, avait rendu un rapport d’observation

défavorable sur le caractère démocratique dudit scrutin le gouvernement camerounais dont l’image s’en était malmené n’avait pas du tout supporté son objectivité. Même s’il ne l’invita plus pour les élections suivantes une autre Ong américaine participa aux législatives du 17 mai 1997. L’International Foundation for electoral system (Ifes), à l’issue de sa mission émit pratiquement les mêmes réserves que le Ndi. Et le gouvernement en prit mouche une nouvelle fois même s’il ne réagit pas brutalement comme en 1992. Pour les élections présidentielles suivantes, en octobre 1997, aucun organisme américain crédible n’accepta de se prêter au jeu. Le pouvoir camerounais dut alors se contenter d’un obscur groupe rassemblé par Chief Milla Assouté à Harlem pour les besoins de la cause.

Leurs commentaires positifs permirent peu de crédibiliser le scrutin d’alors, d’ailleurs boycotté par les principaux candidats de l’opposition. Pour le double scrutin du 30 juin 2002, le gouvernement qui ne désespérait pas de revoir au Cameroun des observateurs américains dut renoncer face au refus de tous les organismes crédibles. Il recourut plutôt à l’observation des organismes intergouvernementaux : Onu, Francophonie et Commonwealth. Leurs conclusions, bien qu’enrobées dans de formules diplomatiques, n’étaient tout de même pas amènes. Par exemple, alors que le Commonwealth réitérait la nécessité, déjà formulée des années plutôt par le Ndi puis l’Ifes, de l’intervention dans l’organisation des élections d’un organisme véritablement neutre et indépendant, l’Onu prenait faits et causes pour la modernisation de la confection du fichier électoral. Elle se proposa alors de participer à l’informatisation du fichier électoral. Le gouvernement s’y opposa. L’Onu n’est plus revenue cette fois-ci tout comme d’ailleurs l’Union européenne, bien que sollicitée.

Voilà donc comment le gouvernement camerounais s’est retrouvé en manque de partenaires crédibles – si l’on excepte, dans une certaine mesure le Commonwealth qui, depuis ces trois dernières années, faute de ranger le pouvoir camerounais à ses vues sur la création d’un organe indépendant, a tenté de faire pression pour que l’Onel, ce curieux organe gouvernemental chargé d’assurer la transparence des élections, soit renforcé dans ses pouvoirs.

Dans ces conditions, le recours à des observateurs américains jaunes n’était plus éloigné.

Pour combler les réticences américaines

Contactés par le directeur de campagne de Paul Biya, les responsables du Cabinet Patten § Boggs ne sont pas allés loin pour chercher des partenaires pour exécuter le marché. Ils ont câblé leur partenaire Greg Lauglin, ex-sénateur de l’Etat du Texas et membre de la United States Association of Former Members of Congress (Association des anciens membres du Congrès américain, USA-Fmc). M. Lauglin n’a pas eu beaucoup de peine à constituer sa délégation. Il s’est juste retourné vers six de ses camarades, qui en raison de leur situation politique, sont en peu en chômage. Dick Schulze, Joe Wyatt, Mike Forbes, Webb Franklin, Ronny Shows et Anddy Maguise ont rapidement fait leurs valises, la plupart pour leur première villégiature en Afrique. L’on apprend ainsi qu’un seul de ces observateurs un peu spéciaux était déjà venu en Afrique auparavant. Et même, ce n’était pas pour observer des élections. Mais bon. L’essentiel n’est-il pas de remplir le contrat juteux de l’entreprise américaine ?

De quoi embarrasser un tout petit peu le nouvel ambassadeur des Etats-Unis, R. Niels Marquardt, qui déclarait encore le 15 juin dernier, lors de son audition par les Sénateurs en activité, espérer que “ la présidentielle

(camerounaise, ndlr) d’octobre offrira une nouvelle opportunité au Cameroun de démontrer ses progrès intangibles sur la voie de la démocratie ”. Certes, une école de pensée tenace veut désormais que le gouvernement américain, quelle que soit sa couleur politique, soit de moins en moins regardant sur le respect des valeurs et principes de démocratie véritable dans la région d’Afrique Centrale (et du Golfe de Guinnée en particulier), depuis la région semble devenir le futur El Dorado pétrolier. Les affaires sont les affaires. Mais nul n’était en mesure de prédire que ce sont des Américains qui viendraient cautionner une opération qui ressemble à tout point de vue, à ce qu’on pourrait qualifier, sans exagération, de banditisme électoral du 11 octobre 2004.

Dans l’affaire, le gouvernement camerounais qui joue désormais beaucoup plus sur les apparences sait qu’en commençant par donner un satisfecit obtenu à prix d’or, les “ observateurs américains ” libéreraient la pudeur qu’auraient eue la délégation des observateurs de la Francophonie, et dans une certaine mesure, celle du Commonwealth.

Le Messager

http://www.icicemac.com:8080/nouvelle/index.php3?nid=2446

Références

Documents relatifs

7.1 Le 22 décembre 2005, le requérant a transmis au Comité un rapport annuel de 2004 de la Commission des droits de l’homme pakistanaise sur les conditions dans les prisons

246 Sur ces deux forces contraires inhérentes à tout droit (la tendance à la systématisation et la tendance à l'individualisation), voir les réflexions cie J.

Des représentants du Foyer d’accueil pour femmes, de la Direction de l’immigration, du Centre islandais des droits de l’homme, du Ministère de la protection

3 Ibid., par.. Indiquer le nombre de demandeurs d’asile et de non-ressortissants qui ont été placés en détention depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle législation, ainsi

Selon des données probantes de niveau consensus, les injections de corticostéroïdes ne sont pas recommandées comme modalité initiale de traitement pour réduire la douleur et augmenter

On note surtout l'absence d'une représentation maternelle forte, elle est même froide, en témoigne la réponse de type C’ 21 à la planche VII de ce deuxième test 22 , et

Le Comité a donc demandé un rapport spécial indiquant les mesures que prend l’État partie afin d’assurer l’application effective des recommandations et le respect de toutes

b) Les décisions du Comité sont prises à la majorité des membres présents. Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies met à la disposition du Comité le