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Première partie
De drôles de rencontres
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Chapitre 1
– Mesdames et Messieurs voici la plus spectaculaire des magiciennes… Maty !
Son rêve le plus cher, la magie, depuis son plus jeune âge, elle faisait régulièrement le tour du monde pour présenter ses tours.
Toutes les populations l’admiraient et essayaient de la copier. Elle n’avait que dix-sept ans et demi et déjà populaire. Ses cheveux très longs, ils lui
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arrivaient pratiquement aux genoux, brun et lisse. Son sourire est si gracieux qu’ils étaient admirés de tous.
Revenons au spectacle, il dura une heure. Tous les tours étaient magnifiques. Maty réussie à faire disparaître un spectateur qui lui avait demandé et celui-ci réapparue dans le public. Le spectacle toucha à sa fin mais ces derniers en voulait encore, Maty le compris en voyant un petit garçon avec des étoiles dans les yeux.
Maty déclara :
– Vous êtes un public exceptionnel, cependant, toutes les bonnes choses, ont une fin.
En voyant leurs visages, Maty ne pouvaient pas partir sans leur faire un dernier tour, un qu’elle n’a encore jamais présenté.
– Puisque, mes tours sont terminés. J’ai une surprise avant de partir. Je demande l’attention de tous.
Tout le public la regardait. Maty se dirigea vers le centre de la scène.
« Gravitaman », murmura-t-elle.
Elle s’éleva dans les airs et en un éclair, elle salua son public et prononça :
« Disparus »
Maty disparut et toutes les lumières s’éteignirent.
Quelques minutes après, dans un tonnerre d’applaudissement, les lumières se rallumèrent.
Elle réapparut dans la salle vide. Tout son public avait quitté la salle, mais elle savait qu’après chaque spectacle, les spectateurs continuaient de ressentir la magie au plus profond de leur cœur. En début de scène, se trouvait un livre d’or ou tous les spectateurs pouvaient écrire leurs impressions, des questions et
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tous ce qui se passaient dans leurs têtes. Elle l’ouvrit et fut attirer par un message, d’un jeune magicien en quête d’un maître.
Elle lut le texte.
Chère Maty,
Je participe à tous tes spectacles et je t’admire plus que tous, tu es exceptionnelle.
Je suis moi-même un jeune magicien et j’aimerais que quelqu’un m’apprenne des tours de prestidigitation.
Je te remercie, Chère Maty pour tout, sache que pendant chacun de tes spectacles, j’observe tous tes faits et gestes mais sans jamais comprendre comment tu fais.
Mike K…
PS : Pourrais-tu m’apprendre ?
« On verra jeune magicien ! Mais, je sais que je ne pourrai pas puisque la majeure partir de mes tours n’ont pas d’astuce, ils sont, tout simplement, magiques », pensa Maty.
Elle alla dans sa loge pour lire les autres commentaires. Quand elle croisa son ami d’enfance, Jessy. Il enviait Maty pour sa célébrité et sa vie à voyager.
Jessy la serra dans ses bras et lui dit :
– Maty, je te cherchais, explique moi, pourquoi à chaque fois que je viens te voir, tu arrive à me bluffer ?!
Elle ne savait pas quoi lui répondre. Jessy continua :
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– Je peux savoir comment tu as fait pour disparaître à la fin, tout en l’évitant ?
– Tu veux vraiment savoir, je vais te le dire.
Jessy trépignait d’impatience, il allait enfin savoir un dès nombreux secret de magie.
– A vrai dire… je ne sais pas comment j’ai fait, c’est venu tout seul.
– Tu te moque de moi ! Tu vas me dire que c’est vraiment de la magie.
– Oui, c’est la magie et de la vrai.
– Je ne te crois pas.
Maty savait très bien qu’un magicien ne devait jamais, sous aucune condition dévoilée un secret.
Cela perdait toute la magie du tour.
Le lendemain, Maty était heureuse et bouleversé à la fois, elle devait reprendre l’école après deux mois de tournée dans le monde entier. Pour sa dernière journée de vacances, elle décida de rendre visite à sa famille. En arrivant, ils n’y avaient personnes. Maty n’habitait plus avec sa famille car depuis qu’elle était devenue « célèbre », ils ne voulaient pas être ennuyés par les journalistes. Elle vivait donc, dans un appartement dans le centre-ville, malheureusement, ils ne savaient pas ce qu’elle était devenue, pas d’appel, pas de lettre, rien depuis sept ans.
Avant de partir, elle glissa dans la boîte aux lettres, une enveloppe. Elle espérait qu’ils y auraient un retour.
La rentrée débuta à 9 h 30 pour les terminales.
Quand, elle arriva dans la cour du lycée, elle resta stupéfiée par sa grandeur. Elle pouvait apercevoir les dortoirs pour les internes. Ce que Maty redoutait le
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plus c’était de rencontre des personnes qui ont vu ses nombreux spectacles.
Cependant, elle devait y faire face et aller de l’avant.
Un petit groupe surveillait les allées et venues des lycéens. Quand, ils aperçurent Maty, ils coururent vers elle.
Quelque minute après, elle se retrouva encerclée.
Une fille lança :
– Peux-tu nous faire des tours de magie, s’il te plaît ?
Maty sortit un jeu de carte et commença son tour ou les cartes figures rentraient en jeu. A la fin, après avoir fait différent tours. Elle sortit un grand drap et demanda :
– Pouvez-vous, reculer, s’il vous plaît, pour ce tours.
Tout le monde recula. Elle lança le drap et quand celui-ci toucha terre, elle avait disparue. Ils restèrent stupéfiés.
Maty réapparue dans le couloir qui menait au bureau du proviseur. Elle toqua et une voix lointaine lui dit d’entrer. Le proviseur portait un costume gris avec une cravate bleu comme le ciel. Maty eu juste le temps de saluer, ce dernier, que l’on frappa de nouveau à la porte. Un garçon entra, celui-ci n’était pas plus vieux que Maty. Il salua lui aussi le proviseur, le jeune homme restait éblouie par la beauté de la jeune fille, en venant s’asseoir-il trébucha sur le tapis. Maty quant à elle, l’observer, son cœur battait la chamade. C’était la première fois que son cœur battait pour un garçon.
Le proviseur intervint :
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– Medi, je te présente Maty et comme tu dois le savoir, elle est…
– Je le sais et je te connais bien, Maty, tout en la regardant.
Maty resta sans voix. Elle ne savait que dire.
– Medi sera ton guide, il va te montrer tous les endroits stratégiques ainsi que ta chambre.
Il lui tendit une clé, qu’elle prit et la rangea dans sa poche. Medi intervint :
– Suis-moi.
Ils sortirent du bureau et ils commencèrent la visite, tous en évitant les autres élèves.
Après cela, ils se dirigèrent vers les dortoirs.
