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U n grand botaniste peu connu de la flore indochinoise : Paul Louis S IMOND .

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Academic year: 2022

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A

ux multiples facettes bien connues, reflétant l’extraor- dinaire carrière et personnalité de P. L. SIMOND, il faut en rajouter une autre : celle d’un collecteur re m a rquable et d’un observateur de la nature tout particulièrement dans le domaine végétal.

En effet, les activités exercées par ce botaniste, peu connu en dehors d’un cercle étroit d’initiés français ou étrangers, ont très

significativement fait pro g resser la connaissance de la flore de l’In- dochine et plus précisément celle de la famille des O rc h i d a c e a e . Son penchant pour les sciences naturelles s’est-il affiné durant sa fonction de préparateur d’histoire naturelle qu’il occupait à la Faculté de médecine et de pharmacie de Bordeaux dès 1878 ou lui a-t-il été communiqué lors de sa formation de médecin colonial ?

U n grand botaniste peu connu de la flore indochinoise : Paul Louis S IMOND .

Summary:A Little Known Eminent Botanist of Indochinese Flora: Paul-Louis SIMOND.

Alongside his brilliant scientific and administrative career, Paul Louis SIMOND,, a famous colonial doc - tor, was also an observer of nature and excellent botanist. Following in the tradition begun two cen - turies earlier by medical doctors and pharmacists in the marine and army health services, Paul Louis SIMONDshowed particularly interest in the family of Indichenese orchids during the third visit he made to the country in 1914-1917, while he was inspector of the health service.

There remain a splendid collection of 226 watercolours depicting the different species of orchids which he had painted by a local artist on live model he was cultivating himself or had had sent to him from all over Indochina both officially and privately. Most of the plates he determined himself, accompanying them by a thorough and exact hand-written description of the floral organs allowing their identification. His knowledge in the area was worthy of a professional and he contributed lar - gely to the botanical description of a region which is still far from being completed. Whilst the plates in the collection are of unequal scientific value (sometimes they are unfinished or without a detai - led floral description, or they are copies of already existing plates), the greater part (160) constitutes a considerable original contribution to the knowledge of Indochinese orchidological flora (21 types).

The entire collection was bequeathed in 1947 to the laboratoire of Phanérogamie of the Muséum National d'Histoire naturelle, where it can be consulted by scholars.

Résumé :

Au cours de sa brillante carrière scientifique et administrative, Paul Louis SIMOND, illustre médecin colonial, fut aussi un observateur naturaliste et un excellent botaniste. Suivant une tradition com - mencée deux siècles auparavant par des médecins et des pharmaciens du Service de santé de la marine et des armées, Paul Louis SIMONDs’intéressa particulièrement à la famille des orchidées d’In - dochine au cours du troisième séjour qu’il effectua dans ce pays entre 1914 et 1917, alors qu’il était directeur du Service de santé des troupes de l’Indochine.

En est témoin la superbe collection de 226 aquarelles d’espèces d’orchidées différentes qu’il a fait exécuter par un artiste local d’après des sujets vivants qu’il cultivait lui-même ou qui lui étaient envoyés de toute l’Indochine par des services officiels ou des correspondants privés. Il a déterminé la grande majorité de ces planches qu’il accompagne presque toujours d’une description manus - crite, minutieuse et exacte, des organes floraux permettant leur identification, prouvant ainsi ses connaissances en la matière, dignes d’un professionnel, et contribuant ainsi largement à la connais - sance botanique de cette région qui est aujourd’hui encore loin d’être achevée. Si les planches de cet ensemble sont d’inégale valeur scientifique (parfois inachevées ou exemptes de leur description florale détaillée, ou copies de planches déjà existantes), la plus grande partie (160) représente cependant un considérable apport original à la connaissance de la flore orchidologique de l’Indo - chine (21 types).

Toute cette collection fut léguée en 1947 au laboratoire de phanérogamie du Muséum national d’histoire naturelle, où elle est à la disposition des chercheurs.

P. Morat

Muséum national d’histoire naturelle, Laboratoire de phanérogamie, 16,rue Buffon,75005 Paris. Tél. : 33 (0)1.40.79.33.61. Fax :33 (0)1.40.79.33.42.E-mail :morat@mnhn.fr Manuscrit n°1963/PLS10. Journée IPen hommage à P.-L. SIMOND.

SIMONDPaul-Louis botanics orchideas Indochine Eastern south Asia

SIMONDPaul-Louis botanique

orchidée Indochine Asie du sud-est

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Rien n’est sûr mais on peut remarquer qu’il s‘inscrit dans la grande tradition des chiru rgiens, médecins ou pharm a c i e n s du Service de santé des armées, mais surtout de la marine (VI E I L L A R D, GA U D I C H A U D, BR O U S M I C H E, CATAT, etc.) qui, durant les deux derniers siècles, ont contribué à l’enrichisse- ment des collections nationales et à l’avancée des sciences dans les terr i t o i res qu’ils ne faisaient souvent que traverser ou dans lesquels ils étaient affectés.

Attiré par l’observation de la nature, P. L. SIMONDs’est inté- ressé à l’entomologie et l’ornithologie. Quelques collections de papillons et de colibris, qu’il a rassemblées, le prouvent, mais à l’évidence l’attrait du monde végétal est pour ce naturaliste, de loin, le plus fort.

Déjà, lors de son séjour en Guyane entre 1882 et 1886, son neveu (9) nous apprend qu’il avait rédigé un épais cahier inti- tulé “Flore des plantes de la Guyane” où figuraient à l’avance les diff é rentes familles, avec des espaces prévus, qu’il com- plétait au fur et à mesure de ses récoltes. Malgré des re c h e rc h e s poussées, aucun de ses spécimens guyanais en herbier n’a pu être retrouvé.

Quelques années plus tard, en 1893, à l’occasion de son aff e c- tation à Long Tchéou en Chine, dans la province du Quang- Si jouxtant le Tonkin, il reprend ses activités botaniques en confectionnant un herbier d’environ 200 spécimens (parfois déterminés à la famille), accompagné d’un catalogue descrip- tif de chaque récolte observée sur le vif. L’ensemble sera légué au Muséum, qui le reçoit en 1911. Cet herbier, additionné à tout le matériel déjà récolté par ses prédécesseurs et contem- porains, servira à l’édification de la F l o re de l’Indochine p u b l i é e par LE C O M T Eet GA G N E PA I N. Une lettre de ce dern i e r, datant de 1931, présente dans les archives de l’Institut Pasteur, le re m e rcie pour les herbiers envoyés et lui demande une notice autobiographique à insérer dans le tome introductif de cet ouvrage monumental.

Mais sa contribution la plus importante à la flore de l’Indo- chine est sans conteste la superbe collection de 226 aquare l l e s d’espèces d’orchidées toutes diff é rentes qu’il a fait peindre, sous son contrôle, par un artiste local du nom de HAY, sur des sup- ports de 30 x 30cm ou 40 x 30 cm, au cours de son troisième séjour indochinois entre 1914 et 1917. Exécutées à partir de plantes vivantes qu’il avait récoltées ou qui lui étaient envoyées de toute l’Indochine par les services officiels et des corre s- pondants privés, cette splendide iconographie (figures 1, 2, 3, 4*) est le plus souvent accompagnée de déterm i n a t i o n s e ffectuées par P. L. SI M O N Dlui-même, quand cela est pos- sible, à partir d’ouvrages existants (la Flora of British India d e HOOKERétait déjà publiée à cette époque).

Il est indéniable que P. L. SIMONDbénéficie de certaines faci- lités. Il est nommé à un haut poste de responsabilité (Direc- teur du service de santé) dans un pays qu’il connaît bien et, à ce titre, il possède des relations privilégiées avec les respon- sables de nombreux services administratifs. En témoignent les nombreuses lettres (archives de l’Institut Pasteur) des chefs de province du Laos, des services agricoles et commerciaux de Cochinchine qui, au courant de sa passion, lui annoncent de nombreux envois, par la poste, d’orchidées vivantes.

Recevoir des orchidées en colis, envoyées par d’autres, la plu- part du temps en mauvais état compte tenu de la durée des t r a n s p o rts, et au stade végétatif (pseudobulbe, bulbe, pied, etc..) est une chose, les faire fleurir pour les étudier en est une autre . C’est donc d’abord à cette tâche qu’il s’attelle.

Il entretient aussi de nombreux contacts avec des part i c u l i e r s amateurs ou professionnels des orchidées tels L. L. RI V E S, employé des postes, affecté en Indochine de 1896 à 1923 et retiré plus tard à Périgueux, avec lequel il tisse des liens étro i t s ,

ou Ph. EB E R H A R D T, botaniste explorateur qui participe à la mis- sion BOUTANen Indochine où il sera envoyé plus tard à la Cour de Hué, puis nommé chef des services économiques du G o u v e rnement général. Il finira professeur de botanique géné- rale à l’Université de Besançon. Lui aussi est un passionné d’orchidées qu’il collecte, étudie, dessine sous forme d’aqua- relles, qui accompagnent un volumineux herbier déposé au laboratoire de phanérogamie du Muséum national d’histoire naturelle de Paris.

Toutes ces personnes forment un vaste réseau comme il en existe dans d’autres pays, dont les membres se conseillent, s’entraident, ou parfois se jalousent et se méfient les uns des a u t res. En est témoin une lettre d’EB E R H A R D Ta d ressée à SI M O N Dle 10 mars 1916 où le premier prend brutalement ses distances d’avec le second, après s’être aperçu que leurs buts, bien que similaires, diff è rent cependant par l’ampleur des résultats escomptés et qu’ils sont de facto en compétition : EB E R H A R D T, “ l ’ a n c i e n”, le professionnel, craignant d’être exploité par SIMOND.

P. L. SIMONDse montre en effet ambitieux. Il n’envisage pas moins de faire une vaste monographie de la famille des O rc h i - d a c e a e, d’abord d’Indochine, qu’il souhaite étendre ensuite à tout le continent asiatique en incluant toutes les espèces déjà étudiées par d’autres. Le projet est grandiose, mais peu réa- liste pour l’époque.

Et c’est dans ce but donc, qu’il entreprend, durant les trois années de ce séjour, cette série d’aquarelles représentant les espèces qui lui parviennent et qu’il étudie avec beaucoup d’at- tention. Outre leur valeur esthétique, la grande valeur scien- tifique attribuée à ces dessins est due à la description minutieuse et fidèle, extrêmement détaillée avec dessins, mensuration et dissection des pièces florales accomplies sur le vif qui accom- pagne la très grande majorité de ces planches. Ces documents ont permis par la suite aux spécialistes de décrire et de publier validement, selon les règles de la nomenclature, de nombre u s e s espèces nouvelles dont certaines n’ont, à ce jour, encore jamais été re t rouvées. Les couleurs sont aussi fidèlement re p ro d u i t e s (figure 5*), la peinture étant le seul moyen de les pérenniser à une époque où la photo couleur était à ses débuts, donc peu accessible aux particuliers.

Les planches de cet ensemble sont certes d’inégale valeur scientifique et même esthétique. D’abord certaines sont inache- vées (figure 6* : Acanthephipium sp.), l’artiste ne pouvant s u i v re le rythme des floraisons quand elles sont irr é g u l i è res ou simultanées et fugaces chez plusieurs espèces. La partie végé- tative est donc peinte en premier en attendant la floraison et la fructification qui ne sont peut-être jamais venues. D’autre s , pour des raisons similaires, sont dépourvues de leurs obser- vations et mensurations manuscrites. Enfin un autre lot ( f i g u re7 * : D e n d robium pierr a rd i) ne représente que des re p ro- ductions de dessins déjà publiés ou des copies de planches effectuées par d’autres (LÉTANG, MORANGE).

Cependant la plus grande partie, environ 160, représente un a p p o rt scientifique considérable et original à la flore orc h i d o- logique d’Indochine qui, à l’époque, comprenait un peu plus de 300 espèces. Actuellement, avec près de 800 espèces dénombrées, cette flore est encore loin d’être entièrement connue.

P a rmi ces planches, une trentaine représentait, dans les années 50, autant d’espèces entièrement nouvelles pour la science dont 21 ont été choisies comme types de l’espèce (cf. tableau I e t f i g u re 8 * : Eria tonkinensis ; f i g u re 9* : N e p h e l a p h y l l u m s i m o n d i i) en l’absence des sujets vivants ayant servi de modèle qui n’ont malheureusement pas été conservés ensuite en her- bier par SI M O N D. De plus ces espèces n’ont jamais pu être retrouvées dans la nature.

*en 3ème de couverture

(3)

P. Morat

Toute cette collection fut léguée en 1947 au laboratoire de p h a n é rogamie du Muséum national d’histoire naturelle où elle est restée à la disposition des chercheurs qui travaillent sur cette famille et notamment de G. SEIDENFADENqui, en 1992, en publia pour toute l’Indochine la monographie.

F. GA G N E PA I N, qui reçut ce legs, publiera en 1950-1951 la liste préliminaire de toutes les espèces figurées dans cette col- lection et décrira celles d’entre elles qui étaient nouvelles ou qu’il croyait telles.

N’oubliant pas le généreux donateur, il donna à onze d’entre elles le nom de SIMOND:

Eria simondii Gagnepain Nephelaphyllum simondii Gagnepain

Trichosma simondii Gagnepain = Mischobulbum cordifolium (Hk.f.) Schlechter Thrixspermum simondii Gagnepain = Thrixspermum centipeda Lour.

Saccolabium simondii Gagnepain = Cleistoma filiforme (Lindl.) Garay

Sarcanthus simondianus Gagnepain (fig. 10*) = Pelatantheria rivesii (Guill.) Tang & Wa n g Dendrobium simondii Gagnepain (fig. 11*)

Bulbophyllum simondii Gagnepain

Ornithochilus simondianus Gagnepain = Pteroceras simondianus (Gagnep.) Averyanov Vanda simondii Gagnepain (fig. 12*) = Cleisostoma simondii (Gagnep.) Seidenfaden Liparis simondii Gagnepain = Liparis viridiflora (Bl.) Lindl.

À la suite des révisions les plus récentes (Gunnar SEIDENFA-

DENen 1992), parmi ces onze espèces, trois épithètes spéci- fiques données par Gagnepain ont été conservées telles quelles, associées aux mêmes genres qu’il leur avait attribués ( E r i a simondii, Dendrobium simondii, Bulbophyllum simondii) ; deux autres noms d’espèce spécifiques s i m o n d i i ou s i m o n - dianus ont été préservées par le jeu des combinaisons, mais associées à d’autres genres (Pteroceras simondianus, Cleiso - stoma simondii) ; les cinq dernières ont disparu car mises en synonymie avec des espèces en fait déjà décrites ou révisées par d’autres botanistes qui les ont laissées, soit dans le même g e n re ( T h r i x s p e rmum centipeda) ou attribuées à d’autres genre s (Mischobulbum cordifolium, Cleistoma filiforme, Pelatan - theria rivesii, Liparis viridiflora, Cleisostoma filiforme).

Pour clore ce chapitre nous savons, grâce à une lettre de Madame SI M O N Ddu 29 mars 1949, envoyée à GA G N E PA I N, q u e P. L. SI M O N Davait, à l’issue de son troisième et dernier séjour en Indochine, rapporté à Valence où il s’était retiré, une col- lection vivante d’orchidées, mais que “le manque de com - bustible suite aux restrictions dues à la guerre (1914-1918) la fit disparaître toute”.

L’orchidophilie était plus qu’un hobby pour P. L. SIMOND. C’était une véritable passion qu’il assimilait à une mission à a c c o m p l i r. Cette idée est confortée par le sigle de son ex-libris (figure 13) où figure en position privilégiée (au centre), l’or- chidée avec, sur les côtés, le rat, la puce, le moustique et la salamandre symbolisant les différentes activités de sa vie qui furent ses domaines d’excellence.

Remerciements

Nos re m e rciements vont à Denise OG I LV I Eet Daniel DE M E L L I E Rq u i nous ont largement facilité l’accès aux archives de l’Institut Pasteur.

Références bibliographiques

1. Archives P. L. SIMOND: SIM 20.1. Bibliothèque de l’Institut Pas- teur, 25-28 rue du Docteur Roux, 75724 Paris Cedex 15.

2. GAGNEPAIN F - Orchidacées nouvelles d’Indochine. Bull Mus, 1950, 2ème sér., t. XXII, 3, 396-403.

3. GAGNEPAIN F - Orchidacées nouvelles d’Indochine. Bull Mus, 1950, 2ème sér., t. XXII, 4, 502-509.

4. GAGNEPAIN F - Orchidacées nouvelles d’Indochine. Bull Mus, 1950, 2ème sér., t.XXII,5, 625-633.

5. GAGNEPAIN F - Orchidacées nouvelles d’Indochine. Notulae Systematicae, 1950, XIV,1, 114-133.

6. HOOKER JD - Flora of British India, 1875-1897, 7 vol., L. Reeve

& Co. (ed.).

7. LECOMTE H & GAGNEPAIN F - Flore de l’Indochine. Masson, 1907-1950, Paris (ed.).

8. SEIDENFADEN G - The Orchids of Indochina. Opera Bot, 1992, 114, 1-502.

9. SIMOND M - Un pastorien discret : la vie de Paul Louis SIMOND. 1994, Grenoble Imp.

Planches de P. L. SIMONDdésignées comme type.

Charts of P. L. SIMONDidentified according to type.

Eria simondii Gagnepain – Pl.139 SIMOND

[Nephelaphyllum simondii Gagnepain ] – Pl.106 SIMOND

= Mischobulbum cordifolium (Hk.f.) Schlechter [Trichosma simondii G a g n e p a i n] – P l . 96 SI M O N D= Eria rubropunctata S e i d e n f. nom nov.

[Thrixspermum simondii Gagnepain] – Pl.47 SIMOND= Thrixspermum centipeda Lour.

[Saccolabium luisioides G a g n e p a i n ] – P l . 31 SI M O N D= Cleisostoma filiforme (Lindl.) Garay [Saccolabium simondii ] Gagnepain – Pl.121 SIMOND

= Cleisostoma rostratum (Lindl.) Garay Sarcanthus lophochilus Gagnepain – Pl.136 SIMOND

= Pelatantheria rivesii (Guill.) Tang & Wang [Sarcanthus simondianus Gagnepain] – Pl.140 SIMOND

= Pelatantheria rivesii (Guill.) Tang & Wang [Cleisostoma tonkinense Gagnepain] – Pl.97 SIMOND

= Pomatocalpa tonkinensis (Gagnepain) Seidenfaden Anoectochilus daoensis Gagnepain – Pl.61 SIMOND

Type de Gagnepain mais Seidenfaden en choisit un autre basé sur une récolte de HA Y A T A. [Parhabenaria cochinchinensis Gagnepain] – Pl.94 SIMOND

= Pecteilis cochinchinensis (Gagnep.) Averyanov Dendrobium simondii Gagnepain – Pl.115 SIMOND

Bulbophyllum simondii Gagnepain – Pl.20 SIMOND

Dendrobium daoense Gagnepain – Pl.25 SIMOND

Dendrobium chlorostylum Gagnepain – Pl.87 SIMOND

Dendrobium oligophyllum Gagnepain – Pl.16 SIMOND

[Liparis amphibius Gagnepain] – Pl.19 SIMOND = Liparis bootanensis Griff.

[Ornithochilus simondianus Gagnepain] – Pl.37 SIMOND

= Pteroceras simondianum (Gagnep.) Averyanov [Vanda simondii Gagnepain] – Pl.56 SIMOND

= Cleisostoma simondii (Gagnepain) Seidenf. récolté par RIVES

[Liparis simondii Gagnepain] – Pl.151 SIMOND = Liparis viridiflora (Bl.) Lindl.

Eria tonkinensis Gagnepain = Ceratostylis (Gagnepain) Averyanov Tableau I.

Figure 13.

Ex-Libris Louis SIMOND.

*en 3ème de couverture

(4)

Figure 6.

Acanthephippium dessin inachevé. (n°54)

Figure 7.

Dendrobium pierardi Roxb (n°169) copié dans la collection MORANGE

Figure 8.

Eria tonkinensis Gagnepain (n°18) Figure 1.

Arunda bambusifolia Lindl. (n°6)

Figure 5.

Dendrobium aggregatum Roxb. (n°67 bis)

Figure 9.

Nephelaphyllum simondii G a g n e p.( n ° 1 0 6 )

Figure 11.

Dendrobium simondii Gagnep. type (n°115)

Figure 12.

Vanda simondii Gagnep. type (n°56) Figure 10.

Pelatantheria rivesii (Guill.) T.eHU. Type Sarcanthus simondianus Gagnep. Type

( n ° 1 4 0 )

Figure 4.

Cymbidium lowianum Rchb. (n°48) Figure 2.

Phalaenopsis esmeralda Rchb.

(n°13)

Figure 3.

Rhynchostylis retusa Bl. (n°85)

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