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Il y a 100 ans : l arrondissement de Brioude entre en guerre

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Academic year: 2022

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Il y a 100 ans :

l’arrondissement de Brioude entre en guerre

Ephémérides de l’année 1914 d’après les procès-verbaux des conseils municipaux de Brioude, Langeac, Saugues.

Nous avons voulu étoffer cette rubrique, habituellement intitulée « Brioude il y a cent ans », en élargissant nos recherches à deux autres villes représentatives de l’arrondissement il y a un siècle : Langeac, cité industrielle et ouvrière, et Saugues, située dans un secteur montagneux et rural.

8 février 1914 à Langeac

Premier conseil municipal de l’année

Le conseil renouvelle la concession du service des pompes funèbres à Bernard Martin.

Il accorde au charcutier Gustave Clauze l’autorisation d’ouvrir une tuerie (abattoir privé) dès lors qu’il respecte les règles d’hygiène.

A ce propos, le Maire fait état d’une demande du service vétérinaire départemental que soit réalisée une inspection sanitaire des tueries privées, en attendant la création d’un abattoir municipal.

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Le conseil se préoccupe de la mise en place de la loi du 14 juillet 1913 créant des allocations aux familles nombreuses et pauvres. Une liste de bénéficiaires est dressée, ainsi que la liste des bénéficiaires de l’Assistance aux vieillards nécessiteux. La plupart des bénéficiaires des allocations familiales sont manœuvre ou ouvrier mineur.

21 février 1914 à Brioude

Premier conseil municipal de l’année

Les élus brivadois discutent longuement sur les indemnités allouées par la ville aux instituteurs des écoles publiques pour la surveillance des études. Les instituteurs veulent être payés davantage et ont fait intervenir l’inspecteur d’académie. Le Maire, après avoir rendu hommage aux instituteurs et institutrices, estime que les finances de la ville ne lui permettent pas d’augmenter les allocations fixées en 1913.

Le conseil municipal débat ensuite des dépenses d’assistance médicale gratuite. Les dépenses ont doublé en deux ans. Certains conseillers estiment que cela vient du fait que les médecins sont payés à la visite, et en multiplient le nombre abusivement. Pour éviter cette dérive et les abus, le conseil adopte un règlement.

Les personnes assistées devront choisir un médecin parmi ceux proposés par la mairie, lesquels devront accepter le tarif de convention municipal. Chaque médecin sera juge du nombre de visites opportunes selon l’état du patient, et sera payé selon un forfait annuel fixé par la mairie, pour chaque personne inscrite.

Pour les frais pharmaceutiques, les ordonnances seront inscrites sur un carnet à souches, et la ville paiera directement les pharmaciens qui feront une ristourne de 10%. Les malades qui ne peuvent être soignés à domicile seront dirigés sur l’hôpital ou sur les hôpitaux des villes voisines, s’ils ne peuvent être opérés à Brioude. [ces débats ont un ton très actuel et démontrent que les problèmes de l’assistance médicale ne datent pas d’hier. Soulignons toutefois

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qu’en 1914 l’assistance médicale gratuite était réservée aux indigents et que les communes en supportaient seules les frais].

Le conseil décide de l’emplacement des quinze becs de gaz devant être allumés toute la nuit. Ils seront situés aux principaux carrefours et places de la ville. [il devait faire bien sombre au cœur de la nuit à Brioude]

22 mars 1914 à Langeac

Le conseil municipal examine un projet d’adduction d’eau : des travaux de captation d’eau dans l’Allier par puits filtrant doivent être effectués, mais on rencontre des problèmes techniques, notamment un débit insuffisant, 70m/seconde étant nécessaires.

Le conseil vote une demande de subventions complémentaires.

[Langeac est en avance sur Brioude qui n’a pas encore de système d’eau courante. Il est vrai que l’Allier passe dans la ville de Langeac]

Le conseil se penche sur les travaux de restauration de l’école de garçons : pose d’un nouveau parquet dans les classes, sur l’ancien, la surélévation empêchant l’eau de pluie de s’infiltrer dans les salles depuis le balcon ; changement des serrures des logements des maîtres ; pose d’un nouvel escalier ; installation de l’eau pour les cabinets d’aisance.

On installera aussi l’eau courante à l’école des filles.

Le conseil décide le report de la fête d’inauguration des eaux en ville, en attendant la fin de la restauration de l’école de garçons.

Le conseil vote à l’unanimité un vœu pour la construction d’un pont fixe à deux voies sur l’Allier, en remplacement du pont suspendu à voie unique qui est la source de nombreux accidents.

30 mai 1914 à Brioude

Le conseil souhaite créer une chaire de sciences au collège pour les élèves du 1er cycle. Les maîtres venus de l’enseignement

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primaire connaissent mal les programmes qu’ils ont à suivre. Il – arrive que les élèves passent dans le 2e cycle en ignorant presque tout ce qu’ils devraient savoir dans le domaine scientifique. Le remède est la création d’une chaire de sciences pour la prochaine rentrée, une demande est adressée en ce sens au Ministre de l’Instruction Publique.

Toujours dans le domaine scolaire, on décide d’augmenter le traitement du professeur d’agriculture, ainsi que l’indemnité de résidence de la directrice de l’Ecole Primaire Supérieure de filles qui a ouvert l’année précédente.

[les brivadois vaquent à leurs occupations habituelles et ne se doutent pas un instant de la catastrophe qui va s’abattre sur la France deux mois plus tard].

Les syndicats de médecins ont fait repousser par le conseil général la proposition de règlement sur l’assistance médicale gratuite. La ville peut se pourvoir auprès du Ministre de l’Intérieur en se prévalant de nombreux exemples de villes qui ont adopté de tels règlements.

Adoption du budget pour 1914 : 67 584,09 F de recettes ; 64 770,13 F de dépenses.

On reprend les discussions sur la démolition de la sacristie [elle avait été refusée en 1912 par la Ministre de l’Intérieur, ministre des Cultes au nom de l’affectation des bâtiments au culte catholique].

Le maire demande l’application du plan d’alignement de 1852 et de la désaffectation d’une partie de la sacristie. [la municipalité, de gauche et quelque peu anticléricale, est vexée de n’avoir pas eu gain de cause auprès du ministre.]

17 juin 1914 à Langeac

La séance est consacrée à l’examen de questions financières : approbation des comptes pour 1913, vote du budget 1914, examen du budget primitif de 1915.

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2 août 1914 à Langeac

Le conseil municipal tient sa séance ordinaire. Aucune allusion à la déclaration de guerre et à la mobilisation n’apparaît dans le procès-verbal. La nouvelle n’a apparemment pas atteint Langeac.

8 août 1914 à Brioude

1re réunion du conseil municipal depuis la déclaration de guerre Le Maire déclare que son état de santé ne lui permet pas d’assumer le surcroit de travail résultant de toutes les obligations qui sont imposées aux communes par la mobilisation et l’état de guerre. Il demande la création d’une commission exécutive qui siégerait en permanence à la mairie et serait chargée de toutes ces tâches.

Demande acceptée, par 6 voix contre 5. M. Vedry (avocat) est nommé président de la commission exécutive.

Le conseil vote des crédits spéciaux pour apporter une aide aux familles nécessiteuses pendant la durée de la guerre. Cette aide sera distincte des allocations journalières accordées par l’Etat aux épouses de mobilisés.

12 août 1914 à Langeac

Séance extraordinaire, la première après la mobilisation.

Le maire donne lecture d’une lettre du Préfet en date du 7 août demandant :

1) De faire l’inventaire de la main d’œuvre agricole et industrielle existant dans la commune (hommes non mobilisés, femmes et enfants) susceptible d’être employée aux travaux agricoles (ramassage des récoltes).

2) De répartir cette main-d’œuvre sur le territoire de la commune auprès des agriculteurs qui en ont besoin, et en 1er lieu au bénéfice des familles de mobilisés, et de signaler la main d’œuvre restante susceptible d’être employée sur les communes avoisinantes.

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3) De recenser les machines agricoles et de rechercher le moyen de les utiliser.

4) De faire savoir si la commune désire l’envoi d’ouvriers en chômage, français ou étrangers, et les salaires qui pourraient leur être alloués.

Le conseil municipal décide:

1) Que le recensement de la main d’œuvre disponible sera effectué par le garde-champêtre.

2) La création d’un service spécial pour mettre en relation les propriétaires ayant besoin de main d’œuvre et les ouvriers disponibles.

3) Que la commune ne désire pas l’envoi d’une main d’œuvre étrangère, bien que la main-d’œuvre disponible soit tout juste suffisante.

4) Charge le maire de s’entendre avec les propriétaires de machines agricoles pour un emploi le plus large possible.

5) Vote toutes les dépenses nécessaires.

Le Maire a fait moudre une partie du stock de grains communal pour répondre à la demande du service de ravitaillement (94 quintaux de farine). Il reste 50 balles de son, inutiles au fonctionnement de la minoterie municipale. Le conseil municipal veut vendre ce stock pour en tirer le meilleur profit.

[on voit apparaître les exigences du service du ravitaillement qui réquisitionne les denrées nécessaires à l’approvisionnement de l’armée.]

28 septembre 1914 à Langeac

Le conseil demande le maintien en sursis du chef meunier municipal Gadaix, actuellement mobilisé comme territorial, en raison de la nécessité de maintenir en activité le moulin municipal, qui moud les grains des cantons de Langeac et Pinols, d’une grande partie des cantons de Saugues, Allègre, Paulhaguet et Lavoûte, et qui devrait être fermé si son titulaire devait rejoindre le front le 1er octobre, comme prévu.

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Le moulin ayant travaillé sur réquisition pour le service du ravitaillement, son maintien en activité est également nécessaire à la défense nationale.

5 octobre 1914 à Brioude

Le Préfet de la Haute-Loire s’oppose à la création de la commission exécutive décidée par le conseil municipal, car les commissions ne peuvent avoir que des missions d’étude et de préparation, toutes leurs décisions doivent être sanctionnées par le conseil municipal. Le maire seul est chargé de l’exécution des décisions du conseil et ne peut les déléguer à une commission quelle qu’elle soit.

Le conseil constate que M. Vedry a néanmoins efficacement secondé le maire, bien que ses fonctions de président de la commission exécutive n’aient pas été officialisées, et le remercie de son activité.

Il vient de se former à Brioude un comité pour recueillir les dons d’effets et vêtements d’hiver pour les soldats (comité pour le paquetage du soldat de l’arrondissement de Brioude). Bien qu’elle n’en ait pas pris l’initiative, la municipalité estime qu’elle doit encourager cette action. Le conseil vote une subvention de 1 000 francs pour ce comité, dont le siège est 13 rue Sébastopol.

Le Maire indique qu’il a été avisé du décès de deux militaires : le soldat René GUILLIN du 38e RI, et le sergent PEGON Louis, du 139e. [ce sera la seule fois de l’année que le conseil évoquera les soldats tués au champ d’honneur. Les brivadois morts au front pendant l’année 1914 ne sont donc pas mentionnés dans les procès-verbaux du conseil municipal et font l’objet d’un registre particulier].

La ville prendra à sa charge les inhumations, dans une sépulture collective avec concession perpétuelle, qui comportera un monument portant les noms des enfants de Brioude morts pour la France. L’architecte municipal est chargé de choisir un emplacement dans le nouveau cimetière.

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A l’instar des dispositions maintenant le traitement des fonctionnaires d’Etat mobilisés, le Préfet, sur la recommandation du Ministre de l’Intérieur, demande qu’il en soit de même pour les employés départementaux et municipaux. Le conseil municipal donne son accord pour maintenir le salaire des employés communaux mobilisés.

On demande qu’une gratification exceptionnelle soit accordée aux employés de la ville qui auront effectué un travail supplémentaire du fait de l’absence de leurs collègues mobilisés.

Le conseil reporte l’examen de cette question après la fin de la Guerre. [le conseil reste persuadé que la guerre ne durera pas longtemps.]

Le conseil vote une Adresse Patriotique qui témoigne de l’état d’esprit des brivadois et que nous reproduisons ci-contre.

30 octobre 1914 à Brioude

Le Maire a été informé officieusement que des réfugiés venant du nord de la France et de Belgique allaient arriver à Brioude. Le logement et la nourriture de ces réfugiés sont à la charge de la ville, ainsi que les allocations journalières qui leur sont allouées par le gouvernement. Le Maire va lancer un appel public aux habitants leur demandant de faire connaître les conditions auxquelles ils pourraient fournir les services

demandés. Sinon il sera fait appel aux hôteliers ou à l’hôpital. Le conseil approuve et autorise le maire à faire les avances

nécessaires sur la caisse municipale.

Le Maire annonce que la diminution notable des recettes et l’absence de versement de l’emprunt de 20 000 F souscrit pour solder construction de l’EPS, qui a été reporté par le Crédit Foncier après la fin de la guerre alors qu’il devait être versé le 17 août, fait craindre que la ville manque de liquidités pour payer ses dépenses. L’impossibilité de recourir à l’emprunt ou de trouver de l’argent de toute autre manière, lui fait suggérer de payer les fournisseurs de la ville au moyen de bons de 100, 50, 20 et 5 francs, issus d’un carnet à souche signés par le Maire et le receveur municipal.

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Ces bons porteraient le nom du bénéficiaire et pourraient être cédés par voie d’endossement. Ils seraient remboursés en espèces après la fin de la guerre. Les bons ne porteraient pas intérêt. Bien qu’ils n’aient pas le cours forcé des billets de banque, ces bons représenteraient une valeur réelle pour les habitants de Brioude car ils seraient garantis par la solvabilité de la ville.

Les créanciers actuels de la ville seront payés en espèces jusqu’à épuisement des fonds municipaux, les bons ne concerneront que les créanciers futurs qui seront avertis avant de livrer leurs fournitures qu’ils seront payés en bons. Ils ne pourront donc se plaindre d’être lésés.

Le conseil adopte la création de bons pour payer les dépenses municipales en cas d’insuffisance des ressources de la caisse municipale.

15 novembre 1914 à Langeac

Le conseil décide l’achat de fournitures scolaires pour les distribuer aux enfants pauvres fréquentant les écoles de la ville.

Il vote également le maintien en régie de l’exploitation du moulin et de l’usine électrique, ce fonctionnement donnant toute satisfaction.

Le conseil décide l’acquisition de charbon, pour le chauffage des écoles, auprès des houillères de Marsanges.

Il examine une demande exceptionnelle de Mme Brugerolle, hôtelière à Langeac, dont le mari est mobilisé et dont l’hôtel n’est plus fréquenté par les voyageurs depuis la mobilisation. Elle désire une réduction du prix de son abonnement électrique dont les lampes sont inutilisées. Un rabais de 50 francs lui est accordé, mais Mme Brugerolle devra à l’avenir redimensionner son installation électrique selon ses besoins. [encore un exemple de la modernité de Langeac qui possède l’éclairage électrique, alors que Brioude ne sera éclairée à l’électricité qu’après la guerre]

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21 novembre 1914 à Brioude

Il est fait lecture d’une lettre du Sous-préfet au sujet des bons municipaux. Celui-ci estime que le fait que les bons ne portent pas intérêt pourrait mettre la ville en difficulté avec ses fournisseurs, qui seraient tentés de majorer leurs factures, et que ces bons auraient un cours forcé pour les employés. Le conseil décide que les bons porteront intérêt à 4% par an du jour de leur création.

Le conseil décide de la réaffectation de l’emprunt de 20 000 francs, destiné à payer les dépenses de création de l’EPS. Ces dépenses ayant été payées sur les recettes courantes, l’emprunt (dont le versement a été reporté à la fin de la guerre) sera versé dans la caisse municipale pour le paiement des dépenses des écoles et le paiement des bons, remboursables dans les 3 mois suivant la fin de la guerre. [tout cela n’est que virtuel, la fin de la guerre étant bien lointaine, mais les élus brivadois ne le savent pas]

Le reste de la séance est consacré aux affaires courantes, bourse de collégiens, assistance aux vieillards et aux familles nombreuses.

Il n’y aura pas d’autres considérations sur les victimes de la guerre au conseil municipal de Brioude en 1914.

20 décembre 1914 à Langeac

Le conseil municipal examine une demande de Mme Bardel, autre hôtelière de Langeac, qui désire elle-aussi obtenir un rabais sur son abonnement électrique. La demande est rejetée. [cela semble un peu injuste, mais le conseil ne veut pas que les rabais sur l’abonnement électrique deviennent une habitude].

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Nous avons consulté le registre des délibérations du conseil municipal de ville de Saugues pour l’année 1914, pensant y constater les répercussions de la guerre sur l’activité municipale, comme à Brioude et à Langeac.

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Curieusement, le compte-rendu de la session du mois d’août, qui s’est tenu le 24, vingt jours après la déclaration de guerre et la mobilisation générale, ne fait pas la moindre allusion aux événements. Pas non plus d’écho de la guerre dans les procès-verbaux des sessions suivantes : session extraordinaire du 11 octobre, session du 15 novembre. A n’en pas douter, lors de ces réunions, la guerre devrait être le sujet principal des conversations des conseillers municipaux : les nouvelles du front, la mobilisation d’un tel ou un tel, les blessés, et les morts nombreux dès les premiers mois, et les rumeurs ! Les procès-verbaux des séances du conseil municipal n’en conservent cependant aucune trace.

Jusqu’à la fin de 1914, la guerre n’a pas eu de répercussion directe sur l’activité du conseil.

Le premier retentissement apparaît dans le compte rendu de la session tenue le 14 février 1915, sous la rubrique « Prestations 1914 » :

« Monsieur le maire communique au Conseil la liste des prestataires pour l’année 1914, ayant opté pour la libération en nature et qui se sont trouvés, en raison de la mobilisation, dans l’impossibilité d’acquitter leur taxe. Le nombre de prestataires s’élève à 56 et les sommes dues à cinq cent un franc

Il propose au conseil d’accorder la remise entière de ces prestations.

Le conseil à l’unanimité des membres présents est d’accord »

La guerre sera beaucoup plus longue que ne le prévoyaient les Sauguains et les Français en général. Cette première répercussion sera suivie de beaucoup d’autres… que nous vous ferons connaître dans nos prochains Almanachs !

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