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Transport et réglementation*

C. RINGOT**

(Manuscrit reçu le 4 juin 1992)

RÉSUMÉ Pour le transport des matières radioactives, c'est sous l'égide de l'Agence inter- nationale de l'énergie atomique (AIEA) qu'ont été définies, il y a déjà plus de trente ans, les premières règles adoptées par l'ensemble des pays de la com-

munauté internationale. Ces règles, revues à plusieurs reprises, ont démontré leur efficacité puisque le transport de plusieurs dizaines de millions de colis n'a conduit, tout au long de cette période, à aucun événement ayant des consé- quences radiologiques. Malgré ce résultat remarquable, le souci de l'industrie nucléaire de garantir un niveau de sécurité le plus élevé possible se traduit par une remise en cause permanente de ces règles. Ainsi, à peine la dernière révi- sion de 1985 parue, des réflexions étaient engagées pour préparer la prochaine révision qui n'aura lieu qu'en 1996. Ces réflexions concernent des domaines très variés dont le transport en masse des déchets et nouveaux matériaux, une meilleure prise en compte d'autres risques pour certaines matières (UFg), la réévaluation technique de certains concepts de base à propos des transports aérien et maritime, l'impact des nouvelles recommandations de la CIPR.

Compte tenu du niveau de sûreté élevé atteint, il y a lieu d'être extrêmement pru- dent avant de proposer toute modification qui, l'histoire le montre, va inévitable- ment dans le sens d'une plus grande sévérité. Cela exige une concertation de plus en plus étroite de l'ensemble des acteurs du transport, tant au niveau natio- nal qu'international, permettant de garantir le rôle de leader de l'AiEA, à défaut de quoi le risque est une disparition, à terme, du règlement basé sur un consen- sus international.

ABSTRACT Over 30 years ago, the first rules on the transportation of radioactive materials were defined under the International atomic energy agency (IAEA) 's responsibi- lity and widely adopted by the world states as a whole. These rules, as amended several times, have demonstrated their efficiency since the transportation of several ten millions of parcels have resulted to no event implying radiological consequences throughout that time. In spite of this outstanding achievement, the nuclear industry concern for the highest safety level is expressed by conti- nuous questioning of these rules. Thus, as soon as the last 1985 revision w a s issued, considerations have been engaged to prepare the next revision to take place as late as 1996. These considerations involve various fields such as mass transportation of wastes and new materials, better assessment of other risks for s o m e materials (UFg), technical revaluation of s o m e basic concepts about air or sea transportation, the impact of the new ICRP recommendations.

* C o m m u n i c a t i o n p r é s e n t é e lors d e la j o u r n é e S F R P , " L e n o u v e a u r è g l e m e n t p o u r le t r a n s - port d e s m a t i è r e s d a n g e r e u s e s et r a d i o a c t i v e s " , Paris, 2 et 3 avril 1 9 9 2 .

** C o m m i s s a r i a t à l'énergie a t o m i q u e , Institut d e p r o t e c t i o n et d e s û r e t é n u c l é a i r e , D é p a r t e m e n t d e s é c u r i t é d e s m a t i è r e s r a d i o a c t i v e s , B P 6, 9 2 2 6 5 F o n t e n a y - a u x - R o s e s C e d e x . A d r e s s e a c t u e l l e : 57-I L e s M o n t s L o r i e s , 9 1 4 4 0 B u r e s - s u r - Y v e t t e .

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On account of the high safety level reached to-day, one must be highly cautious before suggesting any modification inevitably leading to greater strictness as s h o w n historically. This requires closer consultation between those involved in transportation at the national and/or international levels in order to warrant IAEA's leadership, otherwise there is a risk for this regulation based on interna- tional consensus to disappear at term.

1 . Introduction

L'activité transport ayant, par nature, un caractère international, il n'est pas étonnant que les règles qui la régissent aient pour origine un o r g a n i s m e international. Le règlement de l'AIEA a célébré dernièrement sa trentième a n n é e d'existence. Il constitue la b a s e réglementaire de l'ensemble des règlements nationaux et internationaux dans l'immense majorité des pays m e m b r e s de l'ONU. La France, en particulier, dans son règlement de transport des matières d a n g e r e u s e s ( R T M D ) , reprend entièrement les éléments techniques du d o c u m e n t de l'Agence interna- tionale d e l'énergie a t o m i q u e (AIEA) "Règlement d e transport des m a - tières radioactives - Collection Sécurité n° 6, Edition de 1985, revue en

1990" [1].

Il est utile de rappeler que c'est le colis qui assure principalement la sûreté du transport et que l'ensemble des dispositions du règlement a pour f o n d e m e n t le s y s t è m e "Q" qui impose un niveau de c o n s é q u e n c e s , tant en conditions de routine qu'accidentelles, qui fait référence aux r e c o m m a n d a t i o n s de la C o m m i s s i o n internationale de protection radiolo- gique (CIPR) [6].

A u cours de ces trente a n n é e s , quatre révisions majeures ont été éla- borées qui ont permis d'ajuster le règlement aux c h a n g e m e n t s scienti- fiques et techniques. L'Agence est actuellement au milieu d'une cin- q u i è m e phase de révision, qui a lieu tous les dix ans et qui devrait aboutir en 1996.

Les activités d e l'Agence couvrent principalement trois d o m a i n e s :

— la mise à jour du règlement qui inclue le d é v e l o p p e m e n t du Safety Series № 6 précité et des d o c u m e n t s supports № 7, 3 7 , 80 et 87 [1-5] ;

— la mise en application de la réglementation qui c o m p r e n d l'assis- t a n c e aux pays m e m b r e s et aux organismes internationaux ;

— rétablissement de p r o g r a m m e s c o o r d o n n é s d e recherche en rap- port avec ces activités.

L'intervalle de 10 années entre c h a q u e révision a été choisi c o m m e c o m p r o m i s raisonnable d e manière, en particulier, à interdire des modifi- cations susceptibles d'avoir des c o n s é q u e n c e s importantes, tant sur le

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plan é c o n o m i q u e que de la gestion des transports, qui seraient prises hâtivement sous la pression d'événements ou de groupes de pression.

C'est ainsi q u e toute proposition d e modifications doit être justifiée et a p p u y é e par des études. A titre d'exemple on peut citer que l'introduction d'une réglementation propre au transport de l'hexafluorure d'uranium n'entrera en vigueur qu'en 1996 après un processus qui a u r a duré 10 a n n é e s , suite à la d e m a n d e d e la France faite en 1985, peu de t e m p s après l'accident du Mont Louis. Ce processus a conduit TAIEA à o r g a n i - ser deux réunions de consultants, deux réunions d e comités t e c h n i q u e s , à développer un p r o g r a m m e d e recherche c o o r d o n n é qui vient d e démar- rer dans lequel le p r o g r a m m e franco-japonais "Tenerife" sur le c o m p o r t e - ment t h e r m i q u e d e l ' U F6 réalisé à C a d a r a c h e constitue l'élément princi- pal, et à convoquer il y a à peine une s e m a i n e une réunion d e consultants pour le transport de cette matière issue du retraitement.

La réglementation garantit un niveau de sûreté élevé, c o m m e le montre l'expérience. En effet, depuis plus d e 4 0 a n s que l'on transporte des matières radioactives dans le m o n d e , il n'y a eu aucun cas de décès ou d e lésions attribuable à la radioactivité des matières transportées.

L'expérience acquise aux U S A est la plus significative car elle c o n c e r n e un nombre de colis transportés 7 fois supérieur (plus de 2 millions ) à celui transporté dans des pays c o m m e la France ou la G r a n d e - B r e t a g n e . Entre 1971 et 1 9 8 1 , il y a eu 125 accidents mettant en c a u s e des matières radioactives (108 routiers, 9 ferroviaires, 8 aériens) qui ont concerné 1 200 colis sans qu'il y ait eu à déplorer de c o n s é q u e n c e s . Une récente étude faite sous l'égide des C o m m u n a u t é s e u r o p é e n n e s pour la décennie d o n n e des résultats similaires pour l'ensemble d e s pays de la C o m m u n a u t é e u r o p é e n n e .

Il est intéressant de noter que d e 1971 à 1981 — période d e référence pour l'étude américaine - l'essence a causé la mort de 1 200 personnes et que d e n o m b r e u x accidents graves avec d é c è s se sont produits au cours de transports de chlore, d'ammoniac, de chlorure de vynile et d'autres s u b s t a n c e s .

C o m p t e t e n u de ces excellents résultats, tout projet d e modifications d e la réglementation ne peut être accepté que si sa justification est f o n d é e sur des arguments irréfutables, ce qui nécessite d e s réflexions et des études longues et souvent coûteuses.

On constate d'ailleurs q u e les modifications vont toujours dans le sens d'un accroissement d e la sûreté. La raison en est que tout relâchement, m ê m e justifié, pourrait apparaître c o m m e une diminution inadmissible du niveau de sûreté. C'est ainsi que dans la future réglementation du trans- port de PUF6, la pression d'épreuve hydraulique des cylindres a été m a i n - t e n u e à 28 bars alors qu'une pression de 14 bars suffisait.

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2 . Situation actuelle

La réglementation est actuellement confrontée à un certain n o m b r e d e challenges.

2.1 Le besoin de transporter de nouveaux types de matériaux ou des matières en quantités et volumes importants

Par exemple,on peut citer le transport de l'ensemble des matériaux du cycle du combustible depuis le nitrate d'uranyle j u s q u ' à l'oxyde d'uranium ( U 02) sous f o r m e d'éléments combustibles à partir de l'uranium issu du retraitement, le transport des déchets provenant du d é m a n t è l e m e n t des installations nucléaires, des matériels contaminés allant vers d e s unités spécialisées dans la maintenance.

2.2 Les nouvelles recommandations de la CIPR [6] sur les principes d e radioprotection incluent des limites d e d o s e annuelles pour les travailleurs ou le public plus restrictives, l'introduction de nouveaux concepts tels que les contraintes de dose et la prise en compte des expositions potentielles dans le développement des normes de sûreté, ce qui, d'ailleurs, est appli- qué depuis l'origine dans le règlement de transport.

L'AIEA organisera la réunion d'un comité technique courant juin 1993 pour étudier l'incidence éventuelle des nouvelles r e c o m m a n d a t i o n s de la CIPR sur le règlement des transports. Afin de préparer cette réunion et la position française, l'Institut de protection et de sûreté nucléaire (IPSN) a créé un g r o u p e de concertation avec l'ensemble des exploitants français.

O n peut penser q u e l'incidence devrait être très limitée. En effet, l'expérience montre q u e les doses reçues par le public sont négligeables et les doses reçues par les travailleurs du transport sont dans les n o u - velles limites imposées par la CIPR.

Le s y s t è m e philosophique, f o n d e m e n t de la réglementation pour le classement des colis, ne devrait pas être modifié, car il fait référence à une limite de d o s e dans l'hypothèse d'un accident (exposition potentielle) généralement r e c o m m a n d é pour la mise en oeuvre de contre-mesures lors de l'intervention (niveau de 50 mSv).

2.3 La réévaluation technique des concepts de hase de la réglementation Un exemple en est l'obtention d u m ê m e taux de défaillance des colis, quels que soient les m o d e s de transport.

Le retour du plutonium du J a p o n a conduit à revoir, de manière appro- fondie, les donnés d'accidentologie aérienne (tant sur les probabilités, les scénarios et la sévérité des accidents) qui ont mis en évidence que l'environnement accidentel aérien est plus sévère que l'environnement terrestre. Une nouvelle classe de colis, dit colis de type C répondant à

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des spécifications plus sévères (en particulier, t e n u e à un impact à une vitesse de 3 0 0 k m / h , incendie d'une durée de 60 min...), a été proposée pour le transport de certaines matières à danger potentiel élevé. Cette nouvelle réglementation e n cours de réflexion s e r a certainement mise en oeuvre en 1996.

Du m ê m e , l'environnement maritime en cas d'incendie a été récem- ment mis en question à l'Organisation maritime internationale (OMI) sous la pression d e certains pays et organisations antinucléaires. Ceci oblige à améliorer les connaissances sur les incendies à bord des navires.

M ê m e si le test actuel de 8 0 0 ° C , 3 0 min apparaît satisfaisant c o m p t e tenu des conditions imposées par l'AlEA pour la démonstration, la néces- sité de convaincre — qui est une obligation permanente du nucléaire - impose que les bases techniques de la réglementation soient parfaite- ment justifiées au-delà de ce qui est souvent nécessaire.

2.4 Un autre sujet concerne l'application des techniques d'évaluation pro- babilistes maintenant c o u r a m m e n t utilisées dans le d o m a i n e des installa- tions. Deux exemples en sont donnés : le développement en cours dans le cadre d'un p r o g r a m m e coordonné d e recherche de l'AlEA d u c o d e d e calcul I N T E R T R A N et l'étude d'un nouveau concept réglementaire basé sur ce qu'on appelle le "système transport", dans lequel le colis n'est plus qu'un des éléments garantissant la sûreté. C e concept paraît particuliè- rement adapté a u transport d e s matières de faible activité.

2.5 Enfin, la mise en œuvre des nouvelles dispositions i m p o s e à t o u s les stades du transport, depuis la conception d u colis, jusqu'à son exploita- tion d'un programme d'assurance qualité assorti d'un contrôle par l'auto- rité compétente du respect de c e s dispositions sous forme d e visites techniques et d'inspections.

3. C o n c l u s i o n

En conclusion, j'aborderai un point qui m e paraît essentiel : c'est la nécessité, encore plus que dans d'autres activités, d'une v u e c o m m u n e d e l'ensemble des acteurs du transport qui passe par une concertation permanente à tous les niveaux, national et international. En effet, le transport est un maillon sensible du développement é c o n o m i q u e , il doit être assuré dans des conditions non critiquables ; toute divergence entre les acteurs serait immédiatement mise à profit par les opposant du nucléaire. Le règlement de transport des matières radioactives ayant u n e base essentiellement technique laisse peu de m a r g e d e m a n œ u v r e aux exploitants, ceux-ci doivent se sentir en p e r m a n e n c e concernés et donc être étroitement associés à l'évolution de cette réglementation. L'AlEA j o u e le rôle de leader dans cette activité, reconnu par tous les pays m e m b r e s .

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Des tentatives s e font jour, d e p u i s un certain t e m p s , pour contester ce rôle. T o u t e déstabilisation de l'AlEA ne pourrait conduire à t e r m e q u ' à la disparition du r è g l e m e n t b a s é sur un c o n s e n s u s international, et d o n c à entraver les transports. La situation actuelle est, sur ce point, satisfai- sante. O n constate, par e x e m p l e , q u ' a u fil d e s a n n é e s un n o m b r e crois- sant de p r o g r a m m e s de r e c h e r c h e s sont réalisés entre les pays ; pro- g r a m m e s sur les études de c o m p o r t e m e n t à la rupture fragile des matériaux, sur l'étanchéité d e s colis, sur le c o m p o r t e m e n t t h e r m i q u e d e l ' U F6, sur le d é v e l o p p e m e n t d e c o d e s d'évaluation des risques, sur le c o n c e p t " s y s t è m e t r a n s p o r t " . . . Le c o n g r è s P A T R A M qui a eu lieu en s e p - t e m b r e 1992 au J a p o n met très bien e n é v i d e n c e cette é v o l u t i o n .

O n constate q u e les réflexions sur l'évolution de la r é g l e m e n t a t i o n sont faites f r é q u e m m e n t en concertation entre les cinq principaux p a y s ayant un d é v e l o p p e m e n t nucléaire ( A l l e m a g n e , Etats-Unis, J a p o n , R o y a u m e - U n i , France). Il est m ê m e c o u r a n t q u e des réunions bilatérales aient lieu avant des réunions o r g a n i s é e s par l'AlEA pour présenter un point d e v u e c o m m u n .

Bien e n t e n d u , l'action d e notre p a y s n'a d e s e n s q u e si elle a fait l'objet, au préalable, d'une concertation de l'ensemble d e s a c t e u r s natio- n a u x : autorité c o m p é t e n t e , experts de l'IPSN, exploitants. Les g r o u p e s d e travail tels que le g r o u p e " d é c h e t s " le g r o u p e "CIPR", la structure per- m a n e n t e d'information mise en place entre le secrétariat d'état à la m e r et l'IPSN pour t o u t e s les actions a u p r è s d e l'OMI, le p r o g r a m m e T e n e r i f e a u q u e l participent tous les industriels français c o n c e r n é s par ce m a t é r i a u sont des e x e m p l e s de cette c o n c e r t a t i o n à l'échelon national.

Le niveau de sûreté atteint dans le t r a n s p o r t des matières radioac- tives est r e m a r q u a b l e . La r é g l e m e n t a t i o n bâtie à partir d'objectifs précis et d e d o n n é e s objectives constitue un e x e m p l e pour d'autres activités et, e n particulier, le t r a n s p o r t des autres matières d a n g e r e u s e s . A u s s i importe-t-îl d'agir a v e c la plus g r a n d e p r u d e n c e avant d'introduire t o u t e modification qui v a s y s t é m a t i q u e m e n t d a n s le s e n s d'un a c c r o i s s e m e n t de la sévérité. Cette fuite en avant est, en effet, une c o n s t a n t e d u nucléaire qui résulte de son histoire et d u fait qu'il est e n p e r m a n e n c e e n position d'accusé.

C e c i exige une concertation p e r m a n e n t e d e t o u s c e u x qui pratiquent cette activité. L'optimisation, c'est-à-dire l'évaluation c o m p a r é e du gain a p p o r t é à la sûreté et du coût de cette m e s u r e , prend une i m p o r t a n c e c r o i s s a n t e d a n s le p r o c e s s u s d'évolution d e la r é g l e m e n t a t i o n . C e l a ne peut donc se faire s a n s la participation d e s exploitants. A cet é g a r d , l'in- c i d e n c e des nouvelles r e c o m m a n d a t i o n s d e la C I P R sur la r é g l e m e n t a - tion des transports peut avoir d e s r é p e r c u s s i o n s c o n s i d é r a b l e s sur la gestion future d e s transports et d o n c leur coût. N o u s d e v o n s e n s e m b l e définir u n e position nationale q u e les r e p r é s e n t a n t s f r a n ç a i s auront à soutenir lors des prochaines réunions d e l'Agence sur ce sujet. L'objectif d u g r o u p e d e travail c r é é à l'initiative d e l'IPSN et qui s'est réuni r é c e m - m e n t pour la d e u x i è m e fois a cette a m b i t i o n .

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R É F É R E N C E S

[1] A G E N C E I N T E R N A T I O N A L E D E L ' E N E R G I E A T O M I Q U E ( A I E A ) - R e g u l a t i o n s f o r t h e s a f e t r a n s p o r t o f r a d i o a c t i v e m a t e r i a l 1 9 8 5 e d i t i o n ( a s a m e n d e d 1 9 9 0 )

( S a f e t y s e r i e s , 6 ) . V i e n n e : A I E A , 1 9 9 0 .

[2] A G E N C E I N T E R N A T I O N A L E D E L ' E N E R G I E A T O M I Q U E ( A I E A ) - E x p l a n a t o r y m a t e r i a l f o r t h e I A E A r e g u l a t i o n s f o r t h e s a f e t r a n s p o r t o f r a d i o a c t i v e m a t e r i a l ( 1 9 8 5 e d i t i o n ) , 2 . e d . (as a m e n d e d 1 9 9 0 ) 1 9 9 0 ( S a f e t y s e r i e s , 7 ) . V i e n n e : A I E A , 1 9 9 0 .

[3] A G E N C E I N T E R N A T I O N A L E D E L ' E N E R G I E A T O M I Q U E ( A I E A ) - A d v i s o r y m a t e r i a l f o r t h e I A E A r e g u l a t i o n s f o r t h e s a f e t r a n s p o r t o f r a d i o a c t i v e m a t e r i a l ( 1 9 8 5 e d i t i o n ) , 3 . e d . (as a m e n d e d 1 9 9 0 ) ( S a f e t y s e r i e s , 3 7 ) . V i e n n e : A I E A , 1 9 9 0 . [4] A G E N C E I N T E R N A T I O N A L E D E L ' E N E R G I E A T O M I Q U E ( A I E A ) - S c h e d u l e s o f r e q u i r e m e n t s f o r t h e t r a n s p o r t o f s p e c i f i e d t y p e s o f r a d i o a c t i v e m a t e r i a l c o n s i g n e - m e n t s (as e m e n d e d 1 9 9 0 ) ( c o m p a n i o n d o c u m e n t t o S a f e t y s e r i e s , 6) ( S a f e t y s e r i e s , 8 0 ) . V i e n n e : A I E A , 1 9 9 0 .

[5] A G E N C E I N T E R N A T I O N A L E D E L ' E N E R G I E A T O M I Q U E ( A I E A ) - E m e r g e n c y r e s p o n s e p l a n n i n g a n d p r e p a r e d n e s s f o r t r a n s p o r t a c c i d e n t s i n v o l v i n g r a d i o a c t i v e m a t e r i a l 1 9 8 8 ( S a f e t y s e r i e s , 8 7 ) . V i e n n e : A I E A , 1 9 8 8 .

[6] C O M M I S S I O N I N T E R N A T I O N A L E D E P R O T E C T I O N R A D I O L O G I Q U E ( C I P R ) - R e c o m m e n d a t i o n s . . . ( a d o p t e d N o v . 1 9 9 0 ) ( I C R P p u b l i c a t i o n 6 0 ) . O x f o r d : P e r g a m o n P r e s s , 1 9 9 0 .

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