Direction artistique et maquette FLATTOT Christian – Cours Maintenon 10 boulevard Pasteur « Maison Tulasne » BP 71541 – 83409 HYERES Cedex –
Ennemi mortel
Confinement total en France
# 213 Avril
12354 2020
COVID-19 ……….. 2 La neige ……….…… 3
Faire parler les matériaux
3/4… 4
S lar Orbiter près du Soleil … 5
Les virus sont des organismes composés d'une enveloppe de protéines laquelle renferme de l'ADN ou de l'ARN. Ils se situent à la limite de la matière inerte et de la matière vivante. En effet, ils n'ont pas de métabolisme et ne peuvent pas se reproduire. Ils doivent pour cela pénétrer nos cellules, en prendre le contrôle et en détourner le métabolisme à leur profit. C'est ainsi que les virus se répliquent et disséminent dans tout notre corps.
Pour passer d'une personne à l'autre, les virus empruntent différentes voies. Certains virus utilisent la voie respiratoire, d'autres la voie digestive, transcutanée ou encore sexuelle. Les virus peuvent infecter tous les organismes, humains, animaux, végétaux. Ils peuvent aussi infecter les bactéries.
Le confinement
Depuis le 16 mars, nous sommes livrés à une bataille comme dirait notre président « nous sommes en guerre ! ». Et depuis mardi, nous sommes confinés pour moi rester enfermé, c’est ne plus vivre. Néanmoins nous avons des cours en ligne pour faire l’école à la maison. C’est un moment où l’on peut faire des choses que l’on ne fait pas ex : lire des gros livres (ça je le fais toujours). Nous apprenons que l’on doit profiter pleinement des gens qu’on aime. C’est ce qui est primordial pour moi. Mais ce qui est aussi important c’est de s’entraider comme le font le personnel de santé. C’est pourquoi j’encourage toutes ces personnes qui sauve nos proches et privilégient l’intérêt des autres non pas eux- mêmes. Courage à toutes ces personnes. J’espère qu’on ne les oubliera pas après ce virus.
Prenez soin de vos proches mais aussi de vous-même !
On va s’en sortir !
Texte Alexandre Leclerc-Veisse (6ème 3) Le « data center » de
la Vie Scolaire de
l’école !! Ça travaille dur !
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Il neige
. La tentation est grande de tendre le bras pour laisser se poser délicatement quelques cristaux de neige fraîche et s'émerveiller un instant devant ces fragiles étoiles, symétriques et complexes. On distingue à l'œil nu leurs six branches principales mais une simple loupe permet de profiter des détails des nombreuses ramifications de ces dendrites. C'est d'ailleurs une loupe qu'utilisent quotidiennement en station de ski les observateurs du réseau nivo-météorologique pour caractériser la neige. D'un geste sûr, ils prélèvent un peu de neige sur la plaquette, tapotent pour séparer les grains, et un coup d'œil rapide leur suffit pour en déterminer le type.Essayons donc d'y voir plus clair pour savoir comment reconnaître les différents cristaux ou grains de neige sur le terrain. Le matériel nécessaire est constitué d'une plaquette et d'une loupe. Cependant, l'observateur ne se contente pas de regarder les grains sous la loupe, il s'aide aussi de tout ce qu'il aura pu remarquer avant : la consistance de la neige à la pelle, sa couleur, la facilité avec laquelle on prélève les grains, la façon dont ils se répartissent sur la plaquette. Souvent ces observations préliminaires aident fortement à la détermination du bon type de grain, la loupe ne vient que le confirmer et fournir quelques précisions. La loupe permet aussi de lever une indétermination entre deux types de grains (rarement plus), il faut alors observer finement quelques grains et tout spécialement leurs contours.
Photos : FC
Faire parler les matériaux de Notre Dame de Paris
Bois, pierre, fer, plomb… Que sait-on des matériaux dont est faite Notre-Dame et des techniques de construction utilisées à l’époque ? Faudra-t-il les reproduire ? Et quelles analyses jusqu’alors impraticables sont à présent à portée de main ?
Pierre par pierre, poutre par poutre… Les premiers vestiges de Notre-Dame de Paris ont commencé à être évacués peu après l'incendie du 15 avril dernier. Une somme de matériaux, bois, fer, pierre, qui représente la mémoire de la cathédrale, en cours d’expertise par la recherche française. Car derrière le drame, l’incendie a ouvert des possibilités extraordinaires d’accès à ces matériaux souvent situés en hauteur, parfois jamais analysés. À commencer par la charpente de bois. Cette « forêt », composée de milliers de chênes assemblés il y a huit cents ans.
3/4 : Le fer fait date
L’un des atouts des groupes de travail sur la cathédrale est de rassembler bon nombre de chercheurs autour d’un seul matériau. Et depuis quelques semaines, un groupe de recherche sur le métal de Notre-Dame a été lancé, avec, pour commencer, l’étude du fer. « On va chercher à savoir s’il y a des chaînages de fer insérés dans la maçonnerie des XII
eou XIII
esiècles, pour consolider les structures, comme c’est le cas dans la nef de la basilique Saint-Denis, qui date de la même époque », explique Maxime L’Héritier, maître de conférences en histoire médiévale à l’Université Paris-8 et membre de l’unité Archéologies et sciences de l’Antiquité. Des investigations radar devront être menées sur les parties hautes de la cathédrale.
Seconde étape des recherches : utiliser le carbone 14 pour dater le fer. « Celui des cathédrales est généralement un mélange de fer et d’acier, lui-même un alliage de fer et de carbone. Pour dater le fer, nous datons donc le carbone présent dans l’acier, qui provient du charbon utilisé pour la réduction du minerai. Cela nous donne la date de l’arbre dont est issu le charbon, avec la précision d’une datation classique au carbone 14 », explique Maxime L’Héritier. Cette technique a déjà été utilisée sur la cathédrale de Bourges (Cher) ou la Sainte-Chapelle de Paris.
Fer contenant de l’acier (zone du haut), comme celui de la plupart des cathédrales.
L’acier étant lui-même un alliage de fer et de carbone que l’on peut dater, il sera possible de reconstituer l’histoire de la maçonnerie de Notre-Dame.
https://lejournal.cnrs.fr/articles/faire-parler-les-materiaux-de-notre-dame
Dater le fer de la cathédrale permettra ainsi de reconstituer l’histoire de la maçonnerie et de la charpente, « car nous pourrons savoir si c’est du fer des XII
e-XIII
e, XV
e-XVI
esiècles ou plus tardif, et donc retracer les différentes étapes de construction et de consolidation », indique Maxime L’Héritier. Une aubaine, car peu d’archives circulent sur ces hypothétiques consolidations.
La qualité du fer utilisé, tout comme sa provenance géographique, sera aussi explorée grâce à des analyses
métallographiques : « Les impuretés présentes dans le métal permettent de retracer l’origine géographique des
minerais de l’époque. Des référentiels chimiques sont constitués depuis plusieurs années par les chercheurs de l’Institut
de recherche sur les archéomatériaux et du Laboratoire archéomatériaux et prévision de l’altération. On ne part donc
pas totalement de zéro », souligne l’historien.
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But how will the S lar Orbiter probe resist for years in one of the most hostile regions of the solar system ?
To tackle the mysteries of the Sun, SolarOrbiter uses ten scientific instruments: remote sensing instruments, in-situ instruments to measure the properties around the probe.
We are used to seeing the Sun in the sky, but do you know our star well ? The Sun is also the closest star to us, and can help us understand the mechanism of stars in the Universe.