• Aucun résultat trouvé

La coqueluche, quelle histoire! Le Censeur de Lyon 13 décembre 1848

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "La coqueluche, quelle histoire! Le Censeur de Lyon 13 décembre 1848"

Copied!
11
0
0

Texte intégral

(1)

1

Le Censeur de Lyon 13 décembre 1848

(2)

2

HISTORIQUE.

Le traitement de la coqueluche par les substances volatiles provenant des matières ayant servi à l'épuration du gaz de l'éclairage est né d'hier pour ainsi dire, et pour ma part c'est dans les journaux politiques de l'année 1864 que je l'ai vu mentionné pour la première fois. D'où venait cette médication où ces journaux l'avaient-ils prise ? Je ne sais. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'elle fit du bruit, et que, comme tout ce qui est nouveau, le public se hâta de demander à la nouvelle thérapeutique la guérison d'une maladie contre laquelle échouent d'ordinaire toutes les médications, et certes que n'a-t-on pas essayé contre la coqueluche !

C'est à MM. les Drs Commenge et Bertholle que revient l'honneur d'avoir les premiers en France appelé l'attention du monde médical sur ce nouveau mode de traitement. Dans deux mémoires successifs que M. Commenge lut devant l'Académie impériale de médecine, le premier le 4 octobre 1864, le second le 22 novembre de la même année, et dont j'ai lu le résumé dans l'Union médicale (année 1864, no 118 et no 139), ce médecin distingué signale les résultats obtenus sur 169 enfants atteints de coqueluche et qui ont été traités à l'usine à gaz de Saint- Mandé, dont il est le médecin.

Voici les conclusions de ces mémoires :

1°Le traitement de la coqueluche par la respiration des substances volatiles qui se dégagent des matières ayant servi à l'épuration du gaz donne les meilleurs résultats.

2° Chez la grande majorité des malades, la guérison est le résultat ordinaire de ce traitement, même dans les cas où ont échoué les médications réputées les plus efficaces.

3° La guérison se produit sous l'influence de ce traitement à toutes les périodes de la maladie.

4° Elle se produit aussi, quel que soit l'âge des enfants malades.

5° Lorsque la guérison ne se produit pas, on observe presque toujours une grande amélioration dans la plupart des symptômes de l'affection.

6° Le nombre des inhalations, pour produire la guérison, varie suivant les individus : il a oscillé entre 3 et 30 ; la moyenne générale, dans la première période de quatre mois, a été de 12 ; elle est au contraire de 14 dans une nouvelle période de trois mois et demi. Chaque séance dans la salle d'épuration doit avoir deux heures de durée.

7° La saison froide est moins favorable que les autres à l'influence de la médication, non pas que l'action de l'atmosphère gazeuse soit moins prononcée, mais parce que le séjour dans la salle d'épuration devient pénible et pourrait être dangereux à cause du froid qui s'y fait sentir.

On peut remédier à cet inconvénient en installant les petits malades dans des salles qui puissent être chauffées.

8° Il n'y a pas danger pour les enfants, quel que soit leur âge, à les soumettre aux inhalations des substances volatiles qui se dé- gagent des matières ayant servi à l'épuration du

De la coqueluche : essai de traitement par les émanations des usines à gaz / par Édouard Roques.

Contributors Roques, Édouard.

Royal College of Surgeons of England Publication/Creation

Paris : Adrien Delahaye, 1866.

(3)

3

gaz.

p.12

Arrivons maintenant à la manière de pratiquer les inhalations.

Pour obtenir tout le résultat qu'on peut en retirer, il importe que les visites aient lieu tous les jours et que l'enfant séjourne dans l'atmosphère des épurateurs au moins une heure et mieux deux heures. C'est ainsi qu'ont été faites les expériences aux usines de Saint-Mandé et des Ternes.

Le mode de traitement diffère un peu cependant dans ces deux usines : ainsi, tandis qu'aux Ternes les petits malades sont placés dans les cuves mêmes des épurateurs, et ainsi plongés dans les vapeurs qui s'en dégagent dans un brouillard ; à Saint-Mandé, au contraire, les enfants sont placés autour de ces cuves ; aussi les émanations sont-elles moins fortes et les muqueuses moins vivement impressionnées ; seulement, à Saint-Mandé, les enfants séjournent deux heures dans la salle d'épuration, tandis qu'aux Ternes on ne les laisse qu'une heure.

p.17

CHAPITRE III.

PHYSIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE.

Voici comment s'exprime le Dr Fouqué, chimiste distingué, auquel l'Institut a confié déjà plusieurs missions scientifiques après avoir fait l'analyse de l'atmosphère de la salle d'épuration sur la demande du Dr Commenge, analyse que ce médecin a donnée dans son mémoire à l'Académie :

« En résumé, dit-il, l'air de la salle d'épuration ne diffère de l'air atmosphérique ordinaire que par la présence en quantités très-petites d'acides carbonique, sulfhydrique et cyanhydrique, combinés avec l'ammoniaque et par une trace de vapeurs de naphtaline.

[…]

Quand on réfléchit aux éléments pathologiques qui prédominent dans l'affection dont nous étudions ici le traitement, on n'est nullement étonné, me semble-t-il, de l'efficacité de cette médication. Deux éléments principaux entrent dans la constitution de la coqueluche ; ces deux éléments sont : l'élément catarrhal et l'élément nerveux. Or que trouve-t-on dans l'atmosphère où viennent respirer nos malades ? Précisément des substances appartenant à la classe des anesthésiques, des stupéfiants, des expectorants, c'est-à-dire tout ce que l'on a l'habitude de prescrire contre ces éléments pathologiques dans la constitution des maladies où ils se trouvent facteurs. À priori donc, c'était là une thérapeutique tout au moins rationnelle.

(4)

4

Des maladies hivernales, dont nous avons fait une étude générale et très complète, je veux en retenir une, parce qu'elle exige une hygiène et une médication très spéciale que les mères doivent connaître pour aider le médecin dans sa tâche difficile. Cette maladie c'est la coqueluche.

Avant d'abandonner complètement ce "chapitre du rôle de l'air dans la coqueluche, j'éprouve le besoin de protester contre cette singulière pratique des inhalations du gaz d'éclairage qui ont encore, à l'heure qu'il est, un reste de vogue. On sait en quoi consistent ces pratiques. Tous les jours, on conduit l'enfant à l'usine, souvent fort éloignée de l'habitation, et on l'enferme pendant une heure dans la salle où s'exhale le gaz, ou plutôt les gaz. J'ai assisté une fois à une séance de ce genre. A peine installé en face des appareils de dégagement, l'enfant fut pris de quintes de toux précipitées ; la mère, qui suivait, disait-elle, les prescriptions de son médecin, maintint l'enfant de force dans la salle, prétendant que ces accès de toux étaient la preuve-même du bon effet du médicament ; elle ne s'arrêta que quand le pauvre martyr fut à moitié asphyxié par les secousses de la toux et par les vomissements qui succédèrent. Mais ce n'est pas tout. L'un de mes amis, qui a observé ce traitement sur une grande échelle, m'a raconté l'avoir vu souvent suivi de pneumonies mortelles, dues au moins autant à l'action irritante du gaz qu'au froid extérieur.

Dès la plus hante antiquité l'art médical a préconisé les aspirations de vapeurs médicamenteuses : Hippocrate, Antyllus, Marcel Empiricus et l'Arabe Rhazès nous ont laissé dans leurs ouvrages de nombreux détails pratiques concernant cette méthode curative.

Dans l'âge moderne, Priestley fut le premier, qui s'efforça de mettre les différents gaz au service du traitement des maladies respiratoires ; à la fin du siècle dernier Thomas Beddres créait à Clifton un Institut pour inhalations, qui obtint une vogue méritée. Depuis cette époque diverses stations thermales réalisèrent des installations hydro-minérales plus ou moins complètes pour l'inhalation. Martin Solon a donné le nom d' atmiatrie à la méthode thérapeutique qui consiste à diriger des gaz, ou des vapeurs sur la membrane muqueuse de l'appareil respiratoire.

En 1849 le Dr Auphan (d'Euzet-les-Bains) fut le premier qui utilisa le gaz sulfhydriqne comme moyen curatif : un jet d'eau minérale, sous une forte pression, venait se briser aux murs d'une salle, les malades respiraient alors le gaz sulfhydrique mis en liberté par la percussion.

La Jeune mère ou L'éducation du premier âge : journal illustré de l'enfance rédacteur en chef le Dr Brochard,...

10e ANNÉE. — N° 2. LA JEUNE MÈRE FÉVRIER 1883

[Gallica]

L'atmiatrie à Schinznach-les-Bains par le Dr de Tymowski, 1895,

PUBLICATIONS DES ARCHIVES GÉNÉRALES D'HYDROLOGIE [Gallica]

(5)

5

1. Nervosisme des petites filles.

Ce ne sont pas des médicaments plus ou moins actifs qui peuvent combattre avantageusement le nervosisme des petites filles.

Pour calmer ce nervosisme, il faut employer les moyens simples que voici :

L'exercice au grand air et le séjour à la campagne ; l'eau fraîche de fontaine, les frictions, avec une brosse douce, suivies de lavages ou frictions, avec l'alcool à 95°, et mieux avec l'esprit hygiéno-dynamique ; des pastilles de phosphate de fer, du vin de gentiane peu chargé, de la bière faible, et une nourriture appropriée. Au besoin, il faut aussi avoir recours à des doses faibles d'électricité d'induction.

[…]

3. Traitement de la coqueluche.

Dans la coqueluche, il faut combattre la toux catarrhale qui se montre seule, pendant quelques jours et au début, par le sirop d'éther, mélangé de sirop de baume de Tolu, de la tisane de fleurs d'oranger fraîches, de suc de réglisse, la chaleur, etc.

Par ces moyens, souvent on enraie les symptômes nerveux qui apparaissent plus tard, et surtout la toux quinteuse et convulsive.

Mais, lorsque, malgré le traitement de la bronchite simple, se montre la toux quinteuse et convulsive ; que l'enfant vomit, étouffe, bleuit, entre en pâmoison, il faut immédiatement appliquer l'électricité d'induction aux deux faces latérales du cou.

Parfois, cela suffit pour guérir la coqueluche.

Mais, si elle résiste à l'électricité, il faut, tout en appliquant celle-ci, avoir recours aux émanations du goudron de gaz de l'éclairage, qui s'échappent dans les dépôts de manufactures.

On a regardé à tort ces émanations comme très irritantes. Lorsqu'elles ont provoqué la toux, ce qui est favorable, il faut en cesser l'emploi : un quart d'heure ou une demi-heure d'inspiration suffisent ; il faut se garder de soumettre les enfants à ce traitement pendant plusieurs heures consécutives : c'est dans ce cas qu'elles deviennent irritantes pour les yeux, les bronches, etc.

Le déplacement, le séjour à la campagne, des frictions alcooliques sur tout le corps, sont salutaires dans la coqueluche.

Notes de thérapeutique. Traitement des névroses, par le Dr Charles Brame, (1813-1884)... 1884.

(6)

6

DESCRIPTION DU GAZO-INJECTEUR V. MOREL

Cet appareil est fondé sur ce principe, qu’un courant de gaz acide carbonique passant sur certaines substances gazeuses ou volatiles, emporte avec lui une certaine quantité de ces substances ; il se produit là une dissociation des éléments gazeux qu’elles renferment, et ces éléments mis en liberté sont entrainés

dans le sens du courant de gaz carbonique.

Il s’agissait donc :

1° de produire du gaz acide carbonique très pur ;

2° De faire passer ce gaz dans un liquide médicamenteux ou sur des substances volatiles, et de le faire pénétrer dans l’intestin par l’anus, en empêchant son retour dans le récipient contenant l’acide carbonique.

[…]

La phthisie pulmonaire et l’asthme ne sont pas les seules affections qu’on peut traiter utilement par la méthode des injections rectales gazeuses.

La coqueluche et la bronchite ont aussi largement bénéficié de la pratique de ces injections, qu’on administre d’ailleurs de la même manière.

Nouveau traitement des affections des voies respiratoires Par le Dr V. Morel

1886

(7)

7

Dans la coqueluche, les quintes de toux diminuent rapidement d’intensité et de fréquence, et la durée de la maladie est considérablement raccourcie.

.

(8)

8

Trois Traitements Récents.de la Coqueluche par le Pr R. DUPÉRIÉ, Médecin des Hôp. de Bordeaux Traitement

Trois thérapeutiques out récemment été proposées pour la coqueluche :

Le traitement par les rayons X ; Le traitement par les vaccins ; Le traitement, par l'éther.

Voici, résumées, quelques opinions au sujet de ces diverses méthodes : […]

3 — L'Ether.

On utilise pour le traitement de la coqueluche soit les injections intra-musculaires d'éther pur (méthode d'AUDRAIN, de Caen, 1914), Soit les injections intra-musculaires d'un mélange d'éther et d'huile ordinaire ou d'éther et d'huile goménolée (méthode de CARRIÈRE, de Lille);

on emploie encore l'éther en lavements.

La Pédiatrie Pratique 5 décembre 1929

(9)

9

HIGH FLYING AND DECOMPRESSION TREATMENT OF WHOOPING-COUGH (1) BY

H. STANLEY BANKS, M.D., F.R.C.P.

Physician-Superintendent, Park Hospital, Hither Green

En 1927 un pilote de Strasbourg emmena son enfant, qui souffrait de la coqueluche, faire un vol à 30.50 mètres d’altitude. Il paraît que la toux de l’enfant s’était alors considérablement atténuée au bout de trois jours.

En 1939, au cours d’une expérience faite à Berlin où l’on traita 88 enfants en leur faisant faire un vol en aéroplane et 33 autres en les soumettant à des conditions analogues dans une chambre de décompression, on, s’aperçut que cette dernière méthode donnait des résultats un peu plus satisfaisants, et que, de plus, aucun d’entre eux ne s’en était porté plus mal.

La conclusion à laquelle arrive Stanley Banks, est que ce traitement ne devait pas être considéré comme un moyen de soigner la coqueluche dans sa phase initiale ni lorsqu’il y avait des complications. Il s’agissait simplement de se débarrasser d’une toux persistante et des vomissements dans la période entre 4 et 7 semaines, pour des cas qui, par ailleurs n’étaient pas très complexes.

1 La coqueluche en anglais

Decompression Treatment of whooping-cough British Medical Journal, July 23, 1949

(10)

10

Il a fallu attendre les années quarante pour disposer enfin d’un vaccin (aux États-Unis).

En France, le premier vaccin coquelucheux a été introduit en 1959 (Vaxicoq) et la vaccination s'est généralisée à partir de 1966 grâce à l'association aux autres vaccins de la diphtérie, du tétanos et de la poliomyélite (DTCP et Tetracoq); en 1995, le vaccin anticoquelucheux était combiné avec le composant haemophilus .[Wikipédia].

On traite maintenant la maladie avec des antibiotiques.

Une situation familiale un peu compliquée, dans les années 50 : nous habitions dans un grand appartement, parents et grands-parents, ma petite sœur venait de naître et mon père n’était pas en grande forme. Et j’ai eu la « bonne idée » d’attraper la coqueluche, le vaccin n’existait pas et comme je ne fais jamais les choses à moitié, j’ai attrapé une forme plutôt grave.

Vomissements, quintes de toux étaient le quotidien de mes journées et de mes nuits. Mes grands-parents s’occupaient de moi car, pour rendre plus « rose » la situation, l’éloignement d’avec ma sœur était tout à fait nécessaire.

Nous nous sommes, donc, retrouvés dans une situation assez inédite : ma mère s’occupait de mon père et de ma petite sœur avec des précautions sanitaires bien supérieures à ce que nous vivons avec le Covid, dans une partie de l’appartement, et mes grands-parents de moi, dans une autre aile, tout cela avec le moins de rencontres possibles entre les uns et les autres.

Ma grand-mère essayait de calmer ma toux avec des infusions de bourrache (si vous ne connaissez pas, je vous déconseille d’essayer !) : cela ne me calmait rien du tout et j’en ai un souvenir assez négatif… d’ailleurs ma grand-mère avait une phrase qui m’est restée imprimée dans mes souvenirs et que j’ai souvent réutilisée avec mes propres filles : « plus tu en bois, plus il y en a dans la tasse ! »

Mon père a dû, je suppose, se pencher sur les « dernières » découvertes pour soigner cette maladie… et il a trouvé, je ne sais où qu’une médication qui semblait faire ses preuves était de faire respirer aux enfants le gaz issu des usines à gaz. En fait, il y a des traces de cet emploi du gaz d’émanation dans certains traités… mais ils datent des années 1860.Par exemple : (De la coqueluche : essai de traitement par les émanations des usines à gaz, Edouard Roques, éd. Adrien Delahaye, 1866)

Et, donc, nous voilà partis, ma mère, mon père et moi, vers l’usine à gaz de Nîmes (je ne me souviens plus de tout où elle se trouvait mais je me souviens bien du parcours tout autour de l’usine plusieurs fois par semaine. Il ne me revient pas le souvenir de l’odeur mais celui de la précision de la promenade et des efforts de mes parents pour que je respire bien et fort (j’avais 6 ou 7 ans)

Evidemment, la coqueluche n’a pas disparu, mais j’ai eu de la chance : mon état n’a pas empiré non plus !... Mon père avait heureusement mal lu la prescription ; en effet, les prescriptions prévoient environ 12 inhalations d’une durée d’environ 2 heures dans la salle d’épuration. Du coup cela s’est transformé en « balade » un peu angoissante, mais rien à côté de ce à quoi j’ai échappé : une exposition dans la salle intérieure de l’usine à gaz (comme il est dit dans les instructions…)

Et pour finir : les souvenirs d’enfance de Christiane Chambraud-Nani,

qui contracta la coqueluche à sept ans.

(11)

11

Finalement être mal informé peut être salvateur !!!

Je ne peux pas dire que ce fut une expérience traumatisante même si l’ensemble de la situation de l’époque a laissé des souvenirs qui ne sont pas franchement agréables : l’éloignement d’avec ma nouvelle sœur, mon grand-père qui n’a rien trouvé de mieux que de prendre la coqueluche en forme légère (il n’a pas eu droit aux promenades à l’usine à gaz !!), le stress familial, (est-ce à ce moment-là qu’il est devenu chronique ?...)

Avec le recul, je suis assez étonnée que mon père, ingénieur, ait eu l’idée saugrenue de suivre ces préceptes qui remontaient, quand même à un siècle !!! La seule explication que j’envisage c’est que, quand on est désemparé devant une situation, on croit tout ce qui ouvre une porte à l’espoir !

Merci Christiane Pour voir d’autres publications de la Mémoire distillée allez à :

https://lacaticheauxmuses.com/la-memoire-distillee/

Références

Documents relatifs

Exprimer la constante de raideur k du ressort modélisant la suspension du haut-parleur en fonction de la fréquence propre f 0 de l’équipage mobile.. L’équipage mobile du

• 1831 : Michael Faraday découvre l’induction : un courant induit apparait momentanément dans une bobine à proximité d’une autre bobine parcourue par un courant

Cette phrase montre que Solvay prend appui sur son référentiel de compétences dans son nouvel accord de GPEC pour saisir les différentes sources de compétences : lors de la

Aussi, nous vous serions reconnaissant de nous aider à adapter au mieux notre service en prenant quelques minutes pour répondre au questionnaire dont le lien

J'ai peu d'étudiants comparé à Pierre, c'est vrai, mais nous en avons tous deux beaucoup.. d.' Pierre a 35 étudians, j'en

La qualification juridique du texte numérique est le préalable indispensable à l ’étude des modalités d’application des droits d’auteur au document numérique par exemple,

Et puis ils rentrent Manger tout cela Dans leur maison. Joindre les mains et former

toux spasmodique persiste jusqu'à la rnort. D'ailleurs à mesure que les lésions s'aggravent, la coqueluche devient moins apparente, elle est cachée par _les symp- tômes plus