LE DÉVELOPPEMENT TESTICULAIRE CHEZ LE COQ
I.
—CROISSANCE PONDÉRALE
DES TESTICULES ETDÉVELOPPEMENT
DES TUBESSÉMINIFÈRES
M. de REVIERS
Christiane RICHETIN
J.-P.
BRILLARD Station de Recherchesavicoles,
Centre de Recherches de
Tours,
I. N. R.A.,
.,37 - Nouzilly
RÉSUMÉ
Les observations
suivantes
ont été faites à l’aide de critèrespondéraux
ethistologiques
chez i5o
Coqs
Rhode XWyandotte depuis
leur éclosionjusqu’à l’âge
de 34 semaines. Ces coqs ont été élevés sousphotopériode
de 16h/ 24
h.La croissance testiculaire est d’abord lente
jusqu’à
5 semainespuis
trèsrapide
entre 6 et20semaines. Pendant ces deux
périodes
lepoids
testiculaire est en corrélation élevée avecl’âge.
Au-delà de 20
semaines,
lepoids
testiculaire ne varieplus
en fonction del’âge.
En coordonnéessemilogarithmiques,
ilapparaît
que la croissancepondérale
est en fait une fonctionexponentielle
de
l’âge jusqu’à
la i5esemaine,
et que le taux de la croissance testiculaire diminue dès cette I5e semaine.
Nous observons de
plus qu’il
existe une liaison linéaire entre lelogarithme
dupoids
du testi-cule en
croissance
et lelogarithme
dupoids corporel.
Unchangement
depente
de la courbereprésentative indique
que la croissance des testicules se fait à un tauxplus
élevé parrapport
au
poids corporel quand
celui-cidépasse
5oo g.Le
principal
facteur de la croissancepondérale
testiculaire est ledéveloppement
des tubesséminifères dont le
pourcentage
relatif dans les testicules se maintient à la valeur de 95p. 100quand
lepoids
testiculaire moyen est i g ouplus.
Les tubes séminifères sedéveloppent
simul-tanément
en diamètre et enlongueur,
mais seule cette dernière continued’augmenter quand
lepoids
moyen des testiculesdépasse
5 g.INTRODUCTION
L’emploi de conditions de milieu artificielles
apermis
uneamélioration très
importante de la ponte, mais il n’est pas certain que les
normesd’élevage qui ont été
définies pour les poules soient celles qui permettent la meilleure fertilité chez les coqs.
Il est possible
enparticulier que
cesconditions d’élevage aient
uneinfluence
importante
surla fertilité des coqs adultes
enagissant dès le jeune âge
aumoment
de l’établissement de la spermatogenèse :
onsait que cette influence
aété mise
enévidence chez des Mammifères pour le niveau nutritionnel d’une part et pour l’éclai-
rementd’autre part, respectivement chez le Taureau (V AN D>~ MARK et M AU G ER , ig6q.)
etchez le Campagnol (MARTINET, zg66).
Nous
nedisposions que d’un petit nombre de données
surle développement
testiculaire du Coq (K UMARAN et TuRNER, 1949 ; KA MAR , 1960 ; MARVAN, Ig6g)
§elles
nesemblent pas avoir été établies dans des conditions expérimentales précises.
De plus l’analyse quantitative de l’établissement de la spermatogenèse n’a pas été faite. Nous
en avonsdonc entrepris l’étude ;
nousrapportons dans
cetarticle la croissance pondérale des testicules et de développement des tubes séminifères.
Les données quantitatives
au coursde l’établissement de la spermatogenèse, font l’objet d’une autre publication (de R E viERS, 1971 b).
MATÉRIEL ET MÉTHODES
i. - Les animaux et les conditions
d’élevage
Ce travail
porte
sur I50 coqs Rhode XWyandotte
de souche M 41, étudiés entre l’éclosion etl’âge
de 34 semaines.Ces coqs ont d’abord été
placés
en éleveuses collectivespendant
les 3premières
semainesde leur vie
puis disposés
par 3 dans les cases d’une batteried’élevage jusqu’à
la 8esemaine etenfin mis en cages individuelles dans cette
même>batterie.
Pour assurer une bonne survie des
poussins,
l’éclairement a été maintenu en permanencependant
les 3premiers jours,
latempérature
étant alors de30 °C.
Dès le4 e jour,
lespoussins
ontété
passés
sans transition enphotopériode
constante de r6 heures parjour
et y ont été maintenus pour toute la durée del’expérience.
Par ailleurs latempérature
a été diminuéeprogressivement
de 30à
15 °C pendant
les 3 semainesqui
ont suivil’éclosion, ;
occasionnellement cettetempéra-
ture a pu atteindre
parfois 25 0 C pendant
lesjours
lesplus
chauds del’été,
c’est-à-direlorsque
lesanimaux avaient entre 24 et 32 semaines.
L’eau et l’aliment ont été donnés ad libitum.
2
. - Pyélèvement et
préparation
des testiculesLe
jour
de l’éclosionpuis
toutes lessemaines,
tous les coqs ont étépesés
individuellement.Après
calcul de la moyenne m et del’écart-type
s despoids corporels,
un lot de 5 coqs a été choisi de manière à ce que chacun d’eux aitrespectivement
unpoids corporel
aussi voisin quepossible
des valeurs suivantes : m, m :::1:: s, m :::1:: 2 s.
Les
abattages
onttoujours
eu lieu à la même heure de lajournée (io
h dumatin)
afin d’éli-miner l’influence des variations éventuelles de l’activité testiculaire en fonction de l’heure de la
journée.
De telles variations ont en effet étéremarquées
pour leCoq
par RILEY( 1940 )
et par MACARTNEY(1942).
Les testicules ont été
prélevés
etpesés
aussitôtaprès
lesabattages.
Lestesticules pesant plus
de i g ont étéséparés
en 3zones, l’uneéquatoriale
et les deux autressubapicales.
La fixation a été faite
pendant
une semaine dans du Bouin-Hollande additionné de IOp. 100 d’une solution aqueuse saturée de chloruremercurique. Après déshydratation progressive
dansl’éthanol,
les blocs ont été inclus dans laparaffine
etcoupés à
7 IL. Les coupes ont été colorées par la réaction deFeulgen
avec contrecoloration au bleu Alcian.3
. - Mesures
effectuées
a)
Gontyaction des testicules au cours de leurPréparation pour l’histologie.
Cette contraction C a été mesurée par la relation :
où
V o
est le volume despièces
à l’état frais etV i
leur volumeaprès
l’inclusion. Nous avons obtenuen moyenne C = 30 p. 100.
b)
Volumey elatif,
diamètre etlongueur
totale des tubesséminifères.
Les mesures suivantes ont été effectuées sur une coupe par échantillon de testicules.
Le volume relatif
V r occupé
par les tubes séminifères dans les testicules a été mesuré par unetechnique proche
de celle de CHALKLEY( 1943 )
en observant à l’aide d’un oculaire à. 25points
30
champs microscopiques répartis
sur toute lasurface
dechacune
des coupes detesticules,
celles-ci étant examinées augrossissement
160.La valeur moyenne D du diamètre des tubes séminifères a été calculée en mesurant deux diamètres
orthogonaux
dans chacune de 30 sections transversales de tubes séminifères par coupe de testicules.La
longueur
totaleL t
des tubes séminifères a été calculée àpartir
desdonnées précédentes
en utilisant la relation :
où P est le
poids
moyen(en mg)
des testicules à l’étatfrais, p
leurpoids spécifique ( 1 , 05 g/cm) ;
D est
exprimé
en microns etLt
en mètres.RÉSULTATS
1
. -
Évolution du poids testiculaire moyen
a) En fonction de l’age des coqs.
Le poids testiculaire moyen évolue
en3 phases successives (fig. i) :
-
croissance lente (i mg/j) jusqu’à 5 semaines, de
2à 40 mg.
-
croissance rapide de 6 à
20semaines (8 7 mg/j), de 6 0 mg à 9 ,5 g. Cette crois-
sance est
linéaire à partir de
10semaines.
-
croissance lente
entre 20 et34 semaines, de 9,5 à 10,5 g.
Le tableau
imontre que le poids testiculaire moyen et l’âge sont
encorrélations élevées
ethautement significatives pendant les deux premières phases ; mais la
croissance testiculaire observée pendant la 3 e phase n’est pas statistiquement signi-
ficative.
En outre, le poids testiculaire moyen présente
unevariabilité individuelle impor-
tante dès la
ioesemaine.
I,’emploi de coordonnées semi-log (fig.
2et tabl. 1 ) montre que le poids testi-
culaire
est enfait lié à l’âge des coqs par
uneloi exponentielle jusqu’à l’âge
de 15 semaines, c’est-à-dire jusqu’à
ceque les testicules atteignent la moitié de leur
poids à l’état adulte. Il apparaît de plus que la croissance testiculaire s’infléchit dès la i 5 e semaine.
b) En fonction du poids corporel des coqs.
Exprimé
enfonction du poids vif
x,le poids testiculaire y paraît évoluer suivant
une
courbe d’allure parabolique d’équation y
= axn.On doit alors avoir la relation :
log y
=log
a-!-
nlog x
etobtenir
unedroite
encoordonnées log-log.
Le graphique ainsi obtenu (fig. 3 ) montre qu’en fait les points
serépartissent
endeux régions linéaires distinctes, le changement de pente s’observant
versle poids
testiculaire de 6 0 mg.
En dessous de cette valeur, les croissances testiculaires et corporelles sont à
peu près isométriques (y
= x1 , 1 ’) ; au-dessus elles sont
aucontraire allométriques
et liées par l’équation y = ax 3 , (tabl. 2 ).
Ainsi, qu’on la représente
enfonction de l’âge des coqs
oude leur poids vif,
la courbe de croissance pondérale des testicules présente
unpoint singulier
aumoment
où
cesderniers atteignent le poids moyen de 60 mg.
2
. -
Développement des tubes séminifè y es
a) Le volume relatif occupé par les tubes séminifères dans les testicules est de 6o p.
ioodès l’éclosion ; il
estde g 5 p.
ioodès le poids testiculaire de
ig atteint
enmoyenne à
10-11semaines,
et semaintient ensuite à cette valeur d’une manière remarquable-
blement constante. Le développement des tubes séminifères est donc le principal
paramètre de la croissance testiculaire (fig. 4 ).
b) Le diamètre moyen des tubes séminifères est lié
aupoids moyen des testicules par des relations exponentielles tant que
cepoids moyen
nedépasse pas 5 g (tabl. 3 ) ;
1au-delà de cette valeur
cesdeux paramètres
ne sontplus liés (fig. 5
ettabl. 3 ). Le
diamètre des tubes séminifères présente alors des fluctuations importantes d’un
coq à l’autre pour des poids testiculaires du même ordre.
c) La longueur totale des tubes séminifères est également liée
aupoids testiculaire par des relations exponentielles (fig. 6 et tabl. 4 ). Les deux demi-droites obtenues
se
coupent pour le poids testiculaire de 6 0 mg qui correspond à
unelongueur totale
de 25
menviron. Le changement de pente marque
unralentissement important dans
la vitesse d’allongement des tubes ; cependant cet allongement
sepoursuit bien après que la croissance diamétrale des tubes ait cessé et c’est cet allongement qui explique l’augmentation du poids testiculaire au-delà de 5 g. A poids testiculaire
égal, la longueur totale des tubes séminifères présente elle aussi des variations indi- viduelles très importantes qui résultent
surtoutdes fluctuations du diamètre des
*tubes séminifères.
DISCUSSION
Notre échantillonnage
a,pour chaque abattage,
unécart-type de poids corporel
un
peu plus élevé ( 1 , 5 8) que celui du troupeau. Étant donné les corrélations qui
existent entre le poids vif et le poids testiculaire, il
enrésulte que les valeurs observées
pour celui-ci sont très probablement
unpeu plus dispersées que dans la réalité.
D’après
nosrésultats, le poids testiculaire moyen de 6 0 mg correspond à
unpoint particulier
surles courbes de croissance testiculaire
oude développement des
tubes séminifères. Nous
avonsconstaté par ailleurs que
cepoids testiculaire
corres-pond à la formation des premières spermatides rondes (de R EVIERS , I g 7I ). Quant
aux
poids testiculaires particuliers de
Iet 5 g ils correspondent respectivement à la
formation des premiers spermatozoïdes,
et austade de développement testiculaire à
partir duquel la méiose semble fonctionner
aumême rendement que chez l’adulte.
Enfin toutes les caractéristiques du poids
etdu fonctionnement testiculaires de l’adulte semblent atteintes après le poids testiculaire de 9 ,5 g.
I,’allure sigmoïde de la courbe de croissance testiculaire du Coq (exprimée
en
fonction de l’âge) avait déjà été remarquée par plusieurs auteurs (P ARK E R , MAC
K E NZI
E, et KR MP STRR, 1942 ; BF;NNRTT, Ig47 ; HOGUE
etSCHNETZL F R, Ig47 ; KUMARAN et TURNER, 1949 ; KAMAR, Ig6o ;, MARVAN, 1 9 6 9 )
etn’est pas particulière
à cette espèce
car on aobservé le même phénomène chez différents Oiseaux (Caille :
MAT H È
R et W II ,SON, Ig64 ; !AMAMOTO, Ig64 ; Moineau : FARNER et WILSON, Ig57
JJunco : W OLF S ON , 19 66)
etMammifères (Agneau : C OUROT , I g6 2 ; Taureau : A TTAL
et CouROT, I g6 3 ; Rat : D ONALDSON , ig2q. ; Cobaye : MIxN!R et al., 1943 ; I,apin :
KiBi!ER ! al., 1943 etc.,).
Par ailleurs, les relations que
nousobservons
au coursde la croissance
entrele
poids corporel
etle poids testiculaire du Coq
nesemblent pas avoir été mises
enévi- dence par d’autres auteurs sinon chez d’autres espèces
commel’Agneau (C OUROT , 19
6 2
), le Taureau (ATTnI, et COUROT, 1963), l’Homme, le Rat et l’Éléphant (S P E N -
C E R
, I g68 ; D ONALD SO N , 1924 ; JOHNSON
etBuss, 1967).
Nous
avonsmontré que la croissance pondérale des testicules s’exprime
enfonction de l’âge
sousla forme :
- où Pt est le poids testiculaire à l’âge de t jours et P o le poids initial des testicules,
k étant le coefficient logarithmique de croissance testiculaire. Une telle relation avait
déjà été mise
enévidence chez le Moineau par FA RN E R
etW ILSON ( 1957 ),
etchez
la Caille par MnTx!x et W ILSON (ig6 4 ). Sous photopériode constante de 1 6 heures
par jour c’est le Coq qui
ale développement testiculaire le plus lent.
Signalons que LOMBARD des GOUTTES ( 19 66)
amontré qu’il existe
unerelation
du même type chez le Rat.
Les données bibliographiques concernant le développement des tubes sémini-
fères chez le Coq
sontparticulièrement
rares.Signalons que leur volume relatif dans les testicules
neserait que de 8 3 p.
100chez les Coqs White Plymouth Rock d’après K UMARAN et T URN E R (ig 4 g). Par ailleurs,
cevolume relatif subit
uneévo- lution différente chez la Caille d’après Y AMAMOTO ( 19 6 4 ) : après
unmaximum de
90 p. 100 , atteint
au momentoù le poids des testicules est égal à la moitié du poids
adulte, le volume relatif des tubes séminifères décroît jusqu’à 6 0 p.
100tandis que la croissance testiculaire
sepoursuit.
Selon K UM A RAN
etTuRNER ( 1949 ) la longueur totale des tubes séminifères
estde 25 8
mlorsque le poids testiculaire total est de 9 g chez les coqs White Plymouth
Rock. Pour le même poids testiculaire,
noustrouvons
100 menviron. Une telle différence
nes’explique pas seulement par le fait que le volume relatif et le diamètre des tubes séminifères
ne sontpas les mêmes dans
cesdeux études : KuIVIAItAN
etTuR-
NER
semblent
en outre nepas avoir
tenucompte dans leurs calculs de la contraction des testicules
au coursde la préparation pour l’histologie
etc’est là
unfacteur impor-
tant.
Les résultats obtenus pour la croissance testiculaire et le développement des
tubes séminifères
nousont permis d’aborder l’étude quantitative de l’établissement de la spermatogenèse, dont
nousrapportons par ailleurs les résultats détaillés (de REVMP
, S
, 1 97 1 b). (1).
Reçu pour publication
en mai 1971.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ATT
AL
J.,
COUROTM., 19 6 3 . Développement
testiculaire et établissement de laspermatogenèse
chezle Taureau. Ann. Biol. anim. Bioch.
Biophys., 3,
219-241. BENNETT C.
H.,
1947. Relation between size and age of thegonads
in the fowl fromhatching
date to sexualmaturity.
Poult.Sci., 28,
99-104.BENOIT
J.,
ASSENMACHER L, 1953. Action des facteurs externes etplus particulièrement
du facteurlumineux sur l’activité sexuelle des Oiseaux.
Rapports de la
Ire Réunion desEndocrinologistes
delangue française. Paris,
10, il, 12juillet
1953, 33-8o.C
HALKLRY H.
W.,
1943. Method for thequantitative morphologic analysis
of tissues.J.
Nat. Canc.Inst., 4,
47-73.C
OUROT M.,
19 6 2 . Développement
du testicule chezl’Agneau. Établissement
de laspermatogenèse.
Ann. Biol. anim. Bioch.
Biophys., 2,
2g-4x.Doxwr.nsoN H.
H.,
1924. The Rat.Philadelphia,
WistarInstitute,
240-245. FARNER D.
S.,
WILSON A.G.,
1957. Aquantitative
examination of testiculargrowth
in the White- crownedSparrow.
Biol.Bull., 113, 254 - 2 67.
H
OGUE R. L., SCHNETZLER E.
E.,
1937.Development
offertility
in young BarredPlymouth
Rock males. Poult.Sci., 16,
62-67.Joxxsorr O. W., Buss I. O., r 9 6 7 .
The testis of the Africanelephant (Loxondonta africana).
II.Develop-
ment,puberty
andweight. J. Reprod. Fert., 13,
23-30.K
AMAR G. A.
R.,
1960.Development
of the testis in the fowl.Quart. J.
microSci., 101,
401-4o6.K
IBLER H.
H.,
BERGMAN A.J.,
TURNER C.W.,
1943. Relation of certain endocrineglands
tobody weight
ingrowing
and mature New Zealand White rabbits.Endocrinology,
33, zgo-z5x.K
UMARAN J. D.
S.,
TURNER C.W.,
1949. The normaldevelopment
of testes in the WhitePdymouth
Rock. Poult.Sci.,
28, 5II-52o.LOMBARD DES GOUTTES M.
N., rg66. Évolution pondérale
desglandes
endocrines et desglandes génitales
annexes chez le Rat mâle de la naissance à la
puberté.
Ann.Endocrinol., 27, 121 - 133 .
(’) Summary,
see page 544.M
ACARTNEY E.
L.,
r94z. Diurnalrhythm
of mitoticactivity
in the seminiferous tubules of the domestic fowl. Poult.Sci., 21,
130-135.MARTINET
L., 19 66.
Modification de laspermatogenèse
chez leCampagnol
deschamps (Microtus arvalis)
en fonction de la durée
quotidienne
d’éclairement. Ann. Biol, anim. Bioch.Biophys., 6,
30 I -3 1 3 . MARVAN
F., 19 6 9 .
Postnataldevelopment
of the malegenital
tract of the Gallus. Anat.Anz., 124, 443-46
2 .
MATHER F. B., WILSON W.
0., 19 6 4 .
Postnatal testiculardevelopment
injapanese quail (Coturnix coturnix japonica).
Poult.Sci., 43, 86 0 -86 4 .
MIXNER
J. P.,
BERGMAN A.J.,
TVRNER C.W.,
1943. Relation of certain endocrineglands
tobody weight
ingrowing
and matureguinea pigs. Endocrinol., 32, 29 8- 304 .
PAR
KHR
J. E.,
MCKENZIE F.F.,
KEMPSTER H.L.,
1942.Development
of the testes and combs of WhiteLeghorn
and NewHampshire.
cockerels. POult.Sci., 21,
35-44..R
EVIHRS
M. de, 1971 6.
Ledéveloppement
testiculaire duCoq.
II.Morphologie
del’épithélium
séminifère et établissement de laspermatogenèse.
Ann. Biol, anim.Biophys. Bioch., 11, 531 - 54 6.
R
ILEY
G. M., r 94 o.
Diurnal variations inspermatogenic activity
in the domestic fowl.Poult. Sci., 19,
3 6 0 .
SPHNCHR R.
P., 19 68. Changes
in testicular allometricgrowth
curves. YaleJ.
Biol.Med., 40, 3 r 3 - 3 rg·
V AN
DEMARK N.
L.,
MAUGER R.E., 19 6 4 .
Effect of energy intake onreproductive performance
ofdairy
bulls.Growth, reproductive
organs andpuberty. J. Dairy. Sci., 47, 7 9 8-8 02 .
WoLasorr
A., 19 66.
Environmental and neuroendocrineregulation
of annualgonadal cycles
andmigra-
tory behaviour in birds. Rec.Progr.
Horm.Res., 22,
177-244.YwnrwMOxo