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Pa s v al ab le.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

« Une expérience concernant les pois » Les intérêts de l'expérience :

Le pois réalise l'autofécondation spontanée ce qui permet de maintenir facilement une lignée pure (il suffit de laisser un individu s'autoféconder et de regarder si toute sa descendance a un même phénotype) et de contrôler les croisements (il n'y a fécondation croisée, donc croisement, que si l'on prélève le pollen d'un individu pour le déposer sur le stigmate d'une fleur d'un autre individu – cf. schéma ci-contre).

Hypothèse : La version d'allèle des pois lisse serait dominant sur la version d'allèle des pois ridées . Attention : un allèle est une version d'un gène. On peut parler de

« version d'un gène » (on parle alors d'un allèle), on ne peut parler de « version d'un allèle », ÇA N'A PAS DE SENS.

De plus, il y a un sous-entendu qui n'a pas été indiqué est qui reste hypothétique : il faut d'abord émettre l'hypothèse qu'au caractère considéré correspond un gène, qu'à chaque état de ce caractère correspond un allèle.

Hypothèse 1 : au caractère considéré correspond un gène avec deux allèles, chacun déterminant un état du caractère.

Sous-hypothèse A : l'allèle déterminant l'état lisse des graines est dominant par rapport à celui déterminant des graines ridées.

Observations :

Lors du croisement de 2 lignées pures (pois à graines lisses et pois à graines ridées) on obtient une génération F1 composée uniquement de pois lisses (100 %). Lors de l'autofécondation des F1 on obtient 5474 lisses et 1850 ridées

Analyse :

Lors du premier croisement , la première génération F1 possède 2 allèles différents du gène déterminant la texture de la graine [il faut construire un échiquier pour le constater !]: un exemplaire de ce gène déterminant la texture lisse des graines, l'autre déterminant la texture ridée. Or, la première génération est entièrement composée de pois à graines lisses. On peut donc affirmer que l'allèle comportant l'état de caractère ridée est récessif.

Il y a trop d'erreurs dans la suite : je vous envoie une version sans erreur à COMPARER IMPÉRATIVEMENT AVEC VOTRE RÉDACTION.

(2)

Conclusion :

La version d'allèle ayant l'état de caractère lisse est dominant Exploitation du Doc3 :

On retrouve une exploitation similaire aux pois .L'une ayant la version d'allèle recessif et l'autre dominant .

Les parents : (P1) AB * ab (P2)

100 %[AB] (F2) Les allèles A et B sont dominants sur les allèles a et b . Par contre lors de la seconde génération F2 on obtient : 57 % de [AB]

18% de [aB]

19 % de [Ab]

6% de [ab]

Construisons l'échiquier des croisements :

Générations F1 A/a B/b

A/a B/b A/A a/a A/a ; B/B b/b B/b

Résultats :

On a : 4[AB] , 2[aB] , 2[Ab] , 1[ab]

Ce qui correspond bien a l'expérience notre hypothèse de départ est bien vérifié

«La couleur des Belles de Nuit »

Le caractère étudié est la couleur des fleurs qui se trouve sous 3 états de caractères : rouge , rose et blanc .

Hypothèse : A ce caractère correspond un gène , à chacun de ses états correspond un allèle .

On aurait donc 3 allèles du gène qui détermine la couleur des fleurs : -l'allèle R qui détermine la couleur rouge

-l'allèle r qui détermine la couleur rose -l'allèle b qui détermine la couleur blanc Mettons à l'épreuve notre hypothèse :

Les parents P sont de lignées pures donc Homozygotes de parents [R] et [b]

on peut donc construire l'échiquier de croisements : Gamette [b] \ gamette [R] 100,00% (R)

100% (b) 100% (R/b)

On obtient 100% (R/b) alors que dans l'expérience on obtient 100% d'individus [r] . Ce qui signifierait qu'il n'existe pas d'allèle ( r ) mais c'est l'allèle (R/b) qui donnerait

Pa s v al ab le.

À co mp ar er

im ra tiv em en t a ux co rre cti on s

po rp os ée s ( cf. si te)

(3)

[r] donc les 2 allèles agirait au même point de vue : aucune n'est récessif , les 2 allèles sont codominantes . Notre hypothèse est fausse !

Hypothèse : A ce caractère correspond un gène , à chacun de ses états corresponds 2 allèles codominantes .

Dans le second croisement (R/b) * (R/b) on obtient une nouvelle fois [r] . On peut construire l'échiquier des croisements :

Gamette F1/G F1 50% R 50% b

50% R 25% [R] 25%(R/b)

50% b 25% (R/b) 25% (b/b)

Ce qui correspond bien à l'expérience . Notre hypothèse est vrai

Pa s v al ab le.

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po rp os ée s ( cf. si te)

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