L e j o u r n a L d e L a Fe vr ie r 2 0 13 n
o2
23 mai 2013
JOURNÉE TP
12 travaux pratiques à la carte
26 avril - 6 mai 2013
VOYAGE-CONGRÈS Île Maurice
11 avril 2013 JOURNÉE
La Formation continue de L omnipraticien La Formation continue de L omnipraticien
ENViRONNEMENT PÉRi-iMPlANTAiRE : lE RôlE CRUCiAl dE l’OMNiPRATiCiEN
l’environnement
péri-implantaire
clé de la stratégie prothétique
Nos aNNoNceurs
pierre roLLAND p. 2 KreUssLer pHArMA p. 4
sUNsTAr p. 19
CNQAos p. 24
ANNUAire DeNTAire p. 24
MACsf 4e CoUv.
Nos exposaNts
ADF AIREL GC FRAnCE GénéRIquE IntERnAtIonAL JoHnSon & JoHnSon KAvo DEntAL FRAnCE KoMEt FRAnCE LAboCASt MADE In LAbS MIS nICHRoMInox SIRonA DEntAL SYStEM StoMA
Jsop n° 2 Février 2013
Les RDV de la sop
6 Votre agenda formation
7 L’environnement péri-implantaire, clé de la stratégie prothétique
11 23 mai 2013 : zoom sur trois TP de la SOP
16 Voyage-congrès île Maurice
Les Replay de la sop
20 Patients âgés : les raisons d’un succès
Le Mag’
35 Sauver la formation continue ? Yes, we can !
36 Club des partenaires
38 Plan santé + Tous à la campagne
+ Honoraires contrôlés + Davantage de CMU
s o M M A i r e
Nos parteNaires
ACtEon GRoup AMERICAn ExpRESS ARSEuS IDF AMpLI MutuELLE CoDIMED CRoWn CERAM LAboRAtoIRES CRInEx DEntSpLY FRAnCE éDItIonS CDp : WoLtERS KLuWER FC MEDICAL DEvICE
GACD HEnRY SHEIn ItEnA CLInICAL KREuSSLER pHARMA LAboRAtoIRES GAbA MACSF MEGA DEntAL nobEL bIoCARE pHILIpS SunStAR vEt MICRoSCopIE DEntAIRE
Depuis 20 ans une certaine idée de la protection des patients et de l’hygiène en cabinet
CONTRÔLE DU RISQUE INFECTIEUX
0 810 811 400 17 av. Gustave Eiffel • BP 30216 • 33708 MERIGNAC cedex • FRANCE
Dispositifs médicaux de classe I ou Is (SGS - Stérile by Riskontrol)
Lire attentivement les instructions figurant sur l’étiquetage ou dans la notice - Toutes les informations indispensables pour un bon usage de ces dispositifs figurent dans le résumé des caractéristiques du produit disponible sur le site du laboratoire.
Non remboursés par les organismes d'assurance maladie.
Date de création : décembre 2012.
Photo: © Shutterstock
Riskontrol-AP-JSOP-FEV-2013_Mise en page 1 21/12/12 14:52 Page1
Nos aNNoNceurs
pierre roLLAND p. 2 KreUssLer pHArMA p. 4
sUNsTAr p. 19
CNQAos p. 24
ANNUAire DeNTAire p. 24
MACsf 4e CoUv.
Nos exposaNts
ADF AIREL GC FRAnCE GénéRIquE IntERnAtIonAL JoHnSon & JoHnSon KAvo DEntAL FRAnCE KoMEt FRAnCE LAboCASt MADE In LAbS MIS nICHRoMInox SIRonA DEntAL SYStEM StoMA
Jsop n° 2 Février 2013
Les RDV de la sop
6 Votre agenda formation
7 L’environnement péri-implantaire, clé de la stratégie prothétique
11 23 mai 2013 : zoom sur trois TP de la SOP
16 Voyage-congrès île Maurice
Les Replay de la sop
20 Patients âgés : les raisons d’un succès
Le Mag’
35 Sauver la formation continue ? Yes, we can !
36 Club des partenaires
38 Plan santé + Tous à la campagne
+ Honoraires contrôlés + Davantage de CMU
s o M M A i r e
Nos parteNaires
ACtEon GRoup AMERICAn ExpRESS ARSEuS IDF AMpLI MutuELLE CoDIMED CRoWn CERAM LAboRAtoIRES CRInEx DEntSpLY FRAnCE éDItIonS CDp : WoLtERS KLuWER FC MEDICAL DEvICE
GACD HEnRY SHEIn ItEnA CLInICAL KREuSSLER pHARMA LAboRAtoIRES GAbA MACSF MEGA DEntAL nobEL bIoCARE pHILIpS SunStAR vEt MICRoSCopIE DEntAIRE
Depuis 20 ans une certaine idée de la protection des patients et de l’hygiène en cabinet
CONTRÔLE DU RISQUE INFECTIEUX
0 810 811 400 17 av. Gustave Eiffel • BP 30216 • 33708 MERIGNAC cedex • FRANCE
Dispositifs médicaux de classe I ou Is (SGS - Stérile by Riskontrol)
Lire attentivement les instructions figurant sur l’étiquetage ou dans la notice - Toutes les informations indispensables pour un bon usage de ces dispositifs figurent dans le résumé des caractéristiques du produit disponible sur le site du laboratoire.
Non remboursés par les organismes d'assurance maladie.
Date de création : décembre 2012.
Photo: © Shutterstock
Riskontrol-AP-JSOP-FEV-2013_Mise en page 1 21/12/12 14:52 Page1
ÉDito
en juin, la sop
rétablit les privilèges ! Ê
tre membre de la SOP, c’est obtenir l’as-surance de participer à des formations de qualité, mais c’est aussi adhérer à un certain état d’esprit. On pourrait multiplier les raisons qui motivent une adhésion à notre société scientifique, comme l’acquisition des connaissances techniques et
théoriques aux côtés des meil- leurs spécialistes.
Mais au-delà de cette recherche permanente du geste sûr guidé par une décision thérapeutique raisonnée, le code génétique de la SOP, c’est cette convivialité et cette interactivité qui per- mettent aux participants à nos formations de confronter leur pratique à celle des autres.
C’est cet état d’esprit que la SOP veut plus que jamais maintenir en 2013. Comment ? En donnant à ses membres un privilège supplé- mentaire. Nos fidèles le savent, adhérer à la SOP apporte des avantages : des tarifs préférentiels pour nos Journées et nos cycles longs et courts, une priorité pour l’inscription à la Journée de travaux pratiques, la possibilité de voir et revoir, sur notre site www.sop.asso.fr, toutes les conférences de nos Journées depuis 2007 et, enfin, un abonnement à notre trimestriel scientifique la Revue d’odonto-stomatologie.
Eh bien ! en 2013, la SOP propose un nouveau
privilège qui aura pour nom la Journée des membres. La Journée des membres sera en effet proposée aux adhérents de la SOP à un tarif particulièrement attractif. En pratique, cette Journée des membres sera la Journée du 13 juin 2013, intitulée « L’urgence traumatique de la dent permanente », sous la direction scientifique de Pierre Machtou.
Ce privilège qu’accorde la SOP à ses adhérents se veut aussi une réponse à la sinistrose qui semble avoir tétanisé le pays.
Un état d’esprit que refuse notre société scientifique. Parce que, pour nous, la formation conti- nue est indissociablement liée au mouvement, à la confiance en l’avenir et à l’ambition de vivre pleinement sa pratique aujourd’hui et demain.
Corinne Touboul PS : la SOP fait partie des organismes agréés par le DPC, dans le cadre duquel une évaluation aura lieu avant et après chaque formation. Un QCM préalable sera envoyé par mail à chaque participant lors de son inscription. Après la for- mation, le participant disposera de trois mois pour renvoyer à la SOP, par mail, une fiche d’éva- luation de sa pratique. La SOP lui adressera une évaluation et une attestation de présence.
Adhérer à la SOP, c’est partager
un certain état d’esprit.
La Journée des membres, proposée
à nos adhérents en juin prochain, en est l’illustration.
Corinne touboul vice-présidente de la Sop
ÉDito
en juin, la sop
rétablit les privilèges ! Ê
tre membre de la SOP, c’est obtenir l’as-surance de participer à des formations de qualité, mais c’est aussi adhérer à un certain état d’esprit. On pourrait multiplier les raisons qui motivent une adhésion à notre société scientifique, comme l’acquisition des connaissances techniques et
théoriques aux côtés des meil- leurs spécialistes.
Mais au-delà de cette recherche permanente du geste sûr guidé par une décision thérapeutique raisonnée, le code génétique de la SOP, c’est cette convivialité et cette interactivité qui per- mettent aux participants à nos formations de confronter leur pratique à celle des autres.
C’est cet état d’esprit que la SOP veut plus que jamais maintenir en 2013. Comment ? En donnant à ses membres un privilège supplé- mentaire. Nos fidèles le savent, adhérer à la SOP apporte des avantages : des tarifs préférentiels pour nos Journées et nos cycles longs et courts, une priorité pour l’inscription à la Journée de travaux pratiques, la possibilité de voir et revoir, sur notre site www.sop.asso.fr, toutes les conférences de nos Journées depuis 2007 et, enfin, un abonnement à notre trimestriel scientifique la Revue d’odonto-stomatologie.
Eh bien ! en 2013, la SOP propose un nouveau
privilège qui aura pour nom la Journée des membres. La Journée des membres sera en effet proposée aux adhérents de la SOP à un tarif particulièrement attractif. En pratique, cette Journée des membres sera la Journée du 13 juin 2013, intitulée « L’urgence traumatique de la dent permanente », sous la direction scientifique de Pierre Machtou.
Ce privilège qu’accorde la SOP à ses adhérents se veut aussi une réponse à la sinistrose qui semble avoir tétanisé le pays.
Un état d’esprit que refuse notre société scientifique. Parce que, pour nous, la formation conti- nue est indissociablement liée au mouvement, à la confiance en l’avenir et à l’ambition de vivre pleinement sa pratique aujourd’hui et demain.
Corinne Touboul PS : la SOP fait partie des organismes agréés par le DPC, dans le cadre duquel une évaluation aura lieu avant et après chaque formation. Un QCM préalable sera envoyé par mail à chaque participant lors de son inscription. Après la for- mation, le participant disposera de trois mois pour renvoyer à la SOP, par mail, une fiche d’éva- luation de sa pratique. La SOP lui adressera une évaluation et une attestation de présence.
Adhérer à la SOP, c’est partager
un certain état d’esprit.
La Journée des membres, proposée
à nos adhérents en juin prochain, en est l’illustration.
Corinne touboul vice-présidente de la Sop
«
V O t r e A g e n d A f O r m A t i O n Les RDV
De LA sop
C
’est précisément dans les cas où l’on pense que c’est une affaire de spécialistes que l’environnement péri-implan- taire devient malheureusement une affaire de spécialiste. » Voilà l’idée à l’origine de cette Journée selon Corinne Touboul, sa responsable scientifique. En effet, l’omniprati- cien a un rôle fondamental à jouer dans ce domaine en devenant « péri- implanto-conscient ».Avec cette Journée, la SOP ambi- tionne de donner aux participants les clés pour préserver l’environne- ment péri-implantaire, quels que soient leur domaine et leur niveau d’intervention en implantologie. Un
« curseur de difficulté » permettra d’ailleurs à chacun de se repérer en fonction de sa pratique.
Le rôle de l’omnipraticien s’avère essentiel. S’il détient les connais- sances et le recul nécessaires, il
L’environnement péri- implantaire, clé de la stratégie prothétique
11 avril
2013 JOurnée environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
11 avril 2013
JouRnÉe
environnement péri-implantaire :
le rôle crucial de l’omnipraticien
Programme et inscription pp. 7-10
26 avril - 6 mai 2013
Voyage-CongRès
12
esJournées de chirurgie dentaire
à l’île maurice
Programme et inscription pp. 16-18
23 mai 2013
JouRnÉe tP
12 travaux pratiques à la carte
Programme et inscription pp. 11-15
26-30 novembre 2013
CongRès aDF
Séance des nouveautés
de la SOP
date à déterminer
16 janvier 2014
JouRnÉe tV
en cours de préparation
inscription à partir d’octobre 2013
27 mars 2014
JouRnÉe
en cours de préparation
inscription à partir de décembre 2013
13 juin 2013
JouRnÉe
L’urgence traumatique de la dent permanente
inscription à partir de mars 2013
17 octobre 2013
JouRnÉe
Prothèse et occlusion
inscription à partir de mai 2013
«
V O t r e A g e n d A f O r m A t i O n Les RDV
De LA sop
C
’est précisément dans les cas où l’on pense que c’est une affaire de spécialistes que l’environnement péri-implan- taire devient malheureusement une affaire de spécialiste. » Voilà l’idée à l’origine de cette Journée selon Corinne Touboul, sa responsable scientifique. En effet, l’omniprati- cien a un rôle fondamental à jouer dans ce domaine en devenant « péri- implanto-conscient ».Avec cette Journée, la SOP ambi- tionne de donner aux participants les clés pour préserver l’environne- ment péri-implantaire, quels que soient leur domaine et leur niveau d’intervention en implantologie. Un
« curseur de difficulté » permettra d’ailleurs à chacun de se repérer en fonction de sa pratique.
Le rôle de l’omnipraticien s’avère essentiel. S’il détient les connais- sances et le recul nécessaires, il
L’environnement péri- implantaire, clé de la stratégie prothétique
11 avril
2013 JOurnée environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
11 avril 2013
JouRnÉe
environnement péri-implantaire :
le rôle crucial de l’omnipraticien
Programme et inscription pp. 7-10
26 avril - 6 mai 2013
Voyage-CongRès
12
esJournées de chirurgie dentaire
à l’île maurice
Programme et inscription pp. 16-18
23 mai 2013
JouRnÉe tP
12 travaux pratiques à la carte
Programme et inscription pp. 11-15
26-30 novembre 2013
CongRès aDF
Séance des nouveautés
de la SOP
date à déterminer
16 janvier 2014
JouRnÉe tV
en cours de préparation
inscription à partir d’octobre 2013
27 mars 2014
JouRnÉe
en cours de préparation
inscription à partir de décembre 2013
13 juin 2013
JouRnÉe
L’urgence traumatique de la dent permanente
inscription à partir de mars 2013
17 octobre 2013
JouRnÉe
Prothèse et occlusion
inscription à partir de mai 2013
pourra ménager l’environnement implantaire, voire l’aménager, et évitera ainsi le recours à des tech- niques lourdes de reconstruction que seul un spécialiste serait capa- ble de mener. Une telle approche permet aussi d’augmenter la durée de vie des implants et d’améliorer significativement leur esthétique, tout en limitant les désagréments pour le patient.
L’objectif de la SOP est que les confrères intègrent les bons proto- coles, y compris dans la réalisation d’actes qui peuvent apparaî- tre anodins, comme l’extraction par exemple. Il s’agit aussi de le- ver certaines inhibitions pour les praticiens qui peuvent, du point
de vue de la SOP, aller plus loin sans prendre de risques majeurs en chirurgie.
Étienne Waltmann montrera dans un premier temps quels sont les cri- tères (volumes osseux et gingival, positionnement des implants, etc.) d’une situation péri-implantaire.
Et nous verrons que, lorsque ces règles ne sont pas respectées, la sanction peut être sévère. Isabelle Kleinfinger détaillera quant à elle le processus décisionnel lorsqu’une extraction s’impose, et comment préserver le site extractionnel (voir l’interview ci-contre). Très souvent, à ce stade, les bons réflexes permet- tront d’éviter des reconstructions osseuses et gingivales lourdes.
Hadi Antoun expliquera en- suite comment appréhender un environnement péri-implan- taire modérément défavorable. Il abordera, dans le cadre de l’om- nipratique, la reconstruction du volume osseux et l’amélioration du biotype gingival. Enfin, Patrice Margossian et Philippe Russe livreront leur analyse des stratégies prothétiques liées à l’environne- ment implantaire et dresseront un état des techniques à la mode (platform switching, intérêt de la zircone, profil d’émergence, etc.).
Il sera temps alors de tordre le cou à certaines idées reçues ou, au contraire, de conforter les bons procédés.
stratégies prothétiques,
moyens de préservation de l’os crestal : les dogmes et leur valeur scientifique Conférenciers : Patrice Margossian
et Philippe Russe
Questions-réponses avec
patrice Margossian et philippe russe Les facteurs d’une situation péri-implantaire idéale
Conférencier : Étienne Waltmann
Questions-réponses avec Étienne Waltmann analyser méthodiquement la situation
d’extraction
Conférencière : Isabelle Kleinfinger
Questions-réponses avec isabelle Kleinfinger Le site édenté avec défaut osseux modéré et biotype gingival défavorable
Conférencier : Hadi Antoun
Questions-réponses avec Hadi antoun
Le film de la journée Les conférenciers
Étienne Waltmann
patrice Margossian
philippe russe
Hadi antoun isabelle Kleinfinger
Pourquoi une conférence spécialement dédiée à l’extraction ?
Cela répond à une préoccupation actuelle qui concerne tous les om- nipraticiens. L’extraction est un acte « de base », fondateur de no- tre profession, mais cela n’en fait pas pour autant un geste anodin.
Trop souvent, les omnipraticiens extraient la dent sans envisager la suite. Or, quand un patient a émis le souhait de recevoir un im- plant, l’omnipraticien doit tout de suite engager une réflexion afin de déterminer la stratégie future du traitement. Il faut ana- lyser la situation d’extraction en prenant en compte le contexte général – hygiène, nombre de dents naturelles, l’état de la gen- cive, etc. –, ainsi que la situation locale, tout en pensant à la solu- tion de remplacement de la dent extraite. Pour résumer, l’extrac- tion est une étape capitale dans nos actes de traitement et l’om- nipraticien doit savoir l’aborder
avec les bons outils de réflexion et d’anticipation.
Quelle place occupe l’extraction dans la préservation
de l’environnement péri-implantaire ?
Cet acte permet d’obtenir des renseignements très précieux pour la suite du traitement : me- sures de la racine, informations sur la perte osseuse, etc. Il faut garder à l’esprit que l’extraction d’une dent provoque irrémédia- blement une résorption osseuse, même quand nous faisons tout le nécessaire pour la limiter. Il faut donc soigner en prenant en compte les paramètres qui per- mettront, par la suite, une pose d’implant réussie : préservation alvéolaire par comblement, ef- fectuer un curetage minutieux…
Cette prise de conscience immé- diate de l’omnipraticien et les gestes qui en découlent permet- tront de limiter au maximum les difficultés chirurgicales lors de la phase implantaire. Cela est es-
sentiel pour que le résultat final soit efficace et esthétique Quelles sont les conséquences d’une extraction réalisée sans prendre en compte le processus implantaire ? C’est toute la thérapeutique im- plantaire qui peut être alourdie, donc plus compliquée à mettre en œuvre pour le praticien qui pose l’implant, et plus désagréa- ble pour le patient. Une approche a minima, en se limitant à l’acte d’extraction seul, hypothèque les chances de poser par la suite un implant de manière simple. Sans une prise en compte globale de l’environnement péri-implantai- re en amont, le patient risque d’avoir à subir des actes chirur- gicaux supplémentaires, par exemple une greffe osseuse ou une reconstruction des gencives.
Tous ces prérequis sont aussi va- lables dans le cadre d’une im- plantation immédiate, un sujet que j’aborderai aussi au cours de cette conférence.
isabelle Kleinfinger Conférencière de la Journée
« Environnement péri- implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien »
ZooM sur
La situation d’extraction
Les objectifs de la Journée
Connaître la situation idéale d’un implant dans l’environnement péri-implantaire
optimiser la préservation
de l’environnement péri-implantaire Prendre les bonnes décisions aux stades pré-implantaire, implantaire et prothétique
JOurnée
11 avril
2013 environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
pourra ménager l’environnement implantaire, voire l’aménager, et évitera ainsi le recours à des tech- niques lourdes de reconstruction que seul un spécialiste serait capa- ble de mener. Une telle approche permet aussi d’augmenter la durée de vie des implants et d’améliorer significativement leur esthétique, tout en limitant les désagréments pour le patient.
L’objectif de la SOP est que les confrères intègrent les bons proto- coles, y compris dans la réalisation d’actes qui peuvent apparaî- tre anodins, comme l’extraction par exemple. Il s’agit aussi de le- ver certaines inhibitions pour les praticiens qui peuvent, du point
de vue de la SOP, aller plus loin sans prendre de risques majeurs en chirurgie.
Étienne Waltmann montrera dans un premier temps quels sont les cri- tères (volumes osseux et gingival, positionnement des implants, etc.) d’une situation péri-implantaire.
Et nous verrons que, lorsque ces règles ne sont pas respectées, la sanction peut être sévère. Isabelle Kleinfinger détaillera quant à elle le processus décisionnel lorsqu’une extraction s’impose, et comment préserver le site extractionnel (voir l’interview ci-contre). Très souvent, à ce stade, les bons réflexes permet- tront d’éviter des reconstructions osseuses et gingivales lourdes.
Hadi Antoun expliquera en- suite comment appréhender un environnement péri-implan- taire modérément défavorable. Il abordera, dans le cadre de l’om- nipratique, la reconstruction du volume osseux et l’amélioration du biotype gingival. Enfin, Patrice Margossian et Philippe Russe livreront leur analyse des stratégies prothétiques liées à l’environne- ment implantaire et dresseront un état des techniques à la mode (platform switching, intérêt de la zircone, profil d’émergence, etc.).
Il sera temps alors de tordre le cou à certaines idées reçues ou, au contraire, de conforter les bons procédés.
stratégies prothétiques,
moyens de préservation de l’os crestal : les dogmes et leur valeur scientifique Conférenciers : Patrice Margossian
et Philippe Russe
Questions-réponses avec
patrice Margossian et philippe russe Les facteurs d’une situation péri-implantaire idéale
Conférencier : Étienne Waltmann
Questions-réponses avec Étienne Waltmann analyser méthodiquement la situation
d’extraction
Conférencière : Isabelle Kleinfinger
Questions-réponses avec isabelle Kleinfinger Le site édenté avec défaut osseux modéré et biotype gingival défavorable
Conférencier : Hadi Antoun
Questions-réponses avec Hadi antoun
Le film de la journée Les conférenciers
Étienne Waltmann
patrice Margossian
philippe russe
Hadi antoun isabelle Kleinfinger
Pourquoi une conférence spécialement dédiée à l’extraction ?
Cela répond à une préoccupation actuelle qui concerne tous les om- nipraticiens. L’extraction est un acte « de base », fondateur de no- tre profession, mais cela n’en fait pas pour autant un geste anodin.
Trop souvent, les omnipraticiens extraient la dent sans envisager la suite. Or, quand un patient a émis le souhait de recevoir un im- plant, l’omnipraticien doit tout de suite engager une réflexion afin de déterminer la stratégie future du traitement. Il faut ana- lyser la situation d’extraction en prenant en compte le contexte général – hygiène, nombre de dents naturelles, l’état de la gen- cive, etc. –, ainsi que la situation locale, tout en pensant à la solu- tion de remplacement de la dent extraite. Pour résumer, l’extrac- tion est une étape capitale dans nos actes de traitement et l’om- nipraticien doit savoir l’aborder
avec les bons outils de réflexion et d’anticipation.
Quelle place occupe l’extraction dans la préservation
de l’environnement péri-implantaire ?
Cet acte permet d’obtenir des renseignements très précieux pour la suite du traitement : me- sures de la racine, informations sur la perte osseuse, etc. Il faut garder à l’esprit que l’extraction d’une dent provoque irrémédia- blement une résorption osseuse, même quand nous faisons tout le nécessaire pour la limiter. Il faut donc soigner en prenant en compte les paramètres qui per- mettront, par la suite, une pose d’implant réussie : préservation alvéolaire par comblement, ef- fectuer un curetage minutieux…
Cette prise de conscience immé- diate de l’omnipraticien et les gestes qui en découlent permet- tront de limiter au maximum les difficultés chirurgicales lors de la phase implantaire. Cela est es-
sentiel pour que le résultat final soit efficace et esthétique Quelles sont les conséquences d’une extraction réalisée sans prendre en compte le processus implantaire ? C’est toute la thérapeutique im- plantaire qui peut être alourdie, donc plus compliquée à mettre en œuvre pour le praticien qui pose l’implant, et plus désagréa- ble pour le patient. Une approche a minima, en se limitant à l’acte d’extraction seul, hypothèque les chances de poser par la suite un implant de manière simple. Sans une prise en compte globale de l’environnement péri-implantai- re en amont, le patient risque d’avoir à subir des actes chirur- gicaux supplémentaires, par exemple une greffe osseuse ou une reconstruction des gencives.
Tous ces prérequis sont aussi va- lables dans le cadre d’une im- plantation immédiate, un sujet que j’aborderai aussi au cours de cette conférence.
isabelle Kleinfinger Conférencière de la Journée
« Environnement péri- implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien »
ZooM sur
La situation d’extraction
Les objectifs de la Journée
Connaître la situation idéale d’un implant dans l’environnement péri-implantaire
optimiser la préservation
de l’environnement péri-implantaire Prendre les bonnes décisions aux stades pré-implantaire, implantaire et prothétique
JOurnée
11 avril
2013 environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
Nom : prénom : adresse :
e-mail : tél. : tarifs
inscriptions avant le 1er mars 2013
Membres sop et fssosif : 240 € ; non-membres : 320 € (Adhésion à la sop : 97 €)
inscriptions après le 1er mars 2013
Membres sop et fssosif : 290 € ; non-membres : 370 €
Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ?
oui Non
environnement
péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien 11 avril 2013
Maison de la chimie
28, rue saint-Dominique – 75007 paris Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement (voir tarifs ci-contre) à : sop – 6, rue Jean-Hugues – 75016 paris
voulez-vous recevoir un fichet réduction ?
sNCf Air france
B u L L e t i N D ’ i N s c r i p t i o N
exposition ouverte aux professionnels
Une incisive centrale fracturée, un foyer infectieux, une extraction à prévoir : quel examen clinique et radiologique ? Quand faut-il extraire ?
Quand faut-il reconstruire ?
La reconstruction osseuse ou gingivale peut-elle être réalisée par l’omnipraticien ?
Quel est le profil d’émergence idéal du pilier implantaire ?
Le platform switching a-t-il un rôle réel sur la préservation de l’os crestal ?
Évaluez-vous
prendre les bonnes décisions avant et pendant l’extraction pour préserver le capital tissulaire.
parmi les facteurs prothétiques influençant l’environnement implantaire : le diamètre du pilier, le recours ou non à la zircone, la pose d’une prothèse vissée ou scellée, le profil d’émergence, la connexion, etc.
Le groupe de travail de la SOP
Corinne Touboul, Gérard Mandel, Patrick Missika, Bernard Schweitz.
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE
JOurnée
11 avril
2013 environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
23 mai 2013 : zoom sur trois des 12 tp de la sop
L
e JSOP poursuit dans ce numéro la présentation en détail des TP que la SOP va proposer aux praticiens le 23 mai prochain à la Maison de la chimie.Sous la responsabilité scientifique de Gérard Aboudharam et de Jacques Déjou, le TP Reconsti- tutions corono-radiculaires vise à donner aux omnipraticiens les clés d’un choix raisonné dans
ce domaine. Cette année, l’ac- cent sera mis sur les échanges très pratiques entre l’équipe d’en- seignants et les praticiens (lire page 12). Sous la responsabilité scientifique de Sophie-Myriam Dridi, le TP Chirurgie parodontale se donne pour objectif de revoir tous les fondamentaux de cette discipline en prenant très préci- sément en compte le niveau de
chaque participant (lire page 13).
Enfin, ce numéro du JSOP propose un zoom sur le TP Instruments ul- trasonores en omnipratique, sous la direction scientifique de Gilles Gagnot. Son objectif consiste à faire en sorte que les praticiens acquièrent la maîtrise de leur ma- tériel pour exploiter efficacement cet instrument de précision non invasif (lire page 14).
JOurnée tP
12 travaux pratiques à la carte
23 mai
2013
Nom : prénom : adresse :
e-mail : tél. : tarifs
inscriptions avant le 1er mars 2013
Membres sop et fssosif : 240 € ; non-membres : 320 € (Adhésion à la sop : 97 €)
inscriptions après le 1er mars 2013
Membres sop et fssosif : 290 € ; non-membres : 370 €
Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ?
oui Non
environnement
péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien 11 avril 2013
Maison de la chimie
28, rue saint-Dominique – 75007 paris Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement (voir tarifs ci-contre) à : sop – 6, rue Jean-Hugues – 75016 paris
voulez-vous recevoir un fichet réduction ?
sNCf Air france
B u L L e t i N D ’ i N s c r i p t i o N
exposition ouverte aux professionnels
Une incisive centrale fracturée, un foyer infectieux, une extraction à prévoir : quel examen clinique et radiologique ? Quand faut-il extraire ?
Quand faut-il reconstruire ?
La reconstruction osseuse ou gingivale peut-elle être réalisée par l’omnipraticien ?
Quel est le profil d’émergence idéal du pilier implantaire ?
Le platform switching a-t-il un rôle réel sur la préservation de l’os crestal ?
Évaluez-vous
prendre les bonnes décisions avant et pendant l’extraction pour préserver le capital tissulaire.
parmi les facteurs prothétiques influençant l’environnement implantaire : le diamètre du pilier, le recours ou non à la zircone, la pose d’une prothèse vissée ou scellée, le profil d’émergence, la connexion, etc.
Le groupe de travail de la SOP
Corinne Touboul, Gérard Mandel, Patrick Missika, Bernard Schweitz.
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE
JOurnée
11 avril
2013 environnement péri-implantaire : le rôle crucial de l’omnipraticien
23 mai 2013 : zoom sur trois des 12 tp de la sop
L
e JSOP poursuit dans ce numéro la présentation en détail des TP que la SOP va proposer aux praticiens le 23 mai prochain à la Maison de la chimie.Sous la responsabilité scientifique de Gérard Aboudharam et de Jacques Déjou, le TP Reconsti- tutions corono-radiculaires vise à donner aux omnipraticiens les clés d’un choix raisonné dans
ce domaine. Cette année, l’ac- cent sera mis sur les échanges très pratiques entre l’équipe d’en- seignants et les praticiens (lire page 12). Sous la responsabilité scientifique de Sophie-Myriam Dridi, le TP Chirurgie parodontale se donne pour objectif de revoir tous les fondamentaux de cette discipline en prenant très préci- sément en compte le niveau de
chaque participant (lire page 13).
Enfin, ce numéro du JSOP propose un zoom sur le TP Instruments ul- trasonores en omnipratique, sous la direction scientifique de Gilles Gagnot. Son objectif consiste à faire en sorte que les praticiens acquièrent la maîtrise de leur ma- tériel pour exploiter efficacement cet instrument de précision non invasif (lire page 14).
JOurnée tP
12 travaux pratiques à la carte
23 mai
2013
L
a dent dépulpée peut être reconstituée par technique directe (matériau inséré en phase plastique avec ancrage ra- diculaire par l’intermédiaire d’un tenon fibré) ou indirecte (inlay-core).Comment choisir la méthode la plus adaptée ? Les incitations de l’assu- rance maladie visant à réduire le nombre d’inlays-cores
tentent d’influencer le choix du praticien, mais les paramètres essentiels restent, évidemment, la perte de substance et la situation clinique.
Ainsi, ce TP proposé par la SOP vise à don- ner aux omnipraticiens les clés d’un choix rai- sonné en matière de reconstitutions corono- radiculaires. Il s’agit de maîtriser les indications
des divers types de reconstitution, tout en intégrant la problématique de la cotation. Il s’adresse à tout omnipraticien, quelle que soit son expérience dans le domaine, puisque les notions de base seront reprises et les connaissances déjà acquises améliorées.
« L’accent sera mis sur le dialogue entre encadrants et participants, avec des discussions pointues sur les
détails très pratiques de la reconsti- tution corono-radiculaire » souligne Gérard Aboudharam, coresponsable scientifique du TP avec Jacques Déjou. En outre, les participants emploieront les matériaux les plus récents, notamment les résines composites fluides de reconstruc- tion et les systèmes adhésifs.
Grâce au programme de ce TP, l’om- nipraticien pourra mettre à jour sa pratique et éviter ainsi de se sentir démuni face à des reconsti- tutions particulièrement difficiles.
Les connaissances très précises ac- quises au cours de cette Journée, ainsi que la maîtrise d’une orga- nisation irréprochable du plateau technique, permettront aux parti- cipants de faciliter la mise en œuvre
de ces soins. L’ensemble des tech- niques acquises dans ce TP pourra être reproduit par les omniprati- ciens dès le lendemain dans leur cabinet dentaire.
Ce TP se déroulera de manière conti- nue et progressive tout au long de la journée. Les étapes en seront les suivantes : rappel du comporte- ment biomécanique et présentation des critères de choix de la méthode de restauration, visuali- sation de la radiographie des dents utilisées, choix des racines de- vant servir d’ancrage à la restauration, mise en œuvre du tenon « flot- tant » à base de fibres et reconstitution à l’aide d’un système adhésif et d’une résine composite injectable chémopoly- mérisable ou duale. Les situations cliniques courantes et extrêmes se- ront abordées.
Des éclairages déterminants seront donnés sur les critères de choix des différents tenons à base de fibres et la compatibilité des différents ma- tériaux ou encore le coût d’un SC 33.
Chacune de ces phases commen- cera par un exposé théorique avant l’étape pratique.
gérard aboudharam et Jacques Déjou responsables scientifiques du tp 2
ZooM sur
Le tP Reconstitutions corono-radiculaires :
un choix raisonné
un tp pour maîtriser les indications des différents types de reconstitution tout en intégrant la question de la cotation.
JOurnée tP
12 travaux pratiques à la carte
23 mai 2013
sophie-Myriam Dridi
responsable scientifique du tp 10
C
hirurgie préprothétique et muco-gingivale de renfor- cement, incisions, sutures, lambeaux d’assainissement… Avec le TP Chirurgie parodontale, la SOP a choisi de se concentrer sur les fon-damentaux de la chirurgie paro- dontale, essentiels dans la pratique quotidienne des omnipraticiens.
Apprécié par les participants des précédentes éditions pour la quali- té de ses enseignements pratiques,
ce TP a été reconduit en 2013 car il répond à un réel besoin des omni- praticiens. Les participants pour- ront reproduire dans leur cabinet dentaire, aussitôt le TP terminé, les gestes pratiqués au cours de
cette Journée. « Nous nous adap- tons au niveau des omniprati- ciens inscrits en créant des groupes de travail adaptés » précise Sophie- Myriam Dridi, responsable scienti- fique de ce TP. Un formulaire rem-
pli en début de journée permettra d’établir des groupes de niveaux, et de nombreux encadrants accompa- gneront les participants en veillant à ce que chaque enseignement soit bien intégré par les omnipraticiens.
Ce TP se divise en quatre grandes séances axées sur la pratique clinique afin d’explorer en détail les principales dimensions de la chirurgie parodon- tale. Ainsi, la matinée sera consacrée aux principes fondamentaux des inci- sions et sutures, et aux lambeaux d’assainisse- ment. L’après-midi, il s’agira de la chirurgie pré- prothétique et de la chirurgie muco-gingivale de renforcement. Afin de fixer les enjeux cliniques, chacun de ces grands do- maines dé butera par une courte communication dressant la synthèse des points essentiels à maî- triser. À la suite de cette approche théorique, les participants pourront réaliser ces actes chirur- gicaux sur des mâchoires animales.
L’accent sera mis sur l’échange constant entre omnipraticiens et équipe encadrante.
ZooM sur
Le tP Chirurgie parodontale
un tp proposant quatre grandes étapes axées sur la pratique clinique pour explorer les principales dimensions de la chirurgie parodontale.
L
a dent dépulpée peut être reconstituée par technique directe (matériau inséré en phase plastique avec ancrage ra- diculaire par l’intermédiaire d’un tenon fibré) ou indirecte (inlay-core).Comment choisir la méthode la plus adaptée ? Les incitations de l’assu- rance maladie visant à réduire le nombre d’inlays-cores
tentent d’influencer le choix du praticien, mais les paramètres essentiels restent, évidemment, la perte de substance et la situation clinique.
Ainsi, ce TP proposé par la SOP vise à don- ner aux omnipraticiens les clés d’un choix rai- sonné en matière de reconstitutions corono- radiculaires. Il s’agit de maîtriser les indications
des divers types de reconstitution, tout en intégrant la problématique de la cotation. Il s’adresse à tout omnipraticien, quelle que soit son expérience dans le domaine, puisque les notions de base seront reprises et les connaissances déjà acquises améliorées.
« L’accent sera mis sur le dialogue entre encadrants et participants, avec des discussions pointues sur les
détails très pratiques de la reconsti- tution corono-radiculaire » souligne Gérard Aboudharam, coresponsable scientifique du TP avec Jacques Déjou. En outre, les participants emploieront les matériaux les plus récents, notamment les résines composites fluides de reconstruc- tion et les systèmes adhésifs.
Grâce au programme de ce TP, l’om- nipraticien pourra mettre à jour sa pratique et éviter ainsi de se sentir démuni face à des reconsti- tutions particulièrement difficiles.
Les connaissances très précises ac- quises au cours de cette Journée, ainsi que la maîtrise d’une orga- nisation irréprochable du plateau technique, permettront aux parti- cipants de faciliter la mise en œuvre
de ces soins. L’ensemble des tech- niques acquises dans ce TP pourra être reproduit par les omniprati- ciens dès le lendemain dans leur cabinet dentaire.
Ce TP se déroulera de manière conti- nue et progressive tout au long de la journée. Les étapes en seront les suivantes : rappel du comporte- ment biomécanique et présentation des critères de choix de la méthode de restauration, visuali- sation de la radiographie des dents utilisées, choix des racines de- vant servir d’ancrage à la restauration, mise en œuvre du tenon « flot- tant » à base de fibres et reconstitution à l’aide d’un système adhésif et d’une résine composite injectable chémopoly- mérisable ou duale. Les situations cliniques courantes et extrêmes se- ront abordées.
Des éclairages déterminants seront donnés sur les critères de choix des différents tenons à base de fibres et la compatibilité des différents ma- tériaux ou encore le coût d’un SC 33.
Chacune de ces phases commen- cera par un exposé théorique avant l’étape pratique.
gérard aboudharam et Jacques Déjou responsables scientifiques du tp 2
ZooM sur
Le tP Reconstitutions corono-radiculaires :
un choix raisonné
un tp pour maîtriser les indications des différents types de reconstitution tout en intégrant la question de la cotation.
JOurnée tP
12 travaux pratiques à la carte
23 mai 2013
sophie-Myriam Dridi
responsable scientifique du tp 10
C
hirurgie préprothétique et muco-gingivale de renfor- cement, incisions, sutures, lambeaux d’assainissement… Avec le TP Chirurgie parodontale, la SOP a choisi de se concentrer sur les fon-damentaux de la chirurgie paro- dontale, essentiels dans la pratique quotidienne des omnipraticiens.
Apprécié par les participants des précédentes éditions pour la quali- té de ses enseignements pratiques,
ce TP a été reconduit en 2013 car il répond à un réel besoin des omni- praticiens. Les participants pour- ront reproduire dans leur cabinet dentaire, aussitôt le TP terminé, les gestes pratiqués au cours de
cette Journée. « Nous nous adap- tons au niveau des omniprati- ciens inscrits en créant des groupes de travail adaptés » précise Sophie- Myriam Dridi, responsable scienti- fique de ce TP. Un formulaire rem-
pli en début de journée permettra d’établir des groupes de niveaux, et de nombreux encadrants accompa- gneront les participants en veillant à ce que chaque enseignement soit bien intégré par les omnipraticiens.
Ce TP se divise en quatre grandes séances axées sur la pratique clinique afin d’explorer en détail les principales dimensions de la chirurgie parodon- tale. Ainsi, la matinée sera consacrée aux principes fondamentaux des inci- sions et sutures, et aux lambeaux d’assainisse- ment. L’après-midi, il s’agira de la chirurgie pré- prothétique et de la chirurgie muco-gingivale de renforcement. Afin de fixer les enjeux cliniques, chacun de ces grands do- maines dé butera par une courte communication dressant la synthèse des points essentiels à maî- triser. À la suite de cette approche théorique, les participants pourront réaliser ces actes chirur- gicaux sur des mâchoires animales.
L’accent sera mis sur l’échange constant entre omnipraticiens et équipe encadrante.
ZooM sur
Le tP Chirurgie parodontale
un tp proposant quatre grandes étapes axées sur la pratique clinique pour explorer les principales dimensions de la chirurgie parodontale.
un tp pour apprendre à effectuer les bons réglages ou encore à maîtriser les vibrations pour s’approprier une technique désormais indispensable en omnipratique.
gilles gagnot
responsable scientifique du tp 11
T
rop souvent, les instruments ultrasonores ne sont pas ma- niés efficacement, ce qui li- mite la qualité du traitement. En effet, nombreux sont les omnipra- ticiens à posséder du matériel de qualité sans en maîtriser la mise en œuvre. C’est à partir de ce constat que la SOP a décidé de proposer un TP dédié à cette technologie.Pour exploiter tout le potentiel des ultrasons, il faut comprendre les vi- brations afin de choisir l’appareilla- ge adapté et connaître les meilleu- res « adaptations »
à chaque applica- tion. Les séquences pratiques de ce TP permettront ainsi aux participants de connaître l’instru- mentation et d’ap- prendre à utiliser efficacement les différentes familles d’inserts dans leurs champs d’applica- tion sur modèles et dents naturel- les. « Il s’agit, pour l’omnipraticien, de maîtriser cet instru- ment de précision non invasif pour une dentisterie non in-
vasive » résume Gilles Gagnot, res- ponsable scientifique de ce TP.
Avec l’avènement des micro-inserts et les applications en endodontie et en dentisterie restauratrice, l’uti- lisation des instruments ultraso- nores est devenue indispensable.
Encore faut-il savoir effectuer, par exemple, les réglages des accords…
En apprenant à maîtriser les vi- brations, les participants à ce TP gagneront en précision et en ef- ficacité dès leur retour dans leur cabinet dentaire.
L’utilisation optimisée des ultra- sons permettra ainsi de traiter ef- ficacement, et sans douleur, en détartrage et débridement paro- dontal, d’accéder sans risques à l’endodonte et de faciliter les reprises de traitements endodon- tiques. Elle permettra aussi à l’omnipraticien d’accéder aux li- mites cervicales des cavités proxi- males, sans détruire les faces oc- clusales, et d’obtenir la qualité de finition nécessaire à une dentis- terie esthétique.
ZooM sur
Le tP Instruments
ultrasonores en omnipratique
JOurnée tP
23 mai
2013 12 travaux pratiques à la carte
12 tp à La carte – JeuDi 23 Mai 2013
tP 1
– PRothèses suR iMPLants Responsables scientifiques :Corinne Touboul, Hadi Antoun
tP 2
– ReConstitutions CoRono-RaDiCuLaiResResponsables scientifiques :
Gérard Aboudharam, Jacques Déjou
tP 3
– inLays/onLays CoLLÉs Responsable scientifique : Claude LaunoistP 4
– PRothèse ConJointe :Les PRÉPaRations PouR PRothèses CÉRaMo-CÉRaMiques
Responsable scientifique : Philippe Gateau
tP 5
– bLanChiMentResponsable scientifique : Paul Miara
tP 6
– systèMe CFaoResponsable scientifique : Christian Moussally
tP 9
– uRgenCesResponsable scientifique : Laurence Dauce
tP 10
– ChiRuRgie PaRoDontaLe Responsable scientifique : Myriam DriditP 11
– instRuMents uLtRasonoRes Responsable scientifique : Gilles GagnottP 12
– PLaniFiCation iMPLantaiRe Responsables scientifiques : Pierre Cherfane, Michaël CorcosB u L L e t i N D ’ i N s c r i p t i o N
tP 7
– DÉPose Des ÉLÉMents PRothÉtiques et RetRait D’instRuMents FRaCtuRÉsResponsable scientifique : Cauris Couvrechel
tP 8
– iMageRie 2D et 3D : inteRPRÉtation et DiagnostiC Responsable scientifique : Sandrine Dahann o u V e a u t É s
12 tP à la carte
Jeudi 23 mai 2013
Maison de la chimie
28, rue saint-Dominique – 75007 paris exposition ouverte à tous les professionnels
Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement à :
sop – 6, rue Jean Hugues – 75016 paris Tél. : 01 42 09 29 13 – fax : 01 42 09 29 08
Déjeuner assis et pause café inclus Nom : prénom : adresse : e-mail : tél. :
inscriptions avant le 29 mars 2013
Membres sop et fssosif : 340 € ; non-membres : 420 € inscriptions après le 29 mars 2013
Membres sop et fssosif : 390 € ; non-membres : 470 €
(Adhésion à la sop : 97 €)
Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ?
oui Non
voulez-vous recevoir un fichet réduction ?
sNCf Air france
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE
un tp pour apprendre à effectuer les bons réglages ou encore à maîtriser les vibrations pour s’approprier une technique désormais indispensable en omnipratique.
gilles gagnot
responsable scientifique du tp 11
T
rop souvent, les instruments ultrasonores ne sont pas ma- niés efficacement, ce qui li- mite la qualité du traitement. En effet, nombreux sont les omnipra- ticiens à posséder du matériel de qualité sans en maîtriser la mise en œuvre. C’est à partir de ce constat que la SOP a décidé de proposer un TP dédié à cette technologie.Pour exploiter tout le potentiel des ultrasons, il faut comprendre les vi- brations afin de choisir l’appareilla- ge adapté et connaître les meilleu- res « adaptations »
à chaque applica- tion. Les séquences pratiques de ce TP permettront ainsi aux participants de connaître l’instru- mentation et d’ap- prendre à utiliser efficacement les différentes familles d’inserts dans leurs champs d’applica- tion sur modèles et dents naturel- les. « Il s’agit, pour l’omnipraticien, de maîtriser cet instru- ment de précision non invasif pour une dentisterie non in-
vasive » résume Gilles Gagnot, res- ponsable scientifique de ce TP.
Avec l’avènement des micro-inserts et les applications en endodontie et en dentisterie restauratrice, l’uti- lisation des instruments ultraso- nores est devenue indispensable.
Encore faut-il savoir effectuer, par exemple, les réglages des accords…
En apprenant à maîtriser les vi- brations, les participants à ce TP gagneront en précision et en ef- ficacité dès leur retour dans leur cabinet dentaire.
L’utilisation optimisée des ultra- sons permettra ainsi de traiter ef- ficacement, et sans douleur, en détartrage et débridement paro- dontal, d’accéder sans risques à l’endodonte et de faciliter les reprises de traitements endodon- tiques. Elle permettra aussi à l’omnipraticien d’accéder aux li- mites cervicales des cavités proxi- males, sans détruire les faces oc- clusales, et d’obtenir la qualité de finition nécessaire à une dentis- terie esthétique.
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Le tP Instruments
ultrasonores en omnipratique
JOurnée tP
23 mai
2013 12 travaux pratiques à la carte
12 tp à La carte – JeuDi 23 Mai 2013
tP 1
– PRothèses suR iMPLants Responsables scientifiques :Corinne Touboul, Hadi Antoun
tP 2
– ReConstitutions CoRono-RaDiCuLaiResResponsables scientifiques :
Gérard Aboudharam, Jacques Déjou
tP 3
– inLays/onLays CoLLÉs Responsable scientifique : Claude LaunoistP 4
– PRothèse ConJointe :Les PRÉPaRations PouR PRothèses CÉRaMo-CÉRaMiques
Responsable scientifique : Philippe Gateau
tP 5
– bLanChiMentResponsable scientifique : Paul Miara
tP 6
– systèMe CFaoResponsable scientifique : Christian Moussally
tP 9
– uRgenCesResponsable scientifique : Laurence Dauce
tP 10
– ChiRuRgie PaRoDontaLe Responsable scientifique : Myriam DriditP 11
– instRuMents uLtRasonoRes Responsable scientifique : Gilles GagnottP 12
– PLaniFiCation iMPLantaiRe Responsables scientifiques : Pierre Cherfane, Michaël CorcosB u L L e t i N D ’ i N s c r i p t i o N
tP 7
– DÉPose Des ÉLÉMents PRothÉtiques et RetRait D’instRuMents FRaCtuRÉsResponsable scientifique : Cauris Couvrechel
tP 8
– iMageRie 2D et 3D : inteRPRÉtation et DiagnostiC Responsable scientifique : Sandrine Dahann o u V e a u t É s
12 tP à la carte
Jeudi 23 mai 2013
Maison de la chimie
28, rue saint-Dominique – 75007 paris exposition ouverte à tous les professionnels
Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement à :
sop – 6, rue Jean Hugues – 75016 paris Tél. : 01 42 09 29 13 – fax : 01 42 09 29 08
Déjeuner assis et pause café inclus Nom : prénom : adresse : e-mail : tél. :
inscriptions avant le 29 mars 2013
Membres sop et fssosif : 340 € ; non-membres : 420 € inscriptions après le 29 mars 2013
Membres sop et fssosif : 390 € ; non-membres : 470 €
(Adhésion à la sop : 97 €)
Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ?
oui Non
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sNCf Air france
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE
26 avril- 6 mai
2013 VOyAge-cOngrèS
12
esJOurnéeS de chirurgie dentAire à L’îLe mAurice
oPtion 1
Du 26 avril au 6 mai vols directs
de nuit avec Air Mauritius 8 nuits – 10 jours :
3 200 € par personne en chambre de luxe
½ double
3 optioNs au cHoix (DeMi-peNsioN)
oPtion 3
Du 26 avril au 6 mai vols de nuit via La Réunion avec Air Austral 8 nuits – 10 jours :
2 930 € par personne en chambre de luxe
½ double
oPtion 2*
Du 26 avril au 5 mai
vols directs de nuit avec Air France 7 nuits – 9 jours :
2 720 € par personne en chambre de luxe
½ double
* aucune modification de date n’est possible sur cette option. Nombre de places limité.
DRoits D’insCRiPtion
Les droits d’inscription, obligatoires pour tous les participants, comprennent pour les congressistes :
• La remise du dossier et du badge • L’accès aux séances scientifiques • Les pauses café
MeMbRes De La soP et De La FssosiF autRes MeMbRes
• Congressistes : 450 € • Congressistes : 530 €
• Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 350 € • Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 430 € Les enfants de moins de 15 ans sont dispensés de droits d’inscription, mais n’ont pas l’accès au programme social.
PaRtiCiPants hoRs Voyage-CongRès (PRogRaMMe sCientiFique uniqueMent)
• Membres : 550 € • Autres : 650 €
en chambre supérieure de luxe, en chambre Beach front de luxe ou en Junior suite, l’hôtel paradis met à la disposition des congressistes et de leur famille ses différents restaurants et bars, sa piscine, son miniclub, son salon d’esthétique, son hammam. situé au sud-ouest de l‘île, au pied
du Morne, le paradis offre toutes les possibilités de loisirs : ski nautique, planche à voile, Hobie cat, kayak, bateau à fond de verre, plongée libre. Disponibles également : practice de golf, tennis, centre fitness. avec participation : golf 18 trous, pêche au gros, plongée.
insCRiPtion à retourNer à : cHauMoNt VoYaGes – M. perrauLt 9, route principale du port – 92638 Gennevilliers cedex tél. : 01 47 92 22 40 – FAx : 01 47 99 17 50
E-mail : info@chaumont-voyages.fr
Nom : ... prénom : ...
adresse : ... .
tél. : ... adresse e-mail : ...
accompagné(e) de : Nom : ... prénom : ...
Nom : ... prénom : ...
Nom : ... prénom : ...
option 1, 2 ou 3
acompte de 1 000 euros/personne
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE
Votre séjour à l’hôtel Paradis
Du 26 avril au 6 mai 2013
Voyage-congrès île Maurice
organisé par la sop
en collaboration avec la Mauritius Dental association
26 avril- 6 mai
2013 VOyAge-cOngrèS
12
esJOurnéeS de chirurgie dentAire à L’îLe mAurice
oPtion 1
Du 26 avril au 6 mai vols directs
de nuit avec Air Mauritius 8 nuits – 10 jours :
3 200 € par personne en chambre de luxe
½ double
3 optioNs au cHoix (DeMi-peNsioN)
oPtion 3
Du 26 avril au 6 mai vols de nuit via La Réunion avec Air Austral 8 nuits – 10 jours :
2 930 € par personne en chambre de luxe
½ double
oPtion 2*
Du 26 avril au 5 mai
vols directs de nuit avec Air France 7 nuits – 9 jours :
2 720 € par personne en chambre de luxe
½ double
* aucune modification de date n’est possible sur cette option. Nombre de places limité.
DRoits D’insCRiPtion
Les droits d’inscription, obligatoires pour tous les participants, comprennent pour les congressistes :
• La remise du dossier et du badge • L’accès aux séances scientifiques • Les pauses café
MeMbRes De La soP et De La FssosiF autRes MeMbRes
• Congressistes : 450 € • Congressistes : 530 €
• Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 350 € • Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 430 € Les enfants de moins de 15 ans sont dispensés de droits d’inscription, mais n’ont pas l’accès au programme social.
PaRtiCiPants hoRs Voyage-CongRès (PRogRaMMe sCientiFique uniqueMent)
• Membres : 550 € • Autres : 650 €
en chambre supérieure de luxe, en chambre Beach front de luxe ou en Junior suite, l’hôtel paradis met à la disposition des congressistes et de leur famille ses différents restaurants et bars, sa piscine, son miniclub, son salon d’esthétique, son hammam. situé au sud-ouest de l‘île, au pied
du Morne, le paradis offre toutes les possibilités de loisirs : ski nautique, planche à voile, Hobie cat, kayak, bateau à fond de verre, plongée libre. Disponibles également : practice de golf, tennis, centre fitness. avec participation : golf 18 trous, pêche au gros, plongée.
insCRiPtion à retourNer à : cHauMoNt VoYaGes – M. perrauLt 9, route principale du port – 92638 Gennevilliers cedex tél. : 01 47 92 22 40 – FAx : 01 47 99 17 50
E-mail : info@chaumont-voyages.fr
Nom : ... prénom : ...
adresse : ... .
tél. : ... adresse e-mail : ...
accompagné(e) de : Nom : ... prénom : ...
Nom : ... prénom : ...
Nom : ... prénom : ...
option 1, 2 ou 3
acompte de 1 000 euros/personne
TARIFS PRÉFÉRENTIELS DEVENE Z MEMBRE