.
PBO!fu}4ME DE IUTTB CONTRE L?OIICH^CESCOSE DÂI{S L,ê- R.EGIO}I DU FASSIII DE LÀ VOITÂSEP.VICES SÎAÎISTIQUES ET INFOP,J,IATI§,TTION A LIOCP BJPPORT DI '\CTIITITE9 ET PLAttr D'A.CTION
ocP/srAl/PR/85.
r Original:
Ang.lais1.
HistorioueQuand
le
Progranme de LutÈecontre
1'Onchocercose (0C?) adénarrô en1975, on
s'est
rendu compte ouela
Easse Ce donnâesdrêvaluation à collecter nécessitait 1'utilisation d'ordinateur
pourle
stockageet ltanalyse
desdonnées.
En conséquence, un systènesonhistiqué
desaisie
des données et de base de donnéesa
êt4 créé enutilisant les services
informatiquesde
11O'1Sà
Genève, cependant ouc des consultants enstatistique ont
arrPortéleur
concours au développenent deplusieurs
programtes dranalyess deroutine.
Depuis 1975
le
système, de base de donnéesa
fonctionné normalementmais
lgexploitation sta:istique
de ces donnéesa été laissée à la traîne.
Cela
est
engartie
dû aufait
oue l'0OCPnta
!:as eu desEatisticien
jusquten198f.
De l9B1à
1983le statisticicn était
baséà
Genèveet devait travailter
d'une manière
relativement isolée
du rrersonnel professionnel de ItOCP etI'anatyse
rlemeurait doncLimitée
aux denandes soécifiques venant de Ouagadougou.A cause .lu besoin
urgcnt d'analyse intégrée
pour rêoondre aux exigenceset
au dêveloopement du Pro4rarrne,le Directeur
du Progranoe atransfêré
onjuitlet
1983le
ooste Cestatisticien
de Genève au siège deI'OCP
à
Ouaga<lougou. Laorioritâ a 6té
donnêeà
une analyseintégrée
des données épidémiologiques,qui
serasuivie
Dar une extension aux donnêesentornologiques
et par
unsuDîort analytique
aux opérationset à la ple.nifi- cation
du progranroe. Pournernettre
derêaliser Itanalyse,
deuxordin.eteurs
derype IBI! PC-Xr
ont êté
achetés Dourle
ServiceStatistique
(STAT)et
unprograrmeutlopêtateur expérinenté
a été recruté à
Ouagadougou. Le nouvcau systàtrea pernis le
déveloDpement «le rrréthodesanalytigucs olus
anprorriées pour 1'analyse des données épidémiologiqueset lcs résultats
d'une prenière analyscintégrée
de1'évaluation
épidéniologique de lrimpacE dela lutte
antivectorielle ont été
comolêtês enjuin
1984.-2-
Le Cosritê
consultatif
drExperts (CCE) au cours de sa réunioncn
IqB4a
concl.u oue"l'an6lioration
duservice statistiquc à
Ouagadougoua facilit4
lranalyse
épi«lémiolocioueraoirle, st.etistiauenent fiable et
6oninterprôtation
pour Drendre cles rlécisions destin4es
à
anréliorerles activités,!e ltOC!''.
Deplus, le
CCE, conscicnt Cu voltn're considêrable Ce donnéesà
analyserea
recon'' oandé qu"uneaide
supnl4mentaircsoit rrise à Ia disnosition
du Prograunce nour coorrlêter une analyseexhaustive,
imaginative eÈ exacte des données".Faisant suite à cette
recomaandation,Ie Directeur
du Prograune a approuvêle
recrutenentdtun
secondstatisticien
pour Ouagadoug,ouet
aprâs uneprocéCure
cmplète
desélection,
un candirlat a maintenantétê identifié, et
ons'attendàce qutil rejoigne le
Programe en mâi1985.
Dealus le Directeur
a décidé derenforcer les installations infomatiques
de 1'OCPet
detransfércr les activités
restantes de Gcnèveà
Ouagadoug,ouafin
de perureÈÈre pleinêBêrlÈ g'êréaliser Itanalyse
exact.è, exhaustiveet rapide exigée.
Le hardware nécessairea êtê
conrrrandé,et le transfert
clu systèue informatique desaisie a déjà
cc.qrtenc4.Dans 1e
futur ltordinateur principal
de Genève sera seulementutilis6
pour desopérations rle
soutien.
Cela auraaussi
pourrésultat l.e réalisation
d'êcononies considérables malgré lraccrcissement rtescalculs et
des analyses.2. Informatisation
2.1 Saisie
des Connéeset
contrôleUn
goulot
d'É;trangle{'rent dansl'inforaatisation réside
dansle
systà.neactuel
desaisie
des donnéeset
dansle
systène decontrôle qui est fait
enutilisant Itordinateur orincipal. à
Genève. La nécossitô d'envoyer desfiches
àGenève par
valise, ltattente
dela liste
deserreurs, I'envoi
decorrections
àGenÀ-ve
et Irattente
d,uretour
des donnéesfi.nales enregistrées sur
des disoues souoles,entraînent
des reÈ.errlsinévitablcs qui
peuventatteindre
deux mois ;à
ce moment1à, lîanalyse
des âonnéese enFarticulier
entomologiquesa
peu designification orrérationnelle.
L'OCPa
donc déci.t4 detransférer cette activit6 ct
de grocéderà la saisie
detoutes les
données épidêuiologiqueset
entomologiqu-:sà
Ouagadougou. Acet effet,
deuxordinateurs
simples detyoe
IBH-PCs onÈ 6t6 achetéset le
software aporopriéest
entrain d'être
mis enplace.
Les proqî:arulesrelatifs
aux donnéeo entonologiquesont déjè étê
conplêtéset testê8"
Dupersonnel de
1'Unité
deLutte antivectorielle
(VCU)a étê
formê pourcela et le
nouveau sysÈème
a dê'rarré,
avec une pêrioCedressai
au cours delaquelle il
fonctionnera en
parallèle
avecle
systèroe de Genève. Le nouveau systèmedestiné à 1'Unité
drEvaluation éoid€niologique(EPI) est
prévu pourêtre
opérationnel enaoût.
Cependant, pourlrinstant
un système desaisie
ad-hoca été
créê pour permettre une analyserapide
des donnêesrelatives
aux biogrsies cuÈanéeset
auxmicrofilaires
Cansla
chambreantêrieure
de1'oeil
(MFCA) pourdes cohortes dans des
villages spécifiques,
isroédiatement aprèsle retour
deséquipes épidéuiologiques du
terrain.
2.2
Stockage massif des donnéesl__qgtgglggggqUn
autre
problÈ-me technique,- gui
empêche une analyse complèteet
exhaustive -r réside
dansla caoacité limitée
de stockage desordinateurs
àOuagadougou,
et
présentement seulement des sous-ensesrbles de données sgêcifiques peuventêtre transférês
de Genôveet utilisés
dansles analyses.
Du hardware supplé-mentaire(c'est-à-dire
Cesboîtes
deBernouilly) a été
corrnanCé pour petmettrele
stockagcet 1'cxploitaÈion
detoutes les
tlonnées EPIet
drévalue-tion
entquologique (ENIO)à
Ouagarlougou aprèsle Èransfert
de Genève. Denmbreux problènes se
sont
posés pour passerla
comrrande desboîtes
de Dernouilly mais maint,enant onattend leur arrivée à la fin dravril.
2.3
Infor:matisation des données devol
aux basesd'opérations
l6riennesL'informatisation a jusqulà
prêsentété limitée à f i:valuation
dcs données épidéniologiqueset
entonologiques, maisnta
pas encoreêté
appliquée à des donnéesopérationnelles Èelles
queles
heures devol, Itutilisation
desinsecticides etc., bien
gue ces donnêesaient été
enregistréeset
analysêesmanueltement aepuis
le
d6but de 1'OCP pour enfaire
desrapports.
Un consultanÈ pourles
opérations aôriennesa étudié Ia
procé.lure présenteet a
conclu quele
personnel de rang supérieur des bases aÉriennesperdait
un. temps pr6cieux pour des analyses deroutine et
pourla rérlaction
dcsraDports.
Son raoPorÈa
conclttque
ce travail pourrait facilement être effectué par
de simnles enployés avecI'aide d'un
simplemicro-ordinateur
avec de base de données de softhrâre 3pproprii:a pourla
production autotratique derapports. .linsi le
personnel de rang sunérieurserait libêrê et pourrait
se consacrerà
des tâchesplus
imporEentes. Le rarPorta été
acceptéet le consultant a ôtê recruté
en 1984 pourla nise
en place dusoftware
nécessaire. Ltinformatisation
des donnéesrelatives
aux opérations aériennesa été
terurinée de nême qutun progrltrnnedestiné à calculer
autonatique- ment ch.tque semàineles
rlosagesd'insecticides requiss
une tâcher6alisêe
-4-
auparavant
à
1amain.
Unordinateur
Cetyoe
IBH-PCe êté
conrnandé pourla
bas;,aêrienne de Bobo-Dioulasso eÈ
le
nouvcâu sysÈème seramis
enservice
enjuin'
Une
fois
quele
sysÈème sera pleinementop6rationncl et qu'il
seratestâ il
se:r'.mis en
service à la
deuxi-ème base rles opi:rations aériennesà
Kara.2.4
Baseprinci pale
de donn6os Pourles
opérations aériennesUn bon nombre de jonnfes rlcs opérations a6riennes sont d'une applicai:i'cn
directe
pour 1'analyseintégr.ie,
pour un supportanalytique
dansla prise
dedécision
eE pourles
analyses écononiques. Durant une réunion avecltUnitê
CeLurte antivectorielle il a
doncétê
décidé decréer
enplus
Ces bases de donnôesEpI
et
Etr11O une troisiènne base de données pourles
opérations aériennes (AOPS).Cette base de données contiendra
par ''bief"
(une éturle derivière bien dêfinie)
des données hebdomadaires
sur le
typeet la quantitê dtinseccicides utilisôs, le
typed'appareil er Ie
tomps Ccvol, et
rles inforrp.ations hydrologiques-
La base ,le donnéesa ét6
conçue <lcnanière à
permettre une connecti.on avecles autres
bas':s de donnéesdurant
1'analyseintégrée;1?enÈr6e
cles Connéesrelatives
aux opérati-ons sériennes sefera à
Genèveà partir
desfiches
de donnéesexistantes et les
donni:esseront ensuite fransf6rées
à Ouagadougou. Dansle futur
1?information scraautomatiqueslent
extraite
dela
base des donnôes duvol et
du progranlte de caleul des dosages(voir 2.3) et les fiches
encombrantes Ce donnêes seronÈ éliminées,2,5
Développement du sofÈwareLes cosroosants rle sofÈware
disponibles à
Ouagadougousont
SPSS-PC,DBASE
II,
I|ORDSTAR, LOTUSet
SyI,IPHONYet les
deuxrlerniers
comDosanÈs enDarti- culier sont
extensivementutilisés
pourla
manipulationfinale iles résultats
et pourles graphiques.
Cependant ces composants nesont
Pas apPropriés pour lesbesoins
actuets
deI'aaalyse
des donnéeset
dece fait tous les
progr€rmmes cl'analysedoivent
être,Jévelopp6sà !'OCP.
Jusqu'à cejour plus
Ce 150 Progrârmesont
étéécrits sur lrorCinateur
de bypePCrs.
La progratmraÈionconstitue
uncactivitÉ
majeure de STÂT eE
cela
sera spÉcialementle
cas pendantla
prochaine annéc'après
lrarrivée
desboîtes
deBernouilIy, le transfert
detoutes les
donnr-ras cle Genèveet le
début deltanalyse clétaillée
des clonnées entomologiques. Dans ce contexteil. est très
important de mentionner quele
deuxièmestatisticien
recruÈéest très
expérirnentê en infor:sratique appliquéeà la statistique
aussibien
en nacrcqu' en micro-informatique.
2.6
AutteqgplltçeEen§
Le personnel des
<iiffi'rentes ünités a 6té
encouragéà utiliser
1':smicro-ordinaÈeurs çrour
le travail d'analysc ct plusieurs
professionnels sefaniliarisent déjâ
avec1'utilisation
Crr LOTUS. Unconsultant a
dé'rclonp6 '.tr:programmc pour VCU pour
les projectionsde la
portée desinsecticides. lin rrtili-"
sanc DB^SE
II
unc base dc donnéesa êté
C6velop»6e,qui
connrendtout lc
personnel
de
1'OCPet qui est utilisSe par le
départer4enÈ du Personnel nendnnt1'après-raidi ou
les
week-ends. Une êtude defactibil.itê a
étô,faite
Pour uri systèmeinformatis6
de base de donnêes pourle
2.ara?.e. Bien quele
raPPortfinrl
ne soiÈ pas encore
prêt, la
conclusionprêliminaire est
gu'uneinformatisation
complèÈc ne sera
ni
avanta3eusefinancièrenent ni d'un intérêt pratioue.
Finalc'-rnent quelques
unit6s
corrmeI'Information
se servent desordinateurs
PC's po'.rrle
Èraitenent dotextes
Èoutesles fois
gutun ordinateurnrcst
pasutilisé
1.'our1'analyse.
CepenCantcette activité
devra Drendrefin,lès
queles
deux systè.'r'esde
saisie
deviendront opérationnels.2.7
Charobre des ordinateursDeux bureaux contigus du siège de IiOCP
ont ét6
transforrnés en chanbres desordinateurs
avec desfenêtres scell/:es et
desclimatiseurs
ensplit.
Chaq'remicro-ordinateur est reliê
à unrégulateur
detension
avec unebaÈte.is
rle sccotrrsqui
perrnetle
foncÈionnenent de 1'ordinaÈeur pendant trenÈerlinutes
en cas Cepanne d t
électriciti:.
3.
Servicesstatistiques
3.1
Analyse
rles Connées épidémiologiouesUn temps considérable
a ât6
consacréà l'analyse
continue des Conn4esépidémiologigues
dont les rêsultats ont êté reportés ail1eurs.
Les analyscs !.csplus
irnportanÈesqui ont êtê
exécutéessont les suivantes
ia)
Lanouvellc
méthodologie d'analyse pour1'ôvaluation dc
1alutte et la
régression delrinfection a êtê
1?objet detests plus
pousséset
estmaintenant employ6e
sur
une base deroutine.
ELle concerneles indices d'infee^
tion
parmiles
enfants nés aprèsle
début du Prog,rammc, I,e tendance Cansla
chargemicrofilarienne
dansla
com,unauté, Cansla
peau (CMFC)et la
chargemicrofilarienne
dansla
chambreantérieure
de1roeiI.
Les Ceuxderniers
indices-6-
qui
découlent du urodèle dela force d'infecÈion, sont calculés
pour des cohort:-e dradulÈes de 20 anset plus.
ona
coomencélranalyse relative à lreffet
de1:absentéisme
sur les
tendances observéeset les résuttats préliminaires
su1;r'ir;nt que I'abscntéismeaffecte
seulenentla
ehar3c moyenne(les
absentsétant
moinsinfectês)
mais nonla
tendanco anrèslc
Cébut du Prog.ramote' Dc nouvelles Eéthod3sanalytiques
sont,aussi
entrain d'être
dévelopnées pour 1'analyse des donnêesrelatives à la
ponulationrltun
âge cornpris ent-re0 ct
20 ans au début'Ju Prelrarnc.b)
Lranalyse déÈai1}ée des données ophcalurologiques pour une cohorte de populacion de 12villages
après7 à
B années delutte anEivectorielle, y
s6i;nrisune analyse.Je
1'effet fle I'absentôisoe.
La rrrochaine êtapeconsistera à
analyserItincidence et la
rêgression Ceslésions oculaires Cistinctes et les
facteu=s 'lcrisques qui sty rattachent,
enmettant lraccent sur la diffêrence entre
les1ésions du se6pent
postérieur
eÈ ancêrieur.c)
Ltanalyse des donnéesrelatives à la
nodulectomie-
Lranalysadescriptive est
prcsqueterminée.
La prochaine étapeconsistera à tester
1avaleur
desrésultats
observés avecdifférentes
hypothèsesutilisant les
r;rodè1csappliqués.
d)
L'analyse «les donn6es êpidérrigloo,iques pourla
zone deforêt et la
zone
internnidiaire et la
cornparaisonentre la
Èendance observéeet
lrépiC6micl'ogi-e dravant 1alutte antivectorielle cn
zone desavane.
Uneattention
parËiculièr:ea ét6
donnêeà la
comparaison rlela c6ci.té,
aFrèscorrection
pourle
niveau d'endérnici cé.3,7- Hodelisation
aonliquéeUn progrès consirlêrable
a étê fait
dansIc
rléveloPpement «le mo'-lèlesappliqu6s
i lri:pidémiologie et à
1alutte contre
I'onchocercose,et cêla fere 1'objet
Crunrapport séDaré.
Un premier modèIe Ce''1'histoire
dela vie
hôre/narasite'na
clêjàôt6
d6veloppêet
prograrméet est
actuellementutilis(i
par
ST;'.T nour 1'analyse intég,rêe des rlonnéesépirl6rniologigues.
Lapriorité
est donnée danscette
analyseà f interprêtation correcte
detoutes les
donnÉ-es c"rireflètent la
dynamiquc «tes changements des populations parmila
population dervers
adulÈes aprèsle
CébuÈ du Programme.3.3
Analyse des clonnées morP,hométri.quesDes analyses ,liscriminantes mrrltidinensionnelles
ont étê faites
'l.ilr'3unc analyse
pr6lirninaire
Ces rlcnnées morphotttétriques dessinulies aciuttcs,
:--fi:, dc tester 1'utilité potenticllc
de ces techniques pour 1aclassificatiorr
Cerrclifférentes
cspôces du vecÈeur enrrtilisanc
descritÈrcs
morphomét,'riqut:s. 1')rt:-'les
données rle râférencelinitées âisponibles,
des analysesdiscrininantes
sr'sont
révé1éesplus
perfonaantcs que 1es nêthodcsutilisées
présentement eE 1csrésultats
Étaient.?ssez prometteurs pour-irrstifier la collecte
de donaées dcréférence provenant
.le plus
rlesi.tes et pcur inclure
desvariables
supplénentaires dans 1'analyse.3"4
Analyse dcs
données entomologiquesLranalyse
,létailtée et
inÈf:gr'ee des donnâes cnÈonologiouesn't
Desencore conrnencé,
aa:rgtî:le
besoinurgcnt
rltunetelle analyse.
Lesr'rincipsles raisons sont le
nanque de personnel eEle retard
rlansla livraison
des boîtes de3ernouilly qui sont
nécessaires au stockage Ce L'ênormequantité
Ce donnécs enÈomologiquesréunie par ItOCP.
Cepen«lantcet
équiDe@entest
aEtendu rourbientôt et
avecl,arrivée
du deuxièmesÈatisticien et
du nouveau système Cesaisi'
des données on scattend
à
ce queI'analyse
cles données EI{TOrlécollera à
pleineviËesse en
juin 1985.
On peut envisagertrois
aoprochesCiffÉrentes à
cetÈe analyse.a)
L'analyse génârale détai11êe rles Conn6es cntornoloçiques en meËt3nt lraccengsur les
taux <lcaiqûres, les taux
depioûres infectantes, et la distri- bution
rieslarves infect.qntes.
Les rapPortsentre les diif6rents inJices
enrelation
avecla
<l.urée Cela lutte anEivectoriellc'
avccles
espèces du vecteuret
avecta situation
êpirtêmiolog,ioue. Lr,rnalyse clescaractâristiques
Ce 1aréinvasion et
rJes Eaux de niqüres enrelation
avec!''utilisntion
desinsecticides et
avecles
données hydrologiques.b)
Un supportanalytique
aurâpnort
lrebdomadaire tleVCU. lL a
êt'êproposé 4e
faire entrer
.lansle
fuÈurles
,lonnées hebComaCairesqui
scnÈ envo'yâcsà
6uagarlougoupar radio,
comne données Èemporaires, «lansla
base de données deI'ordinateur
pour ENTO, pour permettre un supportanalytique
irunédiatà
uncnrise
dedécision opérationnelle.
Untel
suoport devrautiliser les
résult,aÈs de1'analysa nentionnée ci.-Cessus
(1) et
ne Dourra donc casôtre
opérationnelle avântla
saison despluics
en 1986.-B-
c) L'analyse
intép,ri:e des données entomologirlueset
énid6miolcgic-ues"
Un
objectif
important Cecette
analyscconsiste à
Cêterminerla significatio"r
êpidéoiologique desindices
entonologiOues ennettant
spÉ:cialementliaccent
surles faibles Dotcntiels
de transmissipnet les
niveaux detolérabilitê
des tauxde piqûres ,lans
les
cr.ifférentssitesi (:pidémiologiques.
La modélisationapl:iicuil
ser€l extensi.rement
utilis6c
dans ceÈte analyse.4,
Âutresactivités
Le
statisti.cien a oris
unepart très active
dans unesérie
de rêunions destinéesà
prénarerle plan
rlrooérations rlela
3ème phasefinancière, à la
planification
dela recherche, à Ia dévolution ct à la planification
desâctivités êpidéniologiques.
Lesr6sultats
épidéroiologiouesont étê
présent6sà
plusie'rrs réunionset ateliers et
à. une conférencc eÈ quelquespublications sont
en pri!r'a-raÈion.
Desvisites
on3été
rendues au personnelstaÈistioue
de I'OC?à
Gcnàveet
quatre réunionssur la
modélisation appliquéecnt
eulieu.
En généralla
rêCaction de
raooorts a constitu6 durant
ltannâe écouli:,e uneactivité
majetrrereguérant beaucoug de
temps.
11est tout à fait
reconnu queltanatyse
des donr,êer'a
peu designification si les
résult.qtenc sont
pas correcEelnentenregistrôs r't
appliguésà
un programrccp6rationnel tel
que ItOCP,et
quetes act,ivités
ci-dessusfont partie
inté.grante desresponsabilités
de STÊT.I1 y a
eu ccpendant souvênt desinterruptions rle
1'analyse des donnôeset
ces charg,es suoplérnentairesconsti- tuent
uneautre raison qui fait
queltarrivée dtun
seconCstatisticien
estatEendue d'urgence.
5.
Renarques
gênéralesLes renlances
principales
err épidémiologieà
IrOCPont été décrites
maintenantet
1'analyse des données i:oi,léniologiquesest
entr6e dans une "Dhasê.le consolidation",
avecla continuation
dtune analysedétaillée et
intégrée.Les prochains drmaines
"drattaque"
dansItorrlre
dujour sont
1'analyse "tes donnéesENTO
et
AOPS,le
développemenÈ supplôrnentaireet I'açolication
de moCèlesappliqués
à lranalyse intégrée, et le transfert
desacEivités relatives
autraite-
Dent des donnêes
et
des bases de Connéesà
Ouagadougou. Ce ne sera pas untravail facile, vu f
importancc <!es donnôesà
analyseret la
n6cessit6 d'une PrograEûnationinnovatrice
pour accomnlirles
tâchesprincipales sur
des mi.cro-ordinateurs.Notre expSrience nous
a
dênontrê que lnanalyseà
Ouagadougoun'cst
Pes seulenent réali.sable mais absolunent nêcessaireà
1'analyse apDrooriée,intégrêe et affinôe qui doit être faite.
Cependant 1'accroissementorévisibl,e les activités
âu coursde lrannée à
venir
posela
question desavoir si notre
nain-d'oeuvreet
notre harCwarcsont suffisants
pour cetravail.
Àu cours ,Je ltannée àvenir
une 6nctn"-quantité
detravail
deprogramation
devraêtre fait nais cela
sera Deut-Êtreréalisé
avec une assistance sunplémentaire denotre
perscnnel .le Cenàve,qui
estdéjà activenent
engagê,lanslc transfert
desactivitâs,
eÈ.avecItaide
de ccnsul-tants.
Pourle
rléveloppement eÈla
prograonation cle modô.les apoliqui:s nousespérons pouvoir
continuer
à. comptersur la collaboration
dtauÈresinstitutions"
Une