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Le premier problème à résoudre : comment se mettre au travail ? Pour être efficace au travail, il faut : 1. Motivation Prends le temps de te poser les questions suivantes : 

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Texte intégral

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La méthodologie est littéralement la « science (logos) de la méthode », le discours (logos) sur la méthode.

Il n'existe pas une méthode unique pour étudier un phénomène. Selon la complexité du thème ou la problématique et les compétences de la personne chargée de l'étude, la méthode peut être :

un ensemble de « petits trucs » permettant de simplifier la tâche ;

un « pense-bête » d'actions à ne pas oublier ;

un ensemble d'outils à utiliser ;

une démarche systématique, qui permet de décomposer le thème d'étude en tâches simples, et de faciliter la comparaison de l'étude avec d'autres études similaires ;

Une méthode est souvent un savoir-faire développé par une personne ou une équipe travaillant dans un domaine. La méthodologie est donc également une forme de capitalisation de l'expérience.

Objectif général

L'étudiant connaît les règles fondamentales de la méthodologie de travail et d’apprentissage et les applique dans des exemples pratiques. Il acquiert les connaissances de base sur l’organisation du travail. Il reçoit les notions nécessaires pour être à même d'actualiser ses connaissances de manière indépendante.

Objectifs particuliers

Connaître la méthodologie du travail individuel.

Distinguer les différentes méthodes et circonstances de travail.

Planifier et documenter le travail (protocoles, rapports journaliers).

Etre capable d'organiser, de suivre, se concentrer, mémoriser et de mener à bien des projets.

Le premier problème à résoudre : comment se mettre au travail ?

Pour être efficace au travail, il faut : 1. Motivation

Prends le temps de te poser les questions suivantes :

«Pour quoi, dans quel but est-ce que j’étudie?» ;

«Quel est mon projet professionnel, d’études?» ;

«En quoi mes études vont-elles me permettre de réaliser mon projet professionnel?»

Après avoir bien réfléchi à ton projet, tu seras certainement assez motivé

pour étudier sérieusement et y consacrer le temps et l’énergie nécessaires.

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Quelques trucs pour maintenir sa motivation :

Se fixer des petits objectifs à court terme pour se rendre compte des progrès réalisés

Se rappeler régulièrement l’importance et l’utilité de ce que l’on fait

Imaginer le résultat final

Varier son travail en alternant les tâches intéressantes et moins intéressantes

Se récompenser à la fin d’un travail ou lorsqu’un objectif a été atteint.

2. L’environnement de travail 2.1. Le lieu d’étude

A la question « où travaillez-vous ? », il devrait être :

Confortable

Tu dois te sentir bien dans la pièce où tu vas étudier. Si ta chambre se trouve sous le toit et qu’elle n’est pas bien chauffée l’hiver, il n’est pas idéal d’utiliser son énergie pour se réchauffer. Utilise également une bonne chaise et adopte une bonne position de travail. De même la lumière doit être suffisante.

Calme

Travailler dans un lieu calme est très important ; la télévision ou la radio aident rarement à la concentration (briser la monotonie du silence, couvrir les autres bruits de la maison) !

Pratique

Il vaut mieux avoir un espace suffisamment grand pour pouvoir ouvrir ses livres et/ou cahiers et prendre des notes: un grand bureau si possible rangé est favorable au bon déroulement de son travail – à noter qu’une table de cuisine (à condition que personne n’y prépare le repas) peut parfaitement convenir!

A la bibliothèque. Cette alternative est très utile pour tous les étudiants qui ne trouvent pas le calme à la maison. L’ennui est que les heures d’ouverture ne sont pas toujours adaptées à votre emploi du temps.

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

L’organisation

Pour répartir au mieux ton travail entre les heures de cours, les trajets, les repas, le sommeil, et les loisirs, il faut te faire des PLANS :

a) Un plan général de toutes tes activités hebdomadaires.

b) Un plan de travail à court terme, à récrire chaque semaine.

Peut-être as-tu l’impression de perdre du temps en faisant tes plans, en fait tu en gagneras beaucoup. Essaie!

a) Plan général des activités hebdomadaires

Mets par écrit ton horaire hebdomadaire, Note d’abord tes

heures de cours, Note dans une couleur

les activités obligatoires : trajets, sommeil, repas, Note dans une autre couleur tes activités régulières : sport, théâtre, etc, Réserve-toi des plages de travail, note-les, et respecte-les, Prévois toujours une marge de sécurité.

Teste ton plan, trouve un rythme qui te convient au mieux, et respecte-le: il est plus efficace de suivre un rythme régulier et de le tenir toute l’année que de travailler par à-coups (trois jours de suite plusieurs heures puis plus rien pendant dix jours).

NB. Voir le tableau n 1.

TABLEAU DIAGNOSTIQUE

HEURES SAMEDI DIMANCHE LUNDI MARDI MERCREDI JEUDI

6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 0 1 2 3 4 5

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Equilibrez vos activités

Il est important d’avoir un bon équilibre entre vos différentes activités : inutile de travailler tous les jours sans arrêt, vous serez épuisé et stressé à la fin de l’année.

Réservez-vous des moments de détente, ainsi que des activités sportives : le sport est un excellent moyen pour évacuer le stress et pour être plus concentrée au moment de se remettre à son bureau.

Prenez garde toutefois de ne pas vous épuiser !

Prends le temps de manger

Il est nécessaire de bien manger et de prendre le temps de le faire : inutile de mange en dix minutes pour vite retourner étudier : en fin de compte, tu auras perdu du temps, car tu seras bien moins efficace.

Dors suffisamment

Il en est de même pour le sommeil : fixe-toi une heure limite après laquelle tu n’étudie plus : tu seras de toute façon très peu efficace. Travailler jusqu’à des heures tardives risque d’avoir des répercussions sur la qualité de ton travail.

Protège votre temps

Apprend à dire NON. Sois ferme et dis à tes copains que tu les rejoindras plus tard ou un autre jour.

Eteins ton téléphone portable ou ton ordinateur lorsque tu travailles.

Ainsi, tu ne seras pas tenté d’envoyer des messages ou de te connecter à des réseaux sociaux.

Si tu es sans cesse dérangé par un membre de ta famille, remets en question ton lieu d’étude : est-il vraiment approprié ?

Ne serais-tu pas mieux à la bibliothèque ? 3. D’un point de vue biologique

Bien connaître les propriétés de son corps permet de prendre des mesures adéquates pour gagner en efficacité.

Les rythmes circadiens

Marie-Françoise Vecchierinil explique que « de très nombreuses fonctions physiologiques en dehors de l’alternance veille / sommeil suivent un rythme circadien ». Cela signifie que ces fonctions (la température, la fréquence cardiaque, l’humeur, la vigilance et l’estimation du temps) ont un cycle d’environ 24 heures. Autrement dit tous les jours à la même heure nous nous trouvons sur le même point des différentes courbes.

Généralement, l’être humain atteint un seuil maximal de vigilance autour de 15h. On serait donc biologiquement plus efficace à cette heure-là. Or c’est généralement l’heure où on se trouve à l’école ou au travail.

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Nourriture

Pour être attentif et apte à travailler, il est important de bien se nourrir. Les différents groupes d’aliments apportent au corps tout ce dont il a besoin pour être opérationnel. Pour satisfaire le corps et notamment le cerveau en besoin nutritionnel (glucides, lipides, et protéines…) il est important de manger plusieurs types d’aliments donc de prendre un repas équilibré, de manger varié. Attention cela ne veut pas forcément dire qu’il suffit de manger différent dans la journée. Par exemple si votre repas de midi est composé d’hamburger et de frites et le soir de pizza vous avez en fait mangé la même chose : votre alimentation de la journée s’est caractérisée principalement par un fort apport de lipides sous forme de graisse animal sans pour autant couvrir, loin de là même, vos besoins en vitamines, en glucides, en fibres… Une alimentation équilibrée est une alimentation qui permet de couvrir (sans excès) les besoins des différents éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement notre corps et surtout notre cerveau.

Il faut donc apprendre à modérer et à structurer ses repas, sans vouloir pour autant suivre un régime digne de sportifs de haut niveau. Une pizza à l’occasion, le soir, ne peut pas faire de mal, mais veiller dans ce cas que le repas de midi soit composé de légumes et de fruits pour garantir l’apport en vitamines et en glucides (notamment en fructose). Un repas équilibré ne veut donc pas dire restriction.

Le rôle de chaque substance

Voici, en résumé, les substances dont notre organisme a besoin :

Les protides ou protéines (du grec « protos », qui signifie substance principale). Les protides sont des molécules qui permettent à notre corps de réparer l'usure des tissus.

Les lipides (du grec « lipos », qui signifie graisse). Elles sont le principal réservoir d'énergie et elles permettent également de modeler le corps. Elles ont un rôle dans l’aspect plastique.

Les glucides (du grec « glukus » qui signifie doux). Le glucose est le carburant de toutes les cellules du corps.

Les vitamines sont des substances (au nombre de 13) indispensables à la croissance, la reproduction et au bon fonctionnement de tous les organes du corps. L'organisme ne peut pas fabriquer la plupart des vitamines. Celles-ci sont obligatoirement apportées par l'alimentation.

Les sels minéraux sont minéraux identiques à ceux que l’on trouve dans les roches de la terre. Notre organisme a besoin de 22 minéraux différents. Ils sont particulièrement indispensables à la croissance du corps et à son fonctionnement quotidien.

Eviter de sauter un repas

Il est illusoire de croire que sur un plat ou même sur un repas l'équilibre alimentaire peut être garanti.

L’équilibre alimentaire s’atteint sur une journée entière, voir même sur la semaine. Et si vous mangez trop peu à un repas il est possible de rattraper ce déficit sur le repas suivant. Evitez l’erreur de croire qu’en se privant d’un repas, vous arriver à maigrir. C’est généralement l’effet inverse qui se produit:

pour compléter le manque, le cerveau va demander au corps de stocker et vous gagnez automatiquement du poids. Au final vous serez fatigué(e) car il manquera à votre cerveau les substances dont il a besoin quotidiennement pour assurer une performance intellectuelle optimale.

Enfin, pour la même quantité d’aliments absorbés dans la journée, il vaut mieux 4 petits repas (petit déjeuner, un midi léger, un goûté composé essentiellement de fruits et un repas du soir) que 2 gros repas (le midi et le soir). Cela aura aussi l’avantage de soulager votre digestion et d’éviter le « coup

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de barre » qui va réduire sensiblement votre productivité au travail, d’autant plus s’il s’agit de produire un effort intellectuel soutenu. Mais attention ne confondez pas non plus 4 petits repas et grignotage.



Le sommeil

Pour être en forme au travail, il est indispensable d’avoir des périodes de récupérations.

Comme nous le verrons plus loin, les pauses contribuent à ce ressourcement, mais l’élément essentiel est évidemment le sommeil.

On distingue deux types de sommeil, qui sont tous les deux réparateurs :

Le sommeil lent. Il est surtout présent au début de la nuit et facilite la fabrication de protéines.

Or comme nous le savons maintenant, les protéines permettent la transmission nerveuse.

Le sommeil paradoxal. Il apparaît à la fin de la nuit et porte ce nom car il est caractérisé par une activité mentale intense. Cette phase de sommeil permet une réorganisation des neurones. On dit aussi que c’est à ce moment que l’information accumulée durant la journée est organisée et stockée.

En résumé les deux phases du sommeil sont essentielles pour une condition optimale. Un conseil évident serait donc de ne pas se coucher trop tard, ni se lever trop tôt, sous peine de diminuer les instants réparateurs.

La relaxation

Aménagement de pauses

Des études ont montré que les facultés de mémorisation et de compréhension s’amenuisent au cours d’une période d’apprentissage. Il est donc recommandé de s’aménager des pauses régulièrement lorsqu’on travail. C’est d’ailleurs ce qui a été mis en place à l’école, puisque les élèves disposent généralement d’un quart d’heure entre chaque cours de trois quarts d’heure.

On sait également que les instants où l’on retient le mieux l’information se situent au début et à la fin de chaque période d’apprentissage, ainsi en effectuant des pauses, on multiplie les périodes propices à la mémorisation. Toutefois des pauses trop rapprochées (en dessous de 30 min.) ne sont pas conseillées car elles laissent tout juste le temps de se mettre dans le rythme du travail. La bonne fréquence se situe donc entre 45 minutes et 1 heure 30.

Faire du sport

La pratique d’un sport comporte de nombreux avantages. Elle améliore la qualité du sommeil, ainsi que sa durée puisqu’on s’endort plus vite après une activité physique. D’autre part, on observe une augmentation de l’attention de jour. Il est également reconnu que le sport détend et qu’il canalise l’agressivité.

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La relaxation oculaire

La fatigue oculaire

A chaque instant, pour chacune de vos activités, vous sollicitez vos yeux : et vous ne leur accordez aucune défaillance. La variété des tâches demandées est très vaste :

Vision de près : lecture, écriture

Vision moyenne : télévision, regard dans une pièce...

Vision lointaine : conduire automobile...

Reconnaissance des formes, des couleurs...

Estimation des distances, des vitesses.

De plus, vous alternez constamment ces différentes tâches et c'est ainsi que vous demandez à votre oeil, plusieurs centaines de fois par jour (sinon par heure) de s'adapter à différents supports.

Les quelques conseils qui suivent devront vous permettre d'utiliser vos yeux avec un maximum d'efficacité et un minimum de fatigue.

Attention danger si... :

Votre cornée est irritée (on voit davantage les vaisseaux sanguins.)

Vos paupières vous semblent « lourdes »

Vous avez envie de vous frotter les yeux

Vous ôtez vos lunettes pour frotter vos globes oculaires.

Votre vision n'est plus très nette (les contours des objets vous semblent un peu flous)

Le texte vacille très légèrement.

Vous ne discernez plus avec précision les couleurs et leurs nuances

Vous éprouvez des maux de tête, au niveau des sourcils, à la base du crâne.

VOS YEUX SONT SURMENES.

CESSEZ TOUTE ACTIVITE.

RELAXEZ-VOUS ! !

Il existe par ailleurs deux types de fatigue :

Une fatigue de convergence : ce sont tous les muscles périoculaires chargés d’assurer les

déplacements du globe oculaire dans sa cavité qui ne peuvent plus répondre à votre attente.

Une fatigue d’accommodation : les muscles ciliaires, l’iris, le cristallin ne parvient plus à s’adapter

aussi rapidement aux différences de distances, d’éclairage, de couleurs.

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Quelques techniques de relaxation oculaire

Ne jamais se frotter les yeux

Détendre l'état général. Bien se « caler » sur son siège, le dos bien appuyé, les jambes étendues, les pieds à plat, les bras pendant le long du corps.

Desserrer les poings, ne pas crisper les mâchoires, laissé les paupières se fermer légèrement.

Contrôlez la respiration. Expirer et inspirer lentement et régulièrement pendant 2 à 3 minutes.

Puis inspirer lentement en comptant mentalement jusqu'à 6, puis 8, puis 10, puis expirer au même rythme pendant 2 à 3 minutes.

Otez vos lunettes

« Palming ». Placez les paumes de vos mains sur chaque oeil sans appuyer ni toucher à l’oeil.

Evitez que le poids des mains ne repose sur les parois nasales. Le cas échéant, posez vos coudes sur une table. Veillez à ne pas contracter les muscles du visage ou du cou. Peu à peu les phosphènes disparaissent et votre oeil se trouve dans le noir complet sans être stimulé par aucune lumière.

Pensez à quelque chose de chaud, un bain de liquide tiède dans lequel votre oeil serait parfaitement à l'aise. Laissez votre oeil vagabonder librement pendant 1 à 2 minutes.

Toujours dans l'obscurité, vous déplacez vos yeux lentement, 3 fois vers la gauche, puis vers la droite. Ensuite, vous déplacez vos yeux vers le haut puis vers le bas toujours lentement. Ramenez les yeux au centre.

Faites les mêmes mouvements que précédemment, mais très rapidement : à gauche, à droite, vers le haut, vers le bas.

Battez des paupières 10 fois rapidement ; puis 10 fois lentement en haussant les sourcils au maximum pour bien détendre tous les muscles.

Reprenez la position au repos du « palming ».

Ouvrez lentement les yeux pour vous habituer à la lumière ambiante.

Ces différents exercices durent 4 à 5 minutes ; N’hésitez pas à les pratiquer plusieurs fois par jour, surtout lorsque vous éprouvez un des symptômes cités précédemment.

Par ailleurs, voici d’autres moyens de diminuer votre fatigue :

Avec l'extrémité des doigts vous décrivez autour des yeux de légers mouvements circulaires puis

vous remontez vers les tempes en descendant derrière les oreilles.

Attention à ne pas trop appuyer.

Le matin ou le soir, si votre cornée est irritée, avec un linge propre mouillé d'eau chaude, vous le

posez délicatement sur vos yeux en prenant la position du « palming », puis vous dégagez vos yeux.

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Se concentrer

La concentration est la faculté de ne penser qu’à une seule chose à la fois, de ne penser qu’à ce que l’on est en train de faire.

La concentration est l’orientation de l’ensemble de ses activités mentales vers un seul objet.

La concentration n’est pas un état passif. Au contraire, elle demande de mobiliser ses énergies pour fixer son attention sur la tâche à accomplir.

Les conditions favorables à la concentration

Pour arriver à se concentrer, il faut avant tout réunir certaines conditions (évoquées en partie au chapitre «Les conditions favorables pour les études»):

Se fixer des heures régulières et appropriées d’étude : rappelle-toi que la concentration est optimale en matinée et entre 15 heures et 21 heures.

Varier les tâches difficiles et les tâches plus faciles, afin de reposer régulièrement son esprit et de pouvoir mieux se concentrer sur les tâches difficiles.

Prendre régulièrement une pause.

Avoir un aide-mémoire pour noter tout ce qui vient à l’esprit (choses à faire, etc.): ça évite d’y penser, et ça permet d’être complètement concentré sur sa tâche.

Avoir un objet (ou un rituel) que l’on associe à l’activité d’étude. Par exemple poser devant soi un objet que l’on n’utilise que pour étudier. Certaines personnes ont aussi un petit rituel, qu’elles font systématiquement avant de se mettre à étudier: par exemple, se préparer une grande tasse de thé, la poser sur son bureau et se mettre au travail.

Si votre ordinateur se trouve sur votre surface de travail, éteignez-en l’écran lorsque vous ne comptez pas l’utiliser. Ainsi, vous serez moins tenté d’aller lire vos courriels.

Un rythme de vie équilibré

Chasser ses idées-parasites

Un endroit adéquat pour l'étude... et seulement pour l'étude

Tentez d'éliminer ou de réduire les distractions dans le milieu où vous travaillez (télévision, radio, nourriture, autres personnes, etc.).

Essayez, si possible, d'utiliser toujours le même endroit pour votre étude. Cet endroit sera donc associé à la concentration.

Évitez le lit comme lieu de travail. Il est important de travailler dans une position qui incite à l'action, donc une position assise et légèrement inclinée vers votre travail et non le contraire.

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Évitez la musique, à moins d'en être incapable. Si cela vous aide à vous concentrer, choisissez une musique instrumentale que vous connaissez bien. Le disque que vous avez acheté récemment diminuera à coup sûr votre concentration.

« Je me réchauffe l'esprit... »

Une activité physique se réalise mieux lorsque vous vous réchauffez avant de l'accomplir. C'est la même chose pour les tâches intellectuelles. Faites une transition entre votre dernière activité et votre travail. Par exemple, prenez quelques minutes pour relaxer et revenez sur votre objectif d'étude et sur vos motivations à le réaliser. Vous pouvez également réfléchir à ce que vous avez vu dans le cours jusqu'à maintenant ou faire un survol des lectures à faire. En résumé, préparez doucement votre esprit à ce que vous allez faire.

Un travail divisé = un esprit structuré !

La division du travail en petits objectifs précis avant de débuter favorise la concentration. Élaborez un objectif précis et une approximation du temps requis. Plus vous avez de la difficulté à vous concentrer, plus vos objectifs devraient être précis mais surtout, petits. Par exemple, faire l'exercice numéro 5 dans le cours X.

« Si je bloque sur une notion »

Lorsque vous avez de la difficulté à comprendre un problème ou une notion, il est bien de persévérer. Cependant, l'acharnement à résoudre une difficulté entraîne souvent une baisse de la motivation et une diminution de vos habiletés de résolution de problème. Persévérez, mais faites- vous aider ou prenez une pause si votre difficulté persiste

Récompensez-vous !

Même après avoir réalisé un objectif minime, offrez-vous une récompense sous forme de pause. Si vous avez des difficultés de concentration, il est préférable de faire plusieurs courtes pauses plutôt que d'en faire une très longue après l'atteinte d'un gros objectif.

Quoi faire pendant vos pauses ?

Dans le cas de pensées négatives, telles que des inquiétudes ou des problèmes divers qui nuisent à votre concentration, il s'agit d'être actif ou active face à ce qui vous préoccupe. Tenter de ne pas y penser fonctionne rarement avec les pensées négatives. Lorsque ce type de pensées (ex. : inquiétudes, préoccupations, souvenirs douloureux) vous viennent à l'esprit, arrêtez votre travail et écrivez ces pensées. Il sera alors moins difficile de prendre du recul et d'élaborer des solutions possibles face à ce qui vous préoccupe. Une fois la pensée écrite, tentez de trouver un début de solution au problème ou identifiez un moment où vous pourrez y revenir. Une fois cet exercice fait, retournez au travail. Dans le cas de rêves éveillés, c'est-à-dire de pensées positives qui nuisent à la concentration, il sera également important de ne pas attendre qu'ils quittent votre esprit d'eux-mêmes. Voici une stratégie que vous pouvez essayer : lorsque vous vous apercevez que vous êtes « dans la lune », levez-vous et terminez votre rêve debout. Par la suite, retournez au travail. Si vous faites cet effort à presque toutes les fois que vous rêvassez, ce problème diminuera.

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Il faut augmenter la probabilité de revenir au travail... et favoriser la concentration pour votre prochain objectif. Lors de votre pause, bougez un peu, respirez de l'air frais. Il faut oxygéner votre outil de travail, c'est-à-dire votre cerveau ! À la fin de votre pause, élaborez un nouvel objectif.

« Des idées me trottent dans la tête, comment les chasser ? »

La concentration est facilement influencée par différentes variables, notamment la fatigue excessive, la maladie, la déprime, le manque de sommeil, l'alimentation, la consommation de psychotropes (ex. : le cannabis et l'alcool), etc. Si vous avez des difficultés de concentration importantes, analysez votre rythme de vie et évaluez si certains points seraient à ajuster. N'oubliez pas que votre concentration est votre principal outil de travail.

Être en forme !

Des stratégies d'étude qui stimulent la concentration

Concentration et motivation

Le degré de concentration est également relié à votre degré de motivation par rapport à une tâche.

Comme nous l'avons vu, il est important de revenir sur vos bonnes raisons d'étudier avant de commencer, surtout si vous sentez une démotivation pour la tâche que vous voulez débuter. La concentration est fragile et plusieurs variables peuvent l'influencer, telles que les stimulations de votre environnement ou vos inquiétudes. C'est pourquoi il est plus efficace d'élaborer un plan d'action afin d'améliorer votre concentration que de vous blâmer pour un manque d'efficacité dans votre travail.

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Conclusion

La technique POMODORO (Francesco Cirillo, 1980)

Cette technique vise à favoriser son autodiscipline. Elle oblige à entamer une tâche (surnommée « pomodoro », ou tomate en italien, en référence aux minuteries de cuisine en forme de tomate) et à ne pas se laisser distraire par les bruits ambiants ou par ses pensées. Bien entendu, un entraînement régulier est recommandé pour constater son efficacité. Voici donc les outils nécessaires avant de commencer : une minuterie, un crayon et une feuille de papier.

Régler la minuterie à 25 minutes. Ce temps correspond à la durée moyenne pendant laquelle le cerveau peut se concentrer efficacement sur une même tâche ;

Commencer à travailler sur la tâche et lorsqu’une distraction surgit, par exemple, l’idée de répondre à un courriel ou de rendre un appel, l’écrire sur une feuille, sans plus. Essayer aussi de résister à l’envie de lever la tête au moindre bruit ;

Se remettre à la tâche jusqu’à ce que la minuterie sonne. Quand les 25 minutes sont écoulées, prendre alors une pause de 3 à 5 minutes. Profiter de cette période pour relâcher la pression, s’étirer, bouger et respirer profondément ;

Après 4 périodes « pomodori », vous devez faire une pause plus longue de 15 à 20 min. Consulter alors la liste de distractions et évaluer leur importance. Si c’est le cas, exécuter la tâche maintenant ou la rajouter à la liste de tâches. Ne pas oublier de rayer de la liste de tâches les tâches complétées ! Résumé

Vous avez constaté que la réussite n’est pas seulement une question d’intelligence. Elle repose en grande partie sur le choix de procédés qui permettent de réaliser les tâches de la manière la plus efficace (pour soi). Adopter de nouvelles méthodes de travail intellectuel peut sembler ardu.

Courage ! C’est en persévérant que vous développerez de bonnes habitudes qui vous serviront tout au long de votre formation.

(13)

FAIRE UNE RECHERCHE DOCUMENTAIRE

Méthodologie

Que ce soit pour un exposé, un mémoire, une thèse, ou pour votre connaissance personnelle, ce

processus est indispensable mais néanmoins compliqué.

Voici une multitude de conseils organisés en un processus en 5 étapes :

Etape 1 : définir mon sujet

Etape 2 : rassembler l'information de base

Etape 3 : déterminer les types de documents

Etape 4 : chercher les références

Etape 5 : présenter une bibliographie

plus un point particulier sur le classement des références d'une bibliographie

DÉFINIR LE SUJET

Nous allons nous appuyer sur un exemple.

Partons du sujet d’étude suivant : « L’INCLUSION SCOLAIRE DES ENFANTS AUTISTES ».

Quel est mon sujet ?

L’inclusion scolaire des enfants autistes.

Quels sont les concepts à utiliser ? Quels sont les principaux mots clés ? Mots clés : Inclusion, autisme, handicap, milieu scolaire, enfants autistes

N.B : Un mot clé décrit le sujet d’un document. Il provient d’un vocabulaire préétabli

et ne correspond pas toujours au vocabulaire courant

Quel est le contexte de votre recherche ?

approche théorique

adopter une approche psychologique champ géographique

(14)

Étudier l’inclusion scolaire dans la region période de la recherche

étudier l’inclusion scolaire depuis le début des années 2000

De quelles informations avez-vous besoin pour traiter votre sujet ? Historiques

RASSEMBLER L’INFORMATION DE BASE

Consultez les ouvrages de référence :

 Encyclopédies (vue d'ensemble du sujet)

 Dictionnaires (signification des termes, définition linguistique) Complétez cette recherche d'information de base en consultant :

 des dictionnaires spécialisés

 des traités

 des manuels

N.B : Pensez à noter ce que vous trouvez et où vous l’avez trouvé car vous pourrez être amené(e) à faire des vérifications, des citations. Relevez les références bibliographiques complètes : auteur, titre, éditeur, date, ville…

DÉTERMINER LES TYPES DE DOCUMENTS PERTINENTS

Après la rechercherche de base, interrogez-vous sur le type de documents qui seront susceptibles de vous donner l'information la plus pertinente par rapport à votre sujet. Il peut s'agir de :

 Monographies (livres)

 Mémoires (de DU, DIU, L3, M2P ou M2R)

 Thèses (de doctorat)

 Actes de colloques

 Rapports

 Articles de périodiques

(15)

 Documents audiovisuels

 Arrêtés et autres textes juridiques (circulaires, lois, décrets)

CHERCHER LES RÉFÉRENCES

Consultation des bibliographies établies

 La bibliographie est constituée de l'ensemble des documents relatifs à un domaine ou à une problématique, généralement établie par des spécialistes. C’est une liste, classée selon certains critères, permettant le repérage des documents référencés.

 Votre sujet fait écho à des thèmes que vous aurez abordés au cours de votre formation. Les auteurs de référence de la discipline auront été évoqués et peuvent constituer un point de départ pour vos recherches bibliographiques. En effet vous commencerez par consulter les bibliographies de ces auteurs pour ensuite enrichir vos recherches.

Les bibliographies sont à consulter en début de recherche, elles vous permettront de repérer les titres importants.

N.B : Pensez à noter ce que vous trouvez et où vous l’avez trouvé car vous pourrez être amené à faire des vérifications, des citations.

Relevez les références bibliographiques complètes : auteur, titre, éditeur, date, ville…

Interrogation des catalogues

Utilisez les catalogues des bibliothèques (le catalogue recense l’ensemble des documents de la bibliothèque).

Ces catalogues sont consultables en bibliothèque ou en ligne.

Chaque base de données ou base bibliographique possède sa propre syntaxe. La plupart du temps, une aide en ligne est proposée.

Interrogez les bases de données des articles de presse (journaux d’actualité ou revues) Ces bases de données sont généralement accessibles via les bibliothèques universitaires (Europresse, CD-RAP, Généralis)

 La recherche par auteur ou par titre

(16)

A partir des références bibliographiques que vous aurez trouvées, vous rechercherez : - Soit un ouvrage spécifique (recherche par auteur + titre) - Soit les différents ouvrages d’un même auteur (recherche par auteur)

 La recherche par mots clés

Vous interrogerez le catalogue à partir des mots clés que vous aurez listés.

Conseils pour la saisie des mots-clés

1. les mots clés

Ils doivent être : courts (pas de phrase) - non accentués - en minuscule

Quand une base de données présente un index : le consulter (l’index présente les différentes formes d’un mot clé)

Reprenons l'exemple précédent, les mots clés sont les suivants : inclusion, autisme, handicap, milieu scolaire, enfants autistes

Votre recherche peut commencer par le mot clé le plus important : « Inclusion »

1. les opérateurs logiques :

ET (AND) OU (OR)

Selon notre exemple, vous élargissez votre recherche en ajoutant l'épithète « scolaire » ou le mot

«autistes»

« Inclusion » ET « scolaire »

« Inclusion » ET « autistes »

« Inclusion » OU « scolaire »

« Inclusion » OU « autistes »

Quelques catalogues consultables en ligne

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SAVOIR REDIGER UNE BIBLIOGRAPHIE ET CITER SES SOURCES

1. Les références bibliographiques

Le travail de recherche et l'écriture d'un texte scientifique (rapport, article, thèse,...) suppose une recherche d'information approfondie. Cette recherche, inscrite dans

la démarche scientifique, prend directement appui sur les travaux antérieurs. L'information choisie et exploitée permet de développer une réflexion personnelle.

Ainsi, chacun des documents, retenu et analysé, contribue à la crédibilité scientifique du travail de recherche. Afin de faciliter la réflexion des lecteurs, qui à leur tour vont vouloir croiser leurs informations, il convient de référencer correctement les travaux cités en rédigeant une partie intitulée "Références Bibliographiques".

une référence bibliographique varie selon le type de document (ouvrage, article de périodique, thèse…) et le support sur lequel il est conservé (papier, cédérom, en ligne…).

une référence bibliographique est constituée d’éléments indispensables au bon signalement du document cité (auteur, titre de l’ouvrage ou du périodique, titre de l’article, éditeur, année de publication, etc….).

� ces éléments doivent respecter un ordre précis et dans un style choisi pour chaque élément (taille des caractères, police…)

2-REDACTION DES REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

(18)

En fin de rédaction d'un rapport, d'un mémoire de thèse, de DEA, vous êtes amené à rédiger le chapitre Références Bibliographiques. Cette partie regroupe les références des documents que vous avez utilisés dans votre travail de recherche. Elle doit permettre l'identification et la localisation des documents.

Ce guide a pour but de vous aider à rédiger les références bibliographiques de votre mémoire. Il regroupe des règles précises qui vous permettront de référencer les documents retenus en respectant une présentation cohérente et logique.

Consignes générales

Une référence bibliographique :

• varie selon le type (ouvrage, articles, congrès,…) et le support (papier, on line, cédérom,…) du document auxquels elle se rapporte,

• est constituée d'éléments (auteur, titre, édition,…) indispensables au bon signalement. Ces éléments doivent respecter un ordre précis.

Pour retrouver les éléments d'une référence bibliographique, les principales sources sont les pages de titre et de couverture des documents. Bien entendu il existe d'autres sources (dos de page de titre,…).

• doit être présentée de façon homogène dans le style choisi pour chaque élément (taille des caractères, police et graisse).

Si le nombre d'auteurs est supérieur à 3, ne citez que les 3 premiers suivis de "et al.".

Si le ou les auteurs sont des auteurs personnes morales ou collectivités auteurs (par exemple : AFNOR, INSEE..) : citez le ou les en tant qu'auteurs.

Si l'auteur est un éditeur scientifique ou Editor en anglais : citez-le en tant qu'auteur et ajoutez après le ou les noms des éditeurs, l'abréviation "Ed." pour un seul auteur ou "Eds." à partir de deux auteurs.

Dans ce document Les références bibliographiques sont rédigées conformément à la norme NF Z-44-005 de décembre 1987 concernant les publications imprimées, livres et publications en série, leurs parties composantes (chapitres, articles) et les brevets et conformément à la norme

(19)

NF ISO 690-2 (Z 44-005-2) de février 1998 pour les documents électroniques, documents complets ou parties de documents.

2.1Ouvrage

2.1.1Ouvrage papier

AUTEUR . Titre de l'ouvrage. Tomaison. Édition. Lieu d'édition : Éditeur commercial, année de publication, nombre de pages. (Titre de la Collection, n° de la collection) ISBN (Facultatif)

Exemples :

GUIMELLI Christian. Structures et transformations des représentations sociales. Neuchâtel, Switzerland : Delachaux et Niestlé, 1994, 277 p. ISBN 260300945

2.1.1.1Ouvrage et chapitre ayant le même auteur

AUTEUR . Titre du chapitre. In : Titre de l'ouvrage. Tomaison. Édition. Lieud'édition : Éditeur, année de publication, pagination. ISBN (Facultatif)

Exemple :

HARTL Daniel L., CLARK Andrew G. Population substructure. In: Principles of population genetics. 3rd ed. Sunderland, USA: SinauerAssociates, 1997, p.111-162. ISBN 0878933069.

2.1.1.2Ouvrage et chapitre ayant des auteurs différents

AUTEUR du chapitre. Titre du chapitre. In : AUTEUR de l'ouvrage. Titre de l'ouvrage. Tomaison.

Édition. Lieu d'édition : Éditeur, année de publication, pagination.ISBN(Facultatif)

(20)

Exemple :

CHARNY Georges, SCHON Jean-Paul. Transferts de chaleur par convection. In : SACADURA J.F.

Coord. Initiation aux transferts thermiques.Paris : Tec & Doc, 1993, pp.185-269.

2.1.1.2 Ouvrage et chapitre ayant des auteurs différents

AUTEUR du chapitre. Titre du chapitre. In : AUTEUR de l'ouvrage. Titre del'ouvrage.

Tomaison. Édition. Lieu d'édition :Éditeur, année de publication, pagination. ISBN (Facultatif)

Exemple :

CHARNY Georges, SCHON Jean-Paul. Transferts de chaleur par convection. In : SACADURA J.F. Coord. Initiation aux transferts thermiques. Paris : Tec & Doc, 1993, pp.185-269.

2.1.2 Ouvrage électronique

AUTEUR de l'ouvrage. Titre de l'ouvrage [en ligne]. Tomaison. Édition. Lieu

d'édition : Éditeur commercial, année de publication, nombre de pages. Disponible sur : url (date de consultation). ISBN (Facultatif)

Exemples :

CROWELL Benjamin. Conservation laws [en ligne]. 2nd Ed. Fullerton, USA : Light and Matter, 1998. Disponible sur : http://www.lightnadmatter.com (consulté le

31.01.2001). ISBN 0970467028

2.2 Thèse, rapport de stage

(21)

2.2.1 Thèse papier

AUTEUR. Titre de la thèse. Thèse Discipline. Lieu de soutenance : Université de soutenance, année de soutenance, nombre de pages.

Exemple :

MAAZOUZ A. Mécanismes de renforcement d'un système époxy par des

élastomères (réactifs ou performes) et (ou) des microbilles de verre. Thèse LMMC.

Lyon : INSA de Lyon, 1993, 274 p.

2.2.2 Rapport de stage papier

AUTEUR. Titre du rapport. DEA Spécialité. Lieu : Université, année, nombre de pages.

Exemples :

ROUSSEY Catherine. Méthode d'indexation multilingue fondée sur la sémantique : rapport de stage de DEA . DEA Informatique. Lyon : INSA de Lyon, 1997, 32 p.

BEAUGIRAUD Valérie. Etude de logiciels et mise en place d'une solution

informatique pour la gestion du fonds documentaire : rapport de stage. Licence . Lyon : Université Claude Bernard, Lyon 1, 1999, 49 p.

2.2.3 Thèse électronique

AUTEUR. Titre de la thèse [en ligne]. Thèse Discipline. Lieu de soutenance :

Université de soutenance, année de soutenance, nombre de pages. Disponible sur : URL (date de consultation).

(22)

Exemple :

MARCHETTI Mario. Aspects globaux et locaux de la mise en oeuvre de la lubrification fluide en ambiance spatiale [en ligne]. Thèse LMC. Lyon : INSA de Lyon,

2000, 214 p. Disponible sur: http:// theses .insalyon.fr/publicatio /2000ISAL0082/ these.pdf (consulté le 20.09.2011)

2.3 Rapport de stage électronique

AUTEUR. Titre du rapport [en ligne]. DEA Spécialité. Lieu : Université, année, année de soutenance, nombre de pages. Disponible sur : URL (date de consultation).

Exemple

ALIOTTI F. Étude de 2 chaînes d'édition numérique XML - Projet de diffusion Electronique de la production scientifique de l'INSA : rapport de stage. DESS Ingénierie documentaire. Villeurbanne : ENSSIB, UCBL, 2003, 61 p. Disponible sur : http://docinsa.insa-lyon.fr/these/doc/dess_2003.pdf (consulté de 26.05.2004)

2.4 Périodique

2.4.1 Article de périodique papier

AUTEUR . Titre de l'article. Titre du périodique, année de publication, volume, numéro, pagination. ISSN (Facultatif)

Exemples :

SANCHEZ L. Rafael. A new cyclic anisotropic model for plane strain sheet metal forming. International journal of mechanical sciences, 2000, vol. 42, n° 4, pp. 705- 728.

TALEB L., CAVALLON, WAECKEL F. Experimental analysis of transformation

(23)

plasticity. International Journal of Plasticity, 2000. Accepté pour publication

2.4.2 Article de périodique électronique

AUTEUR . Titre de l'article. Titre du périodique [en ligne]. Année de publication, volume, numéro, pagination. Disponible sur : URL (date de consultation) ISSN (Facultatif)

Exemple :

COWEN Ron. X-rays unveil secret lives of black holes. Science news [en ligne].

2001, vol. 159, n°1, pp. 1-16. Disponible sur :

http://www.sciencenews.org/20010106/fob5.asp (consulté le 31.01.2001).

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Références

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