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Vertus du décentrement

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01624128

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Submitted on 26 Oct 2017

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Vertus du décentrement

Alexandre Gefen

To cite this version:

Alexandre Gefen. Vertus du décentrement. Les Temps Modernes, Gallimard, 2013, 672. �hal-01624128�

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VERTUS DU DÉCENTREMENT

« Ce que je pense de ce livre (cocher la ou les réponses adéquates) :

Ce livre m’a – distrait(e) □ – intéressé(e) □ – ému(e) □ – enchanté(e) □ – impressionné(e) □ – rappelé le Nouveau Roman □ »

Extrait d’un carton réponse inséré par les Éditions de Minuit dans ses romans.

L’ère structuraliste avait placé la critique littéraire au centre du jeu idéologique et politique, rôle que le textualisme postmoderne avait prolongé de plusieurs décennies en nous invitant à faire du décryptage des récits une méthode universelle pour comprendre le monde social : lorsque que régnait en maître un paradigme linguistique pour lequel la pensée et l’action pouvaient se lire comme des codes et des syntaxes, la compétence spécialisée du critique, qu’il soit écrivain, amateur ou universitaire, pour reprendre la tripartition fameuse d’Albert Thibaudet, lui conférait une légitimité quasi universelle, magistère dont le sacre de Barthes dans des sphères bien extérieures à la littérature est l’un des plus exemples les plus obvies1. Or il est arrivé récemment plusieurs choses à la critique littéraire qui en modifient profondément la place, les méthodes et les fins, évolutions qui font désormais du critique et de ses méthodes traditionnelles des intercessions encombrantes et facultatives.

La nostalgie des systèmes

D’évidence, la dévalorisation des idéologies et de leurs prêtres a compté. Mais si je ne lis plus, ou presque plus, de critique au sens que le siècle dernier donnait à ce moment, les raisons n’en sont pourtant que partiellement le déclin de l’édition en sciences humaines ou du prestige de l’université. La pluralisation des lieux où s’exercent la critique et l’accession d’un

1 Sur le bilan critique de la « nouvelle critique » et de la théorie littéraire des années 1970, voir

Antoine Compagnon, Le Démon de la théorie. Littérature et sens commun, Paris, Éd. du Seuil, 1998 (coll. « Points Essais », 2001), et Vincent Kaufmann, La Faute à Mallarmé. L’aventure de la théorie littéraire, Paris, Éd. du Seuil, coll. « La Couleur des idées », 2011.

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nombre considérable de nouvelles paroles à la légitimé sociale est un phénomène majeur : à l’heure de ce que le grand sociologue Danilo Martuccelli nomme l’« industrialisation de la singularité2 », la multiplication des revues, des communautés de lecteurs, des cercles de

discussion, numériques ou non, la dissémination en de multiples réseaux des pratiques d’écritures, conduit à une sorte de brouhaha pluraliste qu’aucune ligne de force claire ne vient en apparence organiser. Règnent non une école ou une doctrine, mais un éclectisme ébouriffant et un chaos argumentatif – il suffit d’écouter une seule émission du « Masque et la Plume », par exemple, pour voir que peuvent se superposer dans la critique mondaine des méthodes incompossibles : tel critique fera de la littérature un lieu de détachement de l’expérience en invoquant les classiques, tel autre en fera un moyen d’expression de l’intériorité nue. Dans la république des opinions, nous ne parlons plus que rarement d’œuvres sublimes ou dangereuses, mais plus communément de livres « séduisants», « authentiques » ou « charmants » : longtemps spécialisés, les valeurs critiques sont pluralisées, spécialisées, banalisées, elles s’intègrent à un vocabulaire commun de l’émotion et de l’expérience3. Si le champ éclaté des débats contemporains manifeste un degré ultime de basculement du jugement esthétique dans le domaine du privé et du « désordre de la rêverie plébéienne4 », la critique universitaire elle-même pratique un individualisme méthodologique et une privatisation des épistémologies qui donnent l’impression qu’elle exerce son analyse avec des méthodes et des présupposés non seulement divergents, mais superposant en fait des conceptions des théories de l’art opposées : on ne saurait consulter une revue, même la plus classiquement formaliste comme Poétique, ou écouter un seul cours universitaire au hasard sans s’étonner de l’instabilité des discours, dont la pensée par cas refuse bien souvent un autre principe que celui d’une supposée adéquation empirique de la méthode à son objet (que l’on justifie au nom du principe lévi-straussien de « bricolage » ou par la métaphore benjaminienne du « chiffonnier »). Un tel dissensus, qui amusait déjà Paulhan (voir son analyse des valeurs divergentes de la critique dans Les Fleurs de Tarbes), pourrait relever de la concurrence de courants esthétiques ou d’une querelle de légitimité théorique. Elle accrédite plutôt l’idée d’une fin des systèmes théoriques et du règne de ce que Marc Bloch appelait la « non-contemporanéité », l’emboîtement de temporalités multiples. Elle semble loin, l’heure où le modèle du Nouveau Roman et la poétique qui l’accompagnait constituaient

2 Voir Danilo Martuccelli, La Société singulariste, Paris, Armand Colin, 2010, passim.

3 Voir l’essai de Sianne Ngai, Our Aesthetic Categories : Zany, Cute, Interesting, Cambridge (Mass.),

Harvard University Press, 2012, et son compte rendu dans la Los Angeles Review of Books (en ligne : http ://lareviewofbooks.org/article.php ? id=997).

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un horizon indépassable. Certes, en bonne part, ces débats définissent précisément le champ esthétique si l’on suit Rainer Rochtlitz, dans la mesure où celui-ci se structure par des tensions dialogiques autant que par des modèles monologiques – qu’il y ait trop de critiques mondains, n’est-ce pas aussi la contrepartie de ce « régime de l’art d’écrire où l’écrivain est n’importe qui et le lecteur n’importe qui », pour emprunter une formule à Jacques Rancière5 ? Mais, parfois aussi, ce vacarme peut laisse comme l’impression que la critique contemporaine est régie par un principe de différenciation et de spectacle, qu’elle présente un essayisme approximatif et des discours de bric et de broc, incohérents non seulement dans leur méthode, mais dans la définition qu’ils supposent ou proposent de leur objet. Ne ressortiraient que quelques figures telles que celles de Yves Citton ou Jacques Rancière justement, créditées d’une cohérence idéologique absente chez leurs collègues. Ce manque de cadre englobants, si chers à l’esprit français, viendrait peut-être aussi expliquer pourquoi, à contretemps, des disciplines formatées et systématique comme les études culturelles anglo-saxonnes, en cours d’appropriation par l’aile gauche de la critique littéraire, viendraient désormais nous séduire. Tout se passe en somme comme si nous n’avons plus d’idée de la littérature, si ce n’est, au mieux, un relativisme à substrat anthropologique – inflexion illustrée, par exemple, par les travaux de Florence Dupont6, refusant radicalement l’application du mot « littéraire » aux œuvres antérieures à l’invention du mot par Mme de Staël, au tout début du XIXe siècle. N’est

littérature que ce qui ne peut se décrire autrement. Cette « dé-essentialisation » peut-être salutaire et cette définition mobile, in absentia, peuvent être expliquées par la réintégration sur la longue durée des faits du « littéraire » à variété des pratiques scripturales et des interventions symboliques, qu’il s’agisse d’en faire une pratique de distinction par la forme ou de réunion rituelle de la communauté – la substantivation de l’adjectif dans le Dictionnaire du

littéraire, publié en 2002 par les sociologues et historiens Paul Aron, Denis Saint-Jacques et

Alain Viala, est un signe des temps de ce mouvement7. Mais si la littérature n’existe plus comme une idée univoque, et si le mot désigne presque par homonymie des pratiques différentes, si la critique prend acte des particularismes du sujet8, si l’espace argumentatif s’est dissous dans un débat globalisé et numérisé, c’est moins la rehistoricisation de la littérature que sa présentisation qui me semble avoir été opérée. Celle-ci s’est faite au nom d’un principe d’appropriation faisant basculer notre intérêt de la substance aux effets, et d’une

5 Id., Politique de la littérature, Paris, Galilée, 2007, p. 21. Cité par Florence Dupont, « Les dieux ne lisent

pas », Acta Fabula, 5 mars 2012 (en ligne : http://www.fabula.org/revue/document6835.php#ftn2).

6 Dans une réflexion commencée avec L’Invention de la littérature, Paris, La Découverte, 1998. 7 Paul Aron, Denis Saint-Jacques et Alain Viala (dir.), Le Dictionnaire du littéraire, Paris, PUF, 2002. 8 Notre relecture de Barthes, qui revient chercher non la folie des systèmes, mais la puissance de

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définition intransitive à une transitivité : alors que la littérature d’avant les années 1980 pouvait se prévaloir d’une critique endogène, linguistique, technique, et d’un regard sur elle-même informé uniquement par sa propre histoire, c’est en termes d’éthique et de micropolitique des sujets que les écrivains contemporains rendent comptent de leurs projets, réintroduisant des formes de conscience du monde et d’autrui qui se donnent comme singulières9, mouvement dont la critique rend compte par sa pluralité.

Déterritorialisation de la critique

Concurremment à cette dispersion, les méthodes linguistiques se trouvent remplacées par une théorie 2.0 dont la richesse paradigmatique donne tort à ceux qui ont, à la suite d’une fausse lecture du Démon de la théorie d’Antoine Compagnon10, décrété la fin de la théorie littéraire. L’histoire littéraire qui fait retour est marquée par l’anthropologie culturelle, l’histoire matérielle du livre ou celle des pratiques de lectures, lorsqu’elle n’est pas retravaillée par l’antihistoricisme ludique de Pierre Bayard ou par l’herméneutique postmoderne de Georges Didi-Hubermann, autres mises en question des chronologies convenues. Je pourrais évoquer l’essai de Laurent Olivier, Le Sombre Abîme du temps11, les cartographies et les graphes de Moretti12, le travail sur l’invention du classicisme de Stéphane Zékian13, les essais sur l’histoire de l’oralité de Françoise Waquet14, comme, sur une question faussement connexe, celle des affects, les réflexions de William Reddy, The Navigation of Feeling15, ouvrage ancien mais irremplaçable pour le projet que je mène avec des collègues sur la théorie des émotions. La critique littéraire au sens traditionnel a presque disparu de mon bureau, et si je feuillette la Revue d’histoire littéraire de la France, c’est pour y trouver non des récits définitifs, mais plutôt des microhistoires suggestives ou énigmatiques, où théorie et histoire littéraire s’entrelacent. Cela fait longtemps que j’ai résilié mon abonnement à

Poétique, préférant l’ouverture de Poetics Today, Critical Inquiry ou simplement Critique, à

9 Même si cette illusion de la singularité est discutée par Nathalie Heinich, notamment dans L’Élite artiste.

Excellence et singularité en régime démocratique, Paris, Gallimard, 2005.

10 On lira les mises au point de Vincent Kaufmann (La Faute à Mallarmé, op. cit.), ainsi que le bilan qu’en

fait Thierry Roger dans Acta Fabula (en ligne : http ://www.fabula.org/revue/document7384.php).

11 Laurent Olivier, Le Sombre Abîme du temps. Mémoire et archéologie, Paris, Éd. du Seuil, 2008.

12 Franco Moretti, Graphes, cartes et arbres. Modèles abstraits pour une autre histoire de la littérature, trad.

de l’anglais par Étienne Dobenesque, Éd. Les Prairies ordinaires, 2008.

13 Stéphane Zékian, L’Invention des classiques, Paris, CNRS éditions, 2012.

14 Françoise Waquet, Parler comme un livre. L’oralité et le savoir (XVIe-XXe siècle), Paris, Albin Michel,

2003.

15 William Reddy, The Navigation of Feeling. A Framework for the History of Emotions, Cambridge,

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l’éclectisme et à la curiosité irremplaçables, que complètent nos comptes rendus sur Acta

Fabula. Abreuvé de formalisme linguistique ou rhétorique destiné à le délivrer de

l’essentialisme de l’histoire littéraire ou de la psychologie à l’ancienne, mon regard se trouve séduit par des paradigmes nouveaux : dans le champ français, qui a fait l’impasse sur les études culturelles, l’influence des sciences cognitives (pensons à un essai aussi original que la

Théorie des signaux coûteux, de Jean-Marie Schaeffer16) et de l’anthropologie culturelle, les propositions de la sociologie contemporaine17, la capacité à se décentrer du modèle occidental, du monde « colonial », l’attention aux pratiques concrètes de lecture me semblent offrir des pistes plus saisissantes que la critique interne et endogène qui a constitué le socle de nos pratiques d’enseignement à la fin du siècle précédent. Parfois venus d’outre-Atlantique, les modèles d’analyse issus de la théorie de l’information, de la sémantique de la fiction, de la psychologie évolutionniste, de la sociologie pragmatique d’Erving Goffman ou de celle de Bruno Latour, voire désormais de l’écocritique et de la critique posthumaniste18, cadres aussi divers qu’externes au champ littéraire, me semblent offrir d’autres méthodes originales dont le principe même est le décentrement et l’extériorité. À ces ouvertures méthodologiques on pourra ajouter l’influence, plus diffuse, de notre moment numérique : l’érudition est transformée par la numérisation massive de ressources documentaires qui permettent de formidables recontextualisations des œuvres, en les réinscrivant dans des configurations culturelles parfois inattendues. Quant à la rhétorique et à la stylistique, elles peuvent enfin envisager de se fonder sur des massifs inédits de données rendant obsolète la production de modèles théoriques a priori.

Comme l’exemple des sciences cognitives, qui rassemblent des modèles cybernétiques, les analyses neuronales, les expériences de la psychologique comportementales et la réflexion des évolutionnistes, suffit à le montrer, les modes de regard sur la littérature sont loin de s’aligner. Pourtant, de cette richesse paradigmatique, plusieurs tendances, relativement cohérentes, me semblent ressortir : outre un scepticisme vis-à-vis des lectures par lesquelles nous attribuons des intentionnalités aux acteurs ou des réalités transcendantes aux « faits littéraires », un regard empirique sur le fait littéraire, compris dans sa globalité et la longue durée ; une naturalisation de l’esthétique, qui dénonce, à la suite de Jean-Marie Schaeffer, l’exception humaine et propose la réinscription des attitudes d’écriture et de lecture dans les conduites

16 Jean-Marie Schaeffer, Théorie des signaux coûteux, esthétique et art, Rimouski, Tangence éditeur, 2009. 17 Voir notamment Nathalie Heinich et Roberta Shapiro (dir.), De l’artification. Enquêtes sur le passage à

l’art, Paris, EHESS, 2012.

18 Ce qu’Eileen A. Joy nomme « critique littéraire réaliste et spéculative » (c’est le titre d’une de ses

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cognitives ordinaires ; une interrogation éthique sur les conditions de possibilité de l’action des œuvres ; la recherche d’un nouveau partage, ni constructiviste ni fonctionnaliste, entre l’universalité et la variabilité des pratiques artistiques, à travers des concepts transversaux comme la narration ou la fiction. Plutôt que de savoir ce qu’est la littérature, quelles en sont les catégories intrinsèques, les valeurs, l’heure est à se demander ce que peut la littérature, par quels moyens, avec quels effets, avec quelles limites, questions empiriques plus proches au fond de celles de l’humanisme que de celles de l’ère structuraliste et de sa rage définitoire. En assignant à la littérature une forme de normalité, en en faisant un outil de structuration cognitif et affectif, ces paradigmes en dédramatisent l’action sans pour autant l’amoindrir. Ainsi qu’en témoigne exemplairement le devenir contemporain de la narratologie, devenue narratologie élargie ou postclassique et rayonnant bien au-delà de la question des textes canoniquement littéraires19, cette critique décentrée, loin de constituer un nouveau scientisme, favorise la reconnaissance des vertus exploratoires de l’interdisciplinarité. Lectures de surface, attention au langage et à l’expérience ordinaire à la manière de Stanley Cavell, histoire littéraire décentrée ou fortement rethéorisée de l’objet littérature, refus des classifications structurales et des partages tranchés au profit des mécaniques du continu, réinscription des faits artistiques dans des logiques externes (« d’arrière-plan », dirait Searle20) et un réseau élargi d’interprétation : voilà autant de modèles où le texte est observé en action et en mouvement, dans ce qu’il fait, non dans ce qu’il est21.

Cette pensée théorique de l’ordinaire, cette méthodologie volontiers empirique, parfois proche d’une tentation expérimentale, interrogent à nouveaux frais la catégorie et l’extension du littéraire, et nous étonnent en préférant parfois à l’attention aux textes l’intérêt pour leurs lecteurs. Elle informe une critique elle-même décentrée de ses institutions les plus traditionnelles et acceptant délibérément le risque de l’expérience et du brouhaha des opinions en régime démocratique, au prix d’un éclectisme méthodologique parfois désordonné et d’un renoncement à un discours oraculaire22. Cette critique hors cadre consonne avec une littérature contemporaine qui a elle-même converti ses exigences formelles en une éthique de

19 Voir Gerald Prince, « Narratologie classique et narratologie postclassique » (en ligne :

http://www.vox-poetica.org/t/articles/prince.html).

20 John Searle, La Construction de la réalité sociale, trad. de l’anglais par Claudine Tiercelin, Paris,

Gallimard, 1998.

21 Je ne peux que souscrire ici aux propositions d’Antoine Compagnon dans sa leçon inaugurale (La

Littérature, pour quoi faire ?, Paris, Collège de France/Fayard, 2007) et en défendre, contre ceux qui en critiqueraient le pragmatisme, la profonde nécessité.

22 Dans un entretien récent, Michel Charles évoque l’« impression de gratuité, [l’]idée d’une spécialisation à

outrance et d’une atomisation des travaux, [le] découpage arbitraire du champ, privilège des savoirs positifs » (M. Charles, « Avec ou sans majuscule », LHT Entretiens, 17 décembre 2012, en ligne : http ://www.fabula.org/lht/10/index.php ?id=399).

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l’expression et de la relation littéraires, avec une littérature qui accepte une socialisation heureuse de ses pratiques et se décentre de ses finalités internes au profit de formes salutaires, quoique non esthétiques au sens traditionnel du terme, de désintéressement.

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