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Rapport au ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes sur le mouvement de la population de la France en 1898

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J OURNAL DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE P ARIS

A RTHUR F ONTAINE

Rapport au ministre du Commerce, de l’Industrie, des Postes et des Télégraphes sur le mouvement de la population de la France en 1898

Journal de la société statistique de Paris, tome 41 (1900), p. 30-35

< http://www.numdam.org/item?id=JSFS_1900__41__30_0 >

© Société de statistique de Paris, 1900, tous droits réservés.

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(2)

DES TÉLÉGRAPHES SUR LE MOUVEMENT DE LA POPULATION DE LA FRANCE EN 1898 (1).

Paris, le 27 novembre 1899.

Monsieur le Ministre,

J'ai l'honneur de vous adresser le rapport sur le mouvement de la population de la France pendant l'année 1898.

Depuis quelques années l'opinion publique s'est émue de l'état de stagnation de la population française. Pendant la dernière période décennale, en effet, de 1889 à 1898, il s'est rencontré quatre années où le nombre des décès a dépassé celui des naissances, et l'excédent de ceux-là a varié entre 10 000 et 38 000. La dernière année où Ton ail cons-

taté un excédent de décès est 1895; il était de 17 813 unités.

En 1896, la situation s'était améliorée; nous nous trouvions en présence d'un excédent de 93700 naissances, qui provenait à la fois d'une augmentation des naissances et d'une diminution des décès : 31 413 naissances en plus, 88 100 décès en moins donnaient sur l'année précédente un boni de 113 513 unités, qui transformait le déficit des naissances (17 813) en un excédent des naissances sur les décès (93 700).

En 1897, les naissances l'avaient encore emporté de 108 088 sur les décès; mais ce résultat, plus favorable en apparence, était plutôt moins bon que celui de Tannée précé- dente, CÏU* les naissances avaient diminué de 6 479 unités. La nouvelle amélioration n'é- tait due qu'à une diminution du chiffre des décès : on avait compté, en 1896, 771 886 décès et 751 019 en 1897; 865 586 naissances en 1896 et 859 107 en 1897.

En 1898, les résultats llécliissent de nouveau. Il y a un excédent des naissances sur les dérès, mais seulement de 33 860; les naissances, en particulier, ont encore diminué de 15174. Par 1 000 Inbitants, l'excédent des naissances sur les décès n'est que de 0,85.

Évidemment, il faut se garder de tirer des conclusions de petites fluctuations annuelles ; il faut observer le mouvement de la population sur de longues périodes. Mais pour les dix années 1889 à 1898, l'excédent des naissances sur les décès ne s'élève au total qu'à 281403 individus; annuellement il est en moyenne de 0,74 par 1000 habitants, tandis

(1) Journal officiel du 5 décembre 1899.

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qu'il dépassait 2 pour 1 000 par année moyenne de la précédente période décennale (1879-1888).

Naissances.

Le nombre des naissances enregistrées par l'état civil a été de 843933; le coefficient de natalité pour l'année 1898 est donc 22,1 par 1 000 habitanls, sans les mort-nés.

Le nombre des naissances en 1898 est inférieur de 15 174 unités au chiffre de 1897 et de 21 653 à celui de 1896; il est supérieur de 9 760 au chiffre de 1895. Le coefficient moyen de natalité de la période décennale (1889-1898) est de 22,6; il est assez notable- ment supérieur au coefficient 22,1 de 1898.

La diminution des naissances est à peu près générale en France en 1898; treize dépar- tements seulement présentent un chiffre de naissances supérieur à celui de 1897 : la Manche (486), Meurthe-et-Moselle (313), l'Hérault (291), la Seine (253), le Gard (207), les Alpes-Maritimes (145), les Ardennes (137), les Pyrénées-Orientales (101), le territoire de Belfort (69), le Var (49), le Doubs (31), le Calvados (17), Eure-et-Loir (8). Tous les autres départements présentent des déficits dont quelques-uns sont assez considérables : la Dordogne (739), le Morbihan (622), l'Aveyron (597), Saône-et-Loire (586), la Haute- Vienne (584), le Loiret (520), l'Allier (506).

Les dix déparlements dont la natalité, par 1 000 habitants, a été la plus forte en 1898 sont : le Finistère (32,0), le Pas-de-Calais (30,9), le Nord (28,3), la Seine-Inférieure (28,1), le Morbihan (27,4), les Côtes-du-Nord (27,3), la Lozère (26,4), le territoire de

Belfort (25,5), la Corse (25,3), les Vosges (25,3).

Les dix départements dont la natalité a été la plus faible sont : le Lot-et-Garonne (14,5), le Gers (14,5), l'Yonne (15,4), le Lot (16,7), la Côte-d'Or (17,1), la Haute-Garonne (17,2), l'Indre-et-Loife (17,2), l'Orne (17,2), Tarn-et-Garonne (17,2), les Hautes-Pyrénées (17,4).

Le chiffre des naissances se décompose en 769 347 naissances légitimes et 74 586 nais- sances illégitimes, soit pour ces dernières une diminution de 1 403 sur les chiffres de 1897. 11 est né 431 365 garçons dont 393 626 légitimes, et 412 568 filles dont 375 721 lé- gitimes. L'écart entre les naissances masculines et les naissances féminines est de 18 797 unités; la moyenne annuelle de cet écart est environ 18 000 pour la période décennale 1889-1898.

Les mort-nés ne sont pas comptés dans le total des naissances. Leur nombre a été un peu inférieur, en 1898, à la moyenne des années 1889-1898; il a été de 39 805 (22 814 garçons et 16 991 filles), alors que la moyenne décennale ressort à 40 700. Le nombre total des naissances en France, y compris les enfants nés vivants et les mort-nés, serait de 883 738, soit 23 pour 1 000 habitants.

Décès.

Le nombre des décès a été de 810 073; le coefficient de mortalité pour l'année 1898 est donc 21,2.

Le nombre des décès survenus en 1898 a été supérieur de 59 054 unités au chiffre de 18J7 et de 38 189 à celui de 1896; il a été inférieur de 41 913 unités au chiffre de 1895.

Le coefficient de mortalité de la période décennale (1889-1898) a été de 21,8; il est notablement supérieur au coefficient 21,2 de 1898.

11 n'y a que six déparlements dans lesquels le nombre des décès ait été, en 1898, infé- rieur à celui de 1897. Ce sont : les Bouches-du-Rhône (362 décès en moins), la Savoie (176), la Mayenne (156), la Corse (122), l'Orne (60) et le territoire de Belfort (3). Tous les autres accusent des augmentations qui vont de 25, pour le département des Landes, à 2 370 pour le Nord; la Seine présente un excédent de 3 849 décès.

Les dix départements où la mortalité est la plus forte sont, en 1898 : la Seine-Inférieure

(25,4 pour 1 000 hahitanis), les Hautes-Alpes (25,2), les Basses-Alpes (24,6), l'Ardèche

(24,6), l'Hérault (23,5), la Drôme (23,1), la Haute-Saône (23,3), les Bouches-du-Rhône

(23,2), les Côtes-du-Nord (23,0), Vaucluse (23,0).

(4)

Les dix départements où la mortalité est la plus faible sont : Landes (15,8), Allier (17,2), Indre (17,3), Vendée (17,3), Loire-Inférieure (17,6), Deux-Sèvres (18,1), Cher (18,2), Vienne (18,2), Creuse (18,4), Loir-et-Cher (18,6).

Les décès masculins, comme d'habitude, l'emportent sur les décès féminins; la diffé- rence a été, en 1898, de 27169 unités; pour les dix années 1889-1898, elle a été en moyenne de 31 400. Les décès masculins l'emportent annuellement sur les décès fémi- nins d'une quantité notablement supérieure à l'excédent des naissances masculines sur les naissances féminines. C'est le résultat d'une immigration étrangère importante et plus riche en hommes qu'en femmes.

Si Ton voulait tenir compte des 39 805 mort-nés dans la moyenne générale des décès, on obtiendrait une moyenne de près de 22 décès pour 1 000 habitants.

Mariages et divorces.

Le nombre des mariages a été de 287 179 en 1898; il avait été de 291 462 en 1897;

290171 en 1896 et 282 915 en 1895. Le nombre des mariages subit de légères fluctua- tions, mais, sur de longues périodes, l'examen ne décèle ni accroissement ni diminution de la nuptialité. Le nombre des mariages, par 1 000 habitants, est de 7,5 en 1898, de 7,4 pour la période décennale de 188.M898, de 7,4 pour la période décennale de 1888-1879.

Par 1 000 habitants, voici les dix départements où se sont contractés les plus nombreux mariages. Ce sont : la Haute-Saône (9,4), la Nièvre (8,7), les Hautes-Pyrénées (8,4), la Creuse (8,2), la Loire (8,1), la Corrèze, l'Orne et la Haute-Saône (8,0), la Haute-Vienne (7,8), la Gironde et le Nord (7,7).

Voici, d'autre part, les dix départements où le chiffre relatif des mariages a été le plus faible. Ce sont : les Basses-Pyrénées (5,8), les Hautes-Alpes (6,0), les Alpes-Maritimes (6,1), le Puy-de-Dôme (6,1), les Basses-Alpes (6,2), Meurthe-et-Moselle (6,2), le Gers (6,2), le Loiret (6,3), la Meuse (6,3), l'Yonne (6,3).

Pour les divorces, au nombre de 7 238 en 1898, nous constatons une diminution. Ils étaient en progrès chaque année depuis 1884 et l'augmentation annuelle variait entre 300 et 400. En 1898, les registres de l'état civil accusent 222 divorces de moins que l'année précédente.

Résumé.

Les principaux phénomènes démographiques observés en France au cours des dix der- nières années sont rappelés dans le tableau ci-après. (Voir page 33.)

L'ensemble des constatations auxquelles peut donner lieu ce tableau, et les remarques que nous ont suggérées les phénomènes qu'il enregistre se résument dans trois conclu- sions caractéristiques : la situation reste très médiocre au point de vue de la natalité, assez bonne au point de vue de la mortalité, normale pour les mariages.

J'ai l'honneur de vous proposer, selon l'usage, l'insertion au Journal officiel de ce rapport et des tableaux statistiques qui l'accompagnent.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de mon respectueux dévouement.

Le Directeur de l'Office du travail,

Vu et approuvé : Arthur FONTAINE.

Le Ministre du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes,

A . MlLLERAND.

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