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Rapport sur le mouvement de la population de la France en 1896

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J OURNAL DE LA SOCIÉTÉ STATISTIQUE DE P ARIS

C. M ORON

Rapport sur le mouvement de la population de la France en 1896

Journal de la société statistique de Paris, tome 39 (1898), p. 43-48

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(2)

IL

RAPPORT SUR LE MOUVEMENT DE LA POPULATION DE LA FRANCE EN 1896 (1).

Paris, le 15 décembre 1897.

Monsieur le Ministre,

J'ai l'honneur de vous adresser le rapport annuel sur le mouvement de la population de la France; ce rapport porte sur les chiffres relatifs à l'année 1896. Il ne s'agit pas en- core des résultats définitifs du" dénombrement opéré cette année, mais seulement des résultats du mouvement des mariages, des divorces, des naissances et des décès survenus dans le cours de l'année. Les résultats définitifs diffèrent peu des chiffres que j'ai l'avan- tage de vous soumettre aujourd'hui; en tout cas, les différences, s'il en existe, ne seront que de quelques unités et ne seront pas de nature à modifier les faits constatés ni les re- marques qui peuvent découler de ces constatations.

Naissances et décès. — C'est que l'année 1896 offre des résultats totalement différents de ceux des années précédentes, et particulièrement de l'année 1895. En effet, les chiffres de 1895 étaient loin d'être favorables au développement de la population de la France : nous avions eu à constater un excédent de 17 813 décès sur les naissances, et je disais, à cette occasion, que la situation méritait d'attirer toute l'attention des pouvoirs publics et du Parlement. Tout au contraire, en 1896, nous avons le plaisir de'constater un excédent de 93 700 naissances sur les décès, et si nous additionnons les résultats des deux années, nous trouvons un boni total de 111 513 en faveur de 1896, formé à la fois de l'excédent de 1896 proprement dit et du déficit de 1895. . .

Cherchons maintenant de quoi se compose l'excédent de 93.700 .naissances afférent à 1896 : il peut provenir ou d'une augmentation du nombre des naissances, ou d'une dimi- nution du nombre des décès, ou de ces deux éléments à la fois- Et c'est précisément le cas en l'espèce : si l'amélioration ne provenait que de la diminution des décès, sans doute il y aurait lieu d'en être satisfait; mais la satisfaction est plus grande* si à une diminution réelle s'ajoute une augmentation des naissances Or, en 1896, si les décès ont diminué de 80100, en tombant de 851 986 pour 1895 à 771 886 en 1896, de leur côté les naissances, qui n'étaient que de 834 173 en 1895, sont passées en 1896 à 865 586, soit une progres- sion do 31413 D'où il résulte que ces naissances, qui représentaient 21,4 p 1 000 habi-

(1) Journal officiel du 24 décembre 1897.

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tanls en 1895, sont remontées à 22.7, tandis que les décès, qui avaient donné, en 1895, 22,4 p. 1 000 ne donnent plus, en 1896, que 20,2 C'est donc, à tous égards, une amélio- ration réelle que nous devons relever, sans toutefois avoir la prétention de l'expliquer et surtout d'en tirer des conclusion^ trop générales que des faits ultérieurs se chargeraient peut-être de réduire à néant.

C'est qu'en réalité, en matière de démographie, il est bien difficile, pour ne pas dire téméraire, d'échafauder des théories sur le développement ou l'amoindrissement des po- pulations, même en se basant sur des observations de plusieurs années. La natalité et la mortalité tiennent, en effet, à tant de causes d'ordres si différents, parfois impossibles à saisir, qu'on ne doit s'aventurer qu'avec des précautions extrêmes à tirer de ces phéno- mènes des conclusions théoriques qui, pour solides qu'elles soient, ne sauraient être éri- gées en lois absolues.

La population française est-elle réellement en décroissance, et devons-nous nous rési- gner à voir notre territoire se dépeupler progressivement, tandis que celui de nos voisins se couvrira d'une population de plus en plus dense ? ou au contraire nous trouvons-nous dans une de ces périodes de stagnation, qui se terminera d'elle-même quand auront dis- paru les causes qui l'ont produite? Il est assez difficile de se prononcer, et les heureux résultats de 1896 ne doivent pas nous faire perdre de vue les années précédentes.

Comparons donc l'année 1896 avec celles qui l'ont précédée, et, pour que cette compa- raison soit plus concluante, remontons à 1871 ; voyons ce que nous fournit cette période d'un quart de siècle. Pendant cette période, nous avons vu les naissances dépasser 900 000 par an, et atteindre, en 1872 et en 1876, 966 000 A partir de cette dernière année, la diminution est presque constante, et 1896 elle-même n échappe pas à cette remarque, bien qu'elle remonte aux chiffres de 1876.

La moyenne des naissances de la période de vingt-six ans est de 907 000; nous sommes donc encore sensiblement au-dessous de cette moyenne

Par contre, les décès sont en notable diminution sur l'ensemble de la période que nous examinons : la moyenne, en effet, était de 852 000, soit, en 1896, une diminution de '81 000, ou 9,5 sur cette moyenne.

Or, il y a deux moyens d'accroître une population : c'est l'accroissement des naissances d'une part, et, d'autre part, la diminution de la mortalité : à ce dernier point de vue, l'année 1896 a donné lieu à des constatations satisfaisantes.

On a dit quelquefois que l'augmentation du nombre des mariages était suivie d'un ac- croissement du nombre des naissances : il ne faudrait pas faire de cette assertion un prin- cipe absolu, car précisément le nombre des mariages, en 1895, avait baissé de 4 444 uni- tés et s'est relevé en 1896. Ce relèvement n'a pu exercer sur la natalité, en cette même année, qu'une influence peu considérable. D'autre part, Tes naissances naturelles ont aussi augmenté de 3 000, c'est-à-dire contribué pour 10 p. 100 à l'accroissement total des nais- sances.

Nous ne parlons que pour mémoire des mort-nés, au nombre de 42 054, chiffre à peu près égal à la moyenne des autres années.

Voici, du reste, le tableau comparatif des naissances et des décès pendant la dernière période décennale :

Années.

1 8 8 7 . 1 8 8 8 . 1 8 8 9 . 1 8 9 0 . 1 8 9 1 . 1 8 9 2 . 1 8 9 3 . 1 8 9 4 . 1 8 9 5 . 1 8 9 6 .

899 333 882 639 880 579 83S059 86G377 855847 874 G72 855 388 834173 S65 586

Décès.

842 797 S37 867 794 933 876 505 876 882 875 888 867526 815620 S51986 77188C

Excédent des naissances. des décès.

56 536 » 44 772 » 85 646 »

» 38446

» 10505 20041 7146

39 768

» 93 700

17813

»

En somme, l'année 1896 est la meilleure de la dernière période décennale, et il fau- drait remonter à l'année 1883 pour trouver un semblable excédent de naissances, ainsi que cela ressort du graphique ci-contre.

Mariages et divorces. — Au suj^t des mariages, nous aurons peu de chose à ajouter à

la remarque faite précédemment : l'année 1896 atteint, à quelques unités près, le chiffre

de 1892, soit 290000 Ce chiffre est sensiblement le plus élevé de la période qui s'est

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- 45 —

écoulée depuis 1871, excepté pour les années 1872, 1873, 1874 et 1875, où les mariages ont, à la suite des événements de 1870-1871, atteint un niveau très élevé qui n'a pas été constaté dans le courant de ce siècle.

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Quant aux divorces, ils suivent leur marche progressive. Partis de 4 277 en 1885, ils atteignent, en 1896, le chiffre de 7 051, en progression d^ 308 sur le résultat de 1895.

Du reste, au point de vue purement démographique, les divorces n'ont sur le mouvement de la population qu'une influence à peine sensible, puisqu'ils ne représentent que 0,18 p. 1 000 et qu'un certain nombre de ces divorces sont suivis de nouveaux mariages. Voici, du reste, le tableau comparé des mariages et des divorces pendant la dernière période décennale :

Années.

1 8 8 7 . . 1888. . 1 8 8 9 . . 1 8 9 0 . . 1 8 9 1 . .

Mariages,

277 060 276 848 272934 269 332 285458

Divorces.

3636 4 708 4786 5457 5 752

Années.

1892.

1893.

1894.

1895.

1896.

Mariages. Divorces.

290319 287 294 286 662 282218 290171

5772 6184 6419 6 743 7 051

Observations générales. — Si, maintenant, nous passons à l'examen des départements, nous constaterons que tous, sans exception, ont pris part à l'amélioration que l'année 1896 présente sur 1895. Tous ne présentent pas des augmentations de naissances : trois seulement font exception; ce sont la Corse, qui en compte 78, le Loiret 94 et la Haute- Savoie 24 en moins qu'en 1895. Et encore ces départements présentent une amélioration sur l'année 1895.

La Corse a compté 742 décès de moins que l'année précédente, le Loiret 1124 et la Haute-Savoie 463. Ces mêmes départements présentent aussi des excédents de naissances sur les décès : la Corse 1 899, le Loiret 797 et la Haute-Savoie 655. Le Var compte, il est vrai, 28 décès de plus qu'en 1895, mais en revanche il offre 269 naissances en plus.

Il paraît inutile d'entrer plus profondément dans le détail de chaque département. Ce sont toujours les mêmes régions qui produisent les mêmes phénomènes, soit comme nais- sances, soit comme décès. Ce sont également les départements industriels qui comptent le plus de naissances naturelles relativement à leur population.

Quant aux mariages, le progrès ne s'est pas exercé d'une manière aussi générale que dans les naissances. On compte, en effet, vingt-trois départements dans lesquels le nombre des mariages a été inférieur à celui de l'année 1895. Ceux qui se distinguent dans cette diminution sont, par ordre d'importance : la Vienne (205), la Haute-Garonne (124), Vau- cluse (112), la Haute-Loire (109), le Pas-de-Calais (96), etc: Dans tous les autres, le nom- bre des mariages a été supérieur aux chiffres antérieurs.

En ce qui concerne plus spécialement le départpm?nt de la Seine, il représente 363

mariages de plus pour 1896, 1462 naissances en plus, soit près de 2 p. 100, et 5 057

décès en moins, soit 6,8 p. 100 en moins.

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— 48 —

Conclusion. — Telles sont, Monsieur le Ministre, les remarques générales que m'a sug- gérées l'examen du mouvement de la population en France pendant Tannée dernière.

Si les craintes inspirées par la stagnation de notre population par les résultats des années précédentes ne sont pas totalement dissipées, cependant il y a lieu d'ajourner des pré- visions par trop pessimistes.

Avant de porter un jugement définitif sur l'avenir de notre pays, il convient, je crois, d'attendre les résultats que nous fourniront les années suivantes.

J'ai l'honneur de vous proposer, selon l'usage, l'insertion au Journal officiel de ce rapport et des tableaux statistiques qui l'accompagnent.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l'expression de mon respectueux dévouement.

Le Directeur de VOffice du travail, Vu et approuvé : C. MORON.

Le Ministre du commerce, de Vindustrie, des postes et des télégraphes,

Henry BOUCHER.

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