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La crise KT ; se prendre pour un correcteur.

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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La crise KT ; se prendre pour un correcteur.

Le but de ce travail est de corriger des devoirs pour comprendre la logique d'un correcteur et donc être à même de rédiger des devoirs qui soient bien notés.

1. Classer les cinq copies de la meilleure à la moins bonne. Travail individuel de 20 mi- nutes.

2. Mise en commun : chaque groupe produit une liste de raisons qui les ont conduit à ap- précier ou déprécier telle ou telle copie. Travail de groupe de 10 minutes.

3. Le professeur répond à toutes les questions concernant le fond du sujet (par exemple, Paléocène, c'est pas le primaire, ça ?)

4. Chaque groupe construit un barème sur huit points. (Je donne quelques explications en montrant un barème de bac). Travail de groupe 10 minutes.

5. J'expose mon barème (celui du bac blanc de ce devoir). Voir page 2.

6. Chaque élève corrige une copie ; comparaison des notes. Débriefing sur ce qu'il faut en retenir pour améliorer sa note de bac.

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Introduction :

présence d'une problématisation ; mise en controverse du sujet définition du mot coupure dans un contexte stratigraphique.

½

½

Partie 1 :

extinction brusque

massive (nombreux groupes) planétaire, dans tous les milieux suivie par une radiation évolutive.

1 1 1 1

Partie 2 :

- 65 MA → la limite Crétacé Tertiaire (ou Mésozoïque Paléocène, ou Maestrichtion – Danien)

Trois grands groupes ont disparus : Dinosaures, Ammonites, cer- tains Foraminifères planctoniques.

1 1

Conclusion :

montre que la problématique a été traitée.

Ouvre le sujet

½

Plan apparent (dans l'intro, sous forme de titre ou de mise en page avec des sauts de paragraphes.

½

Discussion sur le statut des hors sujets, et l'intérêt des illustrations.

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Copie 1 :

Au cours des temps géologiques, plusieurs crises se sont succédé.

Les coupures géologiques sont dues à des phénomènes biolo- giques et atmosphériques, que l’on retrouve aisément grâce à la géologie. On a donc des arguments biologiques directs et indi- rects ainsi que des arguments géologiques pour mettre en évi- dence une coupe. La crise crétacé-tertiaire qui a eu lieu il y a 65 millions d’années sera étudiée de près.

On a donc deux sortes d’arguments pour établir des coupures dans le temps géologiques.

Tout d’abord, le premier argument biologique est une rupture dans la succession des espèces au cours des temps géologiques.

On trouve une disparition de certaines espèces alors que d’autres qui les côtoyaient sont toujours vivantes. Il y a aussi quelques apparitions de nouvelles espèces. Ce ne sont pas for- cément les plus fortes qui subsistent, parfois existaient une es- pèce dominante et une espèce dominée. Durant la crise (qui s’étend sur plusieurs millions d’années), la plus forte pouvait disparaître offrant ainsi une niche biologiques à la moins forte qui s’étendait ensuite.

Les arguments géologiques reflètent plusieurs conditions : le

climat par exemple. On peut supposer d’après le type de roche

trouvée dans une étude géologique les conditions atmosphé-

riques de l’époque. Si on retrouve des fossiles marins dans du

calcaire dans une région tempérée de nos jours, on peut sup-

poser qu’il pleuvait à cette région durant l’époque étudiée ; on

peut donc déterminer, en situant une crise sur une prise d’es-

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sai, si le climat a changé donc s’il a été facteur de la cou- pure géologiques. Si on retrouve certains matériaux en trop grande quantité par rapport à ce que l’on suppose qu’il y avait à l’époque, on peut formuler l’hypothèse d’une météorite qui a provoqué une crise.

Le changement “brutal” des conditions extérieures est carac- téristique d’une crise. Biologiquement on peut voir de nos jours quelles espèces ont survécu, et indirectement par la géologie celles qui ont disparu (comme les coccolithes par exemple, ou les ammonites). Géologiquement, on peut aussi trouver des conditions climatiques favorables à une crise ainsi que des roches révélant une crise : 1 couche d’argile entre deux couches de calcaire exemple

Calcaire Argile Calcaire

L’argile fossilise bien les animaux, donc on y retrouve beau- coup d’espèces qui s’y sont conservées.

Plusieurs crises se sont succédé avec chacune dses propres ca- ractéristiques, mais celle que l’on étudie le plus est celle ayant eu lieu il y a 65 millions d’années.

Cette crise ayant eu lieu il y a 65 millions d’années marque la fin du crétacé et le début du tertiaire (jurassique).

C’est celle que l’on étudie le plus car elle a vu la disparition des plus grands sauriens ayant jamais existé, les dinosaures.

Après elle, l’homme est apparu quelques milliers d’années

plus tard.

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Plusieurs arguments ont été retenus pour fonder cette coupure.

Biologiquement d’abord, c’est donc l’extinction des dinosaures et un changement important dans la faune et la flore.

Pourtant, les crises précédentes ont été plus grandes dans le nombre d’espèces disparues. La première a eu lieu il y a 135 millions d’années). Les ammonnites qui se sont développées dans le crétacé ont disparu devant cette crise. On en retrouve que quelques infimes traces dans le jurassique. Durant le cré- tacé les espèces végétales de la famille des fougère domi- naient le monde végétal. Après la crise crétacé-tertiaire, ce sont les espèces à fleurs qui dominent.

Certaines espèces de petits mammifères ont survécu, se lo- geant dans les niches écologiques laissées vides par les dino- saures.

Sur l’échelle des temps géologiques, ce n’est pas la plus mar- quée mais son origine reste incertaine. On suppose un change- ment de climat du à un météore, auquel les sauriens n’au- raient pas survécu. Mais le plus important est qu’lle ait laissé la planète sans “maître” jusqu’à l’apparition d’une nouvelle espèce dominante : les hommes.

En conclusion, on trouve plusieurs arguments à une coupure géologique (aussi appelée crise). Biologiquement c’est le résultat d’une variation de la faune et de la flore, géologiquement c’est aussi une couche séparant plusieurs éléments “stables”.

La crise ayant eu lieu il y a 65 millions d’années ras-

semble tous ces arguments mais malgré que la variation des

espèce n’a pas été très importante, elle a eu pour résultat une

libération du monde animal sur lequel règnera plusieurs

milliers d’années plus tard l’homme.

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Copie 3 :

1. L a n otio n d e coupur e géo l og iqu e

Depuis tres lo n g t e m p s , l e s ho m m e s o n observ é l a div e r sit é d e s roch e s.

Cette div e r sit é ét a i t attribu é e a u n bou l e v e r s e m e n t c at a s t r op h i q u e : l e Dé- lug e prés e n t é d a n s l a Bibl e, c’est a dir e u n e é n o r m e i n o n d a t i o n m a - ri n e. Au XVIIe m e sie c l e , il app a r ut que l e s te m p s a n t é d i l u v i e n s n’ é - tai e n t pas u n i f o r m e s m a i s av a i e n t eux- m ê m e s u n e histoir e. On i m a g i - n a do n c u n e suite d e c at a s t r op h e s ay a n t f a ç o n n é l a Terr e.

Jusqu’e n 1800, l e s sci e n t i f i q u e s sav a i e n t que l a Terr e ét a i t tres viei l l e m a i s n’ a v a i t m i s au poi nt au c u n proc é d é pour ordo n n e r l e s év é n e m e n t s sous l a for m e d’u n e vérit a b l e histoir e. En vérit é, be a u c o up d e sci e n t i f i q u e s bri l l a n t s persist a i e n t a n i e r que d e s esp e c e s puiss e n t s’ét ei n d r e sur u n e Terr e parf a i t e m e n t f a ç o n n é e par u n e divi n e bie n v e i l l a n c e .

Beaucoup d e roch e s sé d i m e n t a i r e s m o n t r e n t u n arr a n g e m e n t str atigr a - phiqu e visib l e (co m m e l e s couc h e s d’u n gât e a u) et peuv e n t ais é m e n t êtr e ordo n n é e s : l e s plus réc e n t e s so nt d e s s u s et l e s plus vie l l e s d e s s o u s. Par co n t r e, l e s roch e s plus a n c i e n n e s o nt subi d e s d é f o r m a t i o n s du e s a d e s plis, d e s f a i l l e s , d e m u l t i p l e s év é n e m e n t s tecto n i q u e s qui re n d e n t l e u r ordo n n a n c e m e n t be a u c o up plus h a s a r d e u x. Au d é b ut du XIXe m e sie c l e , d e s géo l o g u e s i m a g i n e r e n t a l o r s d e d é t e r m i n e r l’ â g e d e ces roch e s a n - ci e n n e s a partir d e l e u r n a t u r e : l e gra n i t e ser a i t l e plus a n c i e n , e n - suite, l e s gres puis l e s argi l e s… Deva n t l’é c h e c d e ce pri n c i p e, vers 1840, d’ a utr e s géo l og u e s proposer e n t u n e autr e hypoth e s e : u n e d a t a t i o n fo n d é e sur l e s fossi l e s. L a sy nt h e s e d e s d e ux pri n c i p e s abo utit a l’ é c h e l l e d e s te m p s géo l og iqu e s que n o u s uti l i so n s e n c o r e : l e cr ét a c é , c ar a c t é r i s é e par d’i m p o r t a n t s d é pôts d e cr a i e, l e c ar bo n i f e r e , ou l’o n trouve l a plus

gr a n d e parti e du ch a r b o n m o n d i a l , etc. m a i s surtout, l’ er e seco n d a i r e c ar a c t é r i s é e par l e s di n o s a u r e s, l’ er e pri m a i r e av e c l e s tri l o bit e s, l e d é - but d e l’ er e terti a i r e av e c l e s n u m m u l i t e s… Les progres d e l a sci e n c e géo l og iqu e s o nt ét a b l i que ces vari a t i o n s d e f a u n e s et d e fl or e s ét a i e n t du e s a d e s vari a t i o n s biogéogr a p h i q u e s résu l t a n t d e l a surr e ctio n d e

ch a î n e s m o n t a g n e u s e s , d e s tra n s g r e s s i o n s et d e s régr e s sio n s m a r i n e s , d e l’ évo l u t i o n exp l i qu é e par l a théori e d a r w i n i e n n e . L a n a t u r e d e s roch e s et l e s asso c i a t i o n s d e s fossi l e s té m o i g n e n t d e s co n d i t i o n s du m i l i e u ou

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ces roch e s se so nt d épo s é e s gr a d u e l l e m e n t . Les cour e s que l’o n observ e e n t r e str at e s so nt du e s a d e s a l t e r n a n c e s d e sé d i m e n t a t i o n et d’éro - sio n. Vers 1970, cett e list e d e c a u s e s s’e n r i c h i t av e c l’ a d j o n c t i o n d e s d é - pl a c e m e n t s co n t i n e n t a u x. Toutes l e s c a u s e s provoqu a n t ces ch a n g e m e n t s géo l og iqu e s so nt d e s c a u s e s progressiv e s si m i l a i r e s aux c a u s e s a ctu e l l e s .

2. L a cris e KT.

L a d é c o uv e r t e réc e n t e par Alv a r e z d’u n e couc h e d’iri d i u m a l a li m i t e Crét a c é Terti a i r e, prés e n t e partout sur l e Glob e, co n d u i s i t a u n retour d e l a co n c e p ti o n d e s c at a s t r op h e : u n i m p a c t m é t é o r i tiqu e bou l e v e r s a n t l e c l i m a t terr e str e s aur a i t co n d u i t a l’exti n c t i o n d e s di n o s a u r e s et d e tres n o m b r e u x groupes e n t i e r s.

L’iri d i u m est u n m é t a l rar e, m a i s prés e n t e n abo n d a n c e d a n s cer - tai n e s m é t é o r i t e s. D’autr es argu m e n t s vie n n e n t ét a y e r cett e thes e : L’iri - diu m est a c c o m p a g n é par u n e couc h e d’ a r gi l e n o i r e, ce qui prouver a i t u n e d e stru ctio n m a s s i v e d e l a bio m a s s e vég ét a l e , sa n s dout e a c a u s e d’i n c e n d i e s . Des qu a rtz choqu é s prés e n t s d a n s ce m ê m e lit fi n té m o i - g n e r a i e n t d e proje ctio n d e m a t é r i a u x sous l a pressio n co n s i d é r a b l e d e l’i m p a c t. Des rec h e r c h e s ult é r i e u r e s o nt situé l e poi n t d e co l l i s i o n au Mexique et l a tai l l e d e l a m é t é o r i t e a e n v i r o n 10 ki l o m e t r e s d e di a - m e t r e. Le ch a n g e m e n t d e s co n d i t i o n s du m i l i e u exp l i q u e r a i t ai n s i l’ a r r ê t d e l a sé d i m e n t a t i o n cr a y e u s e c ar a c t é r i sti qu e du Crét a c é. Ai n si, l e pass a g e du Mésozoïqu e au Cénozoïqu e, est u n e li m i t e n e tt e n o n seu l e - m e n t d a n s l a lit h o l o g i e, m a i s aussi d a n s l’histoir e du glob e.

A l a suite d e cett e d é c o uv e r t e, be a u c o up d’ a utr e s géo l og u e s proposer e n t d e s exp l i c a t i o n s si m i l a i r e s pour re n d r e co m p t e d e s exti n c t i o n s sy n c h r o n e s qui c a r a c t é r i s e n t l e s pass a g e d’u n e pério d e géo l o gi qu e a u n e autr e.

Réce m m e n t , o n a propos é que vers – 700 m i l l i o n s d’ a n n é e s l a Terr e ait été couvert e d e gl a c e s a – 50 °C, puis que l e réc h a u f f e m e n t , tres brut a l se soit eff e c t u é e n que l q u e s a n n é e s .

On voit que l a n otio n d e cris e brut a l e , prés e n t e d a n s l e s co n c e p t i o n s i n iti a l e s te l l e l e Délug e, apr e s avoir été presqu e ér a d i q u é e s d e l a géo l o - gie vie n n e n t d’y f ai r e u n retour : l a géo l og i e du 21e m e sie c l e uti l i s e d e n o uv e a u d e s co n c e p t s c at a s t r op h i st e s.

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Copie 4 :

Les roches sédimentaires sont formées de couches distinctes, empilées, formées de sédiments différents. On peut les ranger dans une échelle des temps géo- logiques, divisée en périodes séparées par des coupures.

Certaines de ces coupures géologiques sont fondées sur les crises que l’on peut définir comme des extinctions brutales dans de nombreux groupes milieux marins que continentaux, sur l’ensemble du globe. Après les extinctions dues à une crise, on trouve une diversification des espèces survivantes par évolu- tion. Il y a occupation des niches écologiques laissées vacantes.

Une crise importante définit la limite entre le Mésosoïque et le Paléocène, il y a–65 MA.

Les dinosaures présents sur tous les continents, les ammonites présentes dans les sédiments crayeux d’origine marine, ainsi que beaucoup d’espèces du plancton marin disparurent.

Copie 2 :

La Terre a une histoire, elle a évolué et a donc connu des coupures dans les temps géologiques. Nous allons présenter les arguments géologiques et biologiques utilisés pour établir des coupures dans les temps géologiques puis nous préciserons ceux qui ont été retenus pour fonder une coupure il y a 65 mil- lions d’années.

La présence de strates au niveau du sol de la Terre nous indique l’existence de différentes couches géologiques appartenant à des périodes différentes.

C’est dans ces couches que l’on trouve les fossiles qui nous indiquent la présence de telle espèce à telle époque. La profondeur à laquelle on trouve les fossiles montre l’âge de ceux-ci, plus ils sont retrouvés en profondeur, dans les strates anciennes, plus ils sont anciens.

La présence d’une espèce fossile à une époque puis sa disparition montrent, si ce phénomène se situe dans le monde entier et qu’il touche de nombreuse espèces, un coupure. Celle que l’on retient le plus souvent est la coupure géologique qui a eu lieu il y a 65 millions d’années.

Elle est caractérisée par une extension massive des espèces. En effet, la crise Crétacé-Tertiaire a tou- ché le monde entier et la plupart des espèces existant à cette époque.

Les espèces ont alors évolué. Celles existantes encore ont évolué, d’autres ont disparu.

Au niveau de l’espèce des mammifères, de nombreux sous-groupes sont apparus et d’autres ont disparu.

Il y a eu l’apparition des Proboscidéens.

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Copie 5 :

Les moyens mis en œuvre pour établir des coupures dans les temps géolo- giques sont divers, mais les principaux retenus sont : l’étude des couches sédi- mentaires et l’étude des fossiles.

En effet lorsqu’on observe certains récifs ou falaises, on aperçoit, selon les en- droits, différentes couches. Ces couches correspondent à des coupures. On peut déterminer à partir de là, la composition de chaque couche pour déterminer les causes de la coupure. Cela peut permettre aussi de déterminer les causes de la coupure. Cela peut permettre aussi de déterminer la durée d’une période car les couches sont plus ou moins importantes.

L’étude des fossiles permet également de savoir les conditions de vie dans les- quelles ils vivaient. Par comparaison avec le lieu de découverte d’un fossille et l’étude des couches sédimentaires on peut déterminer l’époque dans laquelle l’animal ou même la plante dont le fossile appartient vivait. L’étude des fos- siles nous permet également de constater une certaine évolution des espèces mais aussi de constater certaines radiations plus ou moins importantes selon les espèces, voire même une instinction totale comme celles des dinosaures à la crise crétacé tertiaire.

Il y a 65 millions d’années, la crise crétacé tertiaire a marqué une grande coupure des espèces. Cette crise n’est pourtant pas la plus importante mais c’est elle qui marque la fin du règne des dinosaures. C’est à partir de la da- tation des fossiles de dinosaure que l’on a pu déterminer la date de cette crise.

Par l’étude d’autres fossiles on a pu déterminer également le milieu avant la crise et après. Cela nous a permit de voir l’évolution des espèces. La crise est également marquée par une couche d’argile noire très pauvre en calcaire mais très riche en métaux rares et précieux. C’est pourquoi on a formulé l’hypo- thèse de roche extraterrestre. Une météorite serait entrée dans l’atmosphère terrestre et aurait provoqué cette crise. Cet impact aurait prolongé la planète dans un nuage de poussière ne laissant pas filtrer les rayons du soleil d’où la période glacière qui suivit la crise.

Donc l’étude des couches et l’études des fossiles sont toutes deux importantes

car elles nous permettent de comprendre et d’expliquer des phénomènes passés.

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