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Confection d’un site internet pour le projet AgroEcoDiv

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01608110

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01608110

Submitted on 5 Jun 2020

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Confection d’un site internet pour le projet AgroEcoDiv

Charlotte Lejoyeux

To cite this version:

Charlotte Lejoyeux. Confection d’un site internet pour le projet AgroEcoDiv. 2016, 29p. �hal- 01608110�

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v

Rapport Stage Assistant Ingénieur

Maître de stage : Mandonnet Nathalie Professeur tuteur : Andrianarisoa Kasaina Sitraka

Lejoyeux Charlotte

Ingénieur pour la terre- Promotion 51 Juillet- Août 2016 Lejoyeux Charlotte

Ingénieur pour la terre- Promotion 51 Juillet- Août 2016 INRA Antilles-Guyane

Domaine Duclos, Prise d’eau 97170 Petit-Bourg

Guadeloupe ISA

48 boulevard Vauban 59046 Lille Cedex

Confection d’un site internet pour le projet AgroEcoDiv

© INRA Antilles-Guyane

© INRA Antilles-Guyane

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Ré sumé

L’ambitieux projet AgroEcoDiv vise à optimiser les systèmes agricoles des modèles familiaux pour les rendre performants et résilients. Il est financé par le Conseil Régional de Guadeloupe et l’Union Européenne pour une durée de 2 ans. Un consortium composé de l’INRA, du CIRAD et de l’Université des Antilles a été mis en place afin de répondre à cette problématique. L’approche participative souhaitée pour ce projet implique la mobilisation de tous les acteurs. Ainsi un site internet sera élaboré pour conserver les différents acteurs, les bailleurs de fond et le grand public en constante dynamique. Ce site internet sera élaboré grâce au logiciel EZ Publish fourni par l’INRA. Il comportera une présentation du cadre et contexte du projet, des différentes étapes réalisées et d’une présentation des partenaires du consortium. Il est important de noter que le travail réalisé ne constitue pas un travail terminé, il sera à améliorer et à compléter tout au long de l’avancée du projet AgroEcoDiv.

Mots clés :

AgroEcoDiv, consortium, site, logiciel, originalité

Abstract

The aims of these ambitious project AgroEcoDiv is to optimize agricultural systems of family models for optimal performance and resilient. It is funded by the Regional Council of Guadeloupe and the European Union for a period of 2 years. A consortium of INRA, CIRAD and the University of Antilles has been set up to address this issue. The desired participatory approach for this project involves the mobilization of all stakeholders. A website will be developed to keep the various stakeholders, funders and the public in dynamic constant. This website will be developed thanks to EZ Publish software provided by INRA. It will include a presentation of the framework and context of the project, different steps performed and a presentation of the consortium partners. It is important to note that the work is not a finished work, it will enhance and complete throughout the progress of the project AgroEcoDiv.

Key words :

AgroEcoDiv, consortium, website, software, originality

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Rémérciéménts

Je tiens à remercier tout d’abord mon école, l’ISA pour m’avoir donné l’opportunité de réaliser ce stage assistant ingénieur à la fin de ma troisième année d’étude. Je remercie également Nathalie Mandonnet pour m’avoir accueillie dans son unité et m’avoir confiée la mission de réaliser le site internet AgroEcoDiv. Pour finir, je remercie toute l’équipe avec qui j’ai eu le plaisir d’échanger, de travailler durant ma durée de stage. Toutes ces personnes ont contribué à rendre mon expérience enrichissante, riche en découvertes.

Le projet AgroEcoDiv est cofinancé par l’Union européenne.

L’Europe s’engage en Région Guadeloupe avec le Fonds européen de développement régional.

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Sommaire

Introduction...1

I. Présentation de l’Institut d’accueil ...2

1.1- L’INRA ...2

1.2- Le Centre inter- régional Antilles-Guyane...2

1.3- Site de Duclos ...2

1.4- Lieu d’accueil du stage ...3

II. Contexte et problématique ...5

2.1- L’agriculture guadeloupéenne ...5

2.2- L’Agroécologie ...7

2.3- Le projet AgroEcoDiv ...9

2.4- Problématique ... 10

III. Matériels et méthodes ... 10

3.1- Cahier des charges du site AgroEcoDiv ... 10

3.2- Conception du site AgroEcoDiv ... 11

IV. Résultats ... 17

4.1- Présentation du Front Office... 17

4.2- Processus de validation du site AgroEcoDiv ... 20

4.3- Suivi et gestion du site AgroEcoDiv ... 20

V. Discussion ... 21

5.1- Point de vue critique... 21

5.2- Perspectives et améliorations ... 21

... 22

Conclusion ... 23

Références bibliographiques ... 24

Table des figures ... 27

Annexe 1 – Organigramme de l’URZ (source : URZ) ... 29

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Introduction

L’Institut National de Recherche Agronomique (INRA) a pour volonté de contribuer à nourrir les 9,5 milliards de personnes annoncés pour 2050 par le biais de ses recherches liant l’agriculture, la santé et l’environnement. Dans cette vision, l’INRA met en contribution ses différentes équipes en prônant l’excellence scientifique afin de répondre à cette problématique mondiale. Plus localement, la Guadeloupe a un lourd passif de pratiques agricoles intensives, notamment avec l’utilisation de la chlordécone. De plus, son éloignement géographique avec la métropole et son caractère insulaire lui confèrent une dépendance aux ressources extérieures.

Ainsi, le consortium, composé de l’INRA, du CIRAD et de l’Université des Antilles, a réfléchi à un nouveau projet ambitieux : AgroEcoDiv, en proposant l’agroécologie comme piste de transition pour l’agriculture guadeloupéenne. L’objectif de ce projet est de concevoir de façon innovante et dans une démarche agroécologique, des systèmes de production agricoles performants et résilients pour les territoires de Guadeloupe. Ce projet prendra en compte des dimensions sociales, culturelles, politiques et économiques.

La grande originalité de ce projet réside dans son caractère participatif où tous les acteurs évolueront en osmose. La problématique suivante peut se poser : comment améliorer la communication interne et externe du projet AgroEcoDiv ? Ainsi, ce stage aura pour finalité l’émergence d’un site internet AgroEcoDiv. Il sera utilisé comme un outil d’information, de travail et d’échange durant toute le long du projet. C’est pourquoi il sera réalisé grâce au logiciel EZ Publish.

Ce rapport sera composé d’une présentation de l’institut d’accueil, puis d’une explication du cadre dans lequel le projet AgroEcoDiv est né. Pour se faire, l’agriculture guadeloupéenne, l’agroécologie et une présentation du projet seront détaillées. Ensuite les méthodes utilisées lors de la conception du site internet seront abordées afin qu’une autre personne puisse reproduire le travail dans le futur.

Enfin, pour clore ce rapport, le site internet sera présenté ainsi que les différentes critiques et perspectives.

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I. Présentation de l’Institut d’accueil

1.1- L’INRA

L’INRA est un Institut National de Recherche Agronomique français dont l’objectif des 8 417 chercheurs est de nourrir le monde, tout en préservant l’environnement, la santé animale et humaine d’ici 2050. C’est pour cette raison que l’INRA axe ses recherches autour de 2 domaines : Agroécologie et la biologie prédictive.

1.2- Le Centre inter- régional Antilles-Guyane

L’INRA est présent en zone tropicale insulaire et continentale via son centre inter-régional Antilles- Guyane (Figure 1) dont le siège est basé en Guadeloupe et ses activités s’étendent en Martinique et

en Guyane.

La stratégie de ce centre pour la période 2013-2020 se concentre autour de deux axes de recherche :

-L’agroécologie et

compétitivité des agrosystèmes tropicaux

-Ecologie intégrée et valorisation des ecosystèmes forestiers tropicaux

Outre ses activités de recherche, le centre inter-régional Antilles- Guyane est aussi lieu de formation de doctorants, post-doctorants et des jeunes de la zone Caraïbe et intertropicale.

1.3- Site de Duclos

Le site de Duclos (Figure 2) est le premier site du centre inter-régional Antilles Guyane en Guadeloupe (Basse Terre). Il est situé dans une zone très humide ayant des sols de type ferralitiques. 15 ha de prairies sont exploitées et 4000 m² d’infrastructure abritent une porcherie semi- ouverte et deux bâtiments pour les petits ruminants. Le site Duclos est composé de deux unités de recherche (ASTRO, URZ) et de deux unités expérimentales (PEYI, PTEA).

Figure 1- Carte des implantations Centre Antilles- Guyane- source : (INRA Centre Antilles- Guyane, 2014)

Figure 2- le site de Duclos- source: INRA centre Antilles-Guyane

(8)

ASTRO

L’Unité de Recherche Agrosystèmes Tropicaux (UR/ ASTRO) est centrée sur la conception de systèmes de cultures innovants basés sur les principes du développement durable. ASTRO est composé de deux plateformes :

- Centre de Ressources Biologiques Plantes Tropicales (CRB PT) : activité centrée sur la préservation et le partage des ressources biologiques locales

- Observatoire des Pollutions aux Antilles (OPA C) : étude des mécanismes de transfert de polluants afin de trouver des solutions par le biais du sol et des systèmes de culture.

PEYI

La Plateforme Expérimentale sur le végétal et les agrosYstèmes Innovants (PEYI) étudie les espèces végétales. Cette plateforme a pour but de concevoir des agrosystèmes innovants agroécologiques, comprendre les modes d’action des espèces végétales sous contraintes et caractériser les ressources génétiques végétales. Grâce à ses deux domaines expérimentaux, le domaine Duclos et le domaine de Godet (sols neutres à alcalins et pluviométrie modérée), les ¾ des types de sols tropicaux sont représentés.

1.4- Lieu d’accueil du stage

Ce stage a été encadré par Nathalie Mandonnet, docteur et habilité à diriger des recherches en zootechnie et génétique quantitative, au sein de l’URZ sur le site Duclos. Elle est directrice de cette unité de l’INRA depuis janvier 2015. Actuellement, elle est à la tête de 25 personnes (cfr. Annexe 1 : Organigramme de l’URZ).

Il est important de souligner que Nathalie Mandonnet représente L’INRA au sein du consortium (INRA-CIRAD- Université des Antilles) du projet AgroEcoDiv. Ce projet rassemble un grand nombre de personnes autour d’une thématique commune : l’agroécologie. Le site internet AgroEcoDiv, conçu durant ce stage, s’inscrit dans la problématique suivante : comment améliorer la communication interne et externe du projet AgroEcoDiv ? Il aura pour objectif de permettre une future communication, efficace et efficiente, tout au long du projet AgroEcoDiv.

URZ

L’Unité de Recherches Zootechniques (URZ) (Figure 3) a pour objectif d’optimiser les productions animales en zone tropicale. Ses activités de recherche sont tournées vers les ruminants et les monogastriques. Les 25 agents permanents de cette unité regroupent leurs compétences pluridisciplinaires dans les deux axes d’étude :

- adaptation et résilience des animaux pour les systèmes d’élevage tropicaux durables

- optimisation de fonction en vue de l’efficience des systèmes d’élevage tropicaux

Figure 3- URZ- source: INRA centre Antilles-Guyane

(9)

Ces deux axes d’étude conduisent à un troisième visant à valoriser les savoirs, les expertises et les innovations. Afin de développer des outils, méthodes et innovations, l’URZ est en collaboration avec différents partenaires régionaux et à sa disposition le Centre de Ressources Biologique (CRB) INRA- CIRAD, la plateforme d’agro-transformation et la PTEA (développée ci-dessous).

PTEA

La Plateforme Tropicale d’Expérimentation sur l’Animal (PTEA) est répartie sur 2 lieux aux caractéristiques pédoclimatiques différentes : le site de Duclos et le site de Gardel. Le cheptel du site de Duclos est moins conséquent, avec 70 truies et 120 brebis Martinik en conduite hors sol, que celui du site de Gardel, avec 72 vaches Créole, 250 chèvres Créole, 50 brebis Martinik en pâturage. Les activités de la PTEA sont orientées vers trois programmes de recherche :

- adaptation des animaux aux contraintes d'élevage

-l'évaluation multicritère des ressources végétales fourragères, classiques ou non conventionnelles -l'évaluation zootechnique, agronomique et environnementale des systèmes d’élevage

(10)

II. Contexte et problématique

2.1- L’agriculture guadeloupéenne

Caractéristiques pédoclimatiques

La Guadeloupe possède un climat tropical humide maritime composé de deux saisons : une saison sèche (Janvier- Avril) et une saison des pluies (Juin- Octobre). Le changement d’une saison à une autre s’organise autour de deux périodes de transition.

Durant la saison sèche, le temps est sec et ensoleillé alors que durant la saison des pluies, le temps est chaud et humide avec possibilité d’apparition de phénomènes cycloniques.

La Figure 4 permet de mettre en avant la variabilité spatiale des précipitations dans les territoires de Guadeloupe. En effet, la Grande Terre est plus propice à la sécheresse que la Basse Terre sujette aux inondations.

Figure 4- Normales annuelles (1981-2010) en mm de la pluviométrie en Guadeloupe- Source: (METEO FRANCE)

Figure 5- Types de sols de Guadeloupe- source: Y.M. Cabidoche INRA-APC Guadeloupe /disponible sur (Centre CIRAD Vieux-habitants, 2008)

La Guadeloupe présente une multitude de microclimats et de types de sols (Figure 5) qui vont influencer les caractéristiques et l’aspect des paysages qui peuvent être secs, humides et hyper-humides. En effet, les sols de Basse Terre sont en majorité de type ferralitique, volcanique. Alors que les sols de Grande Terre sont quant à eux, en majorité calcaire et vertisol.

Les moyennes de température dépendent de la saison mais restent plus ou moins constantes sur un intervalle de 20 à 30°C.

(11)

Spécificité de l’agriculture guadeloupéenne

L’Agriculture est l’un des principaux piliers de l’économie guadeloupéenne. En effet, la Guadeloupe compte 7852 exploitations agricoles regroupées sur 31 768 ha de superficie agricole cultivée (AGRESTE, 2011). Cependant seulement 20% des besoins alimentaires sont satisfait. La Figure 6 illustre la répartition géographique des principales cultures. La Guadeloupe est découpée en 21 zones agricoles en fonction de leurs activités dominantes.

Le paysage agricole de la Basse Terre est prédominé par les bananeraies, situées au sud et à l’est, par le maraîchage, les cultures fruitières la canne à sucre et les ananas. Alors que la Grande Terre est surtout le lieu de production d’une grande quantité de canne à sucre. On y trouve aussi du maraîchage, des cultures fruitières et des surfaces herbagères. D’après le recensement de 2010, la culture de canne à sucre en Guadeloupe représente 14 173 ha, la banane 2 453 ha et les légumes et tubercules 1 895 ha (Institut d'Emission Des Départements d'Outre-Mer (IEDOM), 2015).

Le système polyculture/ élevage est très présent en Guadeloupe. C’est le cas par exemple de l’association bovins - canne à sucre (GALAND, JULIEN, & DUFLOT, 2008). En effet, le paysage guadeloupéen est principalement marqué par les élevages de bovins (62%) et de caprins/ovins (18%) (Figure 7). Depuis 2004, la filière animale a créé l’interprofession guadeloupéenne de la viande et de l’élevage (IGUAVIE) dont le rôle est de regrouper les producteurs, les distributeurs et les transformateurs pour

réglementer et optimiser leur relation. L’objectif reste d’atteindre l’autosuffisance du territoire.

(FEDER)

Les secteurs de la pêche et de l’aquaculture pèsent 11,2% de la richesse créée par l’agriculture guadeloupéenne en 2010. La pêche doit faire face à la concurrence des importations et des pratiques informelles. A l’heure d’aujourd’hui, la pêche ne satisfait pas les besoins de toute la population. De plus, la contamination des eaux au chlordécone fragilise ces deux secteurs.

Figure 6- Zones agricoles en Guadeloupe- source: (WKTL-Agency, 2014)

Figure 7- Décomposition du nombre

d'exploitations guadeloupéennes avec élevage- source: (INRA Centre Antilles- Guyane, 2014; INRA centre Antilles-Guyane, 2016; INRA centre Antilles-

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2.2-

L’Agroécologie

Contexte mondial

L’agriculture d’après-guerre, qualifiée d’agriculture intensive, met en place des systèmes de monocultures en prônant l’utilisation d’intrants chimiques, accompagnée d’une mécanisation élaborée. La stratégie des pays était d’augmenter leur productivité par le biais des rendements afin de répondre à la demande alimentaire. Ainsi la France est le premier utilisateur européen de produits phytosanitaires et le troisième mondial derrière les Etats Unis et le Brésil. (Terra Symbiosis) La révolution verte dans les pays du Sud, origine de cette agriculture moderne, a eu des conséquences dramatiques sur les petits agriculteurs qui ont vu leurs dettes s’additionner. Dans ce modèle intensif, les semences sont à acheter tous les ans, répondent au système phytosanitaire, la consommation en eau s’accroît et l’utilisation d’intrants s’intensifient. Malgré les bons résultats de rendement obtenus, les conséquences de ces pratiques ont très vite émergées. En effet, il s’est révélé que l’utilisation de produits phytosanitaires avait des conséquences sur la santé des Hommes mais aussi sur celle des sols. La pollution des sols, des milieux aquatiques, de l’air avec une dépendance aux combustibles fossiles qui ne cesse de s’accroître, participe à la détérioration des écosystèmes et à une perte de biodiversité. (Third World Network; SOCLA, 2015)

L’émergence de l’agroécologie

Suivant ce modèle d’agriculture moderne, les écosystèmes se dégradent, les ressources non renouvelables vont s’épuiser, le réchauffement climatique va s’accélérer. Il semble donc nécessaire d’adapter, dans une vision mondiale, nos pratiques agricoles en vue de répondre à la problématique de la souveraineté et sécurité alimentaire afin de sortir de l’impasse de cette crise écologique et sociale. (LICHTFOUSE, HAMELIN, NAVARRETE, DEBAEKE, & HENRI, 2010)

L’agroécologie émerge peu à peu de cette volonté de nourrir le monde autrement qu’en se servant de modèles agricoles intensifs. Il n’est plus question de produire sans prendre en compte les dimensions sociales, culturelles, politiques et économiques.

Ce terme « agroécologie » est difficile d’emploi, car il soulève différents concepts. En effet,

l’agroécologie peut être un mouvement social, un ensemble de pratiques agricoles ou une discipline scientifique (Figure 8). Ce mot agroécologie a été employé pour la première fois en 1930 par l’agronome Basil Bensin mais c’est dès les années 70 que ce terme apparaît de manière plus prononcée dans la littérature, surtout en Amérique latine et aux Etats Unis. (Pérez-Vitoria, 2011) Au fil des années, de nombreux acteurs aux compétences variées (agronomes, écologues, géographes, sociologues…), ont participé au développement de la vision multidimensionnelle de l’agriculture. L’agronomie et l’écologie sont les bases de l’agroécologie où les aspects

Figure 8- différents sens de l'agroécologie- source: (WESEL, BELLON, DORE, FRANCIS, VALLOD, & DAVID, 2009)

(13)

socioéconomiques, sociopolitiques sont aussi pris en considération. (AGROCAMPUSOuest, et al., 2013)

Principes de l’agroécologie

L’agroécologie se base sur les savoirs et pratiques traditionnelles des paysans, s’appuye sur l’environnement afin d’obtenir de haut rendement en minimalisant les dépenses énergétiques et de matières premières. (CRA Auvergne , 2015) L’agroécosystème est l’unité d’étude de l’agroécologie. Un agroécosystème peut se définir comme l’action de l’Homme sur un écosystème (GLIESSMAN) .Par exemple, sur la Figure 9, on observe qu’il y a intervention de l’Homme sur le système productif qui générera des déchets. Cependant ils seront recyclés de façon à les réutiliser. Toute action

de l’Homme se doit de ne pas être néfaste pour l’environnement. La finalité est d’aboutir à un système de production durable pour assurer la souveraineté alimentaire. D’après l’économiste, sociologue, documentaliste française, Sylvia Perez-Victoria, une complémentarité des savoirs scientifiques et sociaux de la connaissance est primordiale pour aboutir à des innovations utiles aux systèmes productifs. Suivant cette logique, la démarche agroécologique favorise la recherche-action participative. Cette démarche repose sur trois valeurs (Pérez-Vitoria, 2011) :

-équilibre : l’agroécosystème doit être en équilibre constant -équité : gommer les inégalités sociales

-reconnaissance des savoirs de tous : s’appuyer sur la connaissance des savoir paysans

Il est important pour les agriculteurs d’être dans un système de polyculture- élevage. L’intérêt réside dans la complémentarité des activités agricoles pour atteindre l’autosuffisance de l’exploitation.

Cette logique est aux antipodes de l’agriculture moderne, où chaque activité agricole est cloisonnée.

De ce fait, l’exploitation polyculture- élevage suivant une démarche agroécologique optimisera son espace, aura de la diversité dans son sol, sera la plus autonome possible (énergie, alimentation, eau, déchets) et s’appuiera sur les savoir ancestraux des paysans et des innovations émergentes. (ALTIERI, 2012)

L’Homme (agriculteur/ éleveur) reprend sa place centrale au sein de son exploitation, libre de ses propres choix. Il est en interaction constante avec d’autres acteurs, tels que les politiques, le grand public, les législateurs, les professionnels et les chercheurs.

Ainsi l’agroécologie semble être une piste exploitable pour la Guadeloupe dans la mesure où elle souhaiterait atteindre une souveraineté alimentaire en préservant les ressources naturelles sans impact néfaste sur la nature. En effet, il est important de souligner que la Guadeloupe a été touchée par son agriculture intensive. Entre autre, la chlordécone, un insecticide organochloré, très rémanent

Figure 9- fonctionnement d'un agroécosystème- source:

(GLIESSMAN)

(14)

(présence pour un siècle au minimum) a été utilisé jusqu’en 1993 dans les bananerais. (CABIDOCHE &

LESUEUR JANNOYER, 2011) Une cartographie de la contamination des sols de Guadeloupe a été élaborée afin de pouvoir repérer et mettre en place des mesures pour limiter l’exposition des guadeloupéens (Direction de l'Alimentation,de l'Agriculture et de la Forêt de Guadeloupe (DAAF), 2016). On suppose qu’environ 10% de la SAU (surface agricole utilisée) est contaminée (zone historique de la production bananière sur Basse Terre).

2.3- Le projet AgroEcoDiv

Le projet AgroEcoDiv est financé par le Conseil Régional de Guadeloupe et l’Union Européenne pour une durée de 2 ans renouvelable dans le cadre du Plan de Développement Régional de la Guadeloupe et des priorités du programme H2020 de l’Europe. Les compétences pluridisciplinaires de l’Université des Antilles, du CIRAD (Coopération International de Recherche Agronomique pour le Développement) et de l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique) seront mobilisées pour la réussite du projet. Le dynamisme de ce consortium permettra de concevoir de façon innovante des systèmes de production agricole performants et résilients pour les territoires de Guadeloupe dans une démarche agroécologique.

Le projet AgroEcoDiv ciblera ses recherches sur les exploitations agricoles en polyculture/ élevage relevant de la petite agriculture familiale.

Il sera organisé en 3 groupes de travail (GT) :

 GT1 : Transition écologique et résilience agricole : angle socioéconomique des attentes des acteurs agricoles et des consommateurs

 GT2 : Optimisation de fonctions et processus agroécologique en production animale et végétale

 GT3 : Conception et évaluation d’innovations : accompagnement des exploitations agricoles dans leur transition agroécologique

Le projet se fixe quatre objectifs :

1. intégrer tous les acteurs du secteur agricole tout le long du processus d’innovation (en amont et en aval)

2. inclure les résultats du projet et ses innovations dans les formations sur l’agroécologie 3. amplifier les démarches multi et transdisciplinaires en recherche pour construire la

complémentarité des productions végétales et animales et redonner aux exploitations une plus grande autonomie vis-à-vis de l’extérieur

4. partager avec la Société les connaissances scientifiques, techniques et industrielles des domaines d’étude du projet, en vue de promouvoir une prise de conscience collective des enjeux portés par la démarche agroécologique

(15)

2.4-

Problématique

Afin de remplir ses objectifs, le projet AgroEcoDiv suivra une démarche innovante impliquant la participation des bailleurs de fond et de tous les acteurs et stimulant leur interaction. La problématique suivante émerge dans ce contexte : comment améliorer la communication interne et externe du projet AgroEcoDiv ? Pour répondre à cette problématique un site internet sera créé. Il s’inscrira parfaitement dans l’optique participative du projet AgroEcoDiv.

Ce site internet aura pour rôle de :

 faire connaître le projet dans sa globalité et l’implication des bailleurs en informant le public visé de sa structure générale, son organisation, ses équipes et ses partenaires.

 faire connaître les résultats marquants du projet en les médiatisant par le biais de différents supports ou d’évènements organisés inscrits dans une rubrique « actualités ».

 Servir au pilotage et à l’animation interne du projet grâce à une rubrique à accès privée, accessible aux équipes de recherche. Ainsi, tous les documents et informations susceptibles d’intéresser tous les participants seront regroupés à cet endroit afin de faciliter la communication inter institut et entre les différentes équipes.

III. Matériels et méthodes

3.1- Cahier des charges du site AgroEcoDiv

L’élaboration d’un cahier des charges est l’une des premières étapes dans la création d’un site internet. Le cahier des charges fait office de référence, de ligne directive, répertoriant les objectifs que doit atteindre le nouveau site internet en respectant les contraintes techniques, esthétiques et fonctionnelles. Il est donc primordial de ne pas négliger cette étape qui est le pilier du site à créer.

Publics visés du site AgroEcoDiv

Le site AgroEcoDiv cible deux types de publics : 1. Un public impliqué dans le projet :

 Les membres du consortium (équipes de recherche…)

 Les professionnels du monde agricole

 Les consommateurs

 Les bailleurs de fond

 Les décideurs politiques

2. Le grand public dont la volonté est de s’informer :

 Les particuliers/ étudiants/ professionnels travaillant sur des thématiques similaires

(16)

Graphisme du site AgroEcoDiv

Le site AgroEcoDiv a été réalisé avec le logiciel EZ Publish – version 5.4.3. Ce logiciel permet de créer des sites clés en main. Il répond déjà à la charte de l’INRA et les actions sont guidées et ne permettent pas de transgresser cette charte. Certaines options sont à choisir avant de pouvoir commencer la phase de création du site, à savoir :

couleur générale du site : vert

type d’affichage : vertical

3.2- Conception du site AgroEcoDiv

Une fois l’écriture du cahier des charges du site internet, la conception du site peut commencer. Le logiciel EZ Publish est habituellement utilisé par l’INRA pour concevoir des sites internet. Avant de pouvoir commencer toute création, il a fallu soumettre une demande d’ouverture de site internet pour le projet AgroEcoDiv auprès du service informatique de l’INRA. Une fois la demande acceptée, l’URL du site internet a été créée et le logiciel peut être utilisé.

Tout d’abord, il est important d’expliquer les particularités du logiciel avant de développer les étapes clés de l’élaboration du site internet.

Le logiciel EZ Publish

Une fois l’adresse du site obtenue par le service informatique de l’INRA, le logiciel EZ Publish est utilisable en ligne. La particularité de cet outil de gestion réside dans ces deux parties la composant :

- Le Front Office : accessible par tout le monde, une fois l’adresse URL transmise, et qui permet de visualiser l’architecture du site. Il est possible d’ajouter une rubrique, seulement accessible par identification à un public ciblé et non visible par le grand public.

- Le Back Office : accessible seulement par l’administrateur et le gestionnaire, qui peuvent être au pluriel, permet de créer, gérer les contenus du site disponibles en Front Office.

Il existe trois différents contributeurs pouvant accéder au Back Office, cependant ils ne possèdent

pas les mêmes droits. L’accès aux différentes parties est par conséquent réglementé.

D’après le manuel d’utilisateur élaboré par la Direction du Système d’Information de l’INRA, modifié en 2014 :

Le gestionnaire peut créer, modifier et supprimer des contenus, organiser l’arborescence du site et gérer les droits des utilisateurs.

Les rédacteurs peuvent créer, modifier et supprimer des contenus au sein de la rubrique pour laquelle leurs droits ont été définis.

L’administrateur a accès à toutes les fonctionnalités de tous les sites EZ Publish, et il peut définir les droits des utilisateurs, gestionnaires, rédacteurs.

(17)

Le Back Office est le cœur de création du site internet, où les compétences de différentes personnes se croisent afin d’obtenir le résultat souhaité. La mission de ce stage impliquait de pouvoir accéder à toute l’arborescence du site et d’être libre quant à la création, modification et la suppression des différents contenus et rubriques. C’est pour cette raison que la connexion au logiciel de gestion se faisait avec un identifiant de gestionnaire.

Lors de la demande d’ouverture du site AgroEcoDiv, il a fallu choisir entre deux dispositions générales du site : horizontale et verticale ainsi que la couleur : vert. Ces dispositions dépendent de l’esthétisme et de l’ergonomie souhaitées par les créateurs pour le nouveau site. Une fois choisie, il est possible de modifier ces paramètres mais comme ils ont été préconçus par l’administrateur, il n’est pas conseillé de les changer.

Comment accéder au Back Office du logiciel EZ Publish ? .

L’organisation du Back Office

Lors de l’élaboration du site internet, le gestionnaire utilise surtout ces onglets : Tableau de bord, Contenus, Médiathèque, Personnalisation.

Onglet « Contenus » :

La Figure 11 illustre le contenu du Back Office. Le schéma général est le même pour les autres onglets, seulement le fond diffère. Cet onglet « Contenus » est composé de trois différentes parties :

- La fenêtre de gauche donne une vision générale du squelette du site où il est possible d’accéder aux différents niveaux souhaités.

- La fenêtre du milieu indique la position sur laquelle l’utilisateur se situe par rapport à l’arborescence du site. Cette fenêtre permet, en autres, de pouvoir gérer, modifier les contenus et d’en ajouter.

- La fenêtre de droite n’est pas visible automatiquement, elle est par défaut masquée. Si on clique dessus, il est possible d’apercevoir, différentes informations concernant l’utilisateur en cours. C’est à cet endroit que l’utilisateur doit se déconnecter.

Lorsque la demande de création d’un site internet a été acceptée, l’administrateur a communiqué au gestionnaire, une URL où il pourra accéder au Back Office du logiciel EZ Publish par identification comme indiquée sur la Figure 10.

L’URL du Back Office du site AgroEcoDiv est : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_admin.

Figure 10- interface de connexion au Back Office du logiciel EZ Publish- Source: capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_admin

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Figure 11- Back Office du logiciel EZ Publish- Source: capture d'écran du manuel d’utilisateur élaboré par la Direction du Système d’Information de l’INRA

Onglet « Tableau de bord » :

L’onglet « Tableau de bord » (Figure 12) a pour objectif de renseigner l’utilisateur sur les derniers éléments modifiés/publiés, les éléments et les brouillons en attente. Il permet d’accéder plus rapidement à des informations ciblées.

Onglet « Médiathèque » :

Cet onglet est disposé sous le même schéma que l’onglet « contenu », il a un une utilité de stockage de fichiers images ou à télécharger. Une fois stocké dans la médiathèque, ces fichiers seront disponibles pour le site. Il sera possible de les importer directement au contenu du site souhaité.

Onglet « Personnalisation » :

La fonction de l’onglet « Personnalisation » est la gestion de la configuration graphique du site internet. Grâce à cet onglet, il est possible de modifier les paramètres graphiques du site. Par exemple, c’est à cet endroit qu’un bandeau d’image peut être créé pour la page d’accueil.

Figure 12- Onglet « Tableau de bord »- Source: capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin

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Création du site

Les grandes étapes entrant dans la conception du site internet AgroEcoDiv seront décrites ci-dessous.

Parmi celles-ci, on distingue : - création des rubriques d’en tête - création des sous éléments - création d’un bandeau d’image

- mise en place des logos des membres du consortium et des bailleurs de fond

Création des rubriques d’en tête :

La disposition générale du site est verticale, ce qui signifie que les rubriques d’en tête sont en position verticale. Une rubrique d’en tête est un dossier pouvant contenir plusieurs sous-éléments.

Elles sont importantes car elles constituent le corps du site internet. Pour ce site, 4 rubriques d’en tête doivent être créées : présentation, gouvernance du projet, organisation et partenaires. Ces principales rubriques sont donc positionnées sur le côté droit de la page web.

Tout d’abord, il faut aller dans l’onglet Contenus du logiciel EZ Publish. Une fois celui-ci sélectionné, aller dans la fenêtre de droite où l’arborescence du site y est inscrite, cliquez sur « Accueil ». Une fenêtre s’affiche Figure 13).

Faire coulisser la souris pour atteindre le bas de la fenêtre où il y a une rubrique « sous-éléments (Figure 14). A partir de là, appuyer sur « créer un nouvel élément » puis sur « rubrique de tête ».

La rubrique de tête est créée.

Création des sous éléments : Il est possible d’ajouter des sous éléments dans les différentes rubriques de tête. Les caractéristiques de ceux-ci dépendent de la fonction souhaitée. La méthode consiste à cliquer sur la rubrique de tête voulue, d’aller dans les sous éléments, et de cliquer sur « créer un nouvel élément ».

Figure 13- onglet « Accueil »- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin

Figure 14- Rubrique sous-éléments- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin

Figure 15- Organisation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_admin

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Là le choix est multiple : article, bandeau image, brève, dossier, dossier FAQ, dossier RSS, Evénement, formulaire, abonnement aux actualités. Pour le site AgroEcoDiv, le dossier et l’article sont les deux sous éléments qui ont permis de concevoir son squelette. Un dossier peut contenir un ou plusieurs article(s). Il est intéressant de se servir de l’article quand on souhaite développer un sujet plus en détail dans le corps du dossier. Pour ajouter du texte, il suffit de cliquer sur le bouton

« modifier » et une fenêtre apparaît (Figure 15). Le schéma pour compléter les cases est quasiment le même pour l’article, c’est pour cette raison qu’il ne sera pas développé ci-dessous. EZ Publish étant un logiciel clé en main, le modèle à compléter pour remplir les cases et construire le texte relatif à la section choisie, est guidé. En effet, une indication « obligatoire » permet de renseigner le rédacteur sur ce qu’il doit absolument remplir. Il est possible d’importer des images à partir de fichiers d’un ordinateur ou de la médiathèque du logiciel. Les images importées dans cette fenêtre apparaitront à côté du titre du dossier. Si le souhait du rédacteur est d’insérer des images directement dans le corps du texte, il faut cliquer en haut de la fenêtre « texte » sur l’onglet de l’image. Pour tous les dossiers ou autres crées, le nom du rédacteur ainsi que des mots clés ont un caractère obligatoire.

Une fois toutes les indications complétées, le rédacteur peut visualiser le rendu de ce qu’il vient de remplir sur le site internet, pour cela il lui suffit d’appuyer sur la touche de la fenêtre de gauche

« prévisionnisation ». Si son travail lui convient, il peut envoyer cette version pour une publication qui apparaitra sur le Front Office ou bien faire de son essai un brouillon (Figure 16).

Création d’un bandeau image :

La pratique d’importer un bandeau image est courante car il permet d’illustrer le site internet afin de gagner en esthétique. Cependant il y a deux méthodes pour en importer, et cela dépend d’où le rédacteur souhaite le placer. S’il souhaite un bandeau image propre à chaque dossier, il lui suffit de cliquer sur le dossier correspondant à son désir, puis de créer un nouvel élément : bandeau image. La deuxième méthode sera plutôt développée ci-dessous car elle est différente.

Figure 16- Publication et enregistrement- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin

Figure 17- Bandeau image- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin

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Pour insérer un bandeau image sur la page d’accueil du site, il faut aller dans l’onglet « configuration graphique » (Figure 17) puis dans « Editer un bandeau accueil » situé dans la fenêtre de gauche.

L’importation du bandeau image se fait classiquement. Cependant, si le désir du concepteur du site est de retrouver le même bandeau image dans tous les dossiers de son site, il lui faudra l’importer aussi dans l’onglet « Editer Bandeau par défaut.

Mise en place des logos des membres du consortium et des bailleurs de fond

Il est obligatoire de mettre les logos des partenaires au projet et des bailleurs de fond sur la page principale du site AgroEcoDiv. Ils apparaîtront tout en haut, au-dessus du bandeau image et des rubriques de tête. Il existe deux types de logos : les logos partenaire qui lorsqu’on clique dessus renvoient directement à la page partenaire et les logos image qui sont juste là comme illustration.

Afin de créer les logos des membres du consortium, il faut aller dans « Contenus » puis cliquer dans

« Configuration graphique », aller dans la fenêtre « sous éléments », puis dans le dossier « Haut », et ensuite cliquer sur « créer un nouvel élément » et choisir « logo partenaire ». Une fois créé, le modèle est similaire à l’importation d’image. A noter que la hauteur du logo doit être de 34 pixels.

Il est important de souligner qu’il ne faut pas oublier d’aller dans la page « partenaire », située dans l’onglet « Contenus » (comme le reste de l’arborescence du site), pour créer sous le même modèle les sponsors, et re-charger les logos des membres du consortium et des bailleurs de fond en inscrivant leurs coordonnées. Ainsi le lien entre les logos situés en haut du site internet et la page Partenaires pourra se faire.

Attention, un dossier au même nom « Partenaires » a été créé en plus afin de pouvoir détailler à titre informatif, les différents organismes partenaires du projet. Il n’a pas la même vocation que la page Partenaires détaillée ci-dessus.

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IV. Résultats

4.1- Présentation du Front Office

Le Front Office est la partie visible et accessible du site AgroEcoDiv par les internautes. L’adresse web du nouveau site créé est : http://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe/ . La page d’accueil du site AgroEcoDiv, réalisée grâce au logiciel EZ Publish, apparaît sur la Figure 18.

L’arborescence de ce site internet peut être découpée en 5 parties différentes : 1. Les logos des membres du consortium et des bailleurs de fond :

Il était primordial de les faire apparaître sur la partie haute du site afin qu’ils soient visible par tous les visiteurs et utilisateurs du site. L’INRA, porteur du projet, est en charge de la conception du site et doit veiller à mettre les autres partenaires sur un même pied d’égalité.

2. Les rubriques de tête :

Cette partie est constituée de 5 rubriques de tête : Présentation, gouvernance du projet, organisation, partenaires et d’une partie a accès réglementé (privé). Elle constitue le corps du site internet AgroEcoDiv. Ces rubriques sont composées de différents dossiers. La rubrique présentation (Figure 19) a pour objectif de rappeler le contexte dans lequel le projet se place et d’énoncer ses objectifs. La gestion du projet est renseignée par la rubrique gouvernance du projet (Figure 20). Elle est composée de deux rubriques : comité de pilotage (Figure 21) et scientifique (Figure 22). Celle-ci a un rôle d’information pour le grand public et les bailleurs de fond car elle pose le cadre dans lequel le projet s’inscrit. La rubrique organisation (Figure 23) détaille plus ou moins le contenu du projet. Les trois groupes de travail (Figure 24) ainsi que les étapes clés de ceux-ci y sont énoncés et ont pour vocation d’expliquer ce qu’est le projet AgroEcoDiv. Celle des partenaires (Figure 25) regroupe les membres du consortium et trace un aperçu de leurs activités.

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Figure 18- Front Office- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

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Figure 19- Présentation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

Figure 20- Gouvernance du projet- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_login

Figure 22- Comité de pilotage- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

Figure 21- Comité scientifique- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

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Figure 23- Organisation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

Figure 24- GT1- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

Figure 25- Partenaires- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login

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3. Le bandeau image :

Le bandeau image illustre le site internet et reprend le titre et le slogan du projet AgroEcoDiv.

4. Les rubriques d’actualités et l’édito :

Ces rubriques sont situées sur la page d’accueil du site pour être visible dès lors que les internautes arrivent sur cette page Web. Les actualités permettent de tenir informer les utilisateurs des évolutions, des évènements, des offres générés par le projet AgroEcoDiv. Sous les actualités, un édito a été créé pour résumer en quelques phrases les fondements de ce projet. Il informe les internautes du sujet du projet.

5. Le calendrier :

Il est visible sur toutes les pages du site web. Le calendrier a pour vocation de renseigner de manière claire et précise, les internautes sur les évènements relatifs au projet AgroEcoDiv.

4.2- Processus de validation du site AgroEcoDiv

Avant sa publication officielle sur les sites des membres du consortium et des bailleurs de fond, le site AgroEcoDiv doit être validé. Pour ce faire, il doit être relu par les trois établissements : l’INRA, l’Université des Antilles et le CIRAD. Afin de s’assurer de la justesse des mots employés et des informations transmises, il est important de soumettre les essais aux différents responsables correspondant à la rubrique adéquate. Par exemple, il existe un responsable pour chaque groupe de travail, pour la gouvernance… Une fois chaque le contenu validé par les principaux intéressés, le site est soumis au service du système d’information, pour qu’il vérifie si toutes les règles ont été respectées et s’il est possible et envisageable de publier le site internet. Une fois l’autorisation émise, le site est alors renseigné et accessible par le grand public et par les partenaires et bailleurs de fond.

4.3- Suivi et gestion du site AgroEcoDiv

Etant donné que le projet AgroEcoDiv n’a pas encore débuté, le plan de suivi et de gestion du site internet n’est qu’hypothèse et reste à être approuvé par le consortium et notamment par les responsables communication. L’alimentation des rubriques se fera grâce aux éléments évoqués lors des réunions du comité scientifique. Celui-ci regroupe les animateurs des axes, un représentant désigné par chaque organisme du consortium et des experts scientifiques extérieurs. Ce comité a pour vocation l’animation et l’entretien d’une communauté transdisciplinaire, concentré autour de l’agroécologie. La contribution des experts scientifiques extérieurs renforce la production des connaissances. Ainsi, chaque trimestre, tous les coordinateurs des groupes de travail devront faire remonter les faits marquants, les actualités, découlant de ces réunions, à la personne recrutée pour la gouvernance. Catherine Odet sera la personne en charge de la publicité du site.

L’efficacité et la fréquentation du site AgroEcoDiv, par rapport aux objectifs et aux publics évoqués dans le chapitre précèdent, se mesurera grâce à des compteurs et probablement aussi par des enquêtes.

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Le site sera géré pendant toute la durée du projet AgroEcoDiv. A l’heure d’aujourd’hui, celui-ci a une durée de 2 ans, correspondant aux financements reçus par la Région Guadeloupe et l’Union Européenne. Au-delà de cette date, les informations les plus pertinentes seront placées dans les sites institutionnels.

V. Discussion

5.1- Point de vue critique

Lors de la conception du site internet AgroEcoDiv, l’utilisation du logiciel EZ Publish a pu se dérouler simplement. En effet, ce logiciel clé en main est simple d’utilisation car toutes les actions sont guidées. Si une difficulté est rencontrée, il est possible de se référer au livret guide rédigé par la direction du système d’information de l’INRA. De plus, ce logiciel intuitif ne permet pas des transgressions de la réglementation puisque la chartre de l’écrit y est incorporée. Cependant, cette absence de liberté a pour conséquence d’obtenir un site à apparence assez classique. Le logiciel clé en main laisse peu de place à la créativité, il n’est pas possible, entre autres, de choisir la police, ni de changer la couleur du texte. Ce manque peut-être un handicap dans la réalisation du site, car le résultat final n’est pas forcément celui souhaité. D’un point de vue pratique, le logiciel EZ Publish est conçu de manière à ce que plusieurs catégories de personne (gestionnaire, rédacteur…) puissse l’utiliser. Ainsi, le gestionnaire, par exemple, peut faire appel à plusieurs rédacteurs pour rédiger les différents textes dont il a besoin. Cette démarche est simplifiée, grâce au logiciel, en permettant aux experts sollicités d’accéder à l’aide d’un identifiant aux différentes rubriques à rédiger.

La plus grande difficulté rencontrée lors de la conception du site internet était de devoir le réaliser avant même que le projet AgroEcoDiv ne commence. En effet, les membres du consortium n’avaient pas encore reçu les subventions nécessaires à l’inauguration du projet. La tâche était donc ardue car rien n’était plus ou moins concret. Il fallait essayer de cerner le rôle du site internet dans le projet AgroEcoDiv, le public visé. De même, la rédaction des différentes rubriques s’est seulement appuyée sur le dossier descriptif du projet comme aucune action n’avait démarré. Par conséquent, la réalisation du site internet s’inscrivait dans un contexte peut adéquate. C’est pour cette raison que le site n’a pu être validé avant la fin de ce stage. Il sera rendu public dans un second temps, une fois validé par tous les membres du consortium. De plus, le site internet sera une bonne base à améliorer et à modifier tout au long du projet AgroEcoDiv.

5.2- Perspectives et améliorations

Comme évoqué dans le paragraphe ci-dessus, de nombreuses actions n’ont pu être réalisées car le projet AgroEcoDiv n’avait pas encore commencé. Premièrement, il serait envisageable de compléter la rubrique partenaires avec une icône facebook renvoyant sur le site facebook de chacun des membres du consortium. Deuxièmement, une rubrique privée a déjà été créée mais rien n’a été rédigé et organisé à l’intérieur de cette rubrique. Il semblait être intéressant de réserver cette rubrique à un public ciblé, tel que les responsables des groupes de travail et d’étapes du projet, pour

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leur permettre et leur assurer une organisation en interne efficace. Ainsi ils pourront se transmettre des informations, des documents durant le projet. L’objectif est que cette rubrique adopte une fonction d’intranet accessible par identification et mot de passe. Comme la communication entre les différents établissements et les personnes au sein d’un même groupe de travail peut se révéler compliquer, la rubrique privée aura comme fonction de contenir une lettre d’information interne, dans l’idée, trois rubriques pour les trois groupes de travail du projet où les personnes pourront classer leurs informations à l’intérieur.

Pour finir, il semblerait judicieux de créer une rubrique qui regrouperait toutes les innovations. Le nom provisoire était « innovations » mais le terme n’est pas forcément le plus adéquate. Cette rubrique a pour but de communiquer les résultats marquants des groupes de travail du projet, de transmettre les informations au grand public. Elle servira aussi de suivi pour les bailleurs de fond pour qu’ils puissent voir l’avancée du projet AgroEcoDiv. La rubrique doit s’adapter à différents profil allant des acteurs du projet, des bailleurs de fond, du grand public. Il s’avère donc nécessaire d’élaborer un système où tout le monde puisse trouver l’information qu’il souhaite sans trop de difficulté. C’est pourquoi la piste du site transfaire (http://transfaire.antilles.inra.fr/) a été évoquée.

L’intérêt avec le site transfaire (Figure 26) est que les résultats des projets sont triés en fonction de grandes catégories : Productions végétales, productions animales etc… De plus il est possible avec une barre de recherche d’affiner la recherche des résultats à l’aide de mots clés. Il est envisageable de rechercher par type de résultat, enjeux, avancées du sujet … Dans le meilleur des cas, il faudrait essayer de reproduire le même schéma pour le site AgroEcoDiv.

Ainsi les améliorations du site internet viendront au fur et à mesure de l’avancée du projet. Pour le moment, les perspectives ne peuvent devenir réalité.

Figure 26- extrait du site Transfaire- source : capture d’écran du site Transfaire : http://transfaire.antilles.inra.fr/

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Conclusion

Avant même que le projet AgroEcoDiv n’ait commencé, le site internet correspondant aura vu le jour.

Il a été réalisé grâce au logiciel EZ Publish, fourni par l’INRA. Il n’est pas tout à fait exact de parler de travail finalisé étant donné que la première ébauche du site reste à être validée par tous les membres du consortium. A l’heure d’aujourd’hui, le travail déjà effectué est un soutien pour la future équipe qui s’occupera de la gestion de ce site, une fois le projet AgroEcoDiv lancé. Toutefois, il est important de souligner son rôle dans ce nouveau projet. En effet, en s’adressant à un large public hétérogène, allant du grand public aux équipes internes des partenaires du consortium, il se révélera comme un véritable outil dans la gestion, le suivi des différentes étapes clés. L’excellence scientifique pourra être transmise et communiquée par ce biais.

De ce fait, de nombreuses évolutions pourront être apportées au site internet AgroEcoDiv : comme par exemple la création de nouvelles rubriques retranscrivant les résultats marquants obtenus à la suite des différentes étapes réalisées durant ce projet. De plus, il serait pertinent de conférer à cet outil un caractère personnalisé, facilitant la communication interne de toutes les équipes de recherches travaillant sur ce projet.

Ce site internet AgroEcoDiv renferme en lui de nombreux espoirs qui contribueront à la réussite du projet AgroEcoDiv. Il sera l’exemple que différents établissements peuvent travailler sur un même projet en gardant en efficience et en mettant à profit les compétences et les idées de tout le monde.

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Table des figures

Figure 1- Carte des implantations Centre Antilles- Guyane- source : (INRA Centre Antilles- Guyane, 2014) ...2 Figure 2- le site de Duclos- source: INRA centre Antilles-Guyane ...2 Figure 3- URZ- source: INRA centre Antilles-Guyane ...3 Figure 4- Normales annuelles (1981-2010) en mm de la pluviométrie en Guadeloupe- Source: (METEO FRANCE) ...5 Figure 5- Types de sols de Guadeloupe- source: Y.M. Cabidoche INRA-APC Guadeloupe /disponible sur (Centre CIRAD Vieux-habitants, 2008) ...5 Figure 6- Zones agricoles en Guadeloupe- source: (WKTL-Agency, 2014) ...6 Figure 7- Décomposition du nombre d'exploitations guadeloupéennes avec élevage- source: (INRA Centre Antilles- Guyane, 2014; INRA centre Antilles-Guyane, 2016; INRA centre Antilles-Guyane, 2016; INRA centre Antilles-Guyane, 2016; INRA Centre Antilles-Guyane, 2016) ...6 Figure 8- différents sens de l'agroécologie- source: (WESEL, BELLON, DORE, FRANCIS, VALLOD, &

DAVID, 2009) ...7 Figure 9- fonctionnement d'un agroécosystème- source: (GLIESSMAN) ...8 Figure 10- interface de connexion au Back Office du logiciel EZ Publish- Source: capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin ... 12 Figure 11- Back Office du logiciel EZ Publish- Source: capture d'écran du manuel d’utilisateur élaboré par la Direction du Système d’Information de l’INRA ... 13 Figure 12- Onglet « Tableau de bord »- Source: capture d'écran du site :

https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin ... 13 Figure 13- onglet « Accueil »- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_admin ... 14 Figure 14- Rubrique sous-éléments- Source : capture d'écran du site :

https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin ... 14 Figure 15- Organisation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_admin ... 14 Figure 16- Publication et enregistrement- Source : capture d'écran du site :

https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_admin ... 15 Figure 17- Bandeau image- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_admin ... 15 Figure 18- Front Office- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_login ... 17 Figure 19- Présentation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_login ... 18 Figure 20- Gouvernance du projet- Source : capture d'écran du site :

https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login ... 18 Figure 21- Comité de pilotage- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_login ... 18

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Figure 22- Comité scientifique- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv- guadeloupe_login ... 18 Figure 23- Organisation- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_login ... 19 Figure 24- GT1- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-guadeloupe_login ... 19 Figure 25- Partenaires- Source : capture d'écran du site : https://www6.inra.fr/agroecodiv-

guadeloupe_login ... 19 Figure 26- extrait du site Transfaire- source : capture d’écran du site Transfaire :

http://transfaire.antilles.inra.fr/ ... 22

Références

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