• Aucun résultat trouvé

Formule fondamentale de l'électrodynamique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Formule fondamentale de l'électrodynamique"

Copied!
12
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238184

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238184

Submitted on 1 Jan 1884

HAL

is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire

HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Formule fondamentale de l’électrodynamique

H. Pellat

To cite this version:

H. Pellat. Formule fondamentale de l’électrodynamique. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.117-

127. �10.1051/jphystap:018840030011701�. �jpa-00238184�

(2)

117

qui prennent

aux basses hauteurs du Soleil une intensité considé-

rahle ;

elles ont un

aspect particulier, qui

les

distinguerait

à la ri-

gueur des groupes

précédents,

mais leur caractère propre est de s’effacer presque entièrement

lorsque l’atmosphère

est froide et

sèche : c’est ce

que j’ai constaté

définitivement le

24 janvier dernier,

le

poin t

de rosée s’est abaissé

à 2013 3°, 2;

dans le

voisinage

des

raies

D,

les raies

telluriques

avaient presque

disparu ;

il est donc

naturel de les

attribuer,

comme les raies voisines de

D,

à

l’absorp-

tion causée par la vapeur d’eau. Les

principales

d’entre elles son

indiquées

sur la

figure

par des

lignes qui

ne sont

prolongées

ni

vers le

haut,

ni vers le bas

(A = 628, i 3 ; 628,44; 631,ài).

Pour

terminer, je

ferai remarquer que la

comparaison

de ces

diverses

espèces

de raies entre elles pourra

conduire,

ainsi que

j’ai déjà

eu l’occasion de

l’exposer (Journal

de

l’École Polyteclz- nique)

LI Ile

Cahier,

p. 210, et Journal de

Physique)

2e

série, t. lI,

p.

63),

à des résultats intéressant la

Météorologie

et l’Astro-

nomie. Les raies du groupe oc

appartenant

à

l’atmosphère

sèche

auront

l’avantage

de

présenter

une échelle

régulière

d’intensité

qui

facilitera les mesures absolues.

En résumé, la

présente

étude du groupe a a conduit d’abord à

une méthode

pratique

pour

distinguer

à la

simple inspection

les

raies

d’origine

terrestre et celles

d’origine solaire;

elle a

permis

ensuite d’établir la relation intime de ce groupe avec les bandes A

et B de

Fraunhofer;

enfin elle a pour

conséquence

d’attribuer ce

groupe à

l’absorption

par

l’oxygène

de l’air.

FORMULE FONDAMENTALE DE

L’ÉLECTRODYNAMIQUE;

PAR M. H. PELLAT.

En admettant que deux éléments de courants s’attirent ou se

repoussent suivant la droite

qui

les

joint

et en se fondant sur

les

expériences

des courants

parallèles,

des courants dans le pro-

longement

l’un de l’autre et des courants

sinueux,

on

arrive,

par des considérations très

simples

et bien connues, à la formule

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030011701

(3)

118

dans

laquelle f

est la force

agissant

entre deux éléments de lon- gueurs 1 et

1’,

0 et 0’ sont les

angles

que forme la direction de

chaque

courant avec la droite

qui

les

joint,

ou w est

l’angle

dièdre des deux

plans

passant par cette droite et par chacun des

éléments,

enfin

fer)

et

F(r)

sont des fonctions

toujours

po- sitives de la distance 1 des éléments et aussi des intensités i et z’

des deux courants.

Ampère,

pour déterminer ces deux

fonctions,

a

supposé

une

expérience

presque

impossible

à réaliser dans des conditions d’exactitude

suffisante,

celle des trois courants semblables. De-

puis,

un

grand

nombre de

physiciens

et de

géomètres

se sont

appliqués

à lever cette difficulté en fondant leur démonstration

sur des

expériences susceptibles

d’être effectuées avec

précision.

Dans

quelques-unes

de ces

démonstrations,

celle de Lamé par

exemple,

on suppose

a priori

que

fer)

et

F(r)

varient en raison

inverse d’une même

puissance

de la

distance,

ce

qui

n’est pas évident.

D’autres,

comme celles de Blanchet ou de M. Bertrand

(’ )

sont à l’abri de toute

critique;

mais les

calculs, quoique

fort

élégants,

sont trop

longs

et trop

compliqués

pour

l’enseignement

secondaire.

La démonstration suivante ne

s’appuie

que sur des

expériences susceptibles

d’une

grande précision

et

n’exige,

pour être com-

prise,

que les notions les

plus

élémentaires du calcul des déri- vées

(2).

DÉTERMINATION DE

F(1’).

-

L’expérience

sur

laquelle

repose la détermination de

F(r)

se fait à l’aide d’une sorte

d’éleêtrodyna-

momètre,

dont la bobine mobile B

(fig. i)

a des dimensions très

petites

et est

placée

au centre de deux cadres circulaires concen-

uriques

A et

A’,

situés dans un même

plan.

Ces cadres doivent avoir des rayons i- et n’ assez

grands

pour que vis-à-vis d’eux les dimensions linéaires de la bobine mobile soient

négligeables.

Sur

chacun d’eux est enroulé un fil à

spires

isolées faisant le même

(1) Journ. de Phys., t. III, p. 297 et 335.

(’) C’est pour mieux le montrer que nous employons dans cet article la nota- tion des dérivées, au lieu de la notation plus commode des différentielles.

(4)

119

nombre de tours. Les déviations de la bobine sont observées par la méthode de

Poggendorif.

Aucun courant ne passant, on

dispose

l’axe de la bobine dans

!e

plan

des

cadres, puis

on lance un courant dans la bobine seu-

lement ;

celle-ci est déviée si son axe n’était pas

primitivement

dans le

plan

du méridien

magnétiques.

A l’aide d’un

aimant,

on

ramène l’axe dans le

plan

des cadres : l’aimant compense ainsi l’action directrice de la Terre.

On lance alors successivement un courant de même intensité dans chacun des deux

cadres,

etl’on

obtientpourlabobine

des déviations

x et

cx/quiy siellesrestentfaibles, sont inversement proportionnelles

Fig. 1.

à 1 et à r’. On conclut de là que le moment du

couple électrody- na1nique produit

par l’action d’un courant circulaire sur un autre courant circulaire infiniment

petit placé

en son centre et perpen- diculaire à son

plan

est, pour de mêmes

intensités,

inversement

proportionnel

au rayon r du

grand

courant circulaire.

Or le moment de ce

couple

se calcule aisément à l’aide de la formule

(i ).

Un

calcul,

trop

simple

pour être

reprodui t ici,

Inontre que l’action d’un courant circulaire de rayon r ’sur un élément de

longueur l, placé

dans son

plan

et ayant son milieu au centre, est une force

perpendiculaire

à

l’élément, dirigée

du côté du

cercle le sens du courant est le même que celui de l’élément e’ et ayant pour valeur Ttlr

F(r).

D’autre part, l’action d’un courant

(5)

120

circulaire sur un élément

passant

par son centre et

perpendicu-

laire à son

plan

est évidemment nulle.

La considération de ces deux cas

particuliers

permet de trouver

tout de suite le moment du

couple produit

sur un courant cir-

culaire infiniment

petit

MAB

(fig. 2),

de rayon p, par un courant circulaire

perpendiculaire

au

précédent,

ayant même centre 0

(ce

courant se

projette

en XOY sur la

figure).

Considérons un

élément AB et

remplaçons-le

par le courant sinueux A b B.A b est

parallèle,

bB

perpendiculaire

à XY. Le rayon

p étant

infiniment

petit

par rapport à r, la force

produite

par le courant circulaire

sur Ah et b B est la

même

que si ces éléments étaient en O. Or

Fig. 2.

l’action sur bB est

nulle,

et sur A b est une

force f perpendi-

culaire au

plan

du cercle MOA et dont le moment A C par rapport

à XY est donné par

(2) AC = fAa = r r F (r) p A a

sin a.p sin a,

d’où

Ca ==

7trF(r)p2sin2x,

en

désignant

par a

l’angle MOA,

par A a son accroissement

AOB,

et par

C)

la dérivée de C par rapport à a.

On tire de

là,

pour la somne des moments par rapport à X.Y des forces

agissant

sur tous les éléments du

petit

courant circu-

laire,

(6)

121

Puisque l’expérience

prouve que C varie en raison inverse de r-,

on a, en

désignant par h

une

quantité indépendante

de n,

p est une

quantité

constante par rapport à r

qui

ne

peut dépendre

que des intensités des deux courants. En

remplaçant,

la for-

mule

(i)

devient alors

DÉTERMINATION DE

f(r).

- On sait que

Inexpérience

permet de

constater avec une

grande précision

que l’action d’un courant

Fig. 3.

fermé sur un élément de courant est une force

perpendiculaire

à

la direction de cet élément

(1 ).

Il en est

ainsi,

en

particulier,

pour

un courant

rectangulaire

MLKN

qui

a un côté NM

perpendicu-

laire au milieu d’un élément 0

(.fig. 3);

or on peut supposer les côtés du

rectangle

assez

longs

pour que l’action de LK et KN sur

l’élément soit

insensible ;

d’autre part, l’action de MN est évidem-

ment

nulle;

par

conséquent,

un courant ML

(fig. 4) parallèle,

à ztn élénient de courant

0, indéfiiii

d’un côté L et se terriii-

e) Voir, Journal de Physique, t. VIII, p. ,o, la forme très précise que M. Et-

tingshausen donne a cette expérience.

(7)

122

liant de l’autre côté à

la perpendicullaire

OMélevée au milieu O

de

l’élément, pradzcrt

sur celui-ci il ne

force perpendiculaire

à

la direction de l’élé1JlPnt.

Calculons ci l’aide de la formule

(5)

la valeur de la composante suivant la direction de l’élément 0 de la force

produite

par

ML,

Fig- 4.

et écrivons que cette composante est nulle

d’après

la loi que nous

venons d’énoncer.

Soient X la valeur de la composante, suivant la direction de l’élé- ment, de la force

produite

par une

portion

MA de

longueur

du

courant, et AX l’accroissement de X

quand

MA s’accroit de l’élé-

ment

AB ;

on a

d’oû,

en divisant par l’accroissement J1r et

passant

à la

limite,

Or on a

en

appelant a

la distance

OM,

d’oû

d" ai lleurs

et, en

remplaçant,

il vient

Posons

(8)

123

Q (r) et U(r)

étant deux fonctions de

1 ayant respectivement

pour

dérivées

j( 1’)

et

f(r) r2;

on a, en

substituant,

en

prenant

la fonction

primitive

des deux membres et en déter-

minant la constante

par la

condition que pour 1 = cz on ait X == o, il vient

Pour avoir l’action du courant indéfini

ML,

il faut faire i- infini dans cette formule. En

désignant

par ni et par n les valeurs

indépen-

dantes de a vers

lesquelles

tendent

Cf (r) et § (r) quand

1 tend vers

l’infini(1),

on a

donc, d’aprés

la loi

expérimentale

énoncée ci-

dessus,

La valeur de cette

expression

étant

nulle, quelle

que soit la va"

leur de cc, sa dérivée par rapport â cc est nulle aussi ; d’où

Mais,

en vertu des relations de définition

(8),

on a

(’) On peut démontrer, en toute ribueur, ainsi qu’il suit, que Q(r) et § (r) ten-

dent vers une valeur limite, quand r croît indéfiniment.

D’après (10), la composante X2 - XI de l’action sur l’élément 0 d’un tronçon du

courant dont le commencement et la fin sont à des distances ri et r2 de O,

est

Or il est évident que, si 1’t et r2 croissent indéfiniment, X22013X1 tend vers zéro, quelle que soit la valeur de a, ; or il faut, pour cela, que Q(r2) - Q(r1) et §(r2) - §(r1)

tendent séparément vers zéro, c’est-à-dire que Q(r2) et Q(r1) d’une part et §(r2 ) et §(r1) d’une autre tendent vers une niême valeur quand r1 et i-, croissent indéfiniment.

(9)

124

la

relation (12)

devient alors

d’où

l’on tire

étant

égal

à

§(a),

on tire de

d’où

ou encore, en

remplaçant

la variable ci par r,

En substituant cette valeur dans la formule fondamentale

(5),

elle devient

DÉTERMINATION DE p. 2013 En

lançant

dans un

électrodynamomètre [qu’on

peut

prendre,

pour

répéter

cette

expérience

de

Weber,

sous la forme

représentée (ftg. i)]

des courants

ayant

des inten- sités variant dans un

rapport

connu, on constate que p est pro-

portionnel

aux intensités des deux courants ; on peut donc poser

h étant un cofficient

numérique ; d’où,

pour la formule fondamen-

tale,

DÉTERMINATION DE Il EN VALEUR ABSOLUE. 2013 On se borne

gé-

néralement à établir la formule

(20).

Dans cette

formule,

le coef-

ficient h a une valeur

q ui

ne

dépend

que d u choix des unités

adop-

tées pour mesurer les

grandeurs qui y fiburent. Proposons-nous

de trouver la valeur de lz en

employant

pour mesurer i et i’ les

(10)

125

unités

électromagnétiques.

Il faut évidemment pour cela con1- parer l’action d’un courant à l’action d’un aimant sur un courant

mobiles.

A cet

effet,

reprenons

l’appareil

de la

fig.

i et,

après

avoir

disposé

la bobine et l’aimant compensateur comme il a été

indiqué ci-dessus, lançons

un courant d’intensité i dans l’un des cadres. La

bobine,

parcourue par un courant

d’intensité i’,

sera déviée d’un

certain

angle

a. Ouvrons le circuit du cadre et soumettons la bobine à l’action d’un aimant de moment

magnétique

M

placé perpendiculairement

au

plan

du cadre à une distance R de la bo- bine et ayant son milieu sur le

prolongement

de la

position

que

prend

l’axe de celle-ci

quand

il est dans le

plan

du cadre

(pre-

mière

position

de

Gauss).

La bobine est déviée d’un

angle

a’.

En

disposant l’expérience

de

façon

que ces

angles

a et a’ soient

assez

petits

pour que les cosinus

puissent

être

remplacés

par l’u-

nité,

leur rapport est

égal

à celui des moments des

couples produits

par les forces

électrodynamiques

et par les forces

électromagnéti-

ques

agissant

sur Fun des courants circulaires de la bobine mo-

bile, quand

les

spires

de celle-ci sont

perpendiculaires

au

plan

du cadre.

Désignons

par C et C’ ces deux moments : on a

Or,

si n est le nombre des tours du fil sur le

cadre,

il résulte de la form ule

(3)

1)’ailleurs le

petit

courant circulaire de surface

rp2

étant assi-

milable vis-à-vis de l’aimant à un aimant infiniment court et de

moment

magnétique n22 i’,

on a

d’après

la formule de

Gauss ;

d’où

(11)

126

On en tire

Or une

expérience

bien

simple

permet d’obtenir d’un seul coup la valeur du facteur

de 4

, dans le second membre. Transformons

l’appareil en

une boussole des tangentes en mettant à la

place

de la

bobine une

aiguille

aimantée très courte, portant une

longue aiguille

d’aluminium pour

indiquer

sur un cercle

gradué

horizontal les dé- viations de

l’aiguille

aimantée. Laissons dans la même

position

l’ai-

mant

qui compenserait

l’action de la terre sur la bobine pour

qu’il produise

la mêlne

compensation

sur

l’aiguille. Plaçons

maintenant

le barreau déviant à la mêrne distance R que

précédemment,

mais

parallèlement

au

cadre,

son milieu étant sur une droite

perpendi-

culaire au cadre et passant par

l’aiguille

aimantée. Sous l’action combinée de cet aimant et du courant d’intensité

i,

que nous lan- çons dans le même

cadre, l’aiguille

fait un

angle [3

avec le

plan

du

cadre.

Or il est aisé de voir que l’on a

d’oii,

en substituant dans

(24),

Or

l’expérience

faite ainsi donne d’ où

En

remplaçant

h par cette

valeur,

la formule fondamentale devient

elle donne la valeur de

f

en

dynes

si les

longueurs

sont

expri-

(12)

127 mées en centimètres et les intensités de courants en unités électro-

magnétiqnes

G. G. S.

(’ ).

RECHERCHES EXPÉRIMENTALES SUR LE PHÉNOMÈNE DE HALL, PARTICULIÈREMENT DANS LE BISMUTH (2);

PAR M. AUG. RIGHI.

1.

L’expérience

de M. Hall

(3), qui

démontre l’existence d’une nouvelle force électromotrice

perpendiculaire

au courant

qui

parcourt

une lame mince de

métal,

actionnée par une force

magné- tique

normale à sa

surface,

peut

s’explitluer

de deux manières.

Dans son

premier Mémoire,

M. Hall admet une tendance du cou- rant à obéir aux forces

électrodynamiques;

alors le courant élec-

trique

devrait être constitué par un fluide

incompressible qui

s’é-

coule du

pôle

- au

pôle +. On

verra que cette

explication

ne pemt

se

soutenir,

mais elle

peut

servir à déterminer le sens du courant

transversal,

du moins dans l’or et la

plupart

des métaux dia-

ll1agnétiqncs.

(’ ) Sous la dernière forme employée l’appareil permet de trouver la loi de l’action d’un élément de courant sur un point magnétique. On laisse Faiguiilc aimantée

de la boussole s’orienter sous l’action de la terre seule, et l’on place les deux

cadres dans le plan du Inéridien magnétique. En lançant successivement dans cha-

cun d’eux des courants de même intensité, on observée des déviations a et x’ dont les tangentes sont en raison inverse des rayons r et r’ des cadres. On voit immé- diatement qu’en appelant F(r) la fonction de la distance qui entre dans l’action d’un élément de courant sur un point magnétique, on a

(Ton

et, par conséquent

Cette expérience est susceptible d’une précision plus grande que celle de Biot et Savart et le calcul est bien plus simple.

(2) Le Mémoire complet a paru dans les J1fénl0ires de l’Académie de Bo-

logne, 1883-1 88’Í . Voir Journal de Ph)/sique, 2e série, t. II, p. 512.

(3) Phil. Mag., p. 225, mars 1880.

Références

Documents relatifs

Soit en, particulier l'action de l'élément âxe,^ dont le milieu est en G' sur l'élé- ment mobile ds dont le milieu est en G (fig. r ) ; le moment de cette force par.. DE LA

L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation ( http://www.numdam.org/conditions )..

On retrouve bien le même résultat que

Je branche l’appareil en série
 avec le dipôle dont je souhaite
 mesurer l'intensité électrique
 et je mets le circuit sous tension 3. - J'ai besoin d’ouvrir le

3 -Placer sur le schéma le symbole de l’appareil qui permettrait de mesurer l’intensité du courant en N 4 – Sans mettre le générateur en marche, configurer correctement

 Pour mesurer la quantité (l’intensité) de courant électrique qui traverse un dipole ,on utilise un ampèremètre de symbole normalisé :..  L’ampèremètre

 L ’intensité dépend du nombre de récepteurs dans le circuit en série, elle diminue lorsque le nombre de récepteurs augmente et ne dépend pas de leur ordre dans le circuit.. II

Cette somme est écrite dans l’ordre décroissant des puissances de a et dans l’ordre croissant des exposants de b... Démonstration dans le