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«Gainsbourg - Toujours - 30 ans» Images iconiques et inédites

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Academic year: 2022

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DOSSIER DE PRESSE

« Gainsbourg - Toujours - 30 ans » Images iconiques et inédites

27 février au 15 mai 2021

© Andrew Birkin « Serge Gainsbourg et son chien Nana » Paris 1977

15 photographes et 1 dessinatrice réunis dans son quartier de la rue de Verneuil à Paris Claude Azoulay - Jean Jacques Bernier - Andrew Birkin - Jean-Claude Deutsch - Claude Gassian Michel Giniès - Frédérique Guin-Laurent – Just Jaeckin (Courtesy 2 Art Angels) - William Klein (courtesy Polka Galerie) - Odile Montserrat - Bruno Mouron & Pascal Rostain - Yannick Ribeaut Pierre Terrasson - Alain Trellu, photographes et Lolita, dessinatrice.

Contact presse : Maud Prangeay – 06 63 40 54 62 mail : mprangey@gmail.com

Contact Galerie HEGOA : Nathalie Atlan Landaburu 16, rue de Beaune - 75007 PARIS - 06 80 15 33 12

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DOSSIER DE PRESSE

Un hommage en images à Serge Gainsbourg, dans son quartier de la rue de Verneuil, pour honorer celui qui est toujours une icône populaire et une référence pour le monde de la musique, 30 après sa disparition.

Gainsbourg est né le 2 avril 1928 et s’est éteint il y a 30 ans, exactement le 2 mars 1991, dans sa maison sise 5 bis rue de Verneuil à Paris 7ème, après avoir diné au Bistrot de Paris du 33 rue de Lille. C’est dans ce quartier où il vécut pendant 22 ans, dont 10 avec Jane Birkin qui donnera naissance à Charlotte en 1971, que la galerie HEGOA rend hommage à cet illustre voisin. La galerie HEGOA, guidée par la poésie et la sensualité, n’est pas une galerie d’icônes.

Cet hommage est rendu pour célébrer la mémoire d’un grand artiste, comme en 2016, pour les 25 ans de sa disparition.

Pour cette édition de 2021, nous avons à nouveau réuni les images de Gainsbourg et de Gainsbarre qui ont marqué notre mémoire collective. L’exposition rassemble donc des photographies iconiques comme celle avec le drapeau français signée Jean-Jacques Bernier (acquise pas Pascal Obispo en 2016), celle du billet de 500 francs brûlé sur le plateau de 7/7 de Michel Giniès, celle de la pochette du disque « Love on the beat » sous la houlette de William Klein (en partenariat avec la galerie Polka), et pour la première fois cette année les images du couple mythique « Jane et Serge » prises par le frère de Jane, Andrew Birkin. Sans oublier la photographie de profil avec son chien Nana dont il disait qu’elle lui ressemblait et que nous avons choisie comme emblème.

Nous avons proposé à Charlotte Gainsbourg qui souhaite enfin pouvoir transformer la maison du 5 bis rue de Verneuil en musée ouvert au public d’offrir des tirages de l’exposition à la maison.

Comme il y a 5 ans, j’ai tenté de restituer à travers l’exposition la force et la fragilité de ce personnage qui a marqué son époque et qui reste toujours une source d’inspiration.

Nathalie Atlan Landaburu

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DOSSIER DE PRESSE

© William Klein Courtesy Galerie Polka

Couverture de l’album

« Love on the beat » - 1984

© Jean Jacques Bernier

“Aux armes & cætera #1”

juillet 1985

© Michel Giniès

Gainsbourg brûlant son billet de 500 francs

1984

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© Yannick Ribaault Photographie prise 5 bis rue de

Verneuil – Note de Fulbert 1995

© Claude Azoulay Serge Gainsbourg et Jane Birkin

Chez eux 5bis rue de Verneuil 1976

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© Jean-Claude Deutsch Serge Gainsbourg et Jane Birkin

Chez eux 5bis rue de Verneuil 1971

© Andrew Birkin

Serge Gainsbourg et Jane Birkin à Deauville 1969

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CLAUDE AZOULAY

Après avoir quitté le lycée Claude Azoulay commence son chemin de photographe. Assistant de Willy Rizzo pendant quelques mois en 1954, il continuera tout seul à nourrir sa passion de ses rencontres.

Grand portraitiste de notre temps, il a immortalisé les visages les plus connus du milieu mondain et politique. La plupart de sa carrière est liée à Paris Match, où il travail jusqu’en 1996. Le sujet au centre de sa photographie a toujours été l’homme : « Bonheurs, amours, joies, fêtes, guerres catastrophes naturelles, rien de ce qui concerne l’homme ne m’est étranger ».

Donner la liste de ses « moments » de stars, c’est ouvrir une encyclopédie du cinéma. Serge Gainsbourg devait en faire partie. Le regard de Claude Azoulay est celui d’un témoin qui pour un instant participe à la vie de la famille qu’il immortalise. Il se laisse charmer par ces figures et il en reproduit l’intimité. « J'ai passé une après-midi très sympathique en famille avec Serge Gainsbourg, Jane Birkin et les enfants. Nous avons pris l'apéro dans la cuisine et je n'ai pas chanté ». Claude Azoulay

© Claude Azoulay - Serge Gainsbourg, Charlotte, Jane Birkin, Kate Barry.

La cuisine, rue de Verneuil, 30 sept. 1976

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DOSSIER DE PRESSE

ANDREW BIRKIN

Andrew Birkin est un photographe, scénariste, acteur et réalisateur britannique. Connu pour sa carrière cinématographique, il a su appliquer à sa photographie son oeil de l’instantané afin de montrer au sein de ses oeuvres la réalité d’une époque, d’une vie mais également d’un couple.

Andrew, Jane et leur plus jeune soeur Linda Birkin ont grandi en Grande-Bretagne. Ils sont les enfants de David Birkin et de Judy Campbell, actrice et chanteuse britannique. Cette dernière est également la muse de Noël Coward. Les enfants Birkin grandissent au sein d’un foyer ouvert sur le monde et la culture. Très jeune, Andrew développe une admiration pour sa soeur Jane et en fait l'égérie de ses premières photographies. Il pose sur elle un regard affectueux et bienveillant, regard qu'il retranscrit dans l’ensemble de la série « Jane & Serge by Andrew Birkin ».

De 1963 à 1979, Andrew Birkin a photographié sa soeur dans l’intimité du couple qu’elle formait alors avec Serge Gainsbourg. La série nous permet de retracer la vie tumultueuse de ce couple iconique et nous invite à partager de manière immersive leur quotidien familial, amical et professionnel.

« Serge entertained Jane, Régine and others with his wonderful twisted sense of humour at a luncheon for the opening of Régine's new nightclub in Deauville.

Nana shares Serge's Spartan bed in Normandy. He felt that their profiles were flattering to each other. » Andrew Birkin

© Andrex Birkin Serge Gainsbourg et Nana

1977

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JEAN-JACQUES BERNIER

Après avoir effectué ses premiers clichés comme portraitiste, Jean-Jacques Bernier se dirige très vite vers le photojournalisme en intégrant le staff de l'agence GAMMA. Après l'actualité, le magazine people et le cinéma comme photographe de plateau, il réalisera les portraits plusieurs personnages du spectacle. Il s'oriente ensuite vers la photo publicitaire et des marques. Actuellement, la passion de l'image toujours intense le fait errer entre villes, studios et expos pour fixer des images toujours surprenantes.

Paris le 10 juillet 1985, Studios Pin-Up, Serge Gainsbourg brandit le drapeau Bleu-Blanc- Rouge encore et encore, droit et fier comme un étendard. L’image "Aux armes et cætera"

est née. « C’était sa période « Gainsbarre ». Nous deux, pas de maquilleuse, lumière crue, j’ai rencontré « Gainsbourg ». Passionné par l’image tout comme moi, nous avons partagé cette séance avec le même enthousiasme. A la fin, très pro, il brandissait encore et encore le tricolore, à la recherche de la perfection. Très sensible, il « sentait » l’image, son image ».

Jean Jacques Bernier

© Jean Jacques Bernier Aux armes - Et cetera - 1985

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JEAN-CLAUDE DEUTSCH

Jean -Claude Deutsch a travaillé pendant 40 ans comme photographe à Paris- Match. Il n’a jamais ressenti son métier comme un travail, mais comme une passion. Ses nombreuses parutions et couvertures, ont été publiées dans de nombreux magazines tels que : Life magazine, Bunte, Stern, Women’s wear, Epoca. Bien qu’il ait acquis sa réputation grâce à la confiance des

« people » qui ont accepté de se révéler dans leur intimité, il a su aussi recréer et transmettre l’authenticité des reportages des conflits qu’il a couverts.

Le rapport de confiance que Jean-Claude Deutsch instaure avec les célébrités qu’il immortalise, pousse ces personnages à lui montrer leurs côtés les plus personnels.

« Dès mon arrivée chez lui, rue de Verneuil, Serge Gainsbourg m’a proposé un double Pastis !! J’ai compris dès le premier regard qu’il était prêt à se dévoiler au travers de mon objectif et la complicité qui s’est installée m’a permis de révéler son personnage de la manière la plus authentique. »

Jean-Claude Deutsch

© Jean-Claude Deutsch

Serge et Jane - 5 bis rue de Verneuil - 1971

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CLAUDE GASSIAN

Claude Gassian n'a pas encore 20 ans quand il est happé par le rock des années 1970. A cette première passion, s'ajoute rapidement celle de la photographie. Il devient alors le témoin privilégié d'une période de grande créativité, rencontrant au fil des années toutes les icônes internationales et françaises qui ont fait ou continuent de faire l'histoire de la musique. On peut suivre ces rencontres à travers ses photographies reproduites régulièrement dans la presse, sur des pochettes d'albums, dans des ouvrages ou des expositions personnelles.

"J'adorais le voir apparaître silencieusement derrière la porte d'entrée de la maison rue de Verneuil. C'était la promesse d'un moment privilégié et réjouissant. Il ne subissait pas la séance photo, mais en jouait, commentant presque chaque prise. Sensible et généreux, il m'offrit la préface de mon livre "Rockimages" (1989)." Claude Gassian

© Claude Gassian

Serge Gainsbourg et Jane Birkin, rue de Verneuil, Paris 1974

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MICHEL GINIÈS

Après ses études, Michel Giniès s’initie au laboratoire noir et blanc aux Reporters Associés. Il débute comme photographe à l’agence SIPA en 1972. Il couvre plusieurs sujets, faits divers, politique, spectacle mais c’est dans les portraits de célébrités qu’il se spécialise rapidement : acteurs, réalisateurs, chanteurs et écrivains. Il réalise plusieurs voyages de travail et ses photos sont publiées dans Life, Paris Match, Time, Stern, Figaro magazine, etc.

Il expose en France et à l’étranger, à Art Paris, Paris Photo et au Centre Pompidou à Metz. Il a publié plusieurs livres sur les célébrités du cinéma.

« Mon admiration pour Serge Gainsbourg m'a porté tout naturellement à vouloir le photographier dès que je le pouvais. Je courrais les soirées, les premières de films, les répétitions du Gala de l'Union ou les plateaux télé. Et bien entendu quand il était là, je faisais en sorte de rester le plus longtemps possible avec lui, pour le photographier le plus possible. Et j'ai saisi je pense des moments vrais de sa vie, il était lui-même et pas en représentation. Ma discrétion d'alors m'a permis de montrer aujourd'hui l'homme derrière l'artiste ... » Michel Giniès

© Michel Ginès

Serge Gainsbourg et Jane Birkin chez Régine 1974

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FRÉDÉRIQUE GUIN-LAURENT

Diplômée de l'Université de Paris VIII (cinéma), Frédérique vit et travaille à Paris depuis 1983.

Frédérique n'oublie jamais cette phrase de John Stuart Mill « La Photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard ». Elle puise son inspiration dans ces petits morceaux de vie cachés dans le quotidien. Frédérique définit ses photographies « humanistes, des témoignages simples de la vie ». Fascinée par les ambiances cinématographiques de son père, elle a toujours fait de la photographie, même sans appareil photo, s’attachant autant aux sujets photographiés qu’aux lieux dans lesquels ils évoluaient.

Le concept de « prévoyance et hasard » sort de la photo prise à Serge Gainsbourg en 1989 en avenue de Wagram : « Soirée 20 ans Fnac Etoile, j’enjambe le cordon qui délimitait un studio photo improvisé comme un boxeur qui entre sur le ring. Sous un épais nuage de fumée, il est apparu, se détachant sur un fond vermillon, sans l’ombre d’un doute… c’est lui, je shoote ». Frédérique Guin-Laurent.

© Frédérique Guin-Laurent Sans l’Ombre d’un Doute - 1989

1989

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JUST JAECKIN

S’il s’est forgé une certaine notoriété grâce au 7ème art, ce précurseur de l’érotisme sur pellicule a pour premier amour la photo. Avant de lancer sa carrière de cinéaste, Just Jaeckin était photographe pour Vogue. Pendant 7 ans sous son objectif, il a vu défiler de grandes stars : de Brigide Bardot, en passant par sa muse Sylvia Kristel (l’interprète de la mythique Emmanuelle) ou encore Serge Gainsbourg et Jane Birkin.

« C’est moi ai présenté Jane à Serge. Cela s'est passé à Londres. C'est moi qui fus

l'entremetteur. Et le courant n'est pas passé tout de suite entre les deux, loin de là. Serge s'est montré très dur avec elle..." Just Jaeckin

On connaît la suite !

© Just Jaeckin Serge et Jane - 1970

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WILLIAM KLEIN

Après 60 ans de glorieuse carrière, William Klein est à nos jours considéré comme un des photographes le plus influents du XXème siècle. Souvent cité, avec Robert Frank, comme père de la « street photography », il est principalement connu pour ses expériences dans le photojournalisme et la série de livres consacrée aux grandes villes du monde entier. Son approche ironique, unis à un usage fréquent du grand-angle et du téléobjectif, a révolutionné le genre de la photographie de mode.

William Klein fait la connaissance de Gainsbourg en 1967 sur le tournage de Mister Freedom.

En 1984 Gainsbourg lui demande un portrait de lui en travesti pour la pochette de son album Love on the beat. Klein lui répond « Génial, on va faire une pouffe ! ». Mais Gainsbourg a une bien meilleure idée : « Ah non, je veux être très belle ! » 8 jours sans alcool, maquillage, cernes gommées et oreilles collées avec du scotch : Gainsbourg avait été transformé en diva de la une de Vogue ». Willliam Klein.

© William Klein

Love on the beat - Pochette d’album 1984

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LOLITA

Née en 1986, dessinatrice originaire de la ville de Châlons-en- Champagne comme un certain Cabu, Lolita a le crayon bien ancré dans sa main gauche.

Autodidacte, elle aime user du feutre et de l’aquarelle. Parfois même d’un peu d’acrylique. Amoureuse de Paris, des gens, de la vie et de musique passionnément, ses muses chantent au son de cette ville où l’on ne dort jamais.

Influencée par Cabu évidemment, mais aussi par Sempé, Peynet, Zep ou même Margaux Motin, le trait se jette sur le papier avec une finesse souvent colorée d’un humour presque trash, se teintant parfois du rouge rebelle, du noir de la satire.

« Fascinant de par son génie, délicat et bouleversant de fragilité, Serge Gainsbourg se fait muse d’un peu toujours sur mon papier » Lolita.

© LOLITA

Serge et Charlotte - 2020

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ODILE MONTSERRAT

Pour ses 10 ans, ses parents lui offrent la fameuse Boite

« Brownie Flash Kodak ». Une passion est née et vivant au Maroc, les sujets ne manquaient pas... Engagée en France aux

"Informations UNESCO", elle y fait la rencontre de Lucio Attinelli qui écrivait pour " Le Ore ", un magazine romain disparu depuis.

Elle lʼaccompagne sur les reportages pour le magazine et rencontre la famille Gainsbourg. Naît une amitié sincère pendant laquelle elle fige des instants intimes, privilégiés. Odile Montserrat a photographié toutes les plus grandes stars mondiales puis rentre à l'Agence SYGMA où elle a occupé le poste de Chef de l'éditing international du matériel "people".

« J’ai rencontré Serge en 1968. Il m'avait reçue chez ses parents où il habitait encore. Il était assis dans son grand fauteuil avec la photo de Bardot derrière. J'étais assise sur son lit et il m'a fait écouter "Je t'aime moi non plus"... Je n'en menais pas large... Il m’a proposé de partir à Londres avec lui où il devait mixer ce titre. J’y suis allée et l’ai ensuite photographié sur de nombreux tournages de shows télé et surtout dans sa maison de la rue de Verneuil… » Odile Montserrat

© Odile Montserrat

Serge et Jane - rue de Verneuil - 1969

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BRUNO MOURON, PASCAL ROSTAIN

Dans un premier temps collègues à Paris Match, collaborateurs des nombreux quotidiens et magazines, Bruno Mouron et Pascal Rostain décident de fonder ensemble l’agence Sphinx. En 2007, ils réalisent le projet « Trash », en « faisant les poubelles » des célébrités qu’ils photographiaient.

Cette recherche sociologique se poursuit actuellement lors d’un projet plus vaste, « Global Trash », où les deux photographes s’attachent à révéler le bilan de la consommation industrielle ou non à partir des poubelles d’anonymes des pays riches et des pays en voie de développement.

Chez Régine, le 24 octobre 1980. Bruno Mouron, armé de son appareil photo, est à la recherche des stars pour un reportage commissionné par le journal L’Aurore.

« Lors de la soirée du joaillier Cartier, Catherine Deneuve et Serge Gainsbourg semblent seuls au monde. Malgré les nombreux photographes flashant autour d eux, leur séduction reste intacte. » B. Mouron

© Bruno Mouron et Pascal Rostain Serge Gainsbourg et Catherine Deneuve

chez Régine - 1980

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YANNICK RIBEAUT

Diplômé en Activité et Techniques de Communication, presse et édition d'entreprise, Yannick Ribeaut aime partager son temps entre son expression artistique et son rôle de professeur des arts de la photographie, de formateur multimédia. Il est membre de l’Agence de photographie Dalle et ses photos ont été publiés dans plusieurs magazines, tels que Le Monde et Télérama. Depuis 1994 il est régulièrement exposé en France et à l’étranger.

Neveu de Fulbert Ribeaut, le majordome et ami de Gainsbourg, Yannick nous présente des photos qui racontent le quotidien de Serge Gainsbourg dans son hôtel particulier de la rue de Verneuil. « Mon oncle conservait tous les mots que lui laissait Serge. J’avais envie de leurs rendre un hommage à tous les deux, ces hommes qui avaient compté chacun à leur façon. J’ai incrusté ces textes dans les photos pour les mettre en relation et ainsi créer un rapport textes/images, à tel point, qu’ils répondent les uns aux autres, tant au niveau du sens, que de la forme». Yannick Ribaut.

Yannick Ribeaut

Je dine en ville - Rue de Verneuil 1995

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PIERRE TERRASSON

Diplômé en arts plastiques à l’ l'École Nationale Supérieure des Beaux-arts, Pierre Terrasson photographie la scène rock nationale et internationale des années 1980. Auteur de nombreux reportages pour la presse rock et la grande presse (The Cure, Depeche Mode, Lour Reed..), il réalise aussi plusieurs pochettes de vinyle. Depuis 2010, il fait de nombreuses expositions nationales et internationales et travaille avec l'édition. Durant les années 2000, il se rapproche plus de la musique raï et rap. Actuellement, il suit la nouvelle scène française en collaborant avec plusieurs artistes.

Pierre rencontre Gainsbourg en 1984 pour le magazine français BEST, pour lequel il réalise une série en noir et blanc avec le boitier Nikon F2 et son 24/mm 2. « Sergio - comme il l’appelle - avait le même rue de Verneuil ». Il décide donc de le prendre en photo avec l’appareil. La complicité dans le regard de Serge montre la naissance d’un rapport d’amitié destiné à durer : « … puis nous nous sommes côtoyés régulièrement... Jusqu'au commissariat d’'Aubervilliers où Catherine Deneuve, la jolie Marianne, a été bien éclairée à la demande de Serge; no comment ». Pierre Terrasson.

Pierre Terrasson

Serge Gainsbourg et son Nikon 1984

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ALAIN TRELLU

Né à Paris, pratiquant la photographie dès ses 17 ans, il est tour à tour photographe et réalisateur de télévision à France 2, 3, 5, Canal+, RTBF … pour des séries documentaires, magazines de société, courts métrages …

Il s'installe à Bruxelles en 2004 et consacre ses activités à plusieurs domaines d’expression visuelle en free-lance presse : - L'architecture – la mode – l'événementiel – paysage nature – Art de la scène, spectacle.

Développement de créations personnelles qui sont exposées en galeries.

« J'ai rencontré pour l'unique fois Serge Gainsbourg à Londres en 1982. À l'époque j'étais à la fois photographe et assistant de réalisation de l'émission les Enfants du Rock sur Antenne 2. J'en conserve le souvenir d'une rencontre inoubliable, inattendue, un vrai cadeau de la vie. Et surtout un goût de trop peu, tant Gainsbourg était un personnage très attachant, avec de l'humour, de la gentillesse, un perfectionniste, et un immense auteur et poète.

Il m'a aussi appris la rigueur avec sois même dans le travail et la photographie plus particulièrement. » Alain Trellu

Alain Trellu Serge Gainbourg

Londres - 1982

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“L’art, c’est le plus court chemin de l’homme à l’homme.”

André Malraux

Crée en 2013 et située au 16 rue de Beaune, à l’angle de la rue Verneuil et au sein du Carré rive gauche des galeries d’art et des antiquaires, la galerie HEGOA est un écrin sur 2 étages dédié aux artistes contemporains reconnus ou prometteurs, photographes et plasticiens.

La galerie anime une large communauté créative et favorise les rencontres entre artistes et amateurs, notamment grâce à sa résidence d’artistes « La Guapita » située dans le

Vendômois.

« J’expose des artistes dont j’aime la sensibilité, la poésie, l’humour, la sensualité et le regard émerveillé sur le monde » Nathalie Atlan Landaburu

Contact presse : Maud Prangeay – 06 63 40 54 62 mail : mprangey@gmail.com

Contact Galerie HEGOA : Nathalie Atlan Landaburu 16, rue de Beaune - 75007 PARIS - 06 80 15 33 12

contact@galeriehegoa.com

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