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La photographie et la reproduction d'une courbe sonore

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241704

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241704

Submitted on 1 Jan 1911

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La photographie et la reproduction d’une courbe sonore

Samuel Lifctz

To cite this version:

Samuel Lifctz. La photographie et la reproduction d’une courbe sonore. J. Phys. Theor. Appl., 1911,

1 (1), pp.565-575. �10.1051/jphystap:0191100107056501�. �jpa-00241704�

(2)

565

on n’a donc pas:

mais

La densité de l’énergie variant en raison inverse du carré de la longueur d’onde, quand l’amplitude reste la même; nous aurons, en appelant E’ l’énergie dans ce cas :

L’énergie contenue dans le faisceau sera :

Puisque l’on a admis que l’énergie versée est encore EV et que

l’énergie contenue dans le faisceau est EV (i + ~) ; il faut que la

pression p ait developpé un travail égal à leur différence :

quelle que soit la vitesse u.

Si donc on admet les deux hypothèses énoncées par M. Poynting,

la pression pendant le mouvement uniforme a la même valeur que lors du repos ; un corps émettant des radiations dans toutes les directions ne subira donc de ce fait aucun ralentissement ; il obéira

au principe de l’inertie.

Les conditions seraient toutes différentes pour des corps ayant un

pouvoir réflecteur et atteints par les radiations d’une source exté- rieure.

LA PHOTOGRAPHIE ET LA REPRODUCTION D’UNE COURBE SONORE (1) ;

Par M. SAMUEL LIFCIIITZ.

1. Rappelons d’abord que la loi J - F (t) d’un phénomène com- plexe périodique quelconque, peut toujours se développer suivant

(1) COllln1unication faite à la Société française de Physique ; séance du 17 fé- vrier 1911.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0191100107056501

(3)

566

une série de Fourier et prendre ainsi l’une des deux formes équiva-

lentes (1), (2) :

Les coefficients de ces deux développements satisfont aux relations

évidentes :

,

-

,

Ils sont d’ailleurs déterminés par les intégrations suivantes :

II. Terquem, dans son grand travail C) ayant pour objet l’étude du

son reproduit par des ébranlements obtenus dans un seul sens, a

examiné le cas particulier où y = F (t) représente une sinusoïde.

Nous avons essayé d’examiner en détail le cas plus général d’un phénomène périodique quelconque.

Supposons que sur une surface mobile, glissant uniformément le

long de l’axe des abscisses, on ait dessiné une courbe périodique

donnée :

et découpé dans cette surface des trous limités par l’axe des abs- cisses et la courbe

Pendant le mouvement, ces trous ouvriront une fente très étroite située le long de l’axe des ordonnées. L’air sous une pression cons-

tante s’échappe alors de cette fente.

De cette façon des ébranlements extérieurs se produisent dans un

seul sens suivant la loi y = Fe (t).

(~ ) Annales scient , de l’Ecole n01’1nale supé1’ieul’e, VII (’1870), 280-29~ ; C. R.,

LXXIII (1871).

(4)

567

Représentons par

l’ordonnée y de la courbe donnée, la valeur 1J pouvant devenir infinie,

la courbe convient à tous les cas possibles.

Si, pour répondre aux divers cas,nous déplaçons l’axe des abscisses parallèlement à lui-même, nous changeons en même temps la posi-

tion du point A origine des cordonnées. En conséquence N et

les varieront, mais les ~,t resteront invariables.

Pour étudier le phénomène sonore obtenu de cette manière, il faut

tout d’abord déterminer les coefficients de la série de Fourier :

~° Lorsque AB w et AC = T, on a :

Nous obtiendrons pour les coefficients A et B les valeurs suivantes :

(5)

568

Pour avoir le phénomène sonore, reproduit en réalité, il faut cons-

truire graphiquement la courbe F’~ (t)

-

A,, qui représente les com- pressions et les dilatations de l’air ; les sections DEF et BCGF rela- tives à la courbe étant égales entre elles 2), car

En général, comme on le voit par la première formule, A. est tou- jours différent de N, et le mouvement sonore, reproduit en réalité,

est représenté par une courbe différente de la courbe donnée :

Si cette dernière courbe représente elle-même un mouvement

sonore quelconque, alors le mouvement Fe (t)

-

Ao sera différent

d’une série d’harmoniques supplémentaires dont l’amplitude et la

durée peuvent être calculées exactement pour chaque cas déterminé.

2° Soit maintenant T = :1..

°

La condition w - T signifie que dans la surface mobile les trous sont découpés de telle sorte qu’ils soient égaux à la surface entière de la courbe (fin. 3).

Dans ce cas, N, A"z = o pour toutes les valeurs de n, sauf pour n = m, qui rend A"t indéterminé; de même B"t = o pour toutes les valeurs de n, sauf pour n - J7~, qui rend B"2 indéterminé.

Il vient alors :

(6)

569 et

Donc tous les harmoniques supplémentaires disparaissent et

Le phénomène sonore reproduit en réalité sera représenté par :

et graphiquement par la courbe transcrite sur l’axe des abscisses PQ, qui la divise en parties égales et qui est en même temps un axe de symétrie de tous les mouvements sinusoïdaux en lesquels se dé-

compose le mouvement complexe. La représente ce phénomène

sonore.

L’un des côtés de l’axe des abscisses PQ correspond aux pressions

etl’autre aux dilatations de l’air.

Nous dirons qu’on obtient ainsi la reproduction so>iore exacte d’une courbe donnée.

Une courbe périodique quelconque est aussi représentée par un

son. Cette repro duction peut être réalisée au moyen d’ébranlements

produits dans un seul sens. Le phénomène sonore reproduit en réa-

lité sera représenté par la courbe donnée transcrite sur l’axe des abscisses qui la divise en deux parties égales.

III. On a fait les premières expériences de reproduction du son

au moyen des ébranlements produits dans un seul sens avec la sirène de Koenig. M. Eichh.orn(1) a réussi à reproduire ainsi, d’une façon assez nette, la courbe de la voyelle cc, inscrite par 1B1. Lahr. Les courbes des voyelles tt et a sont moins nettes et la voyelle o tout à

fait incompréhensible.

M. Hermann (2), avec le même appareil, a reproduit la courbe de

la voyelle a d’une manière très satisfaisante.

Koenig lui-même a obtenu une bonne reproduction des voyelles de

M. Hermann r~, o, e.

(1) A. VTied. -Ajïnaieîî XXXIX (1890), p. 403.

(2) A1’chivf. d. ges. Physiologie (1890), p. 574 ; Il’ied. Annalen LYII(1896)

p. 339.

(7)

570

Mais la sirène de Koenig étant peu précise, nous devons supposer que les reproductions nettes et exactes d’une courbe indiqueront bien

le caractère général de la voyelle elle-même, mais non toutes ses

nuances. A cause de certains détauts de construction, l’appareil de Koenig ne se prête pas à la vérification expérimentale de toutes les

déductions analytiques indiquées plus haut.

La sirène de Koenig ne comporte pas une fente s’ouvrant toujours

sur une grandeur déterminée, mais fournit un courant constant d’air

qui frappe les dents d’un disque, et le choc dépend de la forme des

dents.Les chocs produits par le courant d’air sur les dents font naître

une série de bruits supplémentaires et exigent, pour avoir le son fonda- mental plus net, une fente relativement très ouverte. A cause de cela,

la sirène de Koenig donne quelquefois des résultats foncièrement

inexacts, comme par exemple le déplacement des phases des harmo- niques dont Koenig (1) a remarqué l’influence sur l’oreille; ce défaut, d’après les expériences de M. Lasareff (2), n’existe pas dans la sirène

plus récente.

Pour pouvoir appliquer à la sirène nos déductions analytiques, il

faut qu’elle satisfasse aux conditions suivantes : la fente d’air doit être toujours ouverte exactement sur la grandeur de l’ordonnée de la perforation et de plus la fente doit être très étroite par rapport à

sa longueur. Enfin la pression de l’air doit être constante et indépen-

dante de la long ueur de la partie ouverte.

Nous avons cherché à remplir ces conditions ainsi : la courbe donnée s’inscrit sur une mince pellicule. En employant un film ciné- matographique ordinaire, nous pouvons obtenir la courbe par voie

photographique directe.

On découpe les trous dans cette pellicule KL, qui en se mouvant, s’applique étroitement sur les bords de la fente PR faite dans une

chambre à air (Iîg. 5)

Entre le réservoir à air comprimé et notre chambre on place un

réservoir supplémentaire d’un volume due 2 litres pour que la pres- sion de l’air sortant soit plus uniforme.

Quand la courbe a une amplitude moyenne de 1 centimètre envi- ron, et que la largeur de la fente est comprise entre omm,2 à 0’"m,5,

il suffit d’une pression d’air de quelques millimètres pour que la‘

reproduction de la parole soit distincte.

(1) R. Quelques expéi-ieîîces d’acoustique, Paris (158~), 22~~.

(2) P. LASAREFF, JOUI’. s. physico-cfiimique russe (1910), p. 98-99.

(8)

571 Dans ces conditions, les bonnes inscriptions se reproduisent avec

toutes leurs finesses sans aucun sifflement, ni aucun bruit. Une aug- mentation de pression ne donne pas de bons résultats, car alors l’air

soulève le film sur les bords de la fente.

FIG. 5.

Quand on doit faire les expériences devant un grand auditoire, on

use d’un porte-voix. Son extrémité en quelque sorte étirée devient

une fente étroite, sur les bords de laquelle s’applique un film en

mouvement.

L’air passe à travers une fente étroite pratiquée dans une

chambre à air située en face de la première fente.

Ce dispositif permet d’augmenter la pression de l’air jusqu’à la

valeur convenable.

Mais il se produit des oscillations provenant du porte-voix.

Un moteur synchrone du courant alternatif met en mouvement

un perforateur, qui entraîne avec lui le film avec une vitesse de

l-,50 par seconde.

,

Le perforateur supérieur tourne avec un léger frottement, afin

que ce film reste toujours tendu.

Le film se déroule de la bobine supérieure, puis s’enroule sur la

bobine inférieure.

IV. Photogra}Jhie d’une courbe sonore.

-

Plusieurs procédés ont

été proposés pour la photographie des courbes de la parole humaine.

Lahr (1) photographiait les voyelles au moyen d’un phonographe

de l’ancien modèle.

Hermann, à qui l’on doit de très belles photographies de toutes

les voyelles et consonnes, a employé le nouveau modèle. Marage (2)),

(1) LAHR, Wiecl. Ann., XXN’IL (1886), p. 94.

(2) M. MARAGE, C. R., CXXVIII (1899), p. 425.

(9)

572

d’après la méthode de Froelich, a obtenu ces photographies à l’aide

d’une membrane de caoutchouc et d’un miroir. Blondel (1), Devaux-

Charbonnel (2 ) emploient un oscillographe.

Nous nous sommes arrêtés à la méthode la plus simple, qui con-

siste à photographier la courbe au moyen d’une membrane et d’un miroir.

Les premières expériences ont été faites avec une membrane non

tendue reliée par un cheveu fin et flexible à un petit miroir très mobile autour d’un léger axe d’acier.

On a examiné successivement les inscriptions obtenues à l’aide de

membranes en liège, en caoutchouc, en verre et en fer (membrane

d’un téléphone).

Toutes ces inscriptions ont donné des résultats négatifs. Les

mots inscrits étaient incompréhensibles, parce qu’ils étaient altérés par les mouvements propres de la membrane.

On n’a obtenu de bons résultats qu’avec une membrane bien tendue.

Voilà la disposition donnant jusqu’à présent les meilleurs résul- tats.

Une membrane de liège d’un diamètre de 60 millimètres et d’une

épaisseur de

Fm. 6.

A une corde d’acier d’un diamètre de et ,de 20 millimètres

delongueur fortement tendue et resserrée aux extrémités AB 6)

(1) A. BLONDEL, C. R., CXXXIII (1901), p. ~86.

(2) DEVAUX-CHARBON:’iEL, C. R., CXLVI (1908), p. 1258.

(10)

573 est soudée une mince plaque de cuivre de 10 millimètres de longueur

et 1 millimètre de largeur DE avec une petite proéminence de 3 mil-

limètres au milieu C. ~~ cette plaque est fixé un petit miroir plan

3 X 2 millimètres. La proéminence de la plaque s’appuie à son extré-

mité sur une petite colonne de liège collée au milieu de la membrane.

La vis F permet de déplacer plus ou moins la petite proéminence

et de régler ainsi la pression sur la membrane.

On obtient plus de netteté quand la pression est plus grande, ou plus de sensibilité; il est toujours facile de trouver le juste milieu.

Il est encore indispensable de savoir que l’humidité produite par la respiration agit sur la membrane en liège et déplace son centre.

C’est pourquoi il faut se tenir aussi loin que possible pendant l’inscription; le porte-voix est alors très utile.

L’inscription se fait de la façon suivante : on projette la lumière

de l’arc électrique sur le miroir à travers un diaphragme très mince

donnant dans son prolongement l’image d’un point lumineux.

La distance du miroir à cette image, c’est-à-dire la longueur du

rayon lumineux, était égale à 1 mètre environ.

La courbe obtenue à l’aide d’un point lumineux a toujours une cer-

taine épaisseur, et ses bords ne sont pas très nettement limités.

Pour remédier à cet inconvénient, nous avons photographié la

courbe au moyen d’une fente lumineuse.

Ce procédé est d’autant plus commode qu’on peut employer, dans

ce cas, des diaphragmes assez grands et obvier ainsi à tous les

inconvénients : phénomènes de diffraction inévitables avec les petits diaphragmes et nuisant à la netteté de l’image.

Le diaphragme de lalanterne a la forme d’un rectangle. Son image

est projetée du miroir sur le film.

Dans ce cas, il suffit qu’un seul bord soit bien projeté, à savoir le

bord antérieur.

A quelques millimètres du film et croisant la direction de la pro-

jection, on place un petit écran opaque dans lequel est pratiquée une

fente étroite disposée le long de l’axe des ordonnées.

De cette façon le film reçoit un mince pinceau lumineux à contours très nets se détachant de toute la projection.

La surface sombre de la courbe a alors des bords très nets.

Pendant l’inscription, on peut ajouter un écran immobile dont le bord antérieur repose sur l’axe des abscisses, coupant la courbe.

Le négatif sera représenté par des taches noires séparées les unes

(11)

574

des autres et limitées par l’axe des abscisses et la courbe

(fig - 7 et 8) .

Après avoir été impressionné, le film est développé, fixé, puis plongé pour le rendre plus souple dans un bain de glycérine et d’al-

cool pendant cinq minutes. Il est ensuite séché et découpé (fig. 9 et 10).

Dans ce but, il est très commode de se servir des plumes statiques employées en photographie pour découper les positifs.

Avec de l’habitude on arrive à découper très exactement et très

rapidement la courbe.

,

Nous avons essayé aussi de perforer le film par un procédé chi- mique, mais cela demande beaucoup plus de technique.

On prépare le négatif d’après le procédé indiqué plus haut. Avec

ce négatif on tire une épreuve sur une pellicule métallique mince,

enduite de gélatine bichromatée.

Ce positif est ensuite traité par l’eau chaude, et la gélatine qui correspond aux taches sombres se dissout, découvrant une surface

qui est rongée par un acide.

On peut aussi employer comme positif un film de celluloïd dont

les parties découvertes sont traitées par l’acétone.

L’autre côté du film est appliqué étroitement au verre.

Mais ce procédé est plus délicat que la corrosion sur le métal.

En reproduisant la courbe, nous découpions soit des surfaces entières, limitées par la courbe et la ligne reliant les sommets (cette ligne forme une courbe brisée avec une période d’oscillation très

longue et sans influence sur les résultats), soit des surfaces incom-

plètes, limitées par la courbe et l’axe des abscisses, qui la coû"pe.

(12)

575

En passant du premier au second procédé, on ne trouve pas de différence sensible dans la reproduction de l’inscription.

Cette différence n’apparaît que dans le cas où l’axe des abscisses

commence à dépasser les limites de l’axe symétrique des abscisses.

De cette façon, quand on obtient des courbes sonores, qui sont en général symétriques, l’oreille ne perçoit pas les harmoniques qui

doivent apparaître, d’après la théorie.

I,a perception sonore, dans le cas des surfaces incomplètes, semble plus simple que cela n’apparaît dans la série de Fourier.

COMPTES RENDUS DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES ;

T. CLII, 21, 22, 23, 24, 25 ; mai-juin 1911.

A. PÉROT et LIlBIDSTEDT. - Sur la longueur d’onde de la raie solaire bz.

-

P. 1367.

Mesure de la raie solaire b2 du magnésium par la méthode de Pérot pour l’une des raies du fer (~). La longueur d’onde de la raie terrestre est plus petite que celle de la raie solaire d’environ 6. ~0-3

angstrôm, et la vitesse de rotation des centres absorbants le long de l’é quateur a une valeur plus élevée de 0°,~ pour le magnésium que pour le fer.

L. RIÉTV. - Force électromotrice produite par l’écoulement d’une solution de S0iCu dans un tube capillaire.

-

P.-1375.

Lorsqu’on fait écouler par un tube capillaire sous une pression de

90 atmosphères une solution à 10 grammes de S04CU cristallisé par

litre, le potentiel à la sortie du tube est environ plus grand de OV61t ,03 qu’à l’entrée, indiquant un transport d’électricité positive dans le

sens du courant liquide. Pour les solutions étudiées contenant de 2 à 20 grammes de sulfate par litre d’eau, le produit de la conducti-

bilité électrique par la différence de potentiel rapportée à une atmos- phère est sensiblement constant.

(1). C.R.4 juillet 1910.

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