• Aucun résultat trouvé

Dispositif de mesure de densités de liquides à haute température jusqu'à 500 °C et sous pression jusqu'a 20 kg/cm2

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Dispositif de mesure de densités de liquides à haute température jusqu'à 500 °C et sous pression jusqu'a 20 kg/cm2"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00212923

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00212923

Submitted on 1 Jan 1963

HAL is a multi-disciplinary open access

archive for the deposit and dissemination of

sci-entific research documents, whether they are

pub-lished or not. The documents may come from

teaching and research institutions in France or

abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est

destinée au dépôt et à la diffusion de documents

scientifiques de niveau recherche, publiés ou non,

émanant des établissements d’enseignement et de

recherche français ou étrangers, des laboratoires

publics ou privés.

Dispositif de mesure de densités de liquides à haute

température jusqu’à 500 °C et sous pression jusqu’a 20

kg/cm2

R. Bessouat, H. Chavanel, S. Elberg

To cite this version:

(2)

LE

JOURNAL

DE

PHYSIQUE

PHYSIQUE

APPLIQUÉE

DISPOSITIF DE MESURE DE

DENSITÉS

DE

LIQUIDES

A HAUTE

TEMPÉRATURE

JUSQU’A

500 °C

ET SOUS PRESSION

JUSQU’A

20

kg/cm2

Par R.

BESSOUAT,

H.

CHAVANEL,

S.

ELBERG,

Section

des Transferts

Thermiques,

Centre d’Etudes Nucléaires de Grenoble,

Résumé. 2014 Ce

dispositif

a été construit pour l’étude des fluides

caloporteurs organiques

utili-sables dans les réacteurs

atomiques.

Il utilise le

principe

de la balance de Mohr. La

pesée

sous

enceinte étanche est faite à l’aide d’une balance

magnétique

dont on

règle

automatiquement le

courant

d’équilibrage.

L’appareil

permet des mesures

jusqu’à

des

températures

de 500 °C et sous

pression jusqu’à

20

kg/cm2.

La détermination des masses

spécifiques

se fait avec une

précision

de l’ordre du

1/1

000.

Les résultats des essais effectués sur le

diphényle,

les

terphényles

OMP et OM2 et sur le

terphé-nyle

OM2 avec différentes concentrations en

polymères

sont fournis.

Abstract. 2014 The

apparatus described here was built for the

study

of

organic

coolants for

nuclear reactors. It uses Mohr’s balance

principle.

The

weighing

in a

tight

enclosure is made

by

a magnetic balance, the

equilibrium

current of which is

automatically adjusted.

The device allows measurements up to 500 °C and 20

atmospheres.

The accuracy of

density

determination is about

1/1

000 th.

Results of measurements made with

diphenyl, terphenyls

OMP and OM2 and with

terphenyl

OM2

containing

different concentrations of

high boiling

residue are given.

Tome

24 SUPPLÉMENT AU No 6 JUIN 1963

I. Introduction. -

L’appareil présenté

fait par-tie d’un ensemble de

dispositifs

construits pour la

détermination des

caractéristiques

physiques

de fluides

caloporteurs organiques

destinés à être utilisés dans les réacteurs

atomiques

[1].

Il a été conçu

plus spécialement

pour déterminer les masses

spécifiques

des

polyphényles,

ce

qui

a

imposé

des limites d’utilisation de 500 ~C pour la

température

et de 20

kg/cm 2

pour la

pression.

Le fait

d’opérer

à des

températures

sensible-ment

supérieures

au

point

d’ébullition normal

(environ

350 ~C pour les

terphényles

et 250 ~C

pour le

diphényle) oblige

à travailler sous une

pres-sion de gaz inerte.

Le

procédé

de Mohr basé sur le

principe

d’Archi-mède

déjà

utilisé pour les

températures

élevées

[2],

[3]

est,

de tous les

procédés classiques,

celui

qui

s’adapte

le mieux à des-

manipulations

sous

pres-sion. La difficulté à vaincre a été celle de la

pesée

sous enceinte étanche. Nous l’avons résolue par

l’utilisation d’une balance

magnétique.

La

quantité

de

produit

nécessaire

est d’environ 100 cm3.

2.

Principe.

-

L’appareil

est basé sur le

prin-cipe

de la balance de Mohr.

Un

plongeur

de

poids

P et de volume V est

sus-pendu

à un fil et

immergé

dans le

liquide

étudié,

de

poids spécifique

m. Si P’ est le

poids

du

plon-geur

immergé

on a, en

négligeant

la

poussée

sur le fil

immergé

et la tension

superficielle

sur ce fil :

Au

poids

apparent

P’,

on oppose une force

élec-tromagnétique

~’

proportionnelle

à l’intensité I d’un courant

parcourant

une bobine

placée

dans un

champ

magnétique

constant et uniforme.

L’équilibre

est réalisé

quand

~’ _

P’ ;

d’où

~ 2

==

K1.K~

est une constante

d’étalonnage

ainsi que K.

La droite

d’étalonnage

est établie à 20 DC avec

(3)

82 A

Fie. 1. - Vue en coupe de

l’appareil.

des

produits

purs de masses

spécifiques

connues.

Le

plongeur

étant en

quartz

(coefficient

de

dila-tation

négligeable 5 X 10-7),

@ cet

étalonnage

est

valable

quelle

que soit la

température.

3.

Description

de

l’appareil (~).

- La

figure

1

représente

une vue en coupe du

dispositif.

Les

parties principales

sont : le corps, le

dispo-sitif de

déplacement

de

l’échantillon,

les

pièges

de

condensation,

le

système

de mesure.

3.1. CORPS DE L’APPAREIL. - Il

est constitué

d’un four

cylindrique (1)

en acier

inoxydable

de

diamètre intérieur 50 mm,

d’épaisseur

15 mm, et de

longueur

420 mm, terminé à

chaque

extrémité par

une bride.

Lie

chauffage

du four est assuré par deux colliers

principaux (2).

Les colliers

(3)

et

(4)

permettent

de

compenser les

pertes

de chaleur vers le haut et le bas et d’avoir ainsi une

température

homogène

sur toute la

longueur

du four.

L’ensemble du four est entouré d’un

épais

calo-rifugeage

(5) protégé

par une

enveloppe cylindrique

en tôle d’acier

(6).

Le corps repose sur trois

pieds

(7)

munis de vis

de

réglage

et d’écrous

(8)

servant à assurer la

verti-calité de

l’appareil.

3.2. SYSTÈME DE REMONTÉE DE L’ÉCHANTILLON.

- Les

terphényles

étant solides à la

température

ambiante,

il faut

pouvoir immerger

le

plongeur (9)

dans le

produit

alors que

l’appareil

est fermé sous

pression

et en

chauffage.

Le

récipient (10)

conte-nant le

produit

est

placé

sur un

support

(11)

soli-daire par l’intermédiaire d’une

tige (12)

d’un noyau

de fer doux

(13).

Cette

tige,

guidée

par le passage

(14),

coulisse dans un fourreau

(15)

fixé sur la bride inférieure du

four. Le noyau

(13)

est entraîné par un aimant per-manent en ticonal

(16)

dont le

déplacement

est

assuré par un

système

de vis sans

fin,

(17)

com-mandée par un volant

(18).

3.3. PIÈGES DE CONDENSATION. - Le

système

de mesure

placé

à la

partie supérieure

de

l’appa-reil ne doit en aucun cas être atteint par les

vapeurs. Des

pièges

ont donc été

placés

entre le four et le

dispositif

de mesure. Ils sont constitués par des bouchons

(19)

séparés

par des entretoises.

Ces bouchons sont

percés

de passages

cylindriques

de diamètre 3 ou 4 mm. Le dernier bôuchon

(20)

,

est en asbestex

(matière

isolante à base

d’amiante),

.

les autres en acier

inoxydable.

Ces

pièges

sont

placés

dans un manchon

(21)

cylindrique

terminé à

chaque

extrémité par une

bride. La bride inférieure

s’appuie

sur la bride

supérieure

du

four,

la

bride

supérieure

supporte

(1)

Ce

dispositif

a fait

l’objet

d’une demande de brevet

(4)

la balance

magnétique

et le

chapeau

fermant

l’appareil.

Le manchon est muni d’une

colle-rette

(22) rigoureusement perpendiculaire

à

l’axe,

ceci

permet,

à l’aide d’un niveau à

bulle,

de

régler

la verticalité

qui

doit être

parfaite

pour que le fil

(23)

ne frotte pas contre les bouchons.

Un

serpentin

de cuivre

(24)

enroulé autour du manchon au-dessus de la collerette

(22)

et par-couru par de

l’eau,

permet

le refroidissement de la

partie supérieure

de

l’appareil.

En dessous de la collerette se trouve une sortie étanche

(25)

pour

le passage des fils des

thermosondes,

le

doigt

de

gant

(26)

contient une thermosonde à double

enroulement de résistance de

platine.

3.4. SYSTÈME DE MESURE : 1 BALANCE

MAGNÉ-TIQUE

(fin. 2).

- Le

plongeur

en

quartz,

d’un

volume d’environ 20 cm3 et d’un

poids

d’envi-. ron 40

g, est

suspendu

à la bobine

(B)

par un fil

d’acier

inoxydable

de

1/10

mm de diamètre. Le

fil du

plongeur

est accroché à celui fixé à la bobine à l’aide d’un

petit

crochet ;

ceci facilite le

démontage.

L’aimant

(A)

est un aimant

cylindrique

en

alliage

ticonal,

stabilisé dans un

champ

alternatif,

avec un circuit

magnétique

en fer doux

(F)

en forme de

pot

de

haut-parleur.

Cette forme autorise le

perce-ment du noyau de fer doux suivant son axe pour le

passage des fils de connexion

(E)

de la bobine. L’ensemble entièrement f ermé sur lui-même est

insensible aux actions des

champs

extérieurs.

L’induction

(5

000

Gauss)

est uniforme dans

l’entrefer,

d’une

longueur

de 3 mm, et d’une

hau-teur de 20 mm. Bien que sa variation avec la

température

ne

dépasse

pas

0,02

%

par

degré,

il est

indispensable

de maintenir le

système

de mesure

à

température

ambiante,

d’où le

serpentin

de

refroidissement

(24).

La stabilité de l’induction dans le

temps

est de l’ordre du

1/1000.

La bobine

(B)

est constituée par un

support

cylindrique léger,

en

duralumin,

coulissant libre-ment dans l’entrefer. Sur ce

support

est bobiné un

enroulement de fil de cuivre émaillé de

0,2

mm de diamètre

(le

diamètre du fil de cuivre nu est de

0,15

mm).

L’enroulement

comprend

200

spires

réparties

en 4 couches de 50

spires.

Le

bobinage

a une hauteur moitié de celle de l’entrefer de

façon

à éviter les eff ets d’extrémité. Le

déplacement

de la

bobine

qui

a lieu vers le haut ou vers le bas suivant

que la force

électromagnétique engendrée

par le passage du courant

qui

la traverse est

supérieure

ou inférieure au

poids

du

plongeur

immergé

est limité par deux butées

(C

et

D)

distantes de 1 mm.

Au courant continu circulant dans la bobine est

superposé

un faible courant alternatif

(50

Hz)

qui

maintient la bobine en vibrations de très faibles

amplitudes

et réduit ainsi le coefficient de

frotte-ment.

FIG. 2. - Balance

magnétique.

A : anneau aimanté - B : bobine. - C : butée haute.

D : butée basse. - E : connexions

électriques.

- F : fer

doux.

3.5. PARTIE SUPÉRIEURE. -

L’appareil

est

fermé par un

chapeau qui

possède

des passages étanches

(27)

pour la sortie des fils de connexion de

la bobine. De ce

chapeau

part

également

une

cana-lisation

(28)

munie d’un

manomètre,

permettant

de faire le vide et de mettre sous

pression

de gaz neutre.

L’étanchéité de

l’appareil

est assurée par des

(5)

84 A

3.6. DÉTERMINATION AUTOMATIQUE DU COU-RANT

D’ÉQUILIBRE.

- Le

dispositif électronique

est schématisé

figure

3.

Ce

dispositif

a pour but de faire osciller

l’inten-sité du courant traversant la balance autour de la

valeur

I,

correspondant

à

l’équilibre.

Les butées

limitant le

déplacement

de

l’équipage

mobile sont

des contacts

électriques

reliés à une bascule

électro-nique qui

commande l’inversion du sens de variation

du courant. Les oscillations de l’intensité sont sui-vies sur un

galvanomètre

et la mesure de

Io

(point

milieu)

est faite par une méthode

potentiométrique.

FIG. 3. -

Réglage automatique

du courant.

11~1 : Moteur « réglage fin ». - M2 : Moteur

« réglage gros ». - Ci-C2 : Cames. - C : Contact butée haute.

A : Aimant. - G : Indicateur. - R : Relais commandant Mil. - D : Contact

butée basse. 11-ri : Inverseurs fin de course «

réglage

fin » commandant M..

I2-I’2 :

Interrupteurs

fin de course «

réglage

gros ».

B : Bobine de la balance

magnétique.

S : Sortie vers enregistreur ou pont

potentiométrique.

T : Transformateur abaisseur superposant du courant alternatif au courant continu. F : Fusible de

protection

de la bobine.

Toutes les résistances sont en k~.

3.7.

MESURE

ET RÉGULATION DE LA TEMPÉRA-TURE. -

La température

est mesurée àl’aide d’une thermosonde à résistance de

platine

de 100n à

0 OC

protégée

par le

doigt

de

gant

(26)

en acier

inoxydable plongeant

dans le

liquide.

La mesure

de la résistance est faite au

pont

potentiométrique

par

comparaison

avec une résistance étalon.

L’éta-lonnage

de la thermosonde a été fait sur le banc

d’étalonnage

à

points

fixes du laboratoire :

glace

fondante, point

d’ébullition de

l’eau,

point

d’ébul-lition du soufre. On en déduit les valeurs de

7?o

et

des coefficients A et B intervenant dans

l’expres-sion de la variation de la résistance R de la sonde

en fonction de la

température

t.

R=R4~~-}--At+Bt)2.

D’autre

part,

cette thermosonde à double

enrou-lement de

platine

est connectée à un indicateur

régulateur

3

plages qui

commande l’alimentation

du

chauffage principal.

Des

thermocouples

montés en

opposition placés

au centre d’une

part

et dans le haut et le bas du

four d’autre

part,

alimentent des

régulateurs

FIG. 4. - Contrôle du

(6)

3

plages qui

commandent les

chauffages

de compen-sation

(voir fcg.

4).

4. Mode

opératoire.

- L’aimant commandant

le

déplacement

de la

tige

est amené en

position

haute. Le container renfermant le

produit

est

placé

sur son

support

et le tout est redescendu en

position

basse. Le manchon

intermédiaire,

placé

sur un

support

indépendant,

est muni de ses

pièges

et le

plongeur,

ainsi que la

bobine,

sont mis

en

place.

Le tout est

transporté

sur

l’appareil

et

fixé sur la bride

supérieure

du four. Lie

chapeau

est

ensuite fixé. La verticalité est

réglée

à l’aide d’un

niveau à bulle.

Lie vide est fait dans

l’appareil (10-2

mm/Hg),

puis

on

inj ecte

de l’azote de

façon

à ce que la

pression

soit

supérieure

à la tension de vapeur du

produit correspondant

à la

température

maximum

atteinte.

Les colliers de

chauffage

sont mis sous tension.

Quand

la

température

de fusion du

produit

est

dépassée (dans

le cas des

produits

solides à la

température

ambiante),

le container est remonté

FIG. 5. - Vue d’ensemble de

l’appareil.

jusqu’à

immersion

complète

du

plongeur

(des

repères

permettent

de connaître exactement la

position

du

container).

La mesure

proprement

dite commence. Comme

il a

déjà

été

précisé,

l’intensité du courant traver-sant la bobine et la

température

sont mesurées au

pont

potentiométrique.

FIG. 6. - Le

dispositif

de mesure.

5.

Étalonnage

et résultats. -

L’appareil

a été

étalonné à la

température

ambiante avec divers

liquides

purs de masses

spécifiques

bien connues.

Cette

opération

a été effectuée avec trois

plongeurs

de

f açon

à ce que la détérioration éventuelle de

l’un d’eux

n’interrompe

pas les

manipulations.

Les courbes

d’étalonnage

sont

reproduites

figure

7.

Les mesures ont surtout

porté

sur les

polyphé-nyles.

Les résultats

publiés jusqu’à

présent

concer-nant surtout les

Santowax,

produits légèrement

différents par la

répartition

des

isomères,

la

com-paraison

n’est

guère

possible.

D’autre

part,

il est

difficile de trouver des

produits

de référence

ayant

été utilisés vers 500

OC,

et

n’ayant

pas une tension

de vapeur

trop

élevée.

La

figure

8 concerne la courbe de masse

spéci-fique

du

diphényle ;

du

terphényle OM2,

de

com-position :

(7)

86 A

FIG. 7. -

Étalonnage

des

plongeurs.

Sur la

figure

9 est tracé le réseau des courbes donnant la masse

spécifique

en fonction de la

tem-pérature

pour l’OM2 avec diff érents

pourcentages

de

polymères

High

Boiler Residue

»] provenant

de la

radiolyse

en

pile.

FIG. 8. - Densité du

diphényle

et des

terphényles

OMP et OM2.

6. Précision des mesures. - La

précision

sur la

détermination de la masse

spécifique

est liée à

l’amplitude

de variation du courant

correspondant

aux

déplacements

de la bobine entre les butées

haute et basse. Dans les conditions normales de

fonctionnement,

cette

amplitude

est les

3/1000

du courant total. Comme l’on mesure le courant

FIG. 9. - Densité du

terphényle

OM2 avec HBR.

moyen

(milieu

de l’intervalle

de

variation)

et sa

détermination se faisant avec une erreur

négli-geable

(pont

potentiométrique

et résistance

éta-on),

la

précision

réelle est certainement bien meil-leure que

3/1000.

Plusieurs mesures faites à la

même

température

et ceci à

plusieurs reprises

n’ont jamais

donné une

dispersion supérieure

à

1/1000.

La

température

est connue à

2/10

de

degrés près.

Un défaut de verticalité de

l’appareil

est

immé-diatement

repéré

car à ce moment le fil frotte

contre les

pièges

de condensation et les

amplitudes

sont

plus grandes.

Des

manipulations

avec des

produits

de

visco-sité assez élevée et de densité connue ont

permis

de

constater que la viscosité n’avait aucune influence

sensible sur les

amplitudes

de variation du courant et sur la

précision

des mesures.

7. Conclusion. -

L’appareil

décrit à

permis

d’effectuer de nombreuses mesures tant sur les

polyphényles

que sur d’autres fluides

caloporteurs

d’origine pétrolière

pour

lesquels

les résultats ne sont pas donnés ici. Le fonctionnement de

l’appa-reil est resté satisfaisant au cours de ces diff érentes

déterminations. La

reproductibilité

des résultats

obtenus a été vérifiée à

plusieurs reprises.

Elle est

toujours

demeurée de l’ordre du

1/1000.

Nous remercions EURATOM d’avoir autorisé la

publication

de cette étude eflectuée dans le cadre d’un contrat

passé

avec le Centre

d’Études

Nucléaires de Grenoble pour le

projet

Orgel.

Manuscrit reçu le 15 Novembre 1962.

, BIBLIOGRAPHIE

[1] BESSOUAT

(R.),

CHAVANEL

(H.),

ELBERG

(S.),

J.

Phy-sique,

1963, 24, 39 A. [2] BOCKRIS,

TOMLINSON,

WHITE,

Trans.

Faraday

Soc.,

1956. 52, 299.

Références

Documents relatifs

De ce fait, la régularité de l’administration semestrielle du Dmab est recommandée, sous peine d’observer, en cas d’arrêt après 2 ou plusieurs injections, un effet rebond de

Tous les membres, DELEGUES FEDERAUX, ARBITRES, COMITE DE CLUB, DELEGUES DE CLUBS, JOUEURS doivent faire valider chaque saison leur licence officielle, sans cela il ne peut participer

- Des mesures effectuées en milieu compresseur fluide entre 0 et 60 kbar ont montré que la résistivité électrique du nickel et de six alliages à. base de nickel

Le module d’extension NTLog Comfort permet les mêmes fonctionnalités que le module NTLog Basic� Les données de l’application en provenance d’un programmateur HiProSytems sont

AVERTISSEMENT: Les pieds doivent toujours être bloqués dans la position de travail avant de fixer la charge et/ou lever le bras.. AVERTISSEMENT: Le bras doit toujours

Keytruda ® (pembrolizumab) a reçu sa première autorisation de mise sur le marché (AMM) chez les patients adultes atteints de mélanome avancé et, plus récemment, dans le

Ensuite elle est devenue danseuse… Revenir à ce personnage tant d’années après, l’adapter dans un jeu dansé et le marier avec un texte d’une femme sans âge dont la vie

Ce totem entièrement en acier inoxydable de haute qualité, et d’une grande stabilité, est conçue pour distribuer du gel désinfectant «sans contact». • Boîtier