• Aucun résultat trouvé

Guide du contrôle antidopage

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Guide du contrôle antidopage"

Copied!
29
0
0

Texte intégral

(1)

Jeux Olympiques d’hiver de PyeongChang 2018

Guide du contrôle antidopage

Novembre 2017

(2)

OBJECTIF DU GUIDE DE CONTRÔ LE ANTIDOPAGE

L’objectif de ce guide est de transmettre aux participants des Jeux les informations nécessaires sur le programme antidopage et la façon dont il sera conduit.

Ce guide n’est pas un document technique décrivant chaque étape du contrôle antidopage, ni d’autres aspects du programme antidopage des Jeux.

Ce guide n’est pas un ensemble détaillé de règles, mais plutôt un résumé des aspects principaux de ces règles.

Ce guide complète les Règles antidopage du Comité International Olympique (CIO), mais ne les remplace en aucun cas.

(3)

1 GOUVERNANCE DU PROGRAMME ANTIDOPAGE DES JEUX

OLYMPIQUES D’HIVER DE PYEONGCHANG 2018 4

2 CONTRÔ LE EN COMPÉ TITION ET HORS COMPÉ TITION LORS DE

PYEONGCHANG 2018 4

3 DEMANDES D’ÉCHANTILLONS SUPPLÉMENTAIRES 5

4 LABORATOIRE 5

5 SUBSTANCES ET MÉTHODES INTERDITES PAR L’AMA 5

6 UTILISATION DE MÉ DICAMENTS SUR ORDONNANCE ET SANS

ORDONNANCE 6

7 UTILISATION DE COMPLÉ MENTS ALIMENTAIRES 6

8 AUTORISATIONS D’USAGE À DES FINS THÉRAPEUTIQUES (AUT) 6

9 INFORMATIONS SUR LA LOCALISATION 7

10 RÉ SOLUTION DES AFFAIRES EN COURS IMPLIQUANT DE

POSSIBLES VIOLATIONS DES RÈ GLES ANTIDOPAGE 8

11 MODÈLE DE SENSIBILISATION DE L’AMA 8 12 PROGRAMME D’OBSERVATEURS INDÉPENDANTS DE L’AMA 9

13 PROCÉ DURES TECHNIQUES DE CONTRÔ LE ANTIDOPAGE POUR LES JEUX OLYMPIQUES D’HIVER DE PYEONGCHANG 2018 9

ANNEXE A : É QUIPE DU CONTRÔ LE ANTIDOPAGE DE

PYEONGCHANG 2018 10

ANNEXE B : PLAN DES POSTES DE CONTRÔ LE ANTIDOPAGE ET L’EFFECTIF PRINCIPAL DE PYEONGCHANG 2018 11 ANNEXE C : LISTE DES INTERDICTIONS 2018 20

è

è

(4)

1 GOUVERNANCE DU PROGRAMME ANTIDOPAGE DES JEUX OLYMPIQUES D’HIVER DE

PYEONGCHANG 2018

Le Comité International Olympique (CIO) est responsable du programme antidopage des Jeux Olympiques d’hiver de PyeongChang 2018 (« les Jeux ») de l’ouverture des villages olympiques (« les villages ») le 1er février 2018 jusqu’au jour de la cérémonie de clôture le 25 février 2018 (« période des Jeux ») inclus.

La responsabilité du prélèvement des échantillons pour les Jeux a été déléguée au Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de PyeongChang 2018 (« PyeongChang 2018 »).

Le CIO est signataire du Code mondial antidopage (« le Code ») et a établi les Règles antidopage du CIO conformément avec ce Code. Les Règles du CIO exposent les grandes lignes des différentes violations des règles antidopage ainsi que le procédé détaillé de gestion suivant une éventuelle violation de règle antidopage. Elles sont complétées par les Standards internationaux obligatoires et les autres politiques et procédures internes du CIO.

Les Règles du CIO seront appliquées durant la période des Jeux. Les athlètes qualifiés et inscrits par leur Comité national olympique (CNO) pourront être contrôlés à n’importe quel moment durant cette période ainsi que durant la période qui précède les Jeux, quelle que soit leur localisation. Tous les participants acceptent les Règles du CIO en tant que condition de participation et sont supposés les respecter.

2 CONTRÔ LE EN COMPÉ TITION ET HORS

COMPÉ TITION LORS DE PYEONGCHANG 2018

Les termes « en compétition » et « hors compétition » comme définis dans les Règles antidopage du CIO sont applicables aux Jeux.

« En compétition » désigne « la période commençant douze heures avant une compétition à laquelle l’athlète doit participer et se terminant à la fin de cette compétition et du processus de prélèvement des échantillons lié à cette compétition. »

« Hors compétition » désigne « toute période qui n’est pas en compétition ».

Le terme « compétition » est défini comme « une course unique, un match, une partie ou une épreuve unique ». Par exemple, l’épreuve du sprint 10 km masculin au biathlon.

(5)

3 DEMANDES D’ÉCHANTILLONS SUPPLÉ MENTAIRES

Les CNO ou FI qui, durant la période des Jeux, souhaitent prélever des échantillons supplémentaires des athlètes qui relèvent habituellement de leur juridiction devront au préalable demander l’accord au CIO et compléter un formulaire de demande au poste de contrôle antidopage. Des frais pourront y être associés.

4 LABORATOIRE

Les échantillons prélevés par PyeongChang 2018 seront analysés dans le laboratoire accrédité par l’Agence mondiale antidopage (AMA) à Séoul, à savoir le centre de contrôle antidopage de l’Institut coréen des sciences et de la technologie (KIST), ou tout autre laboratoire accrédité par l’AMA comme convenu avec le CIO.

Le laboratoire communiquera les résultats des tests au CIO et à l’AMA par le biais du système d’administration et de gestion antidopage (ADAMS) de l’AMA. Ces résultats sont généralement annoncés dans les 24 à 72 heures après la réception des é chantillons par le laboratoire. Une période plus longue pourra être nécessaire pour les échantillons demandant des analyses supplémentaires, notamment, mais sans s’y limiter, pour les confirmations. Le CIO conservera les échantillons sur une plus longue période dans le cadre du futur programme de réanalyse conformément à la prescription décrite dans le Standard international pour la protection des renseignements personnels.

Certains échantillons seront sujets à analyse après la cérémonie de clôture. Toute violation de règle antidopage découverte suite à ces analyses sera soumise aux Règles du CIO.

5 SUBSTANCES ET MÉ THODES INTERDITES PAR L’AMA

La Liste des interdictions de l’AMA 2018 regroupe les substances et les méthodes interdites lors des Jeux de PyeongChang 2018. Si cette liste venait à être modifiée à n’importe quel moment des Jeux, la version valable mise en ligne sur le site web de l’AMA est applicable. Tous les athlètes et le personnel de soutien devront prendre connaissance de cette Liste des interdictions.

(6)

6 UTILISATION DE MÉ DICAMENTS SUR ORDONNANCE ET SANS ORDONNANCE

Il est de la responsabilité de l’athlète de vérifier si une substance et/ou une méthode utilisée ou considérée utilisée est interdite ou autorisée conformément à la Liste des interdictions de l’AMA. Il est fortement recommandé aux athlètes de consulter régulièrement le statut de chaque médicament auprès des personnes compétentes, notamment le médecin de l’équipe et le personnel de soutien médical.

7 UTILISATION DE COMPLÉ MENTS ALIMENTAIRES

Sauf en cas de nécessité sous le conseil et le contrôle d'un professionnel de santé qualifié, l'utilisation par les athlètes de compléments alimentaires est fortement dissuadée étant donné que leur fabrication et étiquetage ne suivent aucun contrôle strict dans certains pays. L’athlète pourrait obtenir un résultat d’analyse anormal, d’où l’extrême précaution recommandée concernant leur utilisation.

8 AUTORISATIONS D’USAGE À DES FINS THÉ RAPEUTIQUES (AUT)

Les athlètes possédant déjà une AUT préexistante et valide dans le système d’administration et de gestion antidopage (ADAMS) n’auront pas besoin de la renvoyer au CIO.

Toutes les autres AUT préexistantes et valides qui ne sont pas dans le système ADAMS devront soit être entrées dans le système ADAMS, soit envoyées par e-mail à l’adresse TUE@olympic.org avant le 10 janvier 2018.

Durant la période des Jeux, il sera possible de demander une AUT sur le système ADAMS ou par e- mail à l’adresse TUE@olympic.org. Tout athlète demandant une nouvelle AUT pour une substance ou une méthode interdite devra effectuer sa demande au Comité pour l’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (CAUT) du CIO, comme indiqué dans les Règles antidopage du CIO applicables à PyeongChang 2018.

Le CAUT du CIO évaluera la demande conformément au Standard international pour l’AUT (SIAUT) et rendra sa décision dans les plus brefs délais, qui sera ensuite annoncée sur le système ADAMS. La Commission médicale et scientifique du CIO ou les personnes désignées par le CIO en tant que responsables de la supervision du programme de contrôle antidopage devront informer rapidement

(7)

Une AUT approuvée par le CAUT du CIO ne sera valide que pour la période des Jeux. Ainsi, tous les athlètes devront effectuer la demande auprès de leur organisation nationale/régionale antidopage (ONAD/ORAD) ou de leur FI pour toute AUT requise pour des substances ou des méthodes interdites qui devra être prolongée après la période des Jeux.

9 INFORMATIONS SUR LA LOCALISATION

Des programmes de contrôle en compétition efficaces sont essentiels pour la lutte contre le dopage dans le sport. Cette efficacité dépend largement des informations précises et complètes sur la localisation de l’athlète.

Ainsi, le CIO et PyeongChang 2018 exigent de tous les CNO :

 Que les athlètes nommés pour le groupe cible de sportifs soumis aux contrôles d’une ONAD ou d’une IF continuent à faire savoir leur localisation dans le système ADAMS durant la période des Jeux. Le planning de séjour, la liste spécifique d’attribution des chambres et le planning des entraînements pour les Jeux doivent également être inscrits par les athlètes dans le système ADAMS.

Remarque : « au Village olympique » ou « Jeux Olympiques 2018 » ne sont pas des localisations précises et peuvent être considérées comme défaut de communication d’informations.

 Qu’ils fournissent une liste de la localisation des athlètes séjournant à l’extérieur des villages olympiques, ainsi qu’une liste d’attribution des chambres dans les villages olympiques.

 Qu’ils fournissent une liste d’attribution des chambres mises à jour en cas de modifications en utilisant le formulaire transmis à l’avance au CNO. Il devra être envoyé par e-mail à l’adresse dop@pyeongchang2018.com.

 La localisation de tous les athlètes sera également suivie à travers le système de gestion des Jeux.

 Les athlètes pourront être testés à n’importe quel moment et à n’importe quel endroit durant la période des Jeux, aux sites d’entraînement ou de compétition des Jeux Olympiques, aux Villages ou à l’extérieur de ces zones des Jeux accréditées. Tout manquement de l’athlète à participer à un contrôle antidopage pourra conduire à une potentielle violation du règlement antidopage punissable d’une sanction allant jusqu’à quatre ans.

(8)

10 RÉ SOLUTION DES AFFAIRES EN COURS

IMPLIQUANT DE POSSIBLES VIOLATIONS DES RÈ GLES ANTIDOPAGE

Le CIO apprécie tous les efforts déployés par les CNO, les ONAD et les FI pour assurer que les affaires en cours impliquant de possibles violations des règles antidopage commises par des athlètes ou le personnel de soutien de l’athlète qui souhaitent participer aux Jeux Olympiques d’hiver de PyeongChang 2018 soient résolues avant que les athlètes ne valident leur carte d’accréditation pour les Jeux.

Tout problème de gestion des résultats non résolu avant les Jeux devra immédiatement être reporté par le CNO à l’adresse intelligence@olympic.org.

11 MODÈLE DE SENSIBILISATION DE L’AMA

Le Modèle de sensibilisation de l’AMA s’est développé pour devenir un moyen efficace de sensibiliser et d’éduquer les athlètes et leur entourage sur les dangers et les conséquences du dopage.

Un comptoir de sensibilisation se situera au réfectoire principal des villages olympiques de PyeongChang et de Gangneung.

L’interaction individualisée dans différentes langues entre les athlètes, les entraîneurs et les officiels avec des experts antidopage du monde entier est cruciale pour le succès du programme. Elle sera accompagnée de matériel éducatif et un quiz étudié pour être à la fois récréatif et informatif.

(9)

12 PROGRAMME D’OBSERVATEURS INDÉPENDANTS DE L’AMA

Le programme d’observateurs indépendants (OI) aidera à améliorer la confiance des athlètes et du public d’événements importants en surveillant et en effectuant des rapports sur toutes les phases de contrôle antidopage et toutes les procédures de gestion des résultats.

Ce programme sera dirigé de manière neutre et impartiale, en effectuant des retours pour aider à modifier les opérations et les procédures si nécessaire durant la période des Jeux et, à l’issue de la mission des OI, un compte-rendu couvrant tous les aspects sur le programme antidopage et suggérant les points pouvant être améliorés.

L’objectif de ce programme est pour le CIO, PyeongChang 2018 et l’AMA de collaborer pour présenter un programme antidopage efficace pour les Jeux et saisir l’opportunité de développer la capacité antidopage pour les futurs Jeux.

13 PROCÉ DURES TECHNIQUES DE CONTRÔ LE ANTIDOPAGE POUR LES JEUX OLYMPIQUES D’HIVER DE PYEONGCHANG 2018

Toutes les procédures de contrôle antidopage de PyeongChang 2018 seront mise en place conformément au Standard international de l’AMA pour les contrôles et les enquêtes (SICE).

(10)

ANNEXE A : É QUIPE DU CONTRÔ LE ANTIDOPAGE DE PYEONGCHANG 2018

SEO Min-jung Chef d’équipe

É quipe du contrôle antidopage

KIM Han-min Manager

É quipe du contrôle antidopage

YU Sung-sun Manager

É quipe du contrôle antidopage

LIM Jae-yoon Manager

É quipe du contrôle antidopage

LEE Sang-min Manager

É quipe du contrôle antidopage

JI Un-seon Manager

É quipe du contrôle antidopage

JANG Eun-seok Manager

É quipe du contrôle antidopage

KIM Hee-jae Manager

É quipe du contrôle antidopage

JUNG Jae-heoun Manager

É quipe du contrôle antidopage

(11)

ANNEXE B : PLAN DES POSTES DE CONTRÔ LE ANTIDOPAGE ET L’EFFECTIF

PRINCIPAL DE PYEONGCHANG 2018

Plan des postes de contrôle antidopage

Structure de l’effectif principal

Responsable du poste de contrôle antidopage (DCSM)

Coordinateur du poste de contrôle antidopage (DCSC)

Manager Chaperon (CM)

Agent de contrôle antidopage

(DCO)

Agent de prélèvement sanguin (BCO)

Interprète Chauffeur

Chaperon Sécurité

(12)

Pôle de montagne de PyeongChang

Village

olympique de PyeongChang

CHOI Geun-hoon DCSM

PARK Hee-jin DCSC

KIM Hee-jeong CM

KANG Hyo-chan DCSM

LEE Du-kyoung DCSC

BAE Ki-sung CM

(13)

Centre de saut à ski d’Alpensia

KIM In-sook DCSM

PARK Tae-joon DCSC/CM

Centre de biathlon d’Alpensia

LEE Soon-ju DCSM

YOUN Sun-hee DCSC

LEE Jung-youl CM

(14)

Centre de ski de fond d’Alpensia

LEE Young-gil DCSM

PARK Sun-ki DCSC

KIM Min-kab CM

Centre alpin de Yongpyong

KIM Gi-yeon DCSM

JOO Chel-gue DCSC

LEE Q-young CM

(15)

Centre alpin de Jeongseon

KIM Gi-yeon DCSM

JOO Chel-gue DCSC

LEE Q-young CM

Centre olympique de glisse

YI Kon DCSM

CHUNG Jong-shin DCSC

YOO Ji-hyeong CM

(16)

Parc de neige Phoenix

OH Jung-woo DCSM

LEE Sang-kyu DCSC

CHOI Jun-hyuck CM

(17)

Pôle de littoral de Gangneung

Village olympique de Gangneung

KIM Nara KIM

Ban-seok DCSM

JUNG Hee-taek

KOH Min-chul CM

Centre de hockey de Gangneung

KIM Hyun-ji DCSM

YOUN Mi-suk DCSC

KIM Seung-gu CM

(18)

Ovale

de Gangneung

LEE Cha-ho DCSM

PARK Ji-eun DCSC

KANG Sun-young CM

Palais des glaces de Gangneung

HWANG In-mi DCSM

HYUN Min-kyung DCSC

KANG Min-woo CM

(19)

Centre de curling de Gangneung

GIM In-ho DCSM

KANG Keum-jin DCSC/CM

Centre de hockey de Kwandong

LEE Myoung-soo DCSM

JEON Hee-sook DCSC

LEE Dong-hoon CM

(20)

ANNEXE C : LISTE DES INTERDICTIONS 2018

Cette liste entrera en vigueur le 1er janvier 2018.

SUBSTANCES ET MÉ THODES INTERDITES EN PERMANENCE

(EN ET HORS COMPÉ TITION)

EN CONFORMITÉ AVEC L’ARTICLE 4.2.2 DU CODE MONDIAL ANTIDOPAGE, TOUTES LES SUBSTANCES INTERDITES DOIVENT Ê TRE CONSIDÉ RÉ ES COMME DES ≪ SUBSTANCES SPÉ CIFIÉ ES ≫ SAUF LES SUBSTANCES DANS LES CLASSES S1, S2, S4.4, S4.5, S6.A, ET LES MÉ THODES INTERDITES M1, M2 ET M3.

SUBSTANCES INTERDITES

S0. SUBSTANCES NON APPROUVÉ ES

Toute substance pharmacologique non incluse dans une section de la Liste ci-dessous et qui n’est pas actuellement approuvée pour une utilisation thérapeutique chez l’Homme par une autorité gouvernementale réglementaire de la Santé (par ex.

médicaments en développement préclinique ou clinique ou médicaments discontinués, médicaments à façon, substances approuvées seulement pour usage vétérinaire) est interdite en permanence.

S1. AGENTS ANABOLISANTS

Les agents anabolisants sont interdits.

1. STÉ ROÏDES ANABOLISANTS ANDROGÈ NES (SAA)

a. SAA exogènes*, incluant :

1-Androstènediol (5α-androst-1-ène-3β,17β- diol);

1-Androstènedione (5α-androst-1-ène-3,17-

1-Androstérone (3α-hydroxy-5α-androst-1-ène- 17-one);

1-Testostérone (17β-hydroxy-5α-androst-1-ène- 3-one);

4-Hydroxytestostérone (4,17β-dihydroxyandrost- 4-ène-3-one);

Bolandiol (estr-4-ène-3β,17β-diol);

Bolastérone;

Calustérone;

Clostébol;

Danazol ([1,2]oxazolo[4',5':2,3]prégna-4-ène-20- yn-17α-ol);

Déhydrochlorméthyltestostérone (4-chloro-17β- hydroxy-17α-méthylandrosta-1,4-diène-3- one);

Désoxyméthyltestostérone (17α-méthyl-5α- androst-2-ène-17β-ol);

Drostanolone;

Éthylestrénol (19-norprégna-4-ène-17α-ol);

Fluoxymestérone;

Formébolone;

Furazabol (17α-méthyl[1,2,5]oxadiazolo[3',4':2,3]-5α- androstane-17β-ol);

Gestrinone;

(21)

Métandiénone (17β-hydroxy-17α- méthylandrosta-1,4-diène-3-one);

Méténolone;

Méthandriol;

Méthastérone (17β-hydroxy-2α,17α-diméthyl-5α- androstane-3-one);

Méthyldiénolone (17β-hydroxy-17α-méthylestra- 4,9-diène-3-one);

Méthyl-1-testostérone (17β-hydroxy-17α-méthyl- 5α-androst-1-ène-3-one);

Méthylnortestostérone (17β-hydroxy-17α- méthylestr-4-en-3-one);

Méthyltestostérone;

Métribolone (méthyltriènolone, 17β-hydroxy-17α- méthylestra-4,9,11-triène-3-one);

Mibolérone;

Norbolétone;

Norclostébol;

Noréthandrolone;

Oxabolone;

Oxandrolone;

Oxymestérone;

Oxymétholone;

Prostanozol (17β-[(tétrahydropyrane-2-yl)oxy]- 1'Hpyrazolo[3,4:2,3]-5α-androstane);

Quinbolone;

Stanozolol;

Stenbolone;

Tétrahydrogestrinone (17-hydroxy-18a-homo-19- nor-17α-prégna-4,9,11-triène-3-one);

Trenbolone (17β-hydroxyestr-4,9,11-triène-3-one);

et autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s).

b. SAA endogènes** par administration exogène :

19-Norandrostènediol (estr-4-ène-3,17-diol);

19-Norandrostènedione (estr-4-ène-3,17-dione);

Androstanolone (5α-dihydrotestostérone, 17β- hydroxy-5α-androstan-3-one);

Androstènediol (androst-5-ène-3β,17β-diol);

Androstènedione (androst-4-ène-3,17-dione);

Boldénone;

Boldione (androsta-1,4-diène-3,17-dione);

Nandrolone (19-nortestostérone);

Prastérone (déhydroépiandrostérone, DHEA, 3β-hydroxyandrost-5-ène-17-one);

Testostérone;

et les métabolites et isomères suivants, incluant sanss’y limiter :

3β-Hydroxy-5α-androstan-17-one;

5α-Androst-2-ène-17-one;

5α-Androstane-3α,17α-diol;

5α-Androstane-3α,17β-diol;

5α-Androstane-3β,17α-diol;

5α-Androstane-3β,17β-diol;

5β-Androstane-3α,17β-diol;

7α-Hydroxy-DHEA;

7β-Hydroxy-DHEA;

4-Androstènediol (androst-4-ène-3β,17β-diol);

5-Androstènedione (androst-5-ène-3,17-dione);

7-Keto-DHEA;

19-Norandrostérone;

19-Norétiocholanolone;

Androst-4-ène-3α,17α-diol;

Androst-4-ène-3α,17β-diol;

Androst-4-ène-3β,17α-diol;

Androst-5-ène-3α,17α-diol;

Androst-5-ène-3α,17β-diol;

Androst-5-ène-3β,17α-diol;

Androstérone;

Épi-dihydrotestostérone;

É pitestostérone;

É tiocholanolone.

2. AUTRES AGENTS ANABOLISANTS

Incluant sans s'y limiter :

Clenbutérol, modulateurs sélectifs des récepteurs aux androgènes (SARMs par ex.

andarine, LGD-4033, ostarine et RAD140), tibolone, zéranol et zilpatérol.

Pour les besoins du présent document :

* « exogène » désigne une substance qui ne peut pas être habituellement produite naturellement par l’organisme humain.

** « endogène » désigne une substance qui peut être habituellementproduite naturellement par l’organisme humain.

(22)

S2. HORMONES PEPTIDIQUES, FACTEURS DE CROISSANCE, SUBSTANCES APPARENTÉ ES ET MIMÉ TIQUES

Les substances qui suivent, et les autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s), sont interdites :

1. Erythropoïétines (EPO) et agents affectant l’érythropoïèse, incluant sans s’y limiter : 1.1 Agonistes du récepteur de l’érythropoïétine, par

ex.

Darbépoétine (dEPO);

É rythropoïétines (EPO);

Dérivés d’EPO [EPO-Fc, méthoxy polyéthylène glycolépoétine béta (CERA)];

Agents mimétiques de l’EPO et leurs dérivés par ex. CNTO-530 et péginesatide.

1.2 Agents activants du facteur inductible par l’hypoxie (HIF) par ex.

Argon;

Cobalt;

Molidustat;

Roxadustat (FG-4592);

Xénon.

1.3 Inhibiteurs de GATA, par ex.

K-11706.

1.4 Inhibiteurs du facteur transformateur de croissance-β (TGFβ), par ex.

Luspatercept;

Sotatercept.

1.5 Agonistes du récepteur de réparation innée, par ex.

Asialo-EPO;

EPO carbamylée (CEPO).

2. Hormones peptidiques et modulateurs hormonaux

2.1 Gonadotrophine chorionique (CG) et hormone lutéinisante (LH) et leurs facteurs de libération, par ex. buséréline, desloréline, gonadoréline, goséréline, leuproréline, nafaréline et triptoréline sont interdites chez le Sportif de sexe masculin;

2.2 Corticotrophines et leurs facteurs de libération par ex. corticoréline;

2.3 Hormone de croissance (GH), ses fragments et ses facteurs de libération incluant sans s’y limiter :

les fragments de l’hormone de croissance, par ex.

AOD-9604 et hGH 176-191;

l'hormone de libération de l’hormone de croissance (GHRH) et ses analogues, par ex.

CJC-1293, CJC-1295, sermoréline et tésamoréline;

les sécrétagogues de l’hormone de croissance (GHS), par ex.

ghréline et mimétiques de la ghréline, par ex.

anamoréline, ipamoréline et tabimoréline;

les peptides libérateurs de l’hormone de croissance (GHRPs), par ex.

alexamoréline, GHRP-1, GHRP-2 (pralmoréline), GHRP-3, GHRP-4, GHRP- 5, GHRP-6 et hexaréline

3. Facteurs de croissance et modulateurs de facteurs de croissance, incluant sans s’y limiter :

Facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGF);

Facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF);

Facteur de croissance analogue à l’insuline-1 (IGF-1) et ses analogues;

Facteur de croissance des hépatocytes (HGF);

Facteurs de croissance fibroblastiques (FGF);

Facteurs de croissance mécaniques (MGF);

Thymosine-β4 et ses dérivés, par ex. TB-500.

(23)

Tout autre facteur de croissance ou modulateur de facteur(s) de croissance influençant le muscle, le tendon ou le ligament, la synthèse/dégradation protéique, la vascularisation, l’utilisation de l’énergie, la capacité régénératrice ou le changement du type de fibre.

S3. BÊ TA-2 AGONISTES

Tous les bêta-2 agonistes sélectifs et non- sélectifs, y compris tous leurs isomères optiques, sont interdits.

Incluant sans s'y limiter : Fenotérol;

Formotérol;

Higénamine;

Indacatérol;

Olodatérol;

Procatérol;

Reprotérol;

Salbutamol;

Salmétérol;

Terbutaline;

Tulobutérol;

Vilantérol.

Sauf :

• le salbutamol inhalé : maximum 1600 microgrammes par 24 heures répartis en doses individuelles, sans excéder 800 microgrammes par 12 heures à partir de n’importe quelle prise;

• le formotérol inhalé : dose maximale délivrée de 54 microgrammes par 24 heures;

• le salmétérol inhalé : dose maximale 200 microgrammes par 24 heures.

La présence dans l’urine de salbutamol à une concentration supérieure à 1000 ng/mL ou de formotérol à une concentration supérieure à 40 ng/mL n’est pas cohérente avec une utilisation thérapeutique et sera considérée comme un résultat d’analyse anormal (RAA), à moins que le Sportif ne prouve par une étude de pharmacocinétique contrôlée que ce résultat anormal est bien la conséquence d’une dose thérapeutique (par inhalation) jusqu'à la dose maximale indiquée ci-dessus.

S4. MODULATEURS HORMONAUX ET MÉ TABOLIQUES

Les hormones et modulateurs hormonaux suivants sont interdits :

1. Inhibiteurs d’aromatase, incluant sans s’y limiter :

4-Androstène-3,6,17 trione (6-oxo);

Aminoglutéthimide;

Anastrozole;

Androsta-1,4,6-triène-3,17-dione (androstatriènedione);

Androsta-3,5-diène-7,17-dione (arimistane);

Exémestane;

Formestane;

Létrozole;

Testolactone.

2. Modulateurs sélectifs des récepteurs aux oestrogènes (SERM), incluant sans s’y limiter : Raloxifène;

Tamoxifène;

Torémifène.

3. Autres substances anti-oestrogéniques, incluant sans s’y limiter :

Clomifène;

Cyclofénil;

Fulvestrant.

4. Agents modificateurs de(s) la fonction(s) de la myostatine, incluant sans s’y limiter : les inhibiteurs de la myostatine.

(24)

5. Modulateurs métaboliques :

5.1 Activateurs de la protéine kinase activée par l’AMP (AMPK), par ex. AICAR, SR9009; et agonistes du récepteur activé par les proliférateurs des péroxysomes δ (PPARδ), par ex. acide 2-(2-méthyl-4-((4- méthyl-2-(4-

(trifluorométhyl)phényl)thiazol-5-

yl)méthylthio)phénoxy) acétique (GW 1516, GW501516);

5.2 Insulines et mimétiques de l’insuline;

5.3 Meldonium;

5.4 Trimétazidine.

S5. DIURÉ TIQUES ET AGENTS MASQUANTS

Les diurétiques et agents masquants suivants sont interdits, ainsi que les autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s).

Incluant sans s’y limiter :

• Desmopressine; probénécide; succédanés de plasma, par ex. l’administration intraveineuse d’albumine, dextran, hydroxyéthylamidon et mannitol.

• Acétazolamide; amiloride; bumétanide;

canrénone; chlortalidone; acide étacrynique;

furosémide; indapamide; métolazone;

spironolactone; thiazides, par ex.

bendrofluméthiazide, chlorothiazide et hydrochlorothiazide; triamtérène et vaptans, par ex. tolvaptan.

Sauf :

• la drospirénone; le pamabrome; et l’administration ophtalmique des inhibiteurs de l’anhydrase carbonique (par ex. dorzolamide, brinzolamide);

• L’administration locale de la félypressine en anesthésie dentaire.

La detection dans l’échantillon du Sportif en permanence ou en compétition, si applicable, de n’importe quelle quantité des substances qui suivent étant soumises à un niveau seuil : formotérol, salbutamol, cathine, éphédrine, méthyléphédrine et pseudoéphédrine, conjointement avec un diurétique ou un agent masquant, sera considéré comment un résultat d’analyse anormal (RAA) sauf si le Sportif a une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT) approuvée pour cette substance, outre celle obtenue pour le diurétique ou l’agent masquant.

(25)

MÉ THODES INTERDITES

M1. MANIPULATION DE SANG OU DE COMPOSANTS SANGUINS

Ce qui suit est interdit :

1. L’Administration ou réintroduction de n’importe quelle quantité de sang autologue, allogénique (homologue) ou hétérologue ou de globules rouges de toute origine dans le système circulatoire.

2. L’amélioration artificielle de la consommation, du transport ou de la libération de l’oxygène.

Incluant, sans s’y limiter :

Les produits chimiques perfluorés; l’éfaproxiral (RSR13);

et les produits d’hémoglobine modifiée, par ex.

les substituts de sang à base d’hémoglobine et les produits à base d’hémoglobines réticulées, mais excluant la supplémentation en oxygène par inhalation.

3. Toute manipulation intravasculaire de sang ou composant(s) sanguin(s) par des méthodes physiques ou chimiques.

M2. MANIPULATION CHIMIQUE ET PHYSIQUE

Ce qui suit est interdit :

1. La falsification, ou la tentative de falsification, dans le but d’altérer l’intégrité et la validité des échantillons recueillis lors du contrôle du dopage.

Incluant, sans s’y limiter :

La substitution et/ou l’altération de l’urine, par ex. protéases.

2. Les perfusions intraveineuses et/ou injections d’un total de plus de 100 mL par période de 12 heures, sauf c elles reçues légitimement dans le cadre de traitements hospitaliers, de procédures chirurgicales ou lors d’examens diagnostiques cliniques.

M3. DOPAGE GÉ NÉ TIQUE

Ce qui suit, ayant la capacité potentielle d’améliorer la performance sportive, est interdit :

1. L’utilisation de polymères d’acides nucléiques ou d’analogues d’acides nucléiques;

2. L'utilisation d'agents d'édition génomique conçus pour modifier les séquences génomiques et/ou la régulation transcriptionnelle ou épigénétique de l'expression des gènes.

3. L’utilisation de cellules normales ou génétiquement modifiées.

(26)

SUBSTANCES ET MÉ THODES INTERDITES EN PERMANENCE

OUTRE LES CATÉ GORIES S0 À S5 ET M1 À M3 DÉ FINIES CI-DESSUS, LES CATÉ GORIES SUIVANTES SONT INTERDITES EN COMPÉ TITION :

SUBSTANCES INTERDITES

S6. STIMULANTS

Tous les stimulants, y compris tous leurs isomères optiques, par ex. d- et l- s’il y a lieu, sont interdits.

Les stimulants incluent : a : Stimulants non spécifiés :

Adrafinil;

Amfépramone;

Amfétamine;

Amfétaminil;

Amiphénazol;

Benfluorex;

Benzylpipérazine;

Bromantan;

Clobenzorex;

Cocaïne;

Cropropamide;

Crotétamide;

Fencamine;

Fénétylline;

Fenfluramine;

Fenproporex;

Fonturacétam [4-phenylpiracétam (carphédon)];

Furfénorex;

Lisdexamfétamine;

Méfénorex;

Méphentermine;

Mésocarb;

Métamfétamine (d-);

p-Méthylamphétamine;

Modafinil;

Norfenfluramine;

Phendimétrazine;

Un stimulant qui n’est pas expressément nommé dans cette section est une substance spécifiée.

b : Stimulants spécifiés.

Incluant sans s’y limiter :

1,3-Diméthylbutylamine;

4-Méthylhexan-2-amine (méthylhexaneamine);

Benzfétamine;

Cathine**;

Cathinone et ses analogues, par ex. méphédrone, méthédrone et α- pyrrolidinovalerophénone;

Diméthylamphétamine;

Éphédrine***;

Epinéphrine**** (adrénaline);

É tamivan;

É tilamfétamine;

É tiléfrine;

Famprofazone;

Fenbutrazate;

Fencamfamine;

Heptaminol;

Hydroxyamphétamine (parahydroxyamphétamine);

Isométheptène;

Levmétamfétamine;

Méclofénoxate;

Méthylènedioxyméthamphétamine;

Méthyléphedrine***;

Méthylphénidate;

Nicéthamide;

Norfénefrine;

Octopamine;

Oxilofrine (méthylsynéphrine);

Pémoline;

Pentétrazol;

(27)

Propylhexédrine;

Pseudoéphédrine*****;

Sélégiline;

Sibutramine;

Strychnine;

Tenamfétamine (méthylènedioxyamphétamine);

Tuaminoheptane;

et autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s).

Sauf :

• Clonidine;

• Les dérivés de l’imidazole en application topique/ ophtalmique et les stimulants figurant dans le Programme de surveillance 2018*.

* Bupropion, caféine, nicotine, phényléphrine, phénylpropanolamine, pipradrol et synéphrine : ces substances figurent dans le Programme de surveillance 2018 et ne sont pas considérées comme des substances interdites.

** Cathine : interdite quand sa concentration dans l’urine dépasse 5 microgrammes par millilitre.

*** Ephédrine et méthyléphédrine : interdites quand leurs concentrations respectives dans l’urine dépassent 10 microgrammes par millilitre.

**** Epinéphrine (adrénaline) : n’est pas interdite à l’usage local, par ex. par voie nasale ou ophtalmologique ou co-administrée avec les anesthésiques locaux.

***** Pseudoéphédrine : interdite quand sa concentration dans l’urine dépasse 150 microgrammes par millilitre.

S7. NARCOTIQUES

Les narcotiques suivants sont interdits : Buprénorphine;

Dextromoramide;

Diamorphine (héroïne);

Fentanyl et ses dérivés;

Hydromorphone;

Méthadone;

Morphine;

Nicomorphine;

Oxycodone;

Oxymorphone;

Pentazocine;

Péthidine.

S8. CANNABINOÏDES

Les cannabinoïdes suivants sont interdits :

• Cannabinoïdes naturels, par ex. cannabis, haschisch, et marijuana.

• Cannabinoïdes synthétiques par ex. Δ9- tétrahydrocannabinol (THC) et autres cannabimimétiques.

Sauf :

• Cannabidiol

S9. GLUCOCORTICOÏDES

Tous les glucocorticoïdes sont interdits lorsqu'ils sont administrés par voie orale, intraveineuse, intramusculaire ou rectale.

Incluant sans s’y limiter : Bétaméthasone;

Budésonide;

Cortisone;

Deflazacort;

Dexaméthasone;

Fluticasone;

Hydrocortisone;

Méthylprednisolone;

Prednisolone;

Prednisone;

Triamcinolone.

(28)

SUBSTANCES INTERDITES DANS CERTAINS SPORTS

P1. BÊ TABLOQUANTS

Les bêtabloquants sont interdits en compétition seulement, dans les sports suivants et aussi interdits hors-compétition si indiqué.

• Automobile (FIA)

• Billard (toutes les disciplines) (WCBS)

• Fléchettes (WDF)

• Golf (IGF)

• Ski (FIS) pour le saut à skis, le saut freestyle/halfpipe et le snowboard halfpipe/big air

• Sports subaquatiques (CMAS) pour l’apnée dynamique avec ou sans palmes, l’apnée en immersion libre, l’apnée en poids constant avec ou sans palmes, l’apnée en poids variable, l’apnée Jump Blue, l’apnée statique, la chasse sous-marine et le tir sur cible.

• Tir (ISSF, IPC)*

• Tir à l’arc (WA)*

* Aussi interdit hors-compétition Incluent sans s’y limiter :

Acébutolol;

Alprénolol;

Aténolol;

Bétaxolol;

Bisoprolol;

Bunolol;

Cartéolol;

Carvédilol;

Céliprolol;

Esmolol;

Labétalol;

Lévobunolol;

Métipranolol;

Métoprolol;

Nadolol;

Sotalol;

Timolol.

(29)

Références

Documents relatifs

Après le Musée Olympique de Lausanne en 1996, partenaire de cette exposition, c'est autour de la Mairie de Paris de la recevoir pendant trois mois – dans sa version complète

Fédération Internationale de Bobsleigh et de Tobogganing 37, rue Decamps, Paris (France).. Fédération Internationale de

Votre pays a-t-il signé des accords avec d’autres organisations antidopage (OAD) ou des accords en matière de lutte contre le dopage avec toute autre organisation ou Etat concernant

The Paris 2012 vision for the Olympic Games has been developed in partnership with the planning authorities of the City of Paris, the French government and the Ile-de-France Region -

Chamonix 1924 : les vrais-faux Ier Jeux olympiques d’hiver L’idée d’inclure des sports d’hiver aux Jeux Olympiques refit surface lors du VIIe Congrès Olympique en

Aucun contenu olympique (y compris sa disponibilité dans le cadre d’une émission d’information) ne pourra être annoncé, commercialisé ou promu sur une plateforme quelconque, que

Autres sujets couverts par le fonds : guides pour les chefs de mission, correspondance avec les CNO, Congrès scientifique international sport et montagne, relais de la

Ces évo- lutions impliquent à la fois une amélioration des pro- cessus de détection employés dans les laboratoires de contrôle antidopage, mais aussi une extension du concept