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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Fiche d’activité 2 : II- Des violences extrêmes

Comment cette « explosion » de violence est-elle organisée durant la 2nde Guerre mondiale ? Quelles formes prennent-elles ?

Capacités : Se documenter, travailler de manière autonome, collaborer ; adopter une démarche historique et critique, justifier ses choix ; utiliser les ressources numériques et produire des ressources numériques pertinente ; développer l’oral

Consigne : Vous devenez les professeurs d’HGGSP et devez réaliser, en binôme, un exposé sur les violences subies et exercées

durant la 2

nd

Guerre mondiale. L’objectif étant de mettre en avant la spécificité de ce conflit au regard des violences extrêmes et multiples exercées de toute part.

Vous exposerez votre travail à l’oral durant 5 à 6 min (un diaporama est conseillé).

Vous déposerez une

synthèse

sur le padlet (sur le site clioetgaia972) ou à l’adresse :

https://padlet.com/cliogaia972/6g1xkopqr5rumb74

L’exposé et la synthèse doivent être structurés à la manière d’une réponse à une question problématisée : intro, développement et conclusion.

Chaque binôme doit proposer 3 questions sur son sujet en vue du QCM final.

IMPORTANT : SEULS LES GROUPES EN PRESENTIEL PASSERONT L’ORAL.

Des ressources documentaires sont disponibles sur cette fiche d’activité et sur le padlet :

https://padlet.com/emilie_dagorne/8ehzfrmoisyjvpo8

N’hésitez pas à les compléter en déposant vos résultats de recherches sur le padlet :

https://padlet.com/emilie_dagorne/8ehzfrmoisyjvpo8

Thèmes à traiter et à exposer : Groupe 1 : Le massacre de Katyn

Sujet : En quoi le massacre de Katyn est-il représentatif d’une guerre d’anéantissement ? Groupe 1 : Les violences subies par les civils sur le front oriental

Sujet : Montrez que le front oriental devient le théâtre d’une guerre d’anéantissement où les civils sont en 1

ère

ligne.

Groupe 3 : Les violences exercées par les Einsatzgruppen

Sujet : Montrez le rôle joué par les Einsatzgruppen dans l’avancée des nazis sur le front oriental ? Groupe 4 : Les violences exercées par le Japon durant la 2

nde

Guerre mondiale

Sujet : Quelles formes prennent les violences perpétrées par le Japon durant la guerre ? Groupe 5 : Les violences liées aux bombardements nucléaires sur Hiroshima et Nagasaki.

Sujet : Comment les Etats-Unis justifient-ils ces bombardements ? Quelles en sont les conséquences politiques et humaines ?

Groupe 6 : Le génocide tzigane

Sujet : Comment les Tziganes ont-ils été persécutés et exterminés durant la 2

nde

Guerre mondiale par les nazis ?

Groupe 7 : La Shoah

Sujet : Comment le régime nazi a-t-il organisé le génocide de millions de juifs européens ?

(2)

Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Groupe 1 : Le massacre de Katyn

Sujet : En quoi le massacre de Katyn est-il représentatif d’une guerre d’anéantissement ?

Membres du groupe : ……….

A consulter :

https://www.franceculture.fr/emissions/le- journal-de-lhistoire/1940-lenigme-du-massacre- de-katyn

A visionner et à consulter :

https://www.france24.com/fr/20100407-le- massacre-katyn-crime-guerre-passe-sous-silence- pendant-50-ans

A visionner : https://www.ina.fr/contenus- editoriaux/articles-editoriaux/1943-katyn-des- images-historiques/

A visionner : https://www.ina.fr/video/4166623001020/massacre-de-katyn-video.html

Groupe 2 : Les violences subies par les civils sur le front oriental

Sujet : Montrez que le front oriental devient le théâtre d’une guerre d’anéantissement où les civils sont en 1

ère

ligne.

Membres du groupe :……….

Manuel doc.2 p.93 Document : Des crimes de guerre (Magnard p.87)

Document : Infirmières portant secours à des blessés touchés lors des bombardements de Leningrad (8 sept. 1941)

L’URSS et les prisonniers polonais (Nathan p.96)

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue Document : Anéantir l’adversaire (Nathan p.96)

Document : Le siège de Leningrad et les conséquences pour ses habitants

Le 27 janvier 1944 le très long blocus de l'ancienne capitale des tsars -par l'Allemagne nazie- prenait fin. Retour sur ce dramatique épisode de la Seconde Guerre mondiale.

Il y a 75 ans la ville de Leningrad, assiégée par les armées allemandes et finlandaises était libérée par les troupes de l'Armée rouge. En dépit de douloureuses années de souffrance pour la population, la ville n'a jamais capitulé. Tour d'horizon de ce blocus historique et dramatique en quelques chiffres.

22 juin 1941 : l'opération Barbarossa : Ce jour-là l'offensive allemande contre l'Union soviétique est lancée -en dépit du pacte de non-agression germano-russe signé en août 1939.

L'opération Barbarossa

comprend trois attaques dont une à l'Est vers Leningrad: l'opération Nordlicht («aurores boréales»). La ville doit être «rasée de la surface de la terre» selon les ordres d'Hitler. […] Les trois quarts de Leningrad sont encerclés.

2,5 millions d’habitants : À la veille du conflit, l'ancienne capitale des Tsars (Saint-Pétersbourg) compte 2,5 millions d'habitants -dont 400.000 enfants. Hitler cible la deuxième ville de l'Union soviétique (après Moscou), le berceau de la Révolution. Il veut empêcher la population de sortir de la cité -pour ne pas avoir à la nourrir- et l'affamer. Afin de ne pas être perçu comme du défaitisme, l'évacuation des civils n'est pas organisée avant le siège, malgré la progression des troupes de la Wehrmacht. La quasi-totalité de la population se retrouvera prise au piège [le 8 septembre 1941]. […]

80% de raids aériens allemands : Entre septembre et novembre 1941, 80% des raids aériens allemands sont réalisés sur Leningrad -les bombardements ont pour but d'épuiser la défense et d'obliger la ville à se rendre. Ainsi au 31 décembre 1941 ont été lâchés sur la ville : 3.295 bombes explosives, 99.717 bombes incendiaires et 30.154 obus d'artillerie. Les cibles principales sont les entrepôts de stockages, les hangars à provisions, la centrale au sud de la ville, une réserve d'essence, une laiterie, une usine à beurre...

125 grammes de pain : […] Pour la période de l'ensemble de la durée du siège le rationnement est revu à la baisse cinq fois. Il est particulièrement draconien en novembre 1941 : 125 grammes de pain pour les non-travailleurs et les enfants et 250 pour les travailleurs. […] La population souffre dramatiquement de la faim durant l'hiver 1941-1942. […] Lorsqu'il n'y a plus de viande, les chiens et les chats sont mangés dans un premier temps puis ce sont des actes de cannibalisme qui sont commis. Mais il s'agit principalement de vols de chair humaine sur des cadavres et non de meurtres perpétrés pour se nourrir. La censure soviétique interdira longtemps de parler des horreurs du siège, dont le cannibalisme

- 38°Celsius : Avec la faim, c'est le froid qui est particulièrement meurtrier. L'hiver 1941 est glacial : les températures descendent à -38°Celsius à Leningrad. La population a des difficultés à se chauffer : elle brûle tout ce qu'elle peut -déclenchant parfois des incendies.

270 000 tonnes de nourritures : C'est la quantité de denrées qui a pu être acheminée via le lac Ladoga fin 1941 -mais elle est malheureusement insuffisante au vu des besoins réels pour subvenir à la population globale. 90 0000 tonnes de combustibles sont également arrivées à Leningrad, qui en manquait cruellement. […]

872 jours de blocus : L'offensive « Leningrad-Novgorod» des troupes de l'Armée rouge est lancée le 14 janvier 1944. […] Et deux jours plus tard Leningrad est officiellement libérée. C'est la fin de 872 jours de blocus -l'un des plus long de l'époque moderne pour une ville aux moments des faits.

1 million de morts :On estime à environ 1 million de morts, les pertes pendant l'ensemble de la durée du siège. La faim et le froid sont les principales causes de mortalité des Leningradois, devant les bombardements. Dans les deux premiers mois de 1942, 96.000 civils trouvent la mort. À la fin du blocus il ne reste plus que 600.000 personnes dans la ville martyre.

V. Laroche-Signorile

, Le Figaro, « Le siège de Leningrad en 10 chiffres », 25 janvier 2019 - https://www.lefigaro.fr/histoire/2019/01/25/26001-20190125ARTFIG00267-le-siege-de-leningrad-en-10-chiffres.php

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Groupe 3 : Les violences exercées par les Einsatzgruppen

Sujet : Montrez le rôle joué par les Einsatzgruppen dans l’avancée des nazis sur le front oriental ?

Membres du groupe : ……….

Manuel doc.4 p.93

A consulter : https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/einsatzgruppen

Document : Le massacre des juifs par les Einsatzgruppen (Magnard p.88)

Document : L’avancée des Einsatzgruppen sur le front Est (juin 1941-nov. 1942) – (Hâtier p.82)

Document : Les massacres des Einsatzgruppen en Lituanie (1941) – (Hâtier p.83)

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Groupe 4 : Les violences exercées par le Japon durant la 2

nde

Guerre mondiale

Sujet : Quelles formes prennent les violences perpétrées par le Japon durant la guerre ?

Membres du groupe : ……….

A visionner : https://www.youtube.com/watch?v=e2XLYI7Vt1Q « témoignage d’une survivante des massacres de Nankin ».

Un Chinois enterré vivant durant les massacres de Nankin (1937)

Source : Magnard p.87 Document : Les massacres de Nankin (1937)

Au cours de l’automne et de l’hiver 1937, les troupes japonaises envahissant le centre de la Chine combattirent les troupes de défense chinoises avec une grande férocité. En décembre 1937, l’armée impériale japonaise parvint à Nankin, la capitale du gouvernement nationaliste. Peu avant que les Japonais n’arrivent, les troupes chinoises nationalistes défensives se retirèrent sans prévenir, laissant la ville sans défense. Pendant six semaines, de décembre 1937 à janvier 1938, les troupes japonaises perpétrèrent des atrocités à grande échelle, tuant plusieurs milliers de civils chinois, violant d’innombrables femmes, pillant et brûlant des propriétés. Alors que le nombre précis de morts est toujours un objet de polémique (les estimations d’historiens allant de plusieurs dizaines de milliers à deux ou trois cent mille), il est clair que l’un des pires crimes de guerre du 20e siècle prit place pendant cette courte période.

Mitter Rana, « Le massacre de Nankin. Mémoire et oubli en Chine et au Japon », Vingtième Siècle.

Revue d'histoire, 2007/2 (no 94), p. 11-23. DOI : 10.3917/ving.094.0011. URL : https://www.cairn- int.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2007-2-page-11.htm

Document : Madame Li, « preuve vivante » du massacre de Nankin

A 78 ans, elle est l’une des dernières survivantes des atrocités commises par les soldats japonais en 1937 dans l’ancienne capitale chinoise.

Nankin, alors capitale de la Chine, est tombé en décembre 1937, quelques mois après le début de l'invasion de la Chine par l'armée impériale nippone. Une occupation qui a duré jusqu'à la capitulation du Japon en août 1945. […] La tête inclinée, à l'aise dans son vieux costume gris, elle raconte ce matin du 19 décembre 1937, quand les soldats japonais ont fait irruption dans l'abri où elle se cachait depuis plusieurs jours avec 70 autres personnes. «Ces abris avaient été mis en place par les ambassades étrangères. Nous étions une quarantaine de femmes, la plupart étaient très jeunes. Les hommes s'occupaient du ravitaillement et sortaient souvent, car il n'y avait pas d'eau à l'intérieur. Nous nous croyions en sécurité.» Le récit est presque mécanique. Puis au fil de la conversation, la vieille dame s'agite, semble revivre les souffrances qui remontent. «Les Japonais ont d'abord emmené les hommes. Plus tard, ils sont revenus. Nous savions qu'ils allaient nous violer.» Enceinte de sept mois, Li, alors âgée de 19 ans, a voulu se tuer. Elle mime: «J'ai tapé ma tête contre le mur de pierre et j'ai fini par m'évanouir.» 37 coups de couteau. Laissée pour morte, la jeune Li y a réchappé une première fois. Mais de nouveau, des soldats sont venus l'après-midi. «Ils étaient trois. L'un d'entre eux a fait sortir les autres et s'est rué aussitôt sur moi pour m'arracher mes vêtements. Mon chandail était très serré.» Un sourire pudique glisse sur son visage, à l'évocation de la jeune fille qu'elle était. Puis elle se redresse.

«Alors, avec toute ma rage, je me suis battue. Je l'ai mordu, griffé au visage, il était en sang. J'ai même réussi à lui prendre son couteau. Mais les deux autres ont fini par venir à son secours.» Et puis l'horreur. «Ils m'ont battue à coups de couteau.

J'ai reçu 37 coups de lame. D'abord aux jambes.» Elle montre ses jambes. «Ensuite au visage. Sur tout le visage.» Alors, elle vous prend la main pour tâter ses joues. Elle sait que les rides ont aujourd'hui quasiment recouvert les stigmates de son calvaire. Elle ne dira pas si les soldats ont abusé d'elle.

F. AMAOUA, Libération, « Madame Li, « preuve vivante » du massacre de Nankin », 26 août 1997 - https://www.liberation.fr/planete/1997/08/28/madame-li-preuve-vivantedu-massacre-de-nankin-a-78-ans-elle-est-l-une-des-dernieres- survivantes-des-_212259

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue Document : Témoignage d’un ancien membre japonais de l’unité 731 à Harbin (Mandchourie)

Ancien membre de l'Unité 731, Yoshio Shinozuka,72 ans, […] est l'un des très rares repentis qui acceptent aujourd'hui de témoigner sur les horreurs commises par l'armée japonaise en Chine.

Comment vous êtes-vous retrouvé membre de l'Unité 731 ?

A l'âge de 16 ans, en avril 1939, je me suis engagé dans l'armée impériale et j'ai rejoint l'unité des jeunes soldats. J'ai été affecté à l'Ecole médicale de l'armée, située à Toyama, dans le quartier de Shinjuku à Tokyo. Au moment de sa destruction en 1989, des ossements d'une centaine de corps, dont beaucoup portaient des traces de sévices, ont été découverts.

Le laboratoire spécialisé dans la recherche bactériologique et la prévention des maladies était dirigé par un éminent bactériologiste, Shiro Ishii. C'est lui qui a créé en 1935 l'Unité 731. Il a recruté surtout des jeunes, entre 16 et 18 ans. J'ai été presque aussitôt muté à Harbin, en Manchourie, où était installé le quartier général de la très secrète Unité 731. A l'époque, elle ne s'appelait d'ailleurs pas ainsi. Officiellement, il s'agissait du département spécialisé dans la prévention des épidémies et l'approvisionnement en eau des troupes japonaises. Plus tard, on l'appellera Unité Ishii, Unité Kamo et enfin Unité 731.

[…]

Quand avez-vous compris ce qui se passait ?

Peu à peu, les choses sont devenues plus claires. Au sein du camp, il y avait plusieurs départements. Les deux bâtiments où se pratiquaient des expériences bactériologiques sur des prisonniers étaient très protégés. […] J'ai su plus tard que ces solutions contenaient des bactéries comme le typhus, le choléra ou la dysentrie. […]

Avez-vous personnellement pris part à ces expériences ?

En juillet 1941, j'ai été admis dans l'équipe chargée de la culture des virus. Le salaire mensuel des membres de l'Unité était de 43 yens par mois. Le nôtre était de 25 yens supérieur. Nous devions tester les réactions sur les animaux et pratiquer des vivisections. Puis, dès l'année 1942, on m'a fourni le laissez-passer pour pénétrer à l'intérieur des fameux bâtiments 7 et 8, où étaient détenus les prisonniers. Nous les avons soumis aux mêmes expériences que les animaux... en les exposant à des projectiles chargés de bactéries. Nous analysions les réactions et nous testions toutes sortes de vaccins.

F. AMAOUA, Libération, « Souvenirs d'un tortionnaire repenti. Yoshio Shinozuka testait les armes biologiques sur des détenus », 16 août 1995 -

https://www.liberation.fr/planete/1995/08/16/souvenirs-d-un-tortionnaire-repenti-

yoshio-shinozuka-testait-les-armes-biologiques-sur-des-detenus_141315

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Groupe 5 : Les violences liées aux bombardements nucléaires sur Hiroshima et Nagasaki.

Sujet : Comment les Etats-Unis justifient-ils ces bombardements ? Quelles en sont les conséquences politiques et humaines ?

Membres du groupe : ……….

Manuel docs. 1 et 2 p.88

A visionner : Les bombardements d’Hiroshima et Nagasaki www.youtube.com/watch?v=HSdIvohwEwA

A visionner : Le récit d’Hibakusha (survivants des bombardements nucléaires sur le Japon)

https://www.ina.fr/video/2893690001020

Groupe 6 : Le génocide tzigane

Sujet : Comment les Tziganes ont-ils été persécutés et exterminés durant la 2

nde

Guerre mondiale par les nazis ?

Membres du groupe : ……….

Manuel doc.1 p.94 (plan d’Auschwitz)

A écouter : Le génocide des Tziganes : https://www.franceculture.fr/emissions/les-nouveaux-chemins-de-la- connaissance/du-revisionnisme-au-negationnisme-44-la-maison-des

A consulter : https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/genocide-of-european-roma-gypsies-1939-1945 Document : Les Tziganes à Auschwitz (Hâtier p.86)

Document : La capitulation du Japon1 (Magnard p.91)

Document Estimations (basses) du nombre de Tsiganes exterminés entre 1939 et 1945

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Séquence réalisée conjointement par C. CHAMMAS, O. COUVREUR, E. DAGORNE et F. JANNAS– LGT de Bellevue

Groupe 7 : La Shoah

Sujet : Comment le régime nazi a-t-il organisé le génocide de millions de juifs européens ?

Membres du groupe : ……….

Manuel

docs.1 et 3 p.94

A consulter : https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/introduction-to-the-holocaust?series=100

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/nazi-camps?series=100

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/deportations-to-killing-centers

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Le système concentrationnaire nazi en Europe de l’Est (Nathan p.99) La « solution finale de la question juive » (Nathan p.98)

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