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Texte intégral

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LES FEMMES ENTREPRENEURS À LA TÊTE DE PME :

Pour une participation dynamique à la mondialisation et à l’économie fondée sur le savoir

Paris, 29 – 30 novembre 2000

QUESTIONS À EXAMINER Atelier N° 2

Accroître la participation des femmes entrepreneurs au commerce international et à l’économie mondiale : technologies et

partenariats

Préparé par le Secrétariat de l’OCDE

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FAITS SAILLANTS

1. Rehausser le potentiel d’exportation d’une entreprise est une étape importante dans l’internationalisation de ses activités et sa participation active à l’économie mondiale. On observe toutefois que les entreprises dirigées par des femmes commencent seulement à prendre part aux échanges internationaux et aux autres aspects de la mondialisation, ce qui peut les empêcher de réaliser pleinement leur potentiel dans le commerce, l’investissement et les réseaux d’ouverture des marchés. Comme l’augmentation du nombre d’entreprises dirigées par des femmes est plus rapide que l’augmentation du nombre d’entreprises qui se créent globalement dans certains pays, et comme la mondialisation est porteuse de défis fondamentaux mais aussi de possibilités pour un nombre grandissant d’entreprises, les pouvoirs publics accordent maintenant une grande importance aux résultats des entreprises dirigées par des femmes au regard de la mondialisation.

2. Il est difficile de déterminer dans quelle mesure les femmes entrepreneurs participent actuellement aux échanges internationaux (en tant qu’exportateurs et importateurs) dans les différents pays du monde, ou à quel point elles se heurtent à des obstacles particuliers dans ce domaine. Des études ad hoc réalisées dans différents pays semblent indiquer des niveaux variables de participation internationale des entreprises dirigées par des femmes. Il n’existe pas, toutefois, d’études générales et les statistiques sur la participation au commerce international des PME dirigées par des hommes et de celles qui sont dirigées par des femmes sont très incomplètes. Le secteur des services, qui constitue aujourd’hui le plus grand secteur de l’économie mondiale et représente une proportion croissante du commerce mondial, et dans lequel on trouve un grand nombre d’entreprises dirigées par des femmes, souffre particulièrement de problèmes statistiques et de sous-notification.

3. Par ailleurs, il apparaît que la participation des femmes entrepreneurs à d’autres formes de coopération internationale, telles que l’investissement direct étranger (IDE), les co-entreprises et les alliances stratégiques, a été limitée. En revanche, le progrès des nouvelles technologies, et plus particulièrement les technologies de l’information et des communications (TIC), offre de nouvelles possibilités qui pourraient modifier fondamentalement le rôle des entreprises dirigées par des femmes dans le processus de mondialisation. Il importe d’arriver à mieux comprendre les forces et les faiblesses, ainsi que les possibilités et les risques, dans ces domaines, et leurs conséquences pour les responsables de l’action gouvernementale, les entreprises et les autres acteurs qui y interviennent.

4. Le présent document sur les questions à examiner a pour objet de donner un aperçu de l’évolution actuelle de la participation des femmes entrepreneurs aux échanges internationaux et de déterminer les domaines d’intervention future des divers acteurs. Il examine quelques-unes des possibilités que les nouvelles technologies et les réseaux/partenariats offrent aux entreprises dirigées par des femmes pour l’internationalisation, ainsi que les difficultés, les obstacles et les problèmesrencontrés. Il s’agit de soulever des questions pertinentes et de stimuler le débat lors de l’atelier et, finalement, de contribuer à la formulation de recommandations.

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Questions à examiner :

Dans quelle mesure les femmes entrepreneurs ont-elles internationalisé leurs entreprises par le biais des échanges ?

Quelles sont les forces et les faiblesses particulières des entreprises dirigées par des femmes dans d’autres types d’activité internationale telles que l’IDE et les alliances stratégiques ? Peut-on déceler de nouvelles tendances dans la participation des entreprises dirigées par des femmes à l’économie mondiale ?

Quelles sont les conséquences des nouvelles technologies et des changements dans l’organisation pour les entreprises dirigées par des femmes dans le commerce et la mondialisation ?

Les difficultés de l’internationalisation des entreprises dirigées par des femmes

5. En général, les petites entreprises sont relativement dépendantes des ressources et des marchés locaux, et moins à même que les grandes de profiter des économies d’échelle et d’autres avantages liés à la taille qui jouent un rôle important dans les échanges internationaux. Cela vaut pour beaucoup d’entreprises dirigées par des femmes, qui peuvent aussi se heurter à des obstacles supplémentaires liés aux caractéristiques de leurs activités ou au fait qu’il s’agit de femmes.

6. Les femmes entrepreneurs sont confrontées à un certain nombre de difficultés en matière d’internationalisation et de participation à l’économie mondiale. En premier lieu, leurs stratégies commerciales peuvent être particulièrement opposées à la prise de risques en ce qui concerne certaines dimensions internationales, et il y a plusieurs explications à ce phénomène. Cela peut être dû à un manque d’expérience préalable en matière de gestion d’entreprise ; par exemple, s’il est tout à fait clair que les carrières internationales dans les grandes entreprises préparent les hommes et les femmes à la fonction de chef d’entreprise dans un contexte mondial, le nombre de femmes occupant des postes de gestion de haut niveau comportant une dimension internationale reste très faible.

7. Les difficultés d’obtention du financement nécessaire pour investir sont aussi un obstacle majeur à l’internationalisation, et les femmes sont peut-être particulièrement touchées à cet égard. Par exemple, faut de nantissement, en raison des secteurs dans lesquels elles opèrent (les services et la petite distribution), ou pour d’autres raisons, les femmes entrepreneurs peuvent, dans certains cas, avoir des difficultés particulières d’accès aux financements et aux garanties nécessaires pour exporter.

8. Une autre grande difficulté tient aux asymétries de l’information, qui entravent considérablement la prise en charge de frais fixes sur les marchés étrangers. L’importance dans réseaux pour accéder aux marchés étrangers est maintenant bien établie ; pourtant, les femmes sont souvent mises à l’écart de ces réseaux dominés principalement par les hommes. Les hommes entrepreneurs ont depuis longtemps accès à des associations, des réseaux et des clubs (clubs d’entreprises, sociaux ou sportifs) où ils discutent affaires et négocient des transactions. Les femmes entrepreneurs ont toujours été exclues de ces réseaux

« d’anciens » influents et des réseaux informels qui facilitent tant l’internationalisation des activités. Par ailleurs, les femmes entrepreneurs n’ont pas toujours la même facilité d’accès aux marchés publics ou des sociétés, tant au plan national qu’au plan international.

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la fonction d’entrepreneur. Cette situation est peut-être imputable à des déséquilibres dans les processus d’éducation, de formation et de socialisation, qui n’offrent peut-être pas des chances égales aux filles et aux garçons dans les domaines d’études ou qui encouragent peut-être, directement ou indirectement, les garçons à choisir certaines filières et les filles d’autres.

10. Le fait que les femmes sont généralement moins portées sur la science et la technologie a une incidence non seulement sur les secteurs dans lesquels elles lancent leur entreprise, mais aussi sur l’utilisation des nouvelles technologies dans la gestion de leurs activités. Outre le manque d’information ou la connaissance limitée des avantages potentiels de ces technologies, il y a d’autres facteurs qui rendent difficile l’adoption et l’utilisation des TIC, notamment les coûts et la qualité de l’infrastructure de réseau, les exigences d’assimilation des progrès technologiques incessants, et une insuffisance de compétences techniques et de gestion.

Questions à examiner :

Les entreprises dirigées par des femmes sont-elles confrontées à des difficultés particulières en matière d’internationalisation de leurs activités ?

Les entreprises dirigées par des femmes dans des pays et des secteurs d’activité différents rencontrent- elles les mêmes difficultés en matière d’internationalisation ?

Dans quelle mesure ces obstacles compromettent-ils la viabilité et le potentiel de croissance des entreprises dirigées par des femmes ?

Surmonter les obstacles à l’internationalisation des entreprises dirigées par des femmes : technologies et partenariats

Technologies de l’information et des communications (TIC)

11. Dans l’économie mondiale d’aujourd’hui, les échanges, l’IDE, les alliances stratégiques et autres formes d’internationalisation sont essentiels pour profiter des avantages de la mondialisation, et les TIC offrent de nombreuses possibilités à cet égard. La technologie et les systèmes d’information modifient radicalement la gestion des petites entreprises. L’application des nouvelles technologies aide à offrir des conditions d’exercice égales aux grandes et aux petites entreprises et permet à davantage d’entreprises de se développer et de s’internationaliser. Le commerce électronique et mobile et l’Internet sont de plus en plus importants pour les entreprises nouvelles et celles qui sont déjà en place, pour les aider à innover, à améliorer leurs produits, leurs production et leurs services, à développer leurs marchés et à devenir plus dynamiques.

12. L’utilisation des TIC dans les activités quotidiennes des entreprises peut offrir des possibilités particulières pour les entreprises dirigées par des femmes, en particulier pour surmonter les obstacles liés au fait qu’il s’agit de femmes et aux caractéristiques de l’entreprise, notamment la taille et les secteurs dans lesquels elles opèrent, mais aussi leur situation géographique. Le commerce international de services, un secteur où est concentrée la majorité des entreprises dirigées par des femmes, se développe en proportion du PIB mondial, en grande partie du fait du progrès des technologies permettant la fourniture de ces services sur les marchés étrangers. Le commerce électronique et mobile peut réduire l’importance du lieu d’implantation et de la distance pour la commercialisation et la vente, et pour la fourniture de produits et de services, ainsi que les coûts élevés qu’implique une localisation stratégique. Les TIC accroissent aussi les possibilités de gains d’efficience par la sous-traitance, et d’autres formes de réorganisation de la chaîne de

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l’offre ; cela vaut peut-être tout particulièrement pour les femmes entrepreneurs qui cherchent à établir des formes de coopération internationale tells que l’IDE et les alliances stratégiques.

13. Les TIC peuvent aussi aider les femmes entrepreneurs à travailler avec plus de flexibilité et, par conséquent, à mieux équilibrer leur « double charge » de responsabilités familiales et professionnelles.

Elles peuvent aussi les aider à surmonter la discrimination dont elles font parfois l’objet dans la conduite de leurs activités ; de plus en plus de transactions s’effectuant « en ligne », il est plus facile d’évaluer la qualité des projets, des produits et des services sans être influencé (consciemment ou inconsciemment) par le fait que le chef d’entreprise est un homme ou une femme.

14. Par ailleurs, les nouvelles technologies, plus tournées vers le grand public, contribuent à faciliter l’accès aux TIC, ce qui aide à réduire les frais fixes de l’internationalisation. Par exemple, les fournisseurs de services d’applications sur l’Internet peuvent améliorer l’accès aux marchés étrangers à un coût réduit pour l’investissement dans le logiciel. Les TIC peuvent aussi aider à réduire les obstacles à l’internationalisation qui sont liés à l’information, notamment en facilitant le développement de réseaux d’information pour le commerce, l’investissement étranger etc. (voir plus loin). Elles peuvent aussi servir pour l’apport de formation, par exemple l’apprentissage électronique des échanges internationaux, y compris l’acquisition de compétences, la formation transculturelle etc.

Questions à examiner :

Quelles possibilités les TIC offrent-elles aux entreprises dirigées par des femmes dans le domaine des échanges internationaux et d’autres types d’activités internationales ?

Quels sont les domaines les plus prometteurs pour le développement du commerce électronique par les PME dirigées par des femmes (par exemple, des segments entreprise-entreprise ou entreprise- consommateur, des secteurs particuliers, des maillons des chaînes de l’offre, des missions de commerce virtuel, etc.) ?

Que peut-on faire pour favoriser l’adoption et l’utilisation des nouvelles technologies par les entreprises dirigées par des femmes, et pour les amener à utiliser les TIC comme un instrument d’internationalisation ?

Réseaux/partenariats pour les femmes entrepreneurs dans le domaine du commerce

15. Les réseaux internationaux (en ligne et hors ligne) et les partenariats facilitent et encouragent l’internationalisation ; les chefs d’entreprise qui établissent et entretiennent des liens avec des homologues obtiennent généralement de meilleurs résultats que les autres. Il semble toutefois que les femmes entrepreneurs n’exploitent pas autant que les hommes les avantages de l’établissement de réseaux avec d’autres chefs d’entreprise opérant dans des secteurs analogues et à différents niveaux de la chaîne de l’offre de par le monde.

16. La formation de réseaux apporte de la valeur ajoutée en accroissant le flux d’informations. Il sert non seulement à échanger des informations et des expériences, mais aussi à accéder à la technologie et à faire mieux connaître les cultures d’entreprise sur les marchés étrangers. Les réseaux revêtent différentes

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d’exportation). Les réseaux de minorités ethniques qui commercent avec leur pays d’origine jouent un rôle important dans l’activité internationale dans certains pays.

17. Les partenariats public/privé peuvent aussi jouer un rôle important en aidant les entreprises à s’internationaliser. Les initiatives de partenariat qui existent actuellement dans différents pays couvrent tout un éventail d’activités visant à promouvoir l’internationalisation, par exemple des missions commerciales (réelles et virtuelles), des expositions commerciales virtuelles, des garanties et des crédits à l’exportation, des programmes de formation et l’accès à de nouvelles technologies, entre autres.

18. Les réseaux peuvent faciliter l’apprentissage accéléré et par échange mutuel d’expériences. Par ailleurs, les réseaux d’entreprises peuvent aider les entrepreneurs à innover, en leur permettant de redéfinir leurs relations avec les fournisseurs. Ils peuvent aussi permettre le partage des frais généraux et l’exploitation d’économies d’échelle spécifiques, inhérentes à l’action collective (l’achat groupé de biens intermédiaires, par exemple). De fait, une des principales motivations à l’origine de certains réseaux est que, en assurant la répartition interentreprises du travail, ils permettent aux entreprises d’atteindre une échelle efficiente dans des phases particulières du processus de production/commercialisation, ce qui permet de concurrencer efficacement des enteprises plus grandes. Ce type de coopération entre entreprises peut être particulièrement intéressant pour réduire les coûts et surmonter les difficultés liées à l’internationalisation des activités.

19. Les femmes entrepreneurs créent, de plus en plus, leurs propres réseaux, et elles s’intègrent davantage dans ceux qui existent déjà ; elles commencent aussi à former des associations virtuelles, des réseaux et des forums en ligne. On trouve des associations régionales, nationales et internationales de femmes entrepreneurs qui fournissent en particulier uns source importante d’information et de soutien aux entreprises embryonnaires, nouvelles, et établies, dirigées par des femmes. Les femmes constituent des associations afin d’accroître leurs possibilités d’accès à la technologie, de mieux se familiariser avec les cultures d’entreprise sur les marchés étrangers et d’accéder plus efficacement à ces marchés. Ces associations font aussi du mentorat et de la formation et catalysent le processus d’établissement de réseaux avec les responsables des marchés publics et des sociétés. Tout cela contribue à promouvoir une culture d’entreprise favorisant l’action des femmes et facilite le passage à l’activité internationale.

20. A bien égards, donc, les entreprises dirigées par des femmes sont peut-être en voie de surmonter les obstacles dans de nombreux domaines essentiels pour l’internationalisation. La capacité des femmes entrepreneurs de saisir les occasions offertes par les réseaux et les nouvelles technologies est déterminante pour leur capacité de croissance et d’internationalisation et d’accès à un rôle de premier plan dans l’économie mondiale.

Questions à examiner :

En quoi les réseaux, notamment les partenariats entre le secteur public et le secteur privé, contribuent- ils à faire prendre conscience des possibilités qu’offrent différentes formes de coopération internationale ?

Quelles nouvelles formes d’organisation interentreprises flexibles/novatrices peut-on développer afin d’abaisser les obstacles à l’internationalisation des entreprises dirigées par des femmes ?

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Recommandations d’action pour la suite

21. Cet atelier devrait déboucher sur des recommandations d’action visant à favoriser une participation accrue des entreprises dirigées par des femmes au commerce international et à l’économie mondiale.

Questions à examiner :

Quelles sont les mesures préconisées par les gouvernements, le secteur privé et la société civile afin de promouvoir la participation des entreprises dirigées par des femmes au commerce international et à d’autres types d’activité économique internationale ?

Comment définir et diffuser plus largement les pratiques recommandables en la matière ?

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BIBLIOGRAPHIE ET REFERENCES

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National Foundation of Women Business Owners (1999), « International Trade Opens New Doors for Women Entrepreneurs », Economic Reform Today, automne 1999, Center for International Private Enterprise.

OCDE (1997), PME et mondialisation, OCDE, Paris.

OCDE (1998), Women Entrepreneurs in Small and Medium Enterprises, OCDE, Paris.

OCDE (2000a), « Women’s Entrepreneurship : Improving Knowledge and Statistics », rapport d’étape de l’OCDE pour la 2ème Conférence sur les femmes entrepreneurs à la tête des PME : pour une participation dynamique à la mondialisation et à l’économie du savoir, Paris, France.

OCDE (2000b), « Le financement des entreprises dirigées par les femmes : défis et opportunités », rapport d’étape de l’OCDE pour la 2ème Conférence sur les femmes entrepreneurs à la tête des PME : pour une participation dynamique à la mondialisation et à l’économie du savoir, Paris, France.

OCDE (2000c), « Une nouvelle économie ? Transformation du rôle de l’innovation et des technologies de l’information dans la croissance », document interne.

OCDE (2000d), « International Strategic Alliances : Their Role in Industrial Globalisation », Document de travail STI 2000/5, OCDE, Paris.

OCDE (2000e), « Concrétiser les potentialités que le commerce électronique offre aux PME dans

l’économie mondiale », document de référence non classifié de l’OCDE, Conférence des Ministres responsables des PME et des Ministres de l’industrie sur le Renforcement de la compétitivité des PME dans l’économie mondiale : stratégies et politiques, 14-15 juin, Bologne, Italie.

OCDE (2000f), « Partenariats locaux, agglomérations d’entreprises et mondialisation des PME »,

document de référence non classifié de l’OCDE, Conférence des Ministres responsables des PME et des Ministres de l’industrie sur le Renforcement de la compétitivité des PME dans l’économie mondiale : stratégies et politiques, 14-15 juin, Bologne, Italie.

Références

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