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Hiver 2019 Bulletin # 12. Le cycle économique joue les prolongations

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Hiver 2019 │ Bulletin # 12

Le cycle économique joue les

prolongations

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• L’économie et la revue des marchés

Le commentaire de Philip Conclusion

• Recommandations

Répartition de l’actif Portefeuille modèle

Mesures du portefeuille modèle

Changements depuis le dernier bulletin

• Composantes sélectionnées du portefeuille

Table des matières

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Les marchés se sont affaiblis depuis notre dernier commentaire, et sont donc loin d’avoir

« Surmonté les obstacles », comme nous y faisions référence dans notre dernier bulletin.

L’automne et le début de l’hiver ont été marqués par un retour en force de la volatilité.

D’ailleurs, décembre 2018 aura eu le triste honneur de générer la pire performance que le marché boursier américain ait connue depuis 19311, l’indice S&P 500 ayant reculé de 10,2 % sur ce seul mois. La nouvelle année s’est toutefois caractérisée par un regain de vigueur boursière, et le S&P 500 a commencé l’année sur une reprise de 9,2 %2. Au total, depuis la publication de notre dernière lettre d’information en août 2018, le marché canadien, représenté par l’indice composé S&P/TSX, a cédé 5,1 %, soit une perte à peine supérieure au repli de 4,1 % de l’indice américain S&P 5003, ce qui nous conforte dans la position plus défensive adoptée au début de 2018.

Le dollar canadien est resté globalement stable au cours des six derniers mois, puisqu’il a reculé d’environ 1 % pour terminer à près de 76,2 cents/dollar US le 31 janvier.4

En ce qui a trait à la santé des entreprises, nous observons une décélération de la

croissance des bénéfices (à ne pas confondre avec une baisse des résultats). La croissance économique et les rendements des marchés ont été rehaussés par l’excellente rentabilité des entreprises ces deux dernières années, mais, compte tenu du ralentissement de la croissance des bénéfices (figure 1) et le cycle économique actuel entrant dans les prolongations, nous entendons conserver une approche plus défensive.

Figure 1 : Croissance trimestrielle sur 12 mois du bénéfice par action du S&P 500 et du S&P/TSX (données réelles et estimatives)

Source : Groupe de stratégie de placement de BMO Marchés des capitaux, FactSet, IBES, S&P

Le commentaire de Philip

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Le cycle naturel de l’économie

Nous savons que la croissance économique n’est pas constante, mais qu’elle fluctue naturellement. C’est ce que l’on appelle le cycle économique, ou cycle des affaires. Un cycle complet de l’économie ressemblerait à quelque chose comme ça :

- L’économie émerge de la récession et se redresse : le chômage baisse et les

bénéfices des entreprises augmentent, ce qui fait grimper les salaires et l’inflation.

- Les banques centrales réagissent à la hausse de l’inflation en augmentant les taux d’intérêt, ce qui a pour effet de ralentir la consommation et de peser sur la

rentabilité des entreprises.

- Le ralentissement de la croissance économique qui en découle alimente le

chômage et les économies se contractent, allant parfois jusqu’à entrer en récession (concept correspondant à deux trimestres consécutifs de contraction économique).

- Les banques centrales et les gouvernements réagissent en mettant en place des mesures de relance monétaire et budgétaire, ce qui relance la consommation et les investissements des entreprises. Il s’en suit une reprise, et le cycle recommence.

Nous en sommes selon nous actuellement aux derniers stades d’une phase d’expansion économique. Plusieurs données nous amènent à cette conclusion. Comme nous l’avions indiqué dans notre lettre d’information de l’été 2018, les banques centrales sont en phase de resserrement monétaire depuis un bon moment, comme en témoignent les

interventions de la Réserve fédérale américaine (figure 2).

Figure 2 : Taux réel des fonds fédéraux (%)

Source : Conseil des gouverneurs du Federal Reserve System (États-Unis), fred.stlouisfed.org Les banques centrales justifient ces hausses de taux et autres mesures de resserrement monétaire par une volonté de retour à la « normale », consistant à mettre fin aux mesures d’urgence mises en place en pleine crise financière il y a une dizaine d’années. Mais le

0.00 0.50 1.00 1.50 2.00 2.50 3.00

2014-01-01 2014-05-01 2014-09-01 2015-01-01 2015-05-01 2015-09-01 2016-01-01 2016-05-01 2016-09-01 2017-01-01 2017-05-01 2017-09-01 2018-01-01 2018-05-01 2018-09-01 2019-01-01

Taux des fonds fédéraux

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resserrement monétaire est également motivé par des raisons plus traditionnelles, puisque l’on observe une hausse de l’inflation et une accélération de la croissance des salaires ces dernières années (figure 3). L’augmentation n’est pas encore problématique, mais la tendance est indéniable.

Figure 3 : Hausse des prix et des salaires (%)

Source : U.S. Bureau of Labor Statistics, fred.stlouisfed.org

Outre les statistiques mentionnées plus haut (ralentissement de la croissance des

bénéfices, hausse des salaires et de l’inflation, et augmentation des taux d’intérêt), nous observons que l’économie des États-Unis est en situation de plein emploi ou de quasi- plein emploi (figure 4). L’état actuel du marché de l’emploi nous aide à confirmer notre croyance que nous en sommes aux derniers stades d’une phase d’expansion économique.

Figure 4 : Taux de chômage de la population civile - États-Unis (%)

Source : U.S. Bureau of Labor Statistics, fred.stlouisfed.org

-0.5 0.0 0.5 1.0 1.5 2.0 2.5 3.0 3.5 4.0

2014-01-01 2014-05-01 2014-09-01 2015-01-01 2015-05-01 2015-09-01 2016-01-01 2016-05-01 2016-09-01 2017-01-01 2017-05-01 2017-09-01 2018-01-01 2018-05-01 2018-09-01

CPI for All Urban Consumers (YoY % change)

Average Hourly Earnings for All Employees (YoY % change)

0.0 1.0 2.0 3.0 4.0 5.0 6.0 7.0 8.0

2014-01-01 2014-05-01 2014-09-01 2015-01-01 2015-05-01 2015-09-01 2016-01-01 2016-05-01 2016-09-01 2017-01-01 2017-05-01 2017-09-01 2018-01-01 2018-05-01 2018-09-01 2019-01-01

Civilian Unemployment Rate (U.S.)

IPC pour tous les consommateurs urbains (% de var. sur 12 mois) Salaire horaire moyen pour tous les employés (% de var. sur 12 mois)

Taux de chômage de la population civile (États-Unis)

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La question est de savoir si nous sommes prêts pour ce qui suivra.

Facteurs aggravants

À ce stade du cycle économique, nous aimerions pouvoir observer un niveau de

préparation généralisé en cas de repli économique, et que tous les acteurs de l’économie (consommateurs, entreprises, gouvernement et banques centrales) se tiennent prêts à prendre des mesures pour éviter une grave contraction économique.

Il est loin d’être certain que cette contraction soit imminente, mais il serait encore plus difficile de prétendre que nous sommes prêts à affronter la récession si elle devait se présenter. Il est vrai que les banques centrales un peu partout dans le monde s’emploient activement à réduire leurs mesures de relance, afin de se donner des munitions de politique monétaire pour faire face à un ralentissement de l’économie. Toutefois, l’endettement des secteurs privé et public atteint un tel niveau qu’il serait difficile de surmonter une longue période de contraction économique (figure 5). Qui plus est, la situation des ménages américains est bonne, mais les Canadiens ne parviennent pas à réduire leurs dettes (figure 6).

Figure 5 : Total de la dette non financière intérieure en pourcentage du PIB

Source : Équipe conseil Portefeuilles BMO Nesbitt Burns, Ned Davis Research

Dette au 30/06/2018 = 50 700 milliards

--- = 248,4 % PIB au 30/06/2018 = 20 500 milliards

Données sujettes à révision par la Réserve fédérale

Source : Département du Commerce, Réserve fédérale Moyenne = 168,2 %

(7)

Figure 6 : Dette des ménages en pourcentage du revenu disponible

Source : Groupe de stratégie de placement de BMO, Statistique Canada

Au-delà de ces éléments, les relations commerciales entre les États-Unis et la Chine continuent d’engendrer beaucoup d’incertitude. Sous l’effet des tensions commerciales et de la dynamique économique intérieure, l’activité économique chinoise a

considérablement ralenti : la croissance du PIB a diminué d’environ 0,5 % au cours des 18 derniers mois pour retomber à 6,5 %5, soit un chiffre largement inférieur au rythme de croissance auquel la Chine nous a habitués. Les mesures prises par le gouvernement chinois pour tenter de soutenir la croissance économique ont quelque chose de rassurant.

Différentes mesures ont été mises en place en 2018 : les taux d’intérêt ont été abaissés, les investissements dans des projets d’infrastructures ont augmenté et les banques chinoises sont encouragées à prêter davantage6.

N’oublions pas non plus la sortie chaotique du Royaume-Uni de l’Union européenne, prévue pour le 29 mars, à moins que les dirigeants ne décident de la repousser.

Il se peut que les marchés fassent fi de ces inquiétudes au cours des prochains mois, ou au contraire qu’une seule d’entre elles suffise à provoquer une intensification de la volatilité.

Notre mode de gestion de portefeuille doit tenir compte de ces risques.

Une approche plus prudente

Depuis le début de ce commentaire, nous parlons de « jouer les prolongations », mais il serait plus juste de comparer la gestion de placement en fin de cycle économique à la stratégie d’une équipe de hockey qui mène un match en troisième période. Nous devons veiller à ce que notre stratégie soit suffisamment défensive, mais ne pas hésiter à profiter des occasions.

- La première partie de cette stratégie consiste à axer la répartition de l’actif (la répartition du portefeuille entre liquidités, titres à revenu fixe et actions) sur les

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catégories d’actif prudentes. Il y a deux ans, dans notre édition de l’hiver 2017, nous avions recommandé à nos clients de passer d’une pondération en actions représentant 110 % de leur cible à long terme à une position plus neutre de 100 %.

L’an dernier, dans notre numéro de l’hiver 2018, nous avions recommandé une nouvelle diminution de la pondération en actions, à 90 % de la cible en actions à long terme de l’investisseur. Nous réitérons cette recommandation et continuons de conseiller à nos clients d’opter pour un pourcentage d’actions inférieur à leur cible à long terme.

- Parmi les titres que nous détenons, nous devrions privilégier les actions présentant des caractéristiques défensives, à commencer par les oligopoles, soit des

entreprises œuvrant dans des secteurs où elles n’ont que peu de concurrents, où les barrières à l’entrée sont suffisamment élevées pour décourager l’arrivée de nouveaux venus et permettre aux acteurs existants d’imposer leurs prix à leurs clients7. Notre portefeuille modèle est essentiellement composé des types de sociétés suivantes : des banques canadiennes (BNS, TD, NA), des entreprises de services publics (TRP, INE), des sociétés de télécommunications (BCE) et de chemins de fer (CP), qui sont toutes des exemples d’oligopoles.

- Une stratégie défensive de répartition d’actif et de sélection de titres nous permet de profiter des occasions lorsqu’elles se présentent. Ce n’est pas un hasard si nous avons ajouté Amazon.com (AMZN) et Alphabet (GOOGL) à notre portefeuille modèle au début du mois de janvier, soit après la chute historique enregistrée par l’indice Nasdaq à forte coloration technologique en décembre8. Ces sociétés sont également portées par des tendances structurelles qui pourraient bien déjouées la nature cyclique du marché. On estime par exemple que d’ici 2021, les dépenses en applications en nuage atteindront 300 milliards de dollars américains, soit deux fois plus qu’en 20179. Ces types de bouleversements structurels peuvent

contribuer à alimenter le cours d’une action même en contexte de repli cyclique.

Même lorsque vous menez, que vous avez fait entrer vos défenseurs sur la glace, des chances de marquer peuvent se présenter, et vous devez en profiter.

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Conclusion

La phase d’expansion économique actuelle pourrait durer quelque temps et rapporter des rendements positifs aux investisseurs. Nous devons toutefois être conscients de la phase du cycle naturel de l’économie dans lequel nous nous trouvons et nous comporter en conséquence.

• Des éléments probants démontrent que nous en sommes aux dernières phases d’une expansion économique : l’économie étant en situation de plein emploi, les prix et les salaires ont commencé à augmenter, les taux d’intérêt sont en hausse et la croissance des bénéfices des entreprises a commencé à ralentir.

• Les leviers économiques qui permettraient en temps normal d’atténuer un repli économique risquent de ne pas être disponibles en raison du niveau

inhabituellement élevé de la dette des ménages (plus au Canada qu’aux États- Unis), des gouvernements et des entreprises. Les banques centrales auront un peu de latitude pour agir, mais elles n’ont toujours pas entièrement annulé les

politiques d’urgence mises en place pendant la dernière crise financière.

• Sans ignorer les occasions lorsqu’elles se présentent, il conviendrait d’opter pour une méthode de gestion de placement plus circonspecte, caractérisée par une répartition d’actif prudente (baisse de la proportion d’actions au sein des portefeuilles) ainsi que par une sélection de titres prudente (en privilégiant les oligopoles).

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Répartition de l’actif

La cible de répartition de l’actif pour tout investisseur devrait être établie à la suite d’une démarche rigoureuse de planification financière. La répartition en actions du portefeuille devrait cadrer avec cette cible lorsque notre opinion des marchés est « neutre ». Il arrivera parfois que les marchés nous présenteront des possibilités de croissance plus rapide ou des risques plus élevés. Il sera alors approprié de modifier la répartition de l’actif du portefeuille pour tenir compte de ces facteurs, dans la mesure où la répartition d’actif réelle ne diffère pas de façon trop importante du plan de chaque investisseur tout en respectant son profil et ses seuils de tolérance au risque.

Pour le moment, nous estimons que les portefeuilles devraient être orientés ainsi (les écarts représentent un pourcentage de l’exposition aux actions et non un pourcentage du portefeuille global) :

Par exemple, un portefeuille prévoyant une cible stratégique à long terme de 60 % en actions devrait présentement cibler une pondération de 54 % en actions, ce qui représente 90% de la cible à long terme de la pondération en actions du portefeuille.

Veuillez noter que notre portefeuille modèle est conçu pour servir de guide à l’égard de la composante actions du portefeuille de nos clients, et non de la totalité de leur portefeuille.

Les clients qui présentent un profil d'investisseur Équilibré ou Revenu doivent consacrer une part importante de leurs actifs aux titres à revenu fixe en plus des actions qu'ils détiennent.

(11)

Mesures du portefeuille modèle

Portefeuille modèle Indice MSCI Monde10

Rendement courrant* 3.16% 2.76%

Beta du portefeuille* 0.89 1.00

Nombre de positions 28 1633

Allocation sectorielle (portefeuille noyeau)

Finances 25.0% 16.2%

Services de communication 7.5% 8.3%

Immobilier 5.0% 3.2%

Services d’utilité publiques 7.5% 3.5%

Consommation de base 11.0% 8.7%

Consommation discrétionnaire 11.0% 10.4%

Soins de santé 6.0% 13.4%

Technologies de l’information 6.0% 14.9%

Industries 11.0% 10.9%

Énergie 5.0% 5.9%

Matériaux 5.0% 4.6%

*au 2019-01-31; source: Thomson ONE

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Notre équipe

Elizabeth I. Cosgrove, CFP

Vice-présidente, conseillère en placement principale et planificatrice financière Tel: 613-562-6498

elizabeth.cosgrove@nbpcd.com

Elizabeth est devenue conseillère en placement en 1983, après avoir passé ses huit premières années dans le domaine au poste d’assistante. Elle a obtenu son permis de négociation des valeurs mobilières en 1980 en réussissant le Cours sur le commerce des valeurs mobilières au Canada et le Cours sur le marché des options au Canada. Elizabeth a accepté le poste de vice-présidente en 2004. Elle a acquis le titre de « Certified Financial Planner (CFP) » en 1998, après avoir réussi les six cours offerts par le Conseil relatif aux standards des planificateurs financiers. Elizabeth est parfaitement bilingue et offre ses services en français aussi bien qu’en anglais.

Elizabeth est née et a grandi à Ottawa dans une famille de huit. Elle vit actuellement à Manotick avec son mari, David.

Ils aiment jouer au golf, jardiner, observer les oiseaux et jouer de la musique.

Philip Brock, CFA, CFP, Pl. Fin., B.Com

Gestionnaire de portefeuille et planificateur financier Tel: 613-562-6409

philip.brock@nbpcd.com

Depuis qu’il s’est lancé dans le secteur financier, en 2004, Philip a conseillé de nombreuses familles sur la planification de la retraite, les prêts aux particuliers et la gestion des placements. Il a obtenu un baccalauréat en commerce à l’Université d’Ottawa et détient les titres de « Chartered Financial Analyst (CFA) » et « Certified Financial Planner (CFP) », ainsi que le titre de Planificateur financier (Pl. Fin) octroyé par l’Insitut québécois de planification financière.

Il offre ses services en français, en anglais et en espagnol.

Né à Montréal, Philip vit dans la région de la capitale nationale depuis 1987. Il habite actuellement à Orléans avec son épouse, Kathleen, et leur jeunes fils, David, Jonathan et Nicolas. Lorsqu’il n’est pas occupé à fournir des conseils financiers à ses clients, il est habituellement sur la pente de ski, au club de curling ou en excursion de canoë-camping.

Patricia Butler, BA

Conseillère en placement associée Tel: 613-562-6487

patricia.butler@nbpcd.com

Patricia travaille dans le secteur des services financiers depuis 1985. Elle a obtenu un baccalauréat en arts (BA) à l’Université Concordia en 1987 et a réussi le Cours sur le commerce des valeurs mobilières au Canada et le Cours sur la planification financière. Elle s’est jointe à BMO Nesbitt Burns en mars 2004. En qualité de conseillère en placement associée, elle discute notamment avec nos clients de questions de planification financière et de maintien de portefeuille. Patricia est parfaitement bilingue et se fait un plaisir d’offrir ses services en français ou en anglais.

Patricia aime lire, jouer au soccer et au golf, et passer du temps avec son mari et leurs deux enfants.

Clara Augustine Adjointe administrative Tel: 613-562-6486

clara.augustine@nbpcd.com

Clara a plus de 13 ans d'expérience en administration des affaires et en gestion des ventes. Elle a reçu son BAA de l'Université du Nouveau-Brunswick en 2009, débutant ensuite sa carrière dans le secteur des services financiers. Clara a travaillé avec plusieurs succursales de BMO Banque de Montréal à titre de gestionnaire. Elle s'est jointe à BMO Nesbitt Burns en 2018. Elle travaille en étroite collaboration avec chaque membre du groupe Cosgrove-Brock afin de répondre de manière transparente à vos besoins en matière d’investissement et se fera un plaisir d’offrir son aide en anglais ou en français.

Clara est d'origine de la côte est, mais elle vit maintenant à Rockland avec son mari et leurs jeunes enfants. Dans son temps libre, elle est passionnée de fitness et aime cuisiner, écrire, jouer de la musique et voyager avec sa famille.

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1, 8 O’Halloran, Suzanne, Dow, S&P 500 post worst December since 1931, as Nasdaq has worst on record, FOXBusiness, 31 décembre 2018

2, 3, 4 Thomson One

5, 9 Outlook – Long-term perspective on markets and economies, Capital Group, janvier 2019

6 Rochon, Stéphane, Stratégie - Actions – Janvier 2019: un nouvel espoir, Équipe conseil Portefeuilles BMO Nesbitt Burns, janvier 2019

7 Rochon, Stéphane, Stratégie - Actions – Décembre 2018: les avantages liés aux oligopoles, Équipe conseil Portefeuilles BMO Nesbitt Burns, décembre 2018

10 MSCI World Index, MSCI Inc, www.msci.com

11 Profils de AMZN, BCE, CHE.UN, CP, JNJ, MCD, MSFT, SU, TD, et TRP répliqués du “RED Sheet” de BMO Marchés des capitaux, 31 janvier 2019

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