VM MATERIAUX
Société Anonyme au capital de 2 036 868 Siège Social : Route de la Roche sur Yon
85260 L'HERBERGEMENT 545 550 162 R.C.S. LA ROCHE SUR YON
Code APE : 741J
Situation intermédiaire consolidée du 30 juin 2005
I. Bilan consolidé
En milliers d'euros
ACTIF notes 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
ACTIF NON COURANT
Ecarts d'acquisition 1 23 024 21 773 21 796
Immobilisations incorporelles 2 1 182 1 575 1 311
Immobilisations corporelles 3 52 854 51 868 50 790
Participations dans des entreprises associés 4 856 773 869
Autres actifs financiers 5 927 912 889
Impôts différés actif 252 617 381
Total actif non courant 79 095 77 518 76 036
ACTIF COURANT
stocks et en cours 6 72 264 66 326 62 357
Clients et comptes rattachés 7 90 814 87 673 75 750
Autres créances 7 10 606 7 331 6 259
Disponibilités 8 4 968 8 264 12 444
Total actif courant 178 652 169 594 156 810
TOTAL ACTIF 257 747 247 112 232 846
PASSIF 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
CAPITAL ET RESERVES
Capital 2 037 1 870 2 035
Réserves consolidées 44 910 28 451 36 153
Actions auto-détenues -837 -767
Résultat part du groupe 6 954 5 804 11 484
Total capital et réserves part groupe 53 064 36 125 48 905
INTERETS MINORITAIRES
Réserves 2 372 2 354 2 329
Résultat 369 182 384
Total capital et réserves part intérêts minoritaires 2 741 2 536 2 713
FONDS PROPRES DE L'ENSEMBLE CONSOLIDE 55 805 38 661 51 618
PASSIF NON COURANT
Impôts différés passif 3 849 4 410 4 061
Provisions pour risques et charges 9 4 743 5 503 4 740
Emprunts et dettes financières 10 15 744 19 442 17 622
Autres passifs non courants 11 7 620 7 620 7 620
Total passif non courant 31 956 36 975 34 043
PASSIF COURANT
Emprunts et dettes financières 10 32 704 40 781 25 331
Autres passifs courants 11 137 282 130 695 121 854
Total passif courant 169 986 171 476 147 185
TOTAL PASSIF 257 747 247 112 232 846
II. Compte de résultat consolidé
En milliers d'euros notes 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
Chiffre d'affaires 12 + 233 192 214 403 423 767
Achats consommés - 156 511 143 908 282 596
Charges de personnel 13 - 35 732 32 592 64 447
Charges externes - 22 018 20 752 43 234
Impôts et taxes - 3 496 3 010 6 183
Dotations aux amortissements et provisions nettes - 2 907 2 914 5 845
Autres produits et charges + -909 -1 450 -1 230
Résultat opérationnel courant 11 619 9 777 20 232
% roc / ca 5,0% 4,6% 4,8%
Autres produits et charges opérationnels + 238 330 236
Résultat opérationnel 11 857 10 107 20 468
Charges et produits financiers + -1 044 -1 296 -2 405
Impôts sur les résultats - 3 737 3 093 6 593
Résultat net des sociétés intégrées 7 076 5 718 11 470
Quote part des stés mises
en équivalence + 248 268 398
Amortissements des écarts d'acquisition -
RESULTAT NET CONSOLIDE 7 324 5 986 11 868
% rn / ca 3,1% 2,8% 2,8%
dont part du groupe 6 955 5 803 11 484
dont part des intérêts minoritaires 369 183 384
Résultat part groupe par action (en euros) 14 5,2 4,7 9,2
Résultat dilué par action (en euros) 14 4,9 4,7 9,0
III. Tableau de variation des capitaux propres consolidés et des intérêts minoritaires
En milliers d'euros
Situation au 1er janvier 2004 1 870 2 405 21 721 5 883 31 879 2 480 34 359
MOUVEMENTS 2004
Affectation résultat 2003 5 840 -5 840
Variation capital Vm Matériaux 165 7 469 7 634 7 634
Distribution dividende Vm Matériaux -1 548 -1 548 -1 548
Distribution dividende filiales -174 -174
Déconsolidation filiales
variation de périmètre -52 -52 -165 -217
Variation de % d'intérêts détenus 38 38 38
Reclassement situation nette négative -34 -34 34
Correction situation nette d'ouverture (médailles du travail) -294 -294 -6 -300
Variation actions propres -630 -630 -630
Divers 10 10 -4 6
Variation impôts différés 65 65 65
Avantages au personnel 329 329 329
Ecarts actuariels ifc 100 100 100
Elimination écarts acq négatifs 88 88 88
Divers reclassements intérêts minoritaires -164 -164 164
Résultat consolidé de l'exercice 11 484 11 484 384 11 868
Situation au 31 décembre 2004 2 035 9 874 25 469 11 527 48 905 2 713 51 618
MOUVEMENTS 2005
Affectation résultat 2004 11 527 -11 527
Variation capital Vm Matériaux 2 269 271 271
Distribution dividende Vm Matériaux -2 969 -2 969 -2 969
Distribution dividende filiales -175 -175
Reclassement situation nette négative 163 163 -163
Variation actions propres -260 -260 -260
Divers -14 -14 -3 -17
Avantages au personnel 13 13 13
Résultat consolidé de l'exercice 6 955 6 955 369 7 324
Situation au 30 JUIN 2005 2 037 10 143 33 929 6 955 53 064 2 741 55 805
Total capitaux propres part
groupe
Intérêts minoritaires
Total capitaux propres Capital Primes Réserves
consolidées
Résultat de l'exercice
IV. Tableau des flux de trésorerie
En milliers d'euros
détail total détail total détail total
Flux de trésorerie liés à l'activité
Résultat net 7 324 5 986 11 868
Elimination des charges et produits sans incidence sur la trésorerie ou non liés à l'activité
amortissements et provisions 3 835 4 534 7 629
charges et produits liés aux stock-options 13 329
plus et moins-values de cession -40 -359 -456
quote-part des stés mises en équivalence -248 -268 -398
Dividendes reçus des stés mises en équivalence 261 191 195
coût de l'endettement financier net 1 044 1 297 2 405
Charge d'impôt 3 737 3 093 6 593
Capacité d'autofinancement avant impôts et frais financiers 15 926 #REF! 14 474 28 165
Coût de l'endettement net payé -1 042 -1 280 -2 424
Impôt payé -5 822 -2 893 -3 573
Variation du BFR lié à l'activité -10 992 -10 437 -5 644
Flux net de trésorerie généré par l'activité -1 930 -136 16 524
Flux de trésorerie liés aux opérations d'investissement
Acquisition d'immobilisations -4 946 -3 841 -6 324
Cession d'immobilisations 152 526 950
variation des dettes sur immobilisations -1 897 -775 -775
Incidence de la variation de périmètre -813 -4 372 -4 420
Rachats et reventes d'actions propres -260 100 -630
Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement -7 764 -8 362 -11 199
Flux de trésorerie liés aux opérations de financement
Dividendes versés aux actionnaires -2 969 -1 548 -1 548
Dividendes versées aux minoritaires des stés intégrées -175 -174 -174
Augmentation de capital en numéraire 269 7 634
Emission d'emprunts 2 823 3 574
Remboursements d'emprunts -7 753 -8 263 -11 632
Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement -7 805 -9 985 -2 146
VARIATION DE TRESORERIE et Equivalent de trésorerie -17 499 -18 483 3 179
Trésorerie d'ouverture (1) -455 -3 634 -3 634
Trésorerie de clôture -17 954 -22 117 -455
VARIATION DE TRESORERIE et Equivalent de trésorerie -17 499 -18 483 3 179
1er semestre 2005 1er semestre 2004 Exercice 2004
V. Annexe
A - Principes comptables et règles de consolidation
Principes généraux
En application du règlement n°1606/2002 du Conseil européen adopté le 19 juillet 2002, les comptes consolidés du groupe VM Matériaux publiés au titre de l’exercice 2005 seront établis conformément aux normes comptables internationales (IFRS).
Les comptes semestriels arrêtés au 30 juin 2005 sont établis en conformité avec les règles de comptabilisation et d’évaluation définies par les normes internationales (IFRS) telles que publiées par l’IASB au 30 juin 2005 et qui seront vraisemblablement adoptées par l’Union européenne au 31 décembre 2005, ainsi qu’avec les règles de présentation et d’information applicables aux comptes intermédiaires telles que définies dans le Règlement général de l’AMF.
En conséquence, ils n’incluent pas toutes les informations d’une annexe complète exigée par le référentiel IFRS. Ceci constitue une exception à l’application de la norme IAS 34 sur les arrêtés intermédiaires mais est en conformité avec les recommandations de l’AMF pour les comptes intermédiaires publiés au 30 juin 2005.
De façon générale, les données contenues dans ce document ont été établies sur la base des normes et interprétations en vigueur lorsque celui-ci a été rédigé ; si ces normes et interprétations sont modifiées par les exposés sondages en cours ou à venir, les données chiffrées qui seront présentées lors de la publication par le Groupe des comptes au 31 décembre 2005 pourront éventuellement être différentes de celles contenues dans ce document.
En tant que premier adoptant des normes IFRS au 1er janvier 2004, le Groupe a appliqué les règles spécifiques relatives à une première adoption telles que prévues par IFRS 1. Les options retenues dans le cadre de cette transition sont décrites dans la note « Transition aux IFRS » publiée au BALO et mise à disposition sur notre site : www.vm-materiaux.fr.
Utilisation des estimations
La présentation des états financiers suppose que la direction établisse des estimations et des hypothèses concernant le montant des actifs et passifs, et fasse état des actifs et passifs éventuels à la date de clôture des comptes consolidés ainsi que des revenus et des charges pendant l’exercice. Les résultats effectifs peuvent naturellement diverger de ces estimations.
Méthodes de consolidation
Les sociétés dans lesquelles le Groupe contrôle, directement ou indirectement, plus de la moitié des droits de vote ou a le
pouvoir d’exercer le contrôle sur les opérations, sont consolidées par intégration globale.
Les sociétés dans lesquelles le Groupe exerce, directement ou indirectement, une influence notable sans en avoir le contrôle sont consolidées par mise en équivalence.
Les filiales sont consolidées à partir de la date à laquelle le contrôle effectif est transféré au Groupe. Elles ne sont plus consolidées à partir de leur date de cession.
Toutes les transactions inter – compagnies, soldes et plus ou moins values réalisées sur des opérations entre des sociétés du Groupe sont annulées. Lorsque cela est nécessaire, les méthodes comptables des filiales sont ajustées afin d’être en adéquation avec les règles et méthodes adoptées par le Groupe.
Comptabilisation des opérations étrangères
Les opérations en monnaie étrangère sont comptabilisées au taux de change de la date d’opération. Les gains ou les pertes résultant du règlement de ces transactions et de la conversion des créances et dettes en monnaie étrangère, sont enregistrés au compte de résultat.
Ecart d’acquisition
L’écart d’acquisition représente la différence entre le coût d’acquisition et l’actif net estimé à sa juste valeur des capitaux propres au moment de l’acquisition.
Les écarts d’acquisition ne sont pas amortis mais font l’objet annuellement d’un test de dépréciation de valeur et lorsque des évènements ou des circonstances indiquent qu’une réduction de valeur est susceptible d’intervenir.
La valeur de l'écart d’acquisition est ramenée à sa valeur recouvrable si elle est inférieure à sa valeur nette comptable.
La charge de dépréciation éventuelle est enregistrée sur la ligne « dépréciation du goodwill » du compte de résultat incluse dans le résultat opérationnel.
Ces tests sont réalisés au niveau de chaque Unité Génératrice de Trésorerie (« UGT »). Le niveau d’analyse auquel le Groupe apprécie la valeur des écarts d’acquisition correspond en général à un ou plusieurs sites commerciaux ou industriels.
Cette valeur recouvrable est définie comme la valeur la plus élevée entre le prix de vente net de l'actif et sa valeur d'utilité :
Le prix de vente net de l’actif correspond à une estimation à partir de multiples de critères financiers (chiffre d’affaires, résultat).
La valeur d’utilité est estimée à partir de flux de trésorerie futurs actualisés qui seront générés par ces actifs auxquels est appliqué un taux d’actualisation approprié. Les données
utilisées dans le cadre de cette méthode proviennent des budgets annuels et plans pluriannuels. Ces plans donnent lieu à des projections sur cinq ans.
Immobilisations incorporelles
Les immobilisations incorporelles (coûts de développement de logiciels informatiques, logiciels, marques et licences) sont évaluées au coût d’acquisition, révisé périodiquement en cas de perte de valeur. Elles sont amorties linéairement sur les durées suivantes :
- Brevets et concessions : 8 ans - Licences informatiques : 2 à 5 ans - Droit au bail : 20 ans.
Immobilisations corporelles
Les immobilisations corporelles sont comptabilisées à leur coût historique diminué du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur, à l’exception des terrains qui ne sont pas dépréciés du fait de leur durée de vie infinie.
Les différentes composantes d’une immobilisation corporelle sont comptabilisées séparément lorsque leur durée d’utilité sont significativement différentes.
Les immobilisations corporelles sont amorties linéairement sur la base des durées d’utilisation probable suivantes :
- Constructions, agencements de construction,
agencements de terrain 10 à 30 ans - Installations techniques, matériels et outillages 3 à 12 ans
- Agencements de magasin 3 à 10 ans
La base amortissable des immobilisations corporelles est constituée du coût d’acquisition, qui inclut les dépenses qui sont directement attribuables à l’acquisition, diminué le cas échéant de la valeur résiduelle.
Les immobilisations corporelles font l’objet d’un test de dépréciation dès lors qu’un indice de perte de valeur est identifié. Lorsque la valeur comptable d’une immobilisation est supérieure à son montant recouvrable estimé, une dépréciation de l’actif est comptabilisée.
Locations financières
Les contrats de location-financement portant sur des immobilisations corporelles sont immobilisés lorsque le Groupe supporte substantiellement tous les avantages et risques inhérents à la propriété du bien. Les immobilisations corporelles financées par des contrats de location-financement sont capitalisées à leur valeur actuelle correspondant aux montants des redevances à payer. Chaque redevance est partagée entre une dette financière et une charge financière.
Le solde entre les redevances et les charges financières est inclus dans le poste « Dettes financières ». La charge financière est comptabilisée dans le compte de résultat sur la période du leasing. Les constructions, les aménagements et
équipements acquis lors d’un contrat de crédit-bail sont amortis sur la durée de vie estimée de l’actif.
Les contrats de location qui ne confèrent pas au Groupe l’intégralité des risques et des avantages sont classés en contrat de location simple. Les paiements effectués pour ces contrats sont comptabilisés en charge sur la durée du contrat.
Stocks
Les stocks sont comptabilisés au coût le plus faible du coût historique et de la valeur réalisable nette. Le coût est déterminé en utilisant la méthode du premier entré-premier sorti (First-In-First-Out, FIFO) ou la méthode du coût moyen pondéré selon les activités.
Le coût des produits finis et d’en-cours de production inclut le coût des matières premières, le coût de la main d’œuvre directe, les coûts directs et les frais de production correspondant.
La valeur nette réalisable correspond au prix de vente estimé dans le cadre de l’activité normale, net des coûts restant à encourir pour l’achèvement ou la réalisation de la vente.
Créances clients
Les créances clients sont valorisées à leur valeur probable d’encaissement. Une estimation est faite pour les créances douteuses à partir d’une revue des créances dues à chaque clôture. Les pertes sur créances irrécouvrables sont passées en charges l’année de leur constatation.
Affacturage
Les créances d’exploitation cédées dans le cadre d’un contrat d’affacturage sont traitées comme ayant été intégralement payées lorsque le Groupe a transféré la quasi-totalité des risques et avantages liés à la propriété de ces actifs.
Le montant des créances cédées et encaissées dans le cadre d’un mandat de gestion conclu avec le factor est porté en dettes financières sous la rubrique « concours bancaires ».
Disponibilités/ Trésorerie
Pour le bilan, le poste Disponibilités comprend les disponibilités bancaires et placements immédiatement disponibles. Les découverts bancaires sont inclus dans les emprunts parmi les dettes à court terme au passif du bilan.
Dans le tableau de financement, le poste « Trésorerie et équivalent de trésorerie » comprend les disponibilités bancaires, les valeurs mobilières de placement, nettes des concours bancaires courants.
Capital
Les charges externes directement connectées à une émission d’actions nouvelles, autres que pour un rachat, nettes de taxes, sont comptabilisées en moins de la prime d’émission.
Lorsque la société ou ses filiales achètent leurs propres actions, le prix payé incluant les frais afférents à leur acquisition nets de taxes est déduit des capitaux propres dans le poste « actions propres » jusqu’à leur cession. Au moment de leur cession, la plus ou moins value réalisée est comptabilisée en capitaux propres.
Provisions pour risques et charges
Les provisions sont constituées lorsque le Groupe a une obligation actuelle vis-à-vis d’un tiers résultant d’événements passés, lorsqu’il est probable qu’une sortie de ressources sera nécessaire pour éteindre l’obligation et que le montant de cette obligation peut être estimé de façon fiable.
Avantages du personnel
Avantages à court terme
Les avantages à court terme du Groupe, constitués principalement des rémunérations, des charges sociales, de l’intéressement et des primes à payer dans les douze mois, sont comptabilisés en charges de l’exercice.
Avantages à long terme
Les avantages à long terme du Groupe sont constitués des engagements de retraites et assimilés.
Les engagements de retraites sont évalués suivant la méthode des unités de crédit projetées sur la base des conventions collectives en vigueur dans chaque société. Ces évaluations tiennent compte notamment du niveau de rémunération future, de la durée d’activité probable des salariés, de l’espérance de vie et de la rotation du personnel.
La valeur actualisée des engagements, ainsi évalués, est comptabilisée au bilan, déduction faite de la juste valeur des actifs des régimes versés par les sociétés du Groupe à des organismes financiers.
La variation de cet engagement est comptabilisée en résultat opérationnel courant et en résultat financier selon la nature du sous-jacent.
Les gains et pertes actuariels, qui résultent principalement des modifications d’hypothèses et de la différence entre les résultats estimés selon les hypothèses actuarielles et les résultats effectifs, sont comptabilisés en intégralité en contrepartie des capitaux propres.
Dettes financières
Les dettes financières sont comptabilisées à leur valeur nominale, nette des commissions afférentes.
Impôts courants et différés
Un impôt différé est calculé pour toutes les différences temporelles existant entre la valeur comptable inscrite au bilan consolidé et la valeur fiscale des actifs et passifs. Le taux d’impôt utilisé est celui que le Groupe s’attend à payer ou à recouvrer auprès des administrations fiscales et qui a été adopté à la date d’arrêté des comptes.
Les actifs et passifs d’impôt différés ne sont pas actualisés et sont classés au bilan en actifs et passifs non courants.
Les économies d’impôts résultant de déficits fiscaux reportables sont enregistrés en impôts différés actifs et dépréciés le cas échéant, seuls les montants dont l’utilisation est probable étant maintenus à l’actif du bilan.
Instruments financiers Couverture de change
Le groupe n’a pas appliqué de mesures de couverture de change.
Couverture de taux
Les instruments mis en place ont principalement pour objet de couvrir la variation de taux de la dette financière long terme à taux variable (au moyen de contrats de swap avec un taux fixe ou de cap avec un taux d’intérêt maximum couvrant une certaine période).
Ces dérivés sont initialement évalués au coût d’acquisition, puis réévalués à leur juste valeur. Le profit ou la perte résultant de l’instrument financier est comptabilisé directement dans les capitaux propres pour sa part efficace lorsqu’il existe une relation de couverture et en résultat de la période pour la part inefficace. L’instrument financier est lui rattaché au passif du bilan le concernant.
Comptabilisation du chiffre d’affaires
Les ventes sont comptabilisées à la date à laquelle la majorité des risques et avantages inhérents à la propriété est transférée.
Les ventes sont évaluées à leur juste valeur, c’est à dire à nettes des taxes sur les ventes, des remises, rabais, escomptes et après élimination des ventes inter- compagnies.
Résultat par action
Le résultat net par action est calculé en divisant le résultat net attribuable aux actionnaires par le nombre moyen pondéré d’actions en circulation au cours de l’exercice, à l'exclusion des actions achetées par la société et détenues à titre d'autocontrôle.
Le résultat net par action (dilué) est calculé en divisant le résultat net attribuable aux actionnaires par le nombre moyen pondéré d’actions en circulation au cours de l’exercice ajusté de l’impact de la conversion des instruments dilutifs en actions ordinaires. Le Groupe ne dispose que d’une seule catégorie d’instruments dilutifs : les options de souscription ou d’achat d’actions.
Plans d’options
Les plans d’options d’achat ou de souscription d’actions, ainsi que les plans d’attribution d’actions gratuites, donnent lieu à l’enregistrement d’une charge constituée de l’espoir de gain pour les bénéficiaires de ces plans ; l’espoir de gain est calculé le jour du Directoire ayant mis en place les plans selon la méthode Black et Scholes. Cette charge est répartie sur la période d’acquisition (4 ans) en contrepartie d’une augmentation des réserves. Sont pris en compte en 2004 et 2005 tous les plans dont la période d’acquisition des droits était ouverte à la date du 1er janvier 2004.
B – Informations relatives au périmètre
Variation de périmètreLes variations de périmètre intervenues au cours du premier semestre 2005 sont les suivantes :
- Acquisition par la société ATLANTEM INDUSTRIES de la société SCTPI, société industrielle de menuiserie, située à Maizières la Grande Paroisse, près de Troyes, réalisant un chiffre d'affaires de 3,5 M avec un effectif de 30 personnes, et la SCI Maizières, propriétaire des locaux industriels de SCTPI.
- Création de la société CROZET au capital de 10.000 , filiale de VM Distribution, dont le siège est à L’Herbergement. L’activité de cette société est la gestion de biens immobiliers.
C – Notes relatives au bilan et au compte de résultat
1 - ECARTS D'ACQUISITION
en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04
brut Dépréciations net net net
Ecarts d'acquisition sur titres consolidés 30 632 7 608 23 024 21 773 21 797 23 024
21 773 21 797 Les variations du premier semestre 2005 s'expliquent comme suit :
valeur brute dépréciations valeur nette
Solde au 31 décembre 2004 29 404 7 608 21 796
Variations de périmètre 1 228 1 228
Dépréciations - -
Solde au 30 juin 2005 30 632 7 608 23 024
2 - IMMOBILISATIONS INCORPORELLES
en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04
brut Amort & prov net net net
Concessions - brevets - logiciels 5 300 4 160 1 140 1 491 1 260 Droit au bail 51 9 42 44 44 Autres 1 1 - 40 7
5 352
4 170 1 182 1 575 1 311 1 182
1 575 1 311 Les variations des immobilisations incorporelles s'expliquent comme suit :
valeur brute Amort & prov valeur nette
Solde au 31 décembre 2004 5 020 3 709 1 311
Variations de périmètre 86 77 9
Acquisitions 246 246
Cessions -
Amortissements et provisions 384 - 384
Solde au 30 juin 2005 5 352 4 170 1 182
3 - IMMOBILISATIONS CORPORELLES
en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04
brut Amort & prov net net net
Terrains 16 433 3 042 13 391 12 674 13 113
Constructions 49 551 23 570 25 981 24 844 24 757 Install. techniques, matériels et outillages 25 640 18 037 7 603 7 161 7 300 Autres immobilisations corporelles 21 991 17 003 4 988 5 386 4 953 Immobilisations en cours 611 - 611 1 767 503 Avances et acomptes 280 - 280 36 163
114 506
61 652 52 854 51 868 50 789 52 854
51 868 50 789 Les variations des immobilisations corporelles s'expliquent comme suit :
valeur brute Amort & prov valeur nette
Solde au 31 décembre 2004 108 761 57 972 50 789
Variations de périmètre 1 286 374 912
Acquisitions 4 675 4 675
Cessions - 216 - 151 - 65
Amortissements et provisions 3 457 - 3 457
Solde au 30 juin 2005 114 506 61 652 52 854
-
- - 4 - TITRES MIS EN EQUIVALENCE
en milliers d'euros 31-déc-04 30-juin-05 30-juin-04
% intérêt net résultat dividende net net net
Vendée-Béton 34,00% 503 146 - 166 483 433 Préfa Pays de Loire 24,99% 367 102 - 96 373 340
870
248 - 262 856 773 1er semestre 2005
30-juin-05
30-juin-05
30-juin-05
5 - IMMOBILISATIONS FINANCIERES
en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04
brut Amort & prov net net net
Participations 40 40 - - -
Autres titres de participation 93 9 84 87 84
Prêts 10 - 10 10 1
Autres immobilisations financières 878 45 833 815 804
1 021 94 927 912 889
927 912 889
Les variations des immobilisations financières s'expliquent comme suit : valeur brute Amort & prov valeur nette Solde au 31 décembre 2004 1 035 146 889
Variations de périmètre 17 17
Acquisitions 21 21
Cessions - 52 - 52 -
Amortissements et provisions - Solde au 30 juin 2005 1 021 94 927
6 - STOCKS & ENCOURS en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04 brut Amort & prov net net net Mat. 1° & autres approvisionnements 5 772 106 5 666 4 713 4 809 En-cours de biens 1 008 34 974 1 064 1 033 Produits intermédiaires et finis 1 525 15 1 510 1 310 857
Marchandises 67 484 3 370 64 114 59 239 55 658 75 789 3 525 72 264 66 326 62 357 72 264 66 326 62 357 7 - AUTRES ACTIFS COURANTS en milliers d'euros 30-juin-04 31-déc-04 brut Amort & prov net net net Avances & acomptes versés s/ cdes 294 - 294 276 131
Créances clients et comptes rattachés 97 626 6 812 90 814 87 673 75 750 Créances diverses 7 604 534 7 070 5 722 4 950 Charges constatées d'avance 3 242 - 3 242 1 333 1 178 108 766 7 346 101 420 95 004 82 009 101 420 95 004 82 009 8 - DISPONIBILITES en milliers d'euros 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04 Actions propres contrat de liquidité 52 27 39
Valeurs mobilières de placement contrat de liquidité 90 63 103
Autres valeurs mobilières de placement - - 10 000
Trésorerie 4 826 8 174 2 302
Total 4 968 8 264 12 444
4 968
8 264 12 444 30-juin-05
30-juin-05 30-juin-05
9 - PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES
en milliers d'euros 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
Provision pour avantages du personnel 3 763 3 467 3 809
Provision pour risques et charges 980 2 036 931
Total 4 743 5 503 4 740 4 743 5 503 4 740 Au cours du premier semestre 2005, les soldes de provisions pour risques et cahrges ont évolué de la façon suivante avantages du personnel autres total Solde au 31 décembre 2004 3 809 931 4 740 Variations de périmètre 14 130 144
Dotations de la période 87 140 227
Utilisations de la période - 45 - 45
Reprise de la période - 176 - 176
Reclassement à un autre poste du bilan - 147 - 147
Solde au 30 juin 2005 3 763 980 4 743 10 - EMPRUNTS ET DETTES FINANCIERES 101 - Dette financière nette en milliers d'euros 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04 Dettes financières à long terme 15 744 19 442 17 622 Dettes financières à court terme 32 704 40 781 25 331 Dettes financières brute 48 448 60 223 42 953 Disponibilités 4 968 8 264 12 444 Dette financière nette 43 480 51 959 30 509 43 480 51 959 30 509 102 - Analyse de la dette financière brute par nature en milliers d'euros 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04 Emprunts & dettes auprés des éts de crédit 12 997 15 638 14 637 Concours bancaires divers - - - Dailly et Escompte - - - Capital restant dû sur crédits-bails & locations 2 183 2 918 2 485 Emprunts et dettes financières divers 564 886 500
Dettes financières à long terme (passif non courant) 15 744 19 442 17 622 Emprunts & dettes auprés des éts de crédit 7 894 8 063 9 175 Concours bancaires divers 19 606 27 920 11 135 Dailly et Escompte 3 316 2 461 1 764 Capital restant dû sur crédits-bails & locations 737 964 890
Emprunts et dettes financières divers 1 151 1 373 2 367
Dettes financières à court terme (passif courant) 32 704 40 781 25 331
Total des dettes financières 48 448 60 223 42 953
103 - Affacturage confidentiel
en milliers d'euros 30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
Montant des créances cédées 27 108 25 447 21 437
Dont montant des créances échues et encaissées (*) 7 467 11 596 5 898
Total affacturage confidentiel 19 641 13 851 15 539
(*) inclus dans les dettes financières sous la rubrique "concours bancaires divers".
D - Autres informations
- Chiffre d’affaires du 3ème trimestre et perspective A 108,4 M , Le chiffre d’affaires du 3ème trimestre affiche une progression de 8,7 % qui confirme l’orientation très favorable de l’activité sur l’ensemble de l’année et permet de relever l’objectif de chiffre d’affaires pour 2005 à 456,6 M . L’activité devrait continuer de bénéficier de la bonne orientation du secteur de la construction avec, selon les statistiques du Ministère de l’Equipement publiées en septembre dernier, une hausse de 11,8 % du nombre de logements mis en chantier à fin août 2005 sur 12 mois glissants.
11 - AUTRES PASSIFS COURANTS & NON COURANTS en milliers d'euros
non courant courant non courant courant non courant courant
Impôts différés 3 849 4 410 4 061
Avances et acomptes reçus sur commandes en cours 750 693 845
Dettes fournisseurs et comptes rattachés 113 229 106 100 93 329
Dettes fiscales et sociales 20 019 18 012 21 941
Dettes sur immobilisations et comptes rattachés 7 620 1 566 7 620 2 851 7 620 3 012
Autres dettes 1 718 3 039 2 727
Total autres passifs 11 469 137 282 12 030 130 695 11 681 121 854
contrôle 11 469 137 282 12 030 130 695 11 681 121 854
12 - REPARTITION DU CHIFFRE D'AFFAIRES PAR SECTEUR
1er semestre 2005
en milliers d'euros A périmètre
égal variations de
périmètre total 1er semestre
2004 totales à périmètre
constant
Négoce de matériaux Métropole 182 045 182 045 166 279 9,5% 9,5%
Négoce de matériaux Outre Mer 12 674 12 674 12 357 2,6% 2,6%
Industrie du béton 34 241 34 241 32 053 6,8% 6,8%
Menuiserie industrielle 25 993 932 26 924 24 945 7,9% 4,2%
Divers 294 294 256 - -
Total chiffre d'affaires géré 255 247 932 256 179 235 890 8,6% 8,2%
à déduire pour CA consolidé
CA des stés en équivalence - 15 884 - 15 884 - 14 514
CA réalisé entre stés du Groupe - 7 103 - 7 103 - 6 973
Total chiffre d'affaires consolidé 232 260 932 233 192 214 403 8,8% 8,4%
233 192 214 403
13 - RESULTAT PAR ACTION
Le 23 juillet 2004, le titre a été divisé par 2. Cette opération a doublé le nombre d'actions.
Le résultat par action calculé au 30 juin 2004 prend en compte cette division.
30-juin-05 30-juin-04
Résultat de base par action
Résultat net consolidé part du groupe (en milliers d'euros) 6 954 5 804
Nombre moyen pondéré d'actions 1 357 000 1 246 692
Nombre d'actions détenues en propre 10 754 6 902
Nombre moyen net pondéré d'actions 1 346 246 1 239 790
Résultat par action 5,17 4,68
Résultat dilué par action
Nombre d'actions potentielles au prix de marché 64 322 3 176
Nombre moyen pondéré d'actions 1 410 567 1 242 966
Résultat dilué par action 4,93 4,67
30-juin-05 30-juin-04 31-déc-04
variations
VI. Rapport d’activité du 1
ersemestre 2005
1. Variations de périmètre de consolidationLes variations de périmètre intervenues au cours du premier semestre 2005 sont les suivantes :
Acquisition par la société ATLANTEM INDUSTRIES de la société SCTPI, société industrielle de menuiserie, située à Maizières la Grande Paroisse, près de Troyes, réalisant un chiffre d'affaires de 3,5 M avec un effectif de 30 personnes, et la SCI Maizières, propriétaire des locaux industriels de SCTPI.
Création de la société CROZET au capital de 10.000 , filiale de VM Distribution, dont le siège est à L’Herbergement. L’activité de cette société est la gestion de biens immobiliers.
2. Passage aux normes IFRS
Les comptes du 1er semestre 2005 ont été établis selon les normes IFRS. Ces changements ont une répercussion limitée sur les résultats du Groupe. Les comptes du 1er semestre 2004 ont été retraités selon les normes IFRS. Une note de passage de l’exercice 2004 aux IFRS a été rédigée et est disponible sur www.vm-materiaux.fr
3. Activité et résultats au 30 juin 2005
(M ) 1er semestre
2005
1er semestre
2004 Variation
%
Rappel 2004 Chiffre d’affaires
Résultat opérationnel courant En % du CA
Résultat net
Marge nette (en pourcentage du CA)
233,2 11,6
5,0 % 7,3 3,1 %
214,4 9,8 4,6 % 6,0 2,8 %
+ 8,8 % + 18,8 %
- + 22,4 %
-
423,8 20,2 4,8 %
11,9 2,8 % Nouvelle croissance des ventes
Au 30 juin 2005 VM Matériaux a réalisé un chiffre d’affaires semestriel de 233,2 M en progression de 8,8 %. Cette croissance partagée par les trois activités du Groupe repose sur une bonne dynamique commerciale et une conjoncture qui reste porteuse à moyen terme.
La prise en compte dans l’activité du Groupe de SCTPI, fabricant de menuiseries en PVC acquis en avril dernier, participe à hauteur de 0,4 point à la croissance des ventes du 1er semestre.
Forte progression de la rentabilité
Au 1er semestre, VM Matériaux a enregistré une nouvelle progression de sa rentabilité :
Le résultat opérationnel courant augmente de 18,8 %, grâce à une bonne maîtrise de la marge brute et à des charges externes contenues ;
Le résultat net consolidé ressort à 7,3 M , en hausse de 22,4 % par rapport au 1er semestre 2004, sous l’effet conjugué du développement de la marge opérationnelle courante et d’une diminution des frais financiers, consécutive à l’augmentation de capital réalisée en novembre 2004.
4. Chiffres d’affaires du 3ème trimestre et perspectives
Le chiffre d’affaires du 3ème trimestre qui affiche une progression de 8,7 % confirme l’orientation très favorable de l’activité sur l’ensemble de l’année et permet de relever l’objectif de chiffre d’affaires pour 2005 à 456,6 M .
L’activité devrait continuer de bénéficier de la bonne orientation du secteur de la construction avec, selon les statistiques du Ministère de l’Equipement publiées en septembre dernier, une hausse de 11,8 % du nombre de logements mis en chantier à fin août 2005 sur 12 mois glissants.
Le 22 septembre 2005, Le Directoire.
VII. RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR L’INFORMATION SEMESTRIELLE 2005
En notre qualité de Commissaires aux Comptes et en application de l’article L 232-7 du Code de Commerce, nous avons procédé à :l’examen limité du tableau d’activité et de résultats présenté sous la forme de comptes semestriels consolidés de la société VM MATERIAUX, relatifs à la période du 1er janvier au 30 juin 2005, tels qu’ils sont joints au présent rapport,
la vérification des informations données dans le rapport semestriel
Ces comptes semestriels consolidés ont été établis sous la responsabilité du Directoire. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d’exprimer notre conclusion sur ces comptes.
Dans la perspective du passage au référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne, pour l’établissement des comptes consolidés de l’exercice 2005, les comptes semestriels consolidés ont été préparés pour la première fois en appliquant les principes de comptabilisation et d’évaluation des normes IFRS adoptées dans l’Union européenne, sous la forme de comptes intermédiaires tels que définis dans le Règlement général de l’AMF. Ils comprennent à titre comparatif des données relatives à l’exercice 2004 et au premier semestre 2004 retraitées selon les mêmes règles.
Nous avons effectué notre examen limité selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences limitées conduisant à une assurance, moins élevée que celle résultant d’un audit, que les comptes semestriels consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un examen de cette nature ne comprend pas tous les contrôles propres à un audit, mais se limite à mettre en œuvre des procédures analytiques et à obtenir des dirigeants et de toute personne compétente les informations que nous avons estimées nécessaires.
Sur la base de notre examen limité, nous n’avons pas relevé d’anomalies significatives de nature à remettre en cause la conformité, dans tous leurs aspects significatifs, des comptes semestriels consolidés au regard, d’une part, des règles de présentation et d’information applicables en France et, d’autre part, des principes de comptabilisation et d’évaluation des normes IFRS qui devraient être applicables dans l’Union européenne et appliquées par la Société pour l’établissement des comptes consolidés de l’exercice 2005, tels que décrits dans la note « principes généraux » de l’annexe.
Sans remettre en cause la conclusion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur la note « principes généraux » de l’annexe :
qui précise que, tout en restant conformes aux règles de présentation et d’informations définies dans le règlement général de l’AMF, la présentation des comptes semestriels consolidés n’inclut pas toutes les informations d’une annexe complète exigées par le référentiel IFRS, ceci constituant une exception à l’application de la norme IAS 34 sur les arrêtés intermédiaires;
qui expose les raisons pour lesquelles l’information comparative qui sera présentée dans les comptes consolidés au 31 décembre 2005 pourrait être différente des comptes joints au présent rapport ;
Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations données dans le rapport semestriel commentant les comptes intermédiaires consolidés sur lesquels a porté notre examen limité.
Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes semestriels consolidés.
Fait à LA ROCHE SUR YON et à NANTES, le 21 octobre 2005 Les Commissaires aux Comptes
BOISSEAU & ASSOCIES EXCO ATLANTIQUE
Philippe GAY Emmanuel BOQUIEN Jean GRAVIER