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Assurance contre le chômage

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Vingt-neuvième Année. — N° 58 P r i x d u n u m é r o : 10 centimes

Samedi 25 Juillet 1914 Bureaux: R u e de l a S e r r e , 5 8

Cn an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

Union postale » 12.— > 6.—

Les abonnements étrangers se paient d'avance

Paraissait le Mercredi et le Samedi à La Cbaax-de-Fond!

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNON6ES

' suisses 20 ct., offres et demandes

• ' de places 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l

Bureau des Annonces : HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

Législation industrielle américaine

M. J o h n W a n a m a k e r , propriétaire de grands magasins gigantesques à Philadel- phie, fut secrétaire, soit ministre des pos- tes, sous le président Harrison, de 1889 à 1893. Il vient d'être entendu dans la ville qu'il habite par la « Commission sur les relations industrielles ». Cet organe insti- tué en 1912 par le Congrès fédéral «st for- mé de neuf m e m b r e s à la nomination du président des Etats-Unis, et doit compter au moins trois e m p l o y e u r s et trois em- ployés. Relations industrielles ! Le mot est significatif, et ces relations sont si mau- vaises (grèves, conflits sanglants, règne de la violence).

— Pourriez-vous n o u s dire quel est le lien qui m a n q u e p o u r établir des relations normales entre le capital et le travail? a-t- on d e m a n d é d'abord à l'ancien Postmaster general, et voici sa réponse qui jette une vive clarté sur la situation actuelle :

Je crois que le capital et le travail ont le droit de s'organiser. D'un côté, c'est le capital avec ses responsabilités, et de l'autre le travail qui n'en a pas. Le lien qui manque, c'est la dispa- rition des préventions et des malentendus. Une des manières de vaincre ces préventions et ces malentendus, c'est d'émanciper les syndicats ou- vriers des partis politiques.

M. W a n a m a k e r a déclaré q u e , selon lui, les départements du commerce et du tra- vail devraient être, en dernier ressort, le tribunal pour les discussions industrielles.

Une des choses qu'il trouve mauvaises dans les unions ou syndicats ouvriers de son pays, c'est la limitation du n o m b r e de ceux qui désirent a p p r e n d r e un métier.

Parlant du ôapital, M. W a n a m a k e r a dit que M. J o h n D. Rockefeller junior avait commis une lourde faute en plaçant le président Wilson dans une situation qui l'obligeait à envoyer des troupes dans le Colorado (à l'occasion des grèves intermi- nables et sanglantes, récemment, dans les mines des Montagnes Rocheuses). Le con- tact avec les employés (M. Rockefeller opéra de son office ou bureau à New-York, à une distance de plus de 3000 k m . de son personnel) est un moyen de dissiper bien

des malentendus, a ajouté le témoin dont il faut citer encore les paroles qui suivent :

11 y a des syndicats ouvriers qui n'ont d'autre but que la défense des salaires, maïs les hommes qui ne voient que cela échoUent généralement.

La classe ouvrière a souffert effroyablement dans le passé de l'insuffisance de sies meneurs ; toute- fois cela semble devoir s'améliorer.

Nous n o u s abstiendrons ici de tout com- mentaire, mais n o u s f o n d r i o n s pourtant relever ce. q u ' i l y a d'étrange d a n s cette déclaration : le capital et le travail ont le droit de s'organiser. Onj sera heureux sans doute de l'apprendre, mais en est-on en- core, au pays de Washington, en l'an de grâce 1914, à faire de pareilles décou- vertes ?

Dans la suite de l'interrogatoire (fait considérable et qui montre combien le règne des trusts a ouvert les yeux du pu- blic, surtout en ce qui touche les chemins dé fer), M. W a n a m a k e r a dit :

Je crois sans réserve à la nationalisation de tous les services publics. Je crois que le gouver- nement doit posséder les chemins de fer. Gela préviendrait les situations ("d'enchevêtrement) qui se sont présentées dans le système du New Haven et du Rock-Island. La nationalisation des chemins de fer amènerait le port des lettres à cinq centimes, le gouvernement ayant alors en sa possession les moyens de transporter la poste.

M. Rlankenburg, maire de Philadelphie, qui a figuré aussi comme témoin dans l'enquête, n'a pas m o n t r é le m ê m e enthour siasme au sujet de la régie directe.

Il n'y a rien de plus joli en théorie que la na- tionalisation des services de première utilité, dit- il, mais elle ne donnera de bons résultats que lorsque la politique ne viendra pas se glisser dans ses opérations.

C'est un vœu très légitime qui ne se réalisera pas davantage aux Etats-Unis que partout ailleurs.

Exposition nationale

Une circulaire du J u r y général prescrit que les mentions Hors concours, membre du Jury ne peuvent être affichées dans les pavillons avant la publication générale des récompenses et que celles actuellement affichées doivent être enlevées.

Prière aux exposants q u e cela concerne, de bien vouloir se conformer à cet o r d r e .

Observatoire national de Besançon

L'observatoire national de Besançon commu- nique les résultats chronométriques obtenus du 1er mai 1913 au 30 avril 1914. Nous les publions ci-dessous.

Coupe chronométrique.

Le premier nom donne celui du fabricant et le deuxième celui du régleur.

P. Levy ; G. Grogg, 258 points.

Médailles d'or. ~ f"•; • V J. Bloch, G. Grogg, 256 points.

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 251 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 244 points.

L. Leroy et Gie, A. Tissot, 238 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 237 points.

J. Bloch, G. Grogg, 237 points.

Bloch-Geismar, G. Grogg, 237 points.

J. Bloch, G. Grogg, 236 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 236 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 236 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 236 points.

J. Bloch, G. Grogg, 235 points.

L. Leroy et Cie, G. Grogg, 232 points. . Lipmann frères, A. Jaccard, 231 points.

Veuve J. Antoine, G. Grogg, 231 points.

L. Leroy et Gie, M. Quelos, 230 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 230 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 229 points. .•.-:]

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 229 points.. -,.,.

Lipmann frères, A. Jaccard, 229 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 228.points., ,., - Doffe et Gie, G. Grogg, 228 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 228 points.

L. Leroy et Cie, M. Quélos, 227 points. . ..;

Sarda, G. Grogg, 226 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 226 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 225 points. • •.<•••

Doffe et Cie, G. Grogg, 224 points.

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 224 points. .,:.,.,.!

Lipmann frères, A. Jaccard, 223 points.

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 222 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 222 points. . . L. Leroy et Gie, M. Quélos, 222 points.

P. Lévy, G. Grogg, 220 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 220 points.

L. Leroy et Gie, G. Grogg, 219 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 219 points.

Lipmann frères, M. Meylan, 219 points.

G. Tribaudeau, G. Grogg, 218 points.

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 217 points.

Veuve J. Antoine, G. Grogg, 217 points.

X., G. Grogg, 217 points (ne concourt pas).

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 217 points.

Lipmann frères, A. Jaccard, 217 points.

Lipmann frères, N. Meylan, 217 points.

L. Leroy et Gie, M. Quélos, 216 points.

Bloch-Geismar,.G. Grogg, 216 points.

L. Leroy et Gie,,G. Grogg, 215 points.

Veuve J. Antoine, G. Grogg, 215 points.

(2)

Prix de série

(moyenne' des cinq meilleurs chronomètres).

Points calculés, selon la formule de Genève.

Fabricants. — 1" prix : MM. L. Leroy et Cie, 241 points : ancienne formule, 240 points ; nou- velle formule, 740 points.

MM. Lipmann frères, 232 p. ; 235 p. ; 707 p.

M. J. Bloc, 229 p. ; 233 p. ; 694 p.

MM. Bloch-Geismar, 218 p. ; 222 p. ; 636 p.

Mme veuve J. Antoine, 215 p. ; 218 p. ; 629 p.

2° prix. — MM. Doffe et Cie, 210 p. ; 213 p. ; 596 p.

Tableau des résultats complets avec les mé- dailles d'argent (190 a 214), de bronze (165 à 189).

Fabricants.

Veuve J. Antoine, 3 méd. d'or, 3 méd. d'argent, 2 méd. de bronze.

J. Bloch, 4 mod. d'or, 1 méd. de bronze.

Bloch-Geismar, 2 méd. d'or, 13 méd. d'argent, 2 méd. de bronze.

Galame, 2 méd. de bronze.

Doffe et Cie, 2 méd. d'or, 4 méd. d'argent, 1 méd.

de bronze.

Engenger, 1 méd. de bronze.

M. Fernier, 1 méd. d'argent, 1 méd. de bronze.

L. Leroy et Cie, 20 méd. d'or, 8 méd. d'argent, 5 méd. de-bronze.

P. Lévy, 1 coupe, 1 méd. d'or, 2 méd. d'argent.

Lipmann frères, 14 méd. d'or, 19 méd. d'argent, 18 méd. de bronze.

G. Meyer, 2 méd. de bronze.

Sarda, 1 méd. d'or.

G. Tribaudeau, 1 méd. d'or, 2 méd. d'argent, 1 méd. de bronze.

Ne participe pas au concours, X., 1 méd. d'or, 2 méd. d'argent, 4 méd. de bronze.

Signalons qu'il y a eu, en 1914, 280 chrono- mètres en 1™ classe d'épreuves et 489 en 2e classe d'épreuve3.

La 3e classe a été supprimée à partir du 1"

mai 1913.

182 bulletins ont été obtenus en 1™ classe et 350 en 2e classe.

L'inscription des marques de fabrique au Japon

On écrit de Tokio, au Schweizerische Blätter für Handel und Industrie, que deux procès, qui viennent de se terminer, à quelques jours d'in- tervalle, devant l'instance judiciaire suprême à Tokio, sont une intéressante illustration de la mentalité du juge japonais et de la manière dont elle le conduit à appliquer, entr'autres, la loi japonaise sur les marques de fabrique.

L'imitation d'une marque étrangère par un Japonais est à l'origine de chacun des deux pro- cès dont il s'agit. La contrefaçon fut, dans les deux cas, duement reconnue par l'Office des Patentes, qui rejeta l'une et l'autre marque en se basant sur le texte que voici de la loi du 2 avril 1909 : :

« Art. II. — L'enregistrement n'est pas accordé pour des marques de fabrique présentant les ca- ractères suivants:

1

2. . . . . . 3. . . . 4

5. Une marque identique ou semblable à une marque connue du public comme étant la pro- priété d'une autre personne et servant à la pro- tection d'un produit du même genre».

Dans le premier cas, la maison étrangère lésée était la grande fabrique de cirage Caswell & Co, à Chelsea, Londres. La marque de fabrique de MM. Caswell consiste dans l'image, familière à tout Anglais, d'un pensionnaire de l'Orphelinat royal militaire de Chelsea. Sans toucher à l'uni- forme rouge, le contrefacteur japonais s'était borné à modifier imperceptiblement les traits de la figure de façon à leur donner une vague ressemblance avec ceux du général Nogi. Au dire des témoins oculaires, la ressemblance reste, après cette transformation, grande avec le pen- sionnaire du cirage Caswell, quasi nulle avec le général Nogi. La différence la plus apparente entre les deux marqués résidait dans la substi- tution de l'inscription en lettres d'or «Superior Boot Cream» à l'inscription en lettres d'or

«Chelsea Boot Cream» en travers de l'uniforme rouge du personnage contesté.

Le contrefacteur ayant, malgré le rejet de sa marque par l'Office, continué à en faire usage sur ses produits, fut poursuivi pénalement et civilement devant le tribunal d'Osaka par la maison anglaise lésée. A la stupéfaction générale, celle-ci se vit déboutée en la personne de son représentant au Japon, agent de brevets intro- ducteur de sa marque, sous le prétexte que le mandat donné à ce dernier sous l'empire de l'ancienne loi n'était plus valable sous la nou- velle. Cette singulière décision, qui ne s'appuyait sur aucun texte, n'en interprétait aucun et en- trait en conflit avec la pratique suivie depuis quatre ans par l'Office de Patentes, émut vive- ment, à l'étranger, les maisons qui avaient à défendre au Japon, de grandes marques enre- gistrées sous l'ancienne loi.

Ce jugement (rendu ensuite de très vifs inci- dents d'audience, qui n'auraient pas été sans in- fluence sur l'esprit du juge), ne pouvait pas être maintenu et, en effet, il ne l'a pas été. La Cour d'appel d'Osaka a reconnu que l'agent de MM.

Caswell avait qualité pour plaider en leur nom et, ainsi qu'il fallait s'y attendre, la maison étrangère a également obtenu entière satisfaction sur le fond même du litige. (Elle avait réclamé et obtint 1000 yen d'indemnité pour contrefaçon de sa marque et dommage subi ; le contrefacteur fut, en outre, condamné à 400 yen d'amende).

Cet arrêt et sa confirmation par la Cour de cas- sation ont beaucoup contribué à corriger la dé- sastreuse impression produite l'été dernier par le jugement de première instance. Il n'en reste pas moins très regrettable, pour le prestige de la justice japonaise vis-à-vis de l'étranger, que la solution d'un cas aussi clair (le contrefacteur reconnaissant ouvertement la contrefaçon,) où l'application de la loi était à ce point simple et fa- cile, ait dû être retardée de prés d'un an, parce qu'un avocat à bout d'arguments réussit à obte- nir, sur une question préjudicielle, d'un juge évidemment inexpert, un jugement aussi ab- surde.

Si le procès de MM. Caswell & Co s'est au moins terminé d'une manière satisfaisante, la décision rendue par la Cour suprême dans le procès auquel a donné lieu l'imitation de la mar- que Nestlé est beaucoup plus contestable. Là, le contrefacteur, sensiblement moins naïf que son confrère d'Osaka, s'est abstenu d'une copie trop servile de son modèle. Autant dire que tout est différent dans les deux marques, et cependant la possibilité d'une confusion reste grande et l'in- tention de la provoquer évidende. C'est ainsi qu'à la laitière tenant un sceau sur sa tète, le contre- facteur japonais a substitué un garçon chinois tenant un bidon à côté de sa tète; en outre, il a entouré son Chinois d'une couronne de fleurs.

Maint autre détail différencie sa marque de celle de la « Nestlé and Anglo-Swiss Condensed Milk Compagny. » De très petites modifications suffi- raient, il est vrai, à la faire ressembler étonnam- ment à celle de la maison suisse, mais telle qu'elle est, il est incontestable qu'en aucune de ses par- ties considérées séparément, elle n'a à redouter l'examen d'un critique très minutieux, plus attaché au détail qu'à l'ensemble. C'est dans la désignation adoptée pour la marque contrefaite que MM. Nestlé ont trouvé leur plus juste sujet de plainte. Le contrefacteur a maintenu les deux idéogrammes chinois qui figurent sur l'étiquette Nestlé et qui se lisent en japonais, «Nyngyo Jirushi» (Marque de la poupée) et il s'est borné à les faire précéder de l'idéogramme qui se lit

« Hana » (fleur). «Hana Nyngyo Jirushi» signi- fie donc «Marque de la Poupée aux fleurs.»

L'Office des Patentes a refusé l'enregistrement de cette marque, qu'il jugeait trop semblable à la marque Nestlé. Le Japonais en a appelé à l'ins- tance supérieure qui lui a donné raison et dont l'arrêt a été confirmé par la Cour suprême. La discussion a principalement porté sur la question de savoir si le mot « fleur » constituait, aux côtés du mot «Poupée», une partie suffisamment essentielle de la désignation pour que les deux marques ne courussent jamais aucun risque d'être achetées l'une pour l'antre. Tout en plai- dant la négative, la maison Nesllé a soutenu, avec assez de raison semble-t-il, devant la Cöur suprême que, bien que. l'instance supérieure de l'Office des Patentes eut correctement relevé les différences entre les deux marques, elle n'avait pas su s'élever, au-dessus des considérations de détail, jusqu'au point de vue d'où l'affaire se présentait sous son vrai jour. Quand bien même

— disait la maison étrangère — les deux marques fourmilleraient de différences révélées par l'ana-

lyse, quel est l'effet produit par leurs ressem- blances sur un esprit moyen elnon prévenu? Et surtout pourquoi ces ressemblances ? L'idée d'une figure humaine tenant un bidon à hauteur de sa tète et désignée du nom de « Poupée » est-elle si inséparablement liée à l'idée de la condensation du lait, que deux fabriques de lait condensé, en quête d'une marque pour leurs produits, dussent nécessairement se rencontrer sur ce même ter- rain.

Nul doute que si la Cour se fut inspirée davan- tage de considérations de ce genre et moins des résultats d'un minutieux examen comparatif des deux marques, sa décision eût été plus conforme à l'esprit de la loi, laquelle, dans son article II, 5, vise évidemment tous les contrefacteurs, quelles que puissent être la subtilité et la pru- dence qu'ils déploient dans leurs imitations. Une interprétation sévère de la loi est ici d'autant moins à redouter que, tout en protégeant plus sûrement l'intérêt des propriétaires de marques déjà inscrites, elle ne peut léser aucun intérêt légitime du commerçant qui requiert à son tour l'inscription et qui n'aura, pour l'obtenir, qu'à modifier sa marque de manière à lui donner un caractère incontestablement original.

Bien d'autres exemples montreraient combien le juge japonais, d'ailleurs consciencieux et ap- pliqué, est emprunté dès quVn l'absence d'un texte de loi exactement superposable 8U cas con- cret, il s'agit de passer à l'interprétation de la loi.

Sa mentalité «matter of fact,» minutieuse,l'at- tache à la lettre, au détail, et le rend particule'' rement inapte aux vues d'ensemble. Dés que là contrefaçon n'est plus, comme dans le cas du cirage Caswell, audacieusement poussée jusqu'à l'identité presqu'absolue, il cesse de la voir, parce qu'il ne sait que se livrer à un examen méticuleux des différences, souvent très grandes, dans les dé- tails, cependant qu'il néglige absolument l'élé- ment subjectif, commun aux deux cas considérés cidessus, évident dans l'un comme dans l'autre et qui est le désir, naïvement avoué par le fabri- cant de cirage.d'Osaka, d'avoir une marque qui donne à ses produits des chances de profiter oc- casionnellement de la réputation de ceux d'au- trui. Il saute aux yeux que toute satisfaction donnée par les tribunaux à un désir de cette na- ture est une prime accordée à la concurrence déloyale, qui, au Japon moins que partout ail- leurs, a besoin de tels encouragements.

Quelque opinion, donc, qu'on ail sur la valeur théorique de la décision rendue en dernière ins- tance dans l'affaire Nestlé, on ne peut qu'en re- gretter les conséquences pratiques inévitables dans un pays qui a déjà, au dehors, la réputation d'un paradis des contrefacteurs.

Assurance contre le chômage

La question de l'assurance contre le chômage préoccupe toujours plus les gou- v e r n e m e n t s des pays industriels et en Suisse les cantons où existent de grandes industries.

O n lira avec intérêt le troisième rapport adressé au Conseil d'Etat par la commis- sion chargée de suivre à l'application de la loi du 6 n o v e m b r e 1909 concernant la sub- vention de l'Etat aux caisses profession- nelles d'assurance contre le chômage du canton de Genève :

Pour la troisième fois depuis l'entrée en vi- gueur de la loi du 6 novembre 1909, accordant la subvention de l'Etat aux caisses profession- nelles d'assurance contre le chômage, nous avons l'honneur de vous adresser notre rapport concernant les exercices 1912 et 1913.

Douze associations professionnelles qui avaient adressé la demande réglementaire ont été mises au bénéfice de la loi en 1912. Ce chiffre s'est élevé à 15 pour l'année 1913, les statuts présen- tés ayant été reconnus comme étant conformes à la loi. D'une manière générale, nous avons constaté, en 1912, une recrudescence du chô- mage. Presque toutes les associations inscrites ont dû accorder à leurs membres des subsides supérieurs à ceux des années précédentes. En effet, le total des secours à là charge de l'Etat, versés par les associations à leurs membres en 1912, a été de 2990 fr. 40 contre 1953 fr. 30 en 1911 et 2231 fr. 40 en 1910. Nous enregistrons donc pour 1912 une augmentation assez sensibl

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 435

du nombre des journées de chômage. On verra plus loin que le chômage s'est encore accentué en 1 9 1 3 . : , ^ :

Il piB3Ùlte de l'examen des tableaux que le nombre total des journées de chômage a été de 3383 en 1912. En 1913,.nous enregistrons 5032 journées, soit.une augmentation de 1649 jour- nées comparativement à 1912.

L'année 1913 a donc été encore plus mauvaise que les deux précédentes. Le commerce et l'in- dustrie ont subi lé icontre-coup des événements balkaniques. Toutes les associations inscrites, à trois exceptions prés, accusent une augmenta- tion assez considérable du nombre des chô- meurs. Naturellement, les subsides versés par l'Etat et les associations ont suivi la courbe as- cendante du chômage. L'industrie métallur- gique, à elle seule, absorbe la totalité des crédits budgétaires.

En 1913 la subvention de l'Etat s'est élevée à 4849 fr. 40, en augmentation de 1859 francs sur 1912.et de 2896 fr. 10 sur 1911. Il est vrai que le nombre des associations inscrites est aussi plus élevé, mais cela ne suffît pas pour expliquer la progression constante enregistrée pour ces deux exercices. La vérité est que nous traver- sons une période de crise économique intense qui ne parait pas encore terminée, car le pre- mier trimestre de 1914 indique une nouvelle aggravation de la situation.

Il faut donc s'attendre à ce que l'année 1914 exige des sacrifices financiers encore plus im- portants que par le passé.

La statistique que nous avons établie ne peut servir de base exacte pour déterminer l'intensité du chômage dans toutes les branches du com- merce ou de l'industrie. En effet, à l'heure ac- tuelle, sur environ 50 syndicats existants à Genève, la moitié seulement ont procédé à l'or- ganisation des caisses de chômage.

Il est vrai que la proportion des adhérents augmente chaque année, mais toutes les orga- nisations ouvrières devraient se faire un devoir d'adopter le principe de la lutte contre les ris- ques de chômage, au moyen de l'assurance. Ce faisant, elles seraient d'un grand secours à leurs membres pendant les périodes de crise écono- mique analogue à celle que nous traversons au- jourd'hui. Les secours ne sont évidemment pas très élevés, mais, si minimes soient-ils, ils atté- nuent toujours dans une certaine mesure la gène engendrée par le chômage.

En résumé on peut dire que la loi a eu pour effet d'améliorer sensiblement la situation éco- nomique des chômeurs : elle est très appréciée par les personnes appelées à en bénéficier. Nous espérons que d'ici quelques années, la majorité de3 associations professionnelles se seront ral- liées au principe qu'elle consacre.

Le nombre des associations demandant à par- ticiper à la subvention s'accroît insensiblement.

Chaque année nous constatons de nouvelles inscriptions ; 1913 marque une progression assez sensible à cet égard, et 1914 marquera un nou- veau pas en avant. Nous nous en réjouissons.

La dépense à la charge de l'Etatsera, il est vrai, plus élevée, mais il n'y a pas lieu de regretter un sacrifice de ce genre, si celui-ci a eu pour résultat d'encourager les ouvriers à faire preuve de prévoyance.

L'application de la loi n'a pas soulevé de dif- ficultés particulières. Les comptes des associa- lions sont en général bien tenus, mais les comi- tés mettent parfois une lenteur excessive à éta- blir et à remettre leurs comptes trimestriels. La commission a pris la décision, pour remédier à ces inconvénients, de fixer un délai d'un mois aux associations pour effectuer le dépôt de leurs comptes. Nous permettrons ainsi aux associa- tions bénéficiaires d'être remboursées plus rapi- dement que cela n'a été le cas jusqu'à présent, des sommes avancées par elles pour le compte de l'Etat. »

La commission, E. Nicole!, Gh. Fivat, A. Paulex.

On peut être surpris du peu de zèle que mettent les associations ouvrières de Ge- nève à organiser des caisses de chômage, puisque, d'après le rapport ci-dessus, la moitié seulement en éprouvent le besoin.

Ce m ê m e désintéressement, plus ou moins partiel, se rencontre un peu partout et on en peut conclure q u e , dans l'état actuel des esprits, les associations profes-

sionnelles ouvrières ne sont pas éloignées d'admettre que les primes de l'assurance chômage devraient être à la charge des e m p l o y e u r s et des pouvoirs publics.

Patriotisme et socialisme

Il y a quelques années, la société du Griitli commit l'erreur d'aliéner une partie de son au- tonomie au profit du Parti socialiste suisse. Elle ne parait pas avoir eu à s'en féliciter beaucoup.

Dès lors, on a constaté un effort sournois et per- sistant des socialistes purs et extrêmes dans le sens d'une absorption totale.

Dans la fête annuelle du Griitli, qui vient d'avoir lieu à Schaffhouse, une réaction s'est nettement dessinée contre les procédés du Parti socialiste. Jusqu'à présent, les deux sociétés avaient un secrétaire commun. M. Fähndrich, pour lequel le Griitli payait un subside annuel de 2500 francs. Le parti socialiste ayant décidé de créer un second secrétaire, la société du Grii- tli a été invitée, quoique ne possédant que le tiers des membres du parti à payer la plus grosse part des frais du secrétariat et à porter sa contribution à 5000 francs. Une proposition de sa part de porter cette contribution à 3000 fr. fut dédai- gneusement repoussée.

Des paroles amères ont été prononcées à ce sujet à l'assemblée de Schaffhouse, en particulier par M. le conseiller national Pflüger. L'opinion a été exprimée que certaines gens cherchaient à en finir avec la société du Griitli. Finalement, l'assemblée a adopté à l'unanimité une proposi- tion de M. Albisser, de Lucerne, qui maintient l'offre de 3000 fr. Si cette offre n'est pas acceptée et que M. Fahndrich ne soit pas réélu secrétaire, la Société du Griitli le gardera comme tel et re- fusera tout subside au secrétariat du parti socia- liste.

C'est sans doute sous l'impression de ces faits, observe la Revue, qu'au banquet la note patrio- tique a eu sa place et une assez large place. Le conseiller d'Etat Slurzenegger, invité, ayant ex- primé le vœu que la société du Griitli ne reniât pas les sentiments patriotiques, et demeurât un soutien de l'indépendance nationale, les assis- tants ont pousse un vigoureux hourrah en l'honneur de la patrie.

Congrès des horlogers détaillants

Le second congrès international des hor- logers, à T h o u n e , a réuni soixante délé- gués des associations horlogères d'Alle- magne, de F r a n c e , de Hollande, d'Autriche- Hongrie et de Bohême. Les participants ont été salués au n o m des autorités muni- cipales de T h o u n e p a r M. G ü n t h e r , muni- cipal. A p r è s un r a p p o r t de M. D u m o n t de Paris, le congrès a discuté les questions d'organisation. Il a décidé à l'unanimité sous réserve de l'appui financier nécessaire des associations nationales et des amis de l'as- sociation internationale des horlogers la création d ' u n secrétariat.

Dédouanement au Canada

des échantillons que transportent avec eux les voyageurs de commerce

À teneur du memorandum de l'administration douanière canadienne, du 1er mai 1913, les échantillons passibles de droits, importés tem- porairement et dans le seul but de recueillir des commandes, par les voyageurs de commerce d'un pays, jouissant du traitement de la nation la plus favorisée l), peuvent être admis en fran- chise, moyennant dépôt du montant des droits en garantie de réexportation dans l'intervalle d'un an.

On remettra au percepteur douanier du port d'arrivée une déclaration concernant l'importa- tion temporaire des échantillons, ceci en double exemplaire, déclaration qui doit être accompa- gnée des factures rédigées en la forme prescrite et dûment légalisées. L'importateur certifiera par sa signature apposée sur le recto de la décla- ration, que les marchandises y mentionnées sont des échantillons importés «bona fide»,

dans le seul but de recueillir des commandes, et qui doivent être réexportés dans le délai de 12 mois. • . '•',' '

Dès identification des échantillons par un fonc- tionnaire des douanes, et une fois la déclaration complétée, le percepteur peut autoriser la livrai- son des échantillons, non sans avoir reçu, au préalable, de l'importateur, en garantie de réex- portation des dits échantillons, un dépôt pécu- niaire correspondant au droit auquel ils sont soumis. L'autorisation, qui esta rédiger en dou- ble, doit mentionner que l'importateur recevra le montant déposé en retour si, durant les 12- mois consécutifs au jour de l'importation, tous les échantillons sont réexportés, le percepteur en ayant obtenu confirmation suffisante.

L'un des exemplaires de la déclaration con- cernant l'importation temporaire, ainsi que fac- ture et autorisation d'importation, sont à remettre à l'importateur, afin qu'il puisse présenter ces pièces justificatives, à qui de droit, lors de la réexportation des échantillons.

Ne sont pas au bénéfice de l'avantage sus- mentionné, les articles qui, parleur valeur, leur composition ou leur nature, ne sauraient être identifiés en cas de réexportation.

') Ces pays sont : L'Argentine, l'Autriche- Hongrie, la Bolivie, la Colombie, le Danemark, l'Espagne, la France, le Japon, la Norvège, la Russie, la Suède, la Suisse, le Venezuela. Cette disposition est naturellement applicable aussi à la Grande-Bretagne, dont les produits bénéficient au Canada d'un tarif préférentiel.

Bureau fédéral des matières d'or et d'argent

Dans sa séance du 21 courant, le Conseil fédéral a n o m m é M. Fritz R o b e r t , actuel- lement essayeur-juré au Bureau d u Con- trôle fédéral, au Locle, aux fonctions d'Adjoint provisoire du Bureau fédéral des matières d'or et d'argent, à Berne.

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