Jacques Baillès, évêque, censeur et critique littéraire
Texte intégral
« Vendée littéraire », je songeais d’abord à aborder cette question du point de vue des écrivains vendéens. Pourtantl’expression ne se limite pas au seul versant des auteurs ; qu’en est-il aussi de la lecture littéraire en Vendée, de la réception des œuvres, de leur diffusion, mais également de leur contrôle ? La critique littéraire joue un rôle de premier plan dans le choix des ouvrages comme dans la manière de les lire. Un autre aspect attira mon attention : celui de la censure. Comme la critique, elle apprécie la valeur des livres, émet des conseils ou des mises en garde, et détermine en partie le choix des lectures. Dans la « religieuse Vendée » du XIXe
S’il n’était pas rare qu’un évêque, au XIXe
L’une des premières prosopographies de l’épiscopat français du XIXe
Des textes de cet acabit permettent de mesurer combien les propos de Baillèscompromettaient l’Église, même pour ses collègues les plus intransigeants. L’exposé montre en effet que l’arbitraire sur lequel repose une peine de suspens sans procès ni sentence écrite, est conforme au droit canonique, ou du moins une dérogation autorisée par le concile de Trente pour des cas extraordinaires. L’usage qu’en fit Baillès, au milieu du XIXe
par la crainte de voir le gallicanisme du XVIIIe
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