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Notre-Dame des Armées
Versailles
Bulletin paroissial
N° 311 Juin 2020
« Ego te baptizo... »
Chers paroissiens,
Le rite du baptême nous instruit sur la réalité profonde de ce qui s’opère dans notre âme : le prêtre verse à trois reprises, en forme de croix, l’eau sur la tête de l’enfant - ou du catéchumène- en prononçant les paroles « N... je te baptise au nom du + Père, et du + Fils, et du Saint + Esprit ». A travers la simplicité du rite, la divine merveille se réalise : par son baptême, l’enfant meurt au péché originel et ressuscite à la vie du Christ.
C’est par sa mort sur la Croix et sa résurrection du sépulcre que le Christ accomplit son œuvre rédemptrice : en mourant sur la Croix, il mérita aux hommes la vie de la grâce ; ressuscité, il communique cette vie dont il déborde. Au fur et à mesure que les générations se succèdent, ce sera la glorieuse mission de l’Eglise de rendre chacun de nous participant de cette mort et de cette résurrection rédemptrices du Sauveur, de nous y faire entrer, de nous « plonger » (« baptizein ») dans cette mort et dans cette résurrection du Christ, c’est à dire de nous « plonger », de nous « baptiser » dans le Christ mourant et dans le Christ
ressuscitant ; de nous faire mourir et ressusciter en Lui.
Les motifs décoratifs qui ornent les baptistères sont souvent une catéchèse qui vaut tous les discours :
- le poisson représente le chrétien qui, par les eaux baptismales, naît à la vie de la grâce. « Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d’hommes » (Math 4, 19) - le paon, célèbre par sa longévité, est le symbole de la résurrection et de
l’immortalité glorieuse que nous confère le baptême.
- la colombe rapporte le rameau vert de l’olivier, dont l’huile sert aux onctions du baptême.
- l’ancre est le symbole de la foi affermie des néophytes.
- les cerfs sont l’image des catéchumènes soupirant après les eaux vives du baptême.
- le phénix qui ressuscite de ses cendres.
- Le nénuphar qui puise sa vie dans les eaux.
La grande réalité du baptême nous rappelle celle de notre rédemption. Le Christ ne nous a pas traités selon nos péchés. Nous sommes ses fils. Qu’est-ce qui nous le prouve ? Il est mort pour nos péchés, lui le Fils unique. Il s’est acheté des frères par son sang, il les a adoptés, lui qui avait été rejeté ; il les a rachetés, lui qui avait été vendu ; il les a comblés d’honneurs, lui qui avait été outragé ; il leur a donné la vie, lui qui avait été mis à mort.
Saint Augustin conclut : « Donc, mes frères, soyez joyeux dans le Seigneur, non selon le monde ».
En cette fête de la Pentecôte, et après ces semaines vécues dans le confinement, ne perdons pas le bénéfice de ce que nous avons vécu. Mgr Aumonier, notre évêque, nous invite à y réfléchir : « Dans quelle mesure la diminution dans l’ordre de l’activité m’a-t-elle permis de donner une place renouvelée à la contemplation, à la prière, à la lecture... Si oui, est-ce que je me sens appelé à conserver une part de ce nouveau rythme, de ce nouvel équilibre entre contemplation et action ? À mieux les articuler ? À mieux rythmer journée et semaines ? »
Je vous bénis, Abbé Renaud de La Motte, curé
Les messes ont repris aux heures habituelles, plus :
16h Messe à la cathédrale (forme extraordinaire) les 31 mai, 7 juin, 14 juin et 21 juin 18h Vêpres à NDA chaque dimanche
Horaire des messes à Nda en semaine : voir ordo sur le site ou à l’église Les confessions auront lieu à l’extérieur.
Désormais, l’église reste ouverte toute la journée pour vous permettre de venir prier et vous recueillir
Consignes :
• le nombre de places est limité : 110 personnes par cérémonie
• il n’y a pas d’inscriptions préalables
• il est recommandé de prévoir d’assister aux messes en semaine. Les messes en semaine vaudront pour le dimanche.
• le port du masque est obligatoire (à partir de 11ans) . Des masques sont à votre disposition au fond de l’église.
• chacun apporte son gel pour les mains, et un linge pour nettoyer sa place avant de partir
• distances de sécurité à respecter (1m ), un banc sur deux, les familles peuvent rester ensemble
• distance à respecter pour la procession de communion (1,5 m)
• pour les messes de forte affluence, sortie par la porte latérale gauche obligatoire
• un service d’ordre est prévu pour le respect des consignes Avec notre dévouement sacerdotal,
Renaud de la Motte +
3 Ordo du mois
1. Lundi de la Pentecôte 2. Mardi de la Pentecôte
3. Mercredi des Quatre-Temps de Pentecôte 4. Jeudi de la Pentecôte
5. Vendredi des Quatre-Temps de Pentecôte 6. Samedi des Quatre-Temps de Pentecôte
7. Dimanche - Fête de la Très Sainte Trinité 8. Lundi - de la férie
9. Mardi - de la férie
10. Mercredi - Ste Marguerite, reine d'Ecosse 11. Fête du Très Saint Sacrement (Fête-Dieu) 12. Vendredi - St Jean de Saint-Facond,
confesseur
13. Samedi - St Antoine de Padoue, confesseur et docteur
14. Deuxième Dimanche après la Pentecôte 15. Lundi - de la férie
16. Mardi - de la férie
17. Mercredi - St Grégoire Barbarigo, évêque et confesseur
18. Jeudi - St Ephrem de Syrie, diacre, confesseur et docteur
19. Vendredi - Fête du Sacré-Coeur de Jésus 20. Samedi - De la Sainte Vierge
21. Troisième Dimanche après la Pentecôte 22. Lundi - St Paulin de Nole, évêque et
confesseur
23. Mardi - Vigile de St Jean-Baptiste 24. Mercredi - Nativité de St Jean-Baptiste 25. Jeudi - St Guillaume, abbé
26. Vendredi - Sts Jean et Paul, martyrs 27. Samedi - De la Sainte Vierge
28. Quatrième Dimanche après la Pentecôte 29. Lundi - Sts Pierre et Paul, apôtre
30. Mardi - Commémoration de St Paul, apôtre
Le mot de l’abbé Charles Formery La Fête-Dieu
Cette année, ce sera le 11 juin. La Fête-Dieu, c’est la fête du Corps de Jésus. Pour fêter Dieu, on fête son Corps et cela, de prime abord, est très curieux. Car qui dit Dieu dit transcendance. Mais voilà que nous fêtons son corps, sa proximité, son amour de nous, pourrait-on dire. Et c’est ainsi que nous retombons sur nos pieds, puisque Dieu est amour, comme nous l’enseigne Saint Jean dans sa première Lettre (1 Jn 4,8.16). Fêter Dieu, c’est fêter son amour, c’est donc fêter son Incarnation.
Avant que n’arrive sur la Terre Sainte Julienne de Cornillon, nous nous contentions d’adorer quelques instants l’Hostie sainte au moment de l’élévation (juste après la consécration). Puis survint cette femme, religieuse augustinienne de Liège. C’est en 1209 qu’elle commença d’avoir régulièrement – mais sans en comprendre le sens - la vision d’une lune barrée d’une bande noire. Un jour, Jésus vint lui expliquer ; je cède la parole à Benoît XVI en son audience du 17 novembre 2010 : « Le Seigneur lui fit comprendre la signification de ce qui lui était apparu. La lune symbolisait la vie de l’Église sur terre, la ligne opaque représentait en revanche l’absence d’une fête liturgique, pour l’institution de laquelle il était demandé à Julienne de se prodiguer de façon efficace : c’est-à-dire une fête dans laquelle les croyants pouvaient adorer l’Eucharistie pour faire croître leur foi, avancer dans la pratique des vertus et réparer les offenses au Très Saint Sacrement ». Aidée par une autre sainte femme, la
Bienheureuse Eve de Liège, Julienne se démena pour que cette fête soit instaurée. Ce n’est qu’après la mort de Julienne survenue en 1258 que le pape Urbain IV (qui n’était autre que Jacques Pantaléon de Troyes, l’ancien archidiacre de Liège) institua la « Fête-Dieu » le 11 août 1264 à Orvieto, tout marqué qu’il était d’avoir constaté l’année précédente à Bolsène le miracle eucharistique survenu entre les mains d’un prêtre de Bohême, Pierre de Prague. L’été dernier, avec les guides aînées, nous avons eu la grâce d’aller adorer sur place les très précieuses reliques de ce miracle.
Miracle de Bolsène par Raphaël – Musées du Vatican
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Après cette notice historique, quelques paroles sur la Chair de Jésus. Dans son discours sur le Pain de vie, en Jn 6, le Seigneur ne parle pas de son corps (comme en 1 Co 11,24 : « Hoc est corpus meum ») mais de sa Chair. Et cela est très significatif.
La chair, c’est le mou, c’est la viande. C’est ce qui est blessable : Jésus dit : « la chair n’est capable de rien » (Jn 6,63). Quand on nous dit « Chair de Jésus », nous pensons à cette Chair tout abandonnée entre les bras de la Pietà de Michel-Ange.
Considérons que Jésus prend un risque en nous offrant sa Chair, honorons la confiance qu’Il nous fait.
Le mot « chair » pourrait encore nous rappeler le fameux « Et le Verbe s’est fait chair, Il a habité parmi nous » (Jn 1,14). La Chair de Jésus signifie sa proximité de nous. Avec la Fête-Dieu apparaît l’ostensoir. On honore la Présence, on emmène Jésus par les rues, on Le fait habiter nos villes. Considérons que Jésus veut nous être proche. Offrons-Lui cette conversation dont Il a soif.
La chair, enfin c’est l’union : « Et tous deux ne feront plus qu’une seule chair » (Gn 2,24). Considérons que Jésus veut nous être uni. Offrons-Lui cette communion réparatrice pour Son Cœur.
Histoire de l'Église par l’abbé Laignelot Clovis et les évêques gaulois 2/2
Celle à qui allait incomber la mission historique de convertir Clovis et, par là, d’amener le triomphe de l’Église en Gaule, Clotilde, était une princesse burgonde. A ce moment, quelque dix ans après l’avènement de Clovis, la Burgundia était divisée en deux royaumes : Gondebaud régnait à Vienne, Godegisel à Genève ; un autre de leurs frères, Chilpéric, était mort et sa veuve, Caretène, vivait alors à Genève auprès de son beau-frère, avec ses deux filles, Soedeleube et Clotilde. Toutes les trois étaient catholiques : en Burgondie, si la majorité du peuple et si les rois étaient de confession arienne, la foi romaine comptait aussi beaucoup d’adeptes.
Il n’y a guère à douter que le mariage de Clovis et de Clotilde n’ait été une idée épiscopale, vraisemblablement de saint Avit (sacré à Vienne en 490) et réalisée par saint Rémi.
Auprès de ce jeune roi de vingt-quatre ans, riche de bonne volonté, certes, mais aussi plein de violence, l’idée de placer une jeune femme dont la foi et la sagesse offraient toutes garanties entrait dans la logique de la politique de l’Église. Quant à Clotilde, hésita-t-elle d’abord à s’unir à un païen? Ne s’inclina-t-elle que sur les instances des évêques? Toujours est-il que le mariage eut lieu, vraisemblablement en 493, et sans doute à Soissons. Ce qui est sûr aussi, c’est que, sitôt mariée, Clotilde
travailla à la conversion de son époux. Trois ans encore, Clovis resta païen. Il laisse seulement baptiser leur premier enfant, mais lorsqu’il meurt, il s’écrie : « Mes dieux
église Ste Clotilde Paris
l’auraient guéri, le tien ne l’a pas sauvé ! ». Un second fils vient au monde, est baptisé, tombe malade ; mais, assure le bon Grégoire de Tours, « Clotilde pria tant pour le salut de l’enfant que Dieu le lui accorda ».
L’heure du Christ devait sonner pour Clovis. On connaît la scène célèbre, le vœu sur le champ de bataille... Aux Alamans que leur roi Guibult vient d’unifier, Clovis fait face. Il a l’intuition que si cette nouvelle vague sort des régions orientales de la Gaule, l’œuvre qu’il a commencée sera brisée. Vers 496, la lutte s’engage et c’est dans la bataille décisive que, sentant fléchir les siens, presque désespéré, Clovis appelle à l’aide le Dieu de Clotilde et s’engage à se faire baptiser, si la victoire lui appartient.
Vainqueur des Alamans, Clovis se fait instruire des principes chrétiens par l’ermite saint Vaast, futur évêque d’Arras ; au récit de la Passion, il s’écrie tout bouillonnant :
« Ah, que n’étais-je là avec mes Francs ! ».
En ce jour de Noël où le roi des Francs descendit dans la cuve baptismale, l’Église remporta une victoire décisive. Que, dans la prescience admirable qu’elle a toujours eue des grands évènements de l’histoire, elle l’ait compris, cela ne fait aucun doute.
Le pape Hormisdas, écrivant peu après à saint Rémi pour le nommer son légat universel en Gaule, marquait parfaitement l’importance de l’étape qui venait d’être franchie : « Vous avez, lui disait-il, converti ces peuples par des miracles
comparables à ceux mêmes des apôtres. » En fait, c’était le destin de l’Occident qui venait de se jouer.
Source : Daniel Rops, Histoire de l’Église, t. 3 « L’Église des temps barbares ».
Livre du mois (disponible au fond de l’église)
Le Mystère de l'Eucharistie, Cardinal Charles Journet, Téqui, 6€.
C'est peut-être maintenant que l'Eucharistie nous manque tant, que nous pouvons accueillir la belle et profonde méditation de ce théologien suisse francophone (1891-1975) qui fut aussi un grand contemplatif. Avec lui, nous reprendrons conscience du "choc de la Présence corporelle du Verbe". Communier au corps du Christ, c'est absorber Notre Seigneur Jésus, notre Sauveur, qui vient apporter en nous le feu de son amour pour que nous puissions ne
faire qu'un avec Lui.
Le conseil de lecture du mois pour nos jeunes Héloïse pensionnaire à la Légion d'Honneur / Gwenaële Barussaud (Le Livre de poche Jeunesse). 11-13 ans. Plutôt filles.
Le destin d'une jeune fille, orpheline d'un grognard de Napoléon. Ce roman bien écrit et sans
anachronisme est le premier d'une grande fresque
historique intitulée "Les Demoiselles de l'Empire".
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Annonces diverses
•
Le baptême, la communion et la confirmation de nos 2 catéchumènes le dimanche 14 juin à la messe de midi. S’unir par la prière plutôt que de venir en raison du nombre limité de places dans l’église.
•
La messe du Jubilé (25 ans de sacerdoce de M. le curé) est reportée à une date ultérieure.
• Pour la Fête Dieu (jeudi 11 juin) : il n’y aura pas de procession cette
année. Le Saint Sacrement sera exposé toute la journée après la messe de 9h. Veillée après la messe de 19h jusqu’à 22h.
•
L'abbé Gautier Picard Destelan célébrera une première messe à Notre- Dame des Armées le mercredi 1er juillet à 19h
•
L'abbé Pierre Bouquin célébrera une première messe à Notre-Dame des Armées le vendredi 3 juillet à 19h .
Annonce des AFC
A cause des circonstances actuelles la
traditionnelle quête du jour de la Fête des Mères ne pourra avoir lieu cette année dans les
conditions habituelles et ne sera pas reportée à une autre date.
Vous pouvez continuer à soutenir les associations secourues qui ont encore plus besoin d’aide en allant directement sur le formulaire de don en ligne de leur site ou en adressant un chèque à une ou plusieurs d’entre elles.
Toutes ces associations vous enverront des reçus fiscaux. L’AFC vous remercie de votre aide.
Les Maisons Marthe et Marie https://www.martheetmarie.fr/
Don sur le site ou chèque à l’ordre de Maison de Marthe et Marie 3 rue du Gavouet 27950 Saint Marcel
Magnificat Accueillir la Vie https://www.magnificat.asso.fr/
Don sur le site ou chèque à l’ordre de Magnificat, Secrétariat, 2 rue Charles Gille 37000 Tours
Maisons Tom Pouce https://lamaisondetompouce.com/nos-coordonnees/
Don sur le site ou chèque à l’ordre de Maison Tom Pouce BP 90, 77253 Brie Comte Robert cedex
IVG.net https://www.ivg.net/ Faire un don sur le site ou par chèque à l’ordre de l’AFEDER 31 rue des Noisetiers 78120 Rambouillet.
Horaires - A l’église, 4 impasse des Gendarmes
Pour connaître les horaires, consulter le site http://notredamedesarmees.com Messes les dimanches et fêtes à 8h, 9h, 10h30, 12h et 19h - Vêpres et Salut à 18h Messes et confessions en semaine (période scolaire) :
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Messe de
7h25 - Abbé de la
Motte
Abbé Formery
Abbé Laignelot
Abbé de la Motte
Abbé Laignelot
Messe de 9h
Abbé Formery
*
Abbé Laignelot*
Abbé de la Motte
Abbé Formery
Abbé de la Motte*
11h Abbé Formery Confessions
18h à 18h55 Abbé Laignelot
Abbé Formery
- Abbé de
la Motte
Abbé Laignelot
De 17h à 19h (1) Messe de
19h
19h15 Abbé Laignelot
Abbé de la Motte (*) messe et permanence jusqu’à 12h (1) Voir tableau en début de mois
Prières - Chapelet : tous les jours de la semaine à 18h30
Rosaire pour les vocations le mercredi à 18h - Chapelet des mères le vendredi à 9h40 Adoration : chaque premier vendredi du mois, toute la nuit
Honoraires de messe : 18 € - Neuvaine : 180 € - Trentain : 595 €
Secrétariat de Notre-Dame des Armées Au 10, impasse des Gendarmes - 78000 Versailles
Ouverture hors vacances scolaires les lundi, mardi et jeudi de 8h45 à 12h30 puis de 13h30 à 16h et le vendredi de 8h45 à 12h
Tél : 01 30 83 95 40 - courriel : secretariat@notredamedesarmees.com Pour rencontrer un prêtre (période scolaire)
Sacristie de Notre-Dame des Armées (permanence du matin) 01 30 83 95 41 Les permanences des prêtres sont indiquées dans le tableau ci-dessus (*).
• Abbé Renaud de la Motte, curé
06 03 73 88 42 / abdelamotte@notredamedesarmees.com
Confessions à la Cathédrale : mardi de 9h30 à 10h15, samedi de 10h à 12h
• Abbé Charles Formery, vicaire
06 22 42 51 80 / abformery@notredamedesarmees.com
Confessions au presbytère de la Cathédrale, 4 place St Louis, lundi de 17h à 19h
• Abbé Benoît Laignelot, vicaire
06 99 39 97 03 / ablaignelot@notredamedesarmees.com
• Abbé Thierry Laurent - 06 30 13 56 10 / ablaurent@notredamedesarmees.com
• Abbé Albert Jacquemin - albertjacquemin@yahoo.fr
