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Courbes d'efficacité de la carte de contrôle par mesures en fonction du pourcentage de pièces défectueuses

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(1)

R EVUE DE STATISTIQUE APPLIQUÉE

G. R OUZET

Courbes d’efficacité de la carte de contrôle par mesures en fonction du pourcentage de pièces défectueuses

Revue de statistique appliquée, tome 5, n

o

2 (1957), p. 19-32

<

http://www.numdam.org/item?id=RSA_1957__5_2_19_0

>

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(2)

- 19 -

COURBES D’EFFICACITÉ

DE LA CARTE DE CONTROLE PAR MESURES EN FONCTION DU POURCENTAGE

DE PIÈCES DÉFECTUEUSES

par

G.

ROUZET

Ingénieur

à la

Compagnie

des

Compteurs

Lorsqu’on parle d’efficacité

du contrôle par mesures, il

s’agit généralemenf

.de

l’efficacité

de chacun des

graphiques

en

fonction

du

déréglage

soit de la

moyenne, soit de

l’écart-type.

Cette notion se rattache au

fait

que la loi normale

depend

de deux

paramètres :

m eto .

Mais ce

qui

importe finalement dans le résultat du contrôle est bien

l’efficacité

de celui-ci en fonction de la proportion de

pièces défectueuses.

En particulier, si l’on veut coinparer

l’efficacité

de la carte de contrôle aux

calibres à celle de la ~carfe de contrôle par mesures, il

faut

le

faire

en

fonction

d’une même variable : la

proportion

de

pièces défectueuses.

Dans la

présente

étude, M. Rouzet étudie

l’efficacité

de la carte de contrôle par mesures en

fonction

du

pourcentage

de

pièces

défectueuses et montre

comment elle varie en

fonction

de la nature du déréglage.

1 -

HYPOTHÈSE

1

L’efficacité de la carte de contrôle par mesures ne peut être directement calculée

qu’en

fonction du

déréglage

de la fabrication par

rapport

aux limites de contrôle initiales

(nous

ne nous intéresserons pas ici aux limites de

surveillance).

Pour étudier le

présent problème,

il faut introduire une relation entre le déré-

glage

par rapport aux limites et le

pourcentage

de

pièces

défectueuses. Il est donc nécessaire de savoir où se situent les tolérances du dessin par

rapport

aux limi-

tes à 2

0~0o

de la fabrication initiale.

Trois cas sont à

distinguer :

1. Les tolérances coïncident avec les limites à 2

o/oo.

A

l’origine,

le pourcen-

tage

raJa de défectueux est

égal

à 2

o/oo.

Pour

simplifier,

nous écrirons dans

ce cas ~70 = 0. La

dispérsion

de la machine est exactement

adaptée

au travail :

c’est dans ce cas limite que nous nous

placerons :

c’est

l’hypothèse 1.

(3)

- 20 -

2. Les tolérances sont extérieures aux limites à 2

o/oo.

Ce cas est

plus

favora-

ble pour la

production.

Or, pour obtenir un certain

pourcentage

de défectueux

CJ, il faudra un

déréglage plus important

que dans le cas

précédent,

par rap- port aux limites à 2

o/oo,

donc par rapport aux limites de contrôle des échantillons. L’efficacité sera donc

plus grande.

Ce cas est

plus

favorable

également

pour le contrôle. C’est

pourquoi

nous le

rejetterons

ici au

profit

de

l’hypothèse

1

qui

en constitue la limite inférieure.

3. Les tolérances sont intérieures aux limites à 2

o/oo.

Autant que cela est

possible,

ce cas est à exclure

puisqu’il

entraîne fatalement une

proportion

~10

de

pièces

défectueuses dès

l’origine.

Même en

supposant

la moyenne de la fabrication centrée par rapport aux

tolérances,

ce

qui

conduit à Wo minimum, il y a autant de

réponses

au

problème posé

que de valeurs de G?o .

Diverses

hypothèses pourront

être faites en

complément

de cette étude. On

obtiendra ainsi des courbes d’efficacité pour

quelques

valeurs de CJo .

III

Il -

ÉFFICACITÉ

DE LA CARTE DE CONTROLE PAR MESURES

La

probabilité d’accepter

un

pourcentage

CD de

pièces

défectueuses sur la carte de contrôle est le

produit

de la

probabilité

pm

d’accepter

sur le

graphique

des moyennes par la

probabilité

p, ,,

d’accepter

sur le

graphique

des étendues

(nous adopterons

le cas courant du

graphique

des

étendues).

PA =

Pm X

Pw Nous étudierons successivement pm et pw.

III -

ÉTUDE

DE Pm

Soient m et or les

caractéristiques

de la distribution de la fabrication déré-

glée,

et soit t la variable centrée réduite.

A

l’origine,

on a :

et par

hypothèse :

Posons : *

Soient t, et ts les nouvelles valeurs de la variable centrée

réduite,

corres-

pondant

à

T;

et Ts

après déréglage.

On a :

(4)

- 21 - de même :

Le

pourcentage

de

pièces

défectueuses est alors donné par :

D’où la relation entre

X

et

p :

REMARQUES :

1 . La loi normale étant

symétrique,

il suffit d’étudier les valeurs

positives de X .

On peut d’ailleurs vérifier que si l’on

change

À

en - À

les deux relations sont

identiques :

2. Sur le

graphique

des ranges, il est courant de ne pas considérer la limite de contrôle inférieure

(lorsqu’elle

n’est pas

nulle).

On

néglige

ainsi le

déréglage

de

l’écart-type lorsque

celui-ci diminue

(il

est alors, en effet, favorable à la

fabrication) .

Pour

simplifier,

nous ferons

également

abstraction des valeurs de

p

infé-

rieures à 1 .

En définitive , nous étudierons :

Prenons un échantillon de n

pièces.

La distribution des moyennes est normale, et de

caractéristiques:

jm, -20132013) .

A

l’origine,

les limites de contrôle

LC1

et

LC2

sont telles que :

B W

(5)

-22-

Après déréglage,

les nouvelles valeurs de la variable centrée réduite tni et tns

correspondant a-Le,

et LCI) sont :

de même :

La

probabilité d’accepter

le

déréglage

est alors :

Les relations

(1)

et

(3)

nous conduisent bien au but recherché

qui

est de dé-

terminer pm en fonction de ~ . Toutefois, il faut remarquer

qu’il

subsiste une

indétermination due au fait que p

et À

n’ont à satisfaire

qu’à

la relation

(1)

et aux

inégalités (2)

pour une valeur donnée deCJ . En d’autres termes, une même valeur de GJ peut être obtenue avec différents

couples (p ,X ).

Or, ces différents

couples

conduisent à différentes valeurs de pm.

~

.

On n’obtiendra donc pas une courbe d’efficacité du

graphique

des moyennes, 1

mais une famille de courbes

comprises

entre deux limites .

Il reste d’ailleurs à vérifier que les courbes extrêmes de la famille corres-

pondent

bien aux valeurs

extrêmes

des

paramètres p et X

dans le cadre des

inégalités (2 ) .

On a, en effet :

avec :

(6)

-23- et : .

o

D’ou

dpm :

Or,

p et X

sont liés par la condition :

Si l’on considère ~ constant et que l’on écrit de¡¡ = 0, on obtiendra le même

développement

que dans le calcul de

dp~ ,

avec n = 1 . Nous avons donc immédia-

tement le

résultat, qui

s’écrit :

d’où :

La variable conservée

étant À ,

on a donc pour

dpm :

/’ Sous cette forme,

pour À

= 0, on obtient

dPm

= 0. Le cas seul

l’écart-type

est

déréglé

constitue donc bien un cas limite pm est maximum.

(7)

- 24 -

dp,,,

Ecrivons maintenant

sous

la forme

suivante,

en supposant X

-7É

0 :

Or :

, ,

Mais, nous avions

plus

haut :

qui

peut s’écrire :

Or,

pour

À positif,

on a

évidemment2013~-~~0

pour {¡f constant.

d’où :

1 - -, J, ,

d pr,,

Revenons au calcul

de"."2013nous

avons donc :

L’expression

entre crochets est donc

positive :

(8)

- 25 -

et tous les autres facteurs étant

positifs (puisque À::&#x3E; 0),

on en déduit que :

Lor sque

À croit de 0 à sa valeur maximum obtenue pour

p

décroissant

égal

à

1, la valeur de p~ diminue constamment.

Le cas où seule la moyenne est

déréglée

constitue donc bien un cas limite

p, est minimum dans le cadre des

inégalités

Pour illustrer ce

résultat,

prenons un

exemple :

CD-=0,50 n = 4

Le lieu des

couples (p i~ )

satisfaisant à

(1)

et aux

inégalités (2)

est donné

par le

graphique

de la

figure

1.

Le

graphique

de la

figure

2 donne les valeurs de p, obtenues par la relation

(3)

en fonction des différentes valeurs de X

(et

de

p correspondant).

Fig.l-

F 3’= - F 3’ Og + À = 1- Q (1)

Fig.2 - Probabilité p~ d’accepter aur le gra-

~ ’ ~

phiquedesmoyennea pourcj=0,50etn=4 4

Courbe ( 1 ) en À et p pourTT = C~’ = 0, 50 en fonction de a

(et

de p correspondant)

(9)

- 26 -

Deux remarques

supplémentaires

peuvent être faites :

1. La borne inférieure de pm

correspond

au

déréglage

de la moyenne seule.

L’efficacité est maximum dans ce cas.

La borne

supérieure

de p,

correspond

au

déréglage

de

l’écart-type

seul.

L’efficacité est minimum dans ce cas.

2. Dans le cas du

déréglage

de

l’écart-type

seul, on a À = 0 : on voit dans la

relation

(3)

que pm est alors

indépendante

de n.

D’autre

part,

J on voit immédiatement que dans ce même cas, J on a :

Pm = 1 - u.r

Faisons maintenant varier tA} et n. D’où le

graphique

de la

figure

3

qui

se lit ainsi, J pour n donné :

Selon le mode de

déréglage

conduisant à la

proportion GT

de

défectueux,

la cour-

be d’efficacité est

comprise

entre la courbe

indiquée

pour la valeur de

n (cas

du dé-

réglage

de la moyenne

seule)

et la droite A

(cas

du

déréglage

de

l’écart-type seul).

IV .

ÉTUDE

DE Pw

Soit

H 2013- , n)

la fonction de

répartition

du

rapport ~

or obtenu avec un échan -

tillon de n

pièces.

La moyenne de la distribution n’intervenant pas, pw est insensible au déré-

glage Â

de la moyenne;

pw

ne

dépend

que de p .

A l’origine,

on a 0*0 et la limite à 999

0~0o

est donnée

par [JL =20132013 ,

0 , telle que :

Si (j = P (j 0 , on a :

et la

probabilité

Pw

d’accepter

est :

Le

graphique

3bis donne les courbes de Pw en fonction de

p

pour différentes valeurs de n.

V -

ÉTUDE

DE PA

La

probabilité pA d’accepter

est

égaie

au

produit pm X

pW. Or, prenons un

pourcentage

CJ donné :

Lorsque X

croît de 0 à sa valeur maximum, Pm diminue.

Dans le même temps p décroît et

pw augmente.

Il faut donc vérifier encore que les deux courbes limites de la famille que nous obtiendrons pour p,,~

correspondent

bien au

produit

des valeurs p~ des courbes limites du

graphique

de la

figure

3 par les valeurs de

pw correspondantes.

On a :

(10)

- 27 -

a

~ a0 i

t.4

.

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(11)

- 28 -

dpw

Mais, comme pm, Pw et

ne peuvent

être obtenus que par courbes ou ta-

bleaux,

on ne peut mener le

même

calcul que celui

qui

nous a conduits

à dp,,,

m

bleaux,

on ne peut mener le même calcul que celui

qui

nous a conduits

a ...

.

QA

dpa

On pourra vérifier dans

plusieurs

cas différents

que .

reste constamment

négatif.

Nous nous bornerons ici à un

exemple.

Prenons encore SJ =

0, 50

et n = 4.

La valeur de

pA

est

portée

sur le

graphique

de la

figure

4 pour les différen- tes valeurs

deX ,

et les valeurs de

p correspondantes.

On voit que les valeurs limites de pA

correspondent

bien aux valeurs limites des

couples (À p ).

Les courbes limites seront donc encore dans ce cas les courbes d’efficacité

correspondant

au

déréglage.

- de la moyenne seule, d’une

part,

- de

l’écart-type seul,

d’autre

part.

Les

graphiques

des

figures 5, 6,

7, 8, 9 et 10

représentent

le faisceau formé par les courbes de la famille pour différentes valeurs de n.

VI - CONCLUSION

Cette étude montre que l’efficacité de la carte de contrôle par mesures en

fonction du

pourcentage

de

pièces

défectueuses est variable dans des

proportions importantes

en fonction de la nature du

déréglage.

Par

exemple

sur le

graphique

de la

figure

10, on voit que dans le cadre de

l’hypothèse

1 et pour n = 10, la

probabilité d’accepter

un

déréglage

donnant 10

%

de

pièces

défectueuses est presque nulle si le

déréglage

affecte

uniquement

la

moyenne de la distribution, alors

qu’elle

reste

supérieure

à 50

%

si le

déréglage

affecte

uniquement l’écart-type.

Rapnelons

que si l’intervalle de tolérances est

supérieur

à l’intervalle entre les limites à 2

o/oo,

la moyenne étant

supposée

centrée par

rapport

aux tolé-

rances, l’efficacité est

plus grande.

Enfin,

il est intéressant de comparer l’efficacité de la carte au calibre à celle de la carte aux mesures .

Dans le cas de

l’hypothèse

1, on

s’aperçoit

que la courbe d’efficacité du con-

trôle au calibre pour une taille n de l’échantillon

(voir figure 11)

est intérieure à la zone d’efficacité de la carte de contrôle par mesures pour la même taille n d’échantillon.

L’efficacité du contrôle au calibre,

plus

faible dans le cas de

déréglage

de la

moyenne

(cas fréquent)

est donc un peu

supérieure

dans le cas de

déréglage

de

l’écart-type

seul.

(12)

- 29 -

GJ

~

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