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Dé iid eieeede aéBeî ieebeRai29j i2006S 

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Texte intégral

(1)

Benoît Louise Lebreton Romain

29 juin2006

Sousladiretion deNiolasBergeron,quenousremerionsdesonaidepréieuse.

(2)

1 Préambule 3

2 Lejardin des déliesmodulaires 4

2.1 Premièresdénitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

2.2 ÉtudedugroupeΓ(1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

2.3 ÉtudedugroupeΓ0(4) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

2.3.1 Préliminaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

2.3.2 Résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

2.4 Lesformesmodulaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

2.5 Résultatssurlesformesmodulaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

2.5.1 Étudedesvaleursauxpointesd'unefontionmodulaire . . . . . . . . . . . 12

2.5.2 Leszérosetlesplesd'unefontionmodulaire . . . . . . . . . . . . . . . . 14

3 Laformulede Jaobi 17 3.1 Étudedelafontionθ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3.2 Lessériesd'Eisenstein . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

3.3 LaformuledeJaobi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

A Unpeu de sériede Fourier omplexe 26

B Unpeu de transforméede Fourier 26

C Lesséries d'Eisensteinde poids stritementsupérieur à 2 27

Référenes 29

(3)

manière originale. Lagrange a montré que tout entier naturel s'érit omme somme de quatre

arrés.Onpeutalorssedemanderquelestlenombredefaçonsd'érireunentierdonnéensomme

de4arrés.Jaobiarésolueproblèmevers1830.Notonsr4(n)lenombrededéompositions de l'entiernensommede4arrés.LaformuledeJaobiest :

r4(n) = 8X

d|n 4∤d

d.

Lebut de etexposé est dedonner une démonstrationomplète dela formulede Jaobipar

une méthode moderne, qui permet de plus d'obtenir un équivalent expliite quand n tend vers

l'innidunombredefaçonsd'érirel'entiernommesommededarrés,aved>4.

1 Préambule

Voiiuntableauréapitulatifdesentiersde0à12,déomposablesounon,ensommedearrés.

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 11 12 · · ·

arrésd'entiers X X X X · · ·

sommesde2arrés X X X X X X X X X · · ·

sommesde3arrés X X X X X X X X X X X X X · · ·

sommesde4arrés X X X X X X X X X X X X X X · · ·

Onremarquequelespremiersentierspositifss'ériventtousommesommede4arrésd'entier.

Mais 7nes'érit pasommesomme de3arrés.On sait ependantaratériser lesnombresqui

s'ériventommesommede2ou3arrés.

Théorème 1 (Fermat, Euler). Unentier natureln s'érit omme somme de 2 arrés ssi la va-

luationvp(n) estpaire pourtoutppremier, p≡3 mod4.

Démonstration. L'appliation

N : Z[i]\{0} → N a+ib 7→ a2+b2

est une norme multipliative sur l'anneau Z[i]; son image Σ est l'ensemble des entiers n qui

s'ériventomme somme de 2 arrés.L'ensemble Σest en partiulier stable parmultipliation.

Cherhonsd'abordlesentierspremierssommede2 arrés.

Si p est somme de 2 arrés, p ≡ 0,1ou2 mod 4. Il est don égal à 2 ou bien ≡ 1 mod 4.

Montronslaréiproque.

Onaimmédiatement2∈Σ.Supposonsdonquep≡1 mod 4.Alors−1estunarrémodulo p:−1≡a2 modp,et p|a2+ 1 = (a+i)(a−i);l'idéal(p)estdonnéessairementrédutible

1

etp=xy avex, y∈Z[i]quinesontpasdesunités, i.e.N(x)6= 1 etN(y)6= 1. OrN(p) =p2= N(x)N(y).Donp=N(x) =N(y)∈Σ.

Ononlutladémonstrationduthéorèmeendéomposantnenfateurspremiers:n= Πpvp(n).

Supposons n = a2+b2 ∈ Σ. Si p ≡ 3 mod 4, alors p 6∈ Σ et (p) est irrédutible. On a don

p |n= (a+ib)(a−ib) don p|a+iboua−ib. Orp= ¯pdon p|a+ibeta−ib et p2 |n. On

onlutalorsladémonstrationparréurrenedesendante.

Lerésultatsuivant,plusdéliat,reposesurlelassiationdesformesquadratiquesrationnelles

en3variables(f.[Serre℄).

1 Z[i] Z[i]

(4)

Théorème 2(Gauÿ). Unentiernaturelns'éritommesommede 3arrésssiil n'estpasde la

forme 4a(8b+ 7)avea, b∈N.

L'existenedel'algèbredesquaternionspermetdemontrerplusfailementlethéorèmesuivant.

Théorème 3(Lagrange). Toutentiernaturels'éritomme sommede quatrearrésd'entier.

Pourd, n∈N,posons rd(n) =Card

(n1, n2, . . . , nd)∈Zd:n=n21+n22+· · ·+n2d .

C'estlenombrededéompositionsdenensommededarrés.Ildéouleduthéorème3quepour

toutn, d∈Naved>4,rd(n)>1.

Remarquonsqueladénitionderd(n)tientomptedel'ordredesélémentsdeladéomposition denensommededarrésainsiquedessolutionsnégatives.

Exemple.Traitonsleasden= 12:lesdiviseursde12sont1,2,3,4,6,12.Ceuxquinesontpas

desmultiples de4sont1,2,3,6. LaformuledeJaobidonnedonr4(12) = 8·12 = 96.Vérions

erésultatenexpliitantles96déompositions.

Lesarréspouvantintervenirdansladéompositionde12sont0,1,4et9.Les2 seulesfaçons

d'érire12ommesommesde4arréssontdon12 = 9+1+1+1et12 = 4+4+4+0.Lesélémentsde Z4dontlearréomporteun9ettrois1sont{(±3,±1,±1,±1),(±1,±3,±1,±1), . . .}.Ilyena4· 24.LesélémentsdeZ4dontlearréomporteun0ettrois4sont{(0,±2,±2,±2),(±2,0,±2,±2), . . .}.

Ilyena4·23.Onaainsitrouvé4·23·(2 + 1) = 12·8 = 96déompositions.

And'étudierlesrd(n),onintroduitlasériegénératrie φd(q) =

X

m=0

rd(n)qn.

Ilsetrouveque esséries φd ont dessymétries mirauleuses,qui vontnous permettrede les réérire,and'obtenirune expressionderd.

2 Le jardin des délies modulaires

2.1 Premières dénitions

NotonsHledemiplanhyperbolique(oudemi-plandePoinaré)

H={z∈C : Im(z)>0}.

Notons

Γ(1) =SL2(Z) ={ a b

c d

∈SL2(R) :a, b, c, d∈Z}

Γ0(N) ={ a b

c d

∈Γ(1) :N|c}.

NousnoteronsΓungroupeégalàΓ(1)ouàunΓ0(N).

LegroupeΓ(1)agitsurH parhomographie:

γ·z= az+b

cz+d z∈H etγ=

a b c d

∈SL2(Z).

L'ationdeγ∈Γ(1)envoiebienH dansH arIm(γ·z) = Im(z)

|cz+d|2.

(5)

Remarque. Onaainsi une ationde P SL2(Z) =SL2(Z)/{±1} surH puisque l'ationde γ ne

dépend quede salassedans P SL2(Z).

Dénition4. Pourγ=

a b c d

∈Γet z∈H,onpose

j(γ, z) = dz

d(γ·z)

z

= (cz+d)2

Proposition 5. Lafontion j vériel'équation

j(γγ, z) =j(γ, γ·z)j(γ·z)

Démonstration. Érire j(γ, z) =

dz d(γ·z)

z

et appliquer la règle de dérivation pourles fontions

omposées.

Dénition 6. Soit k ∈ N. On appelle fontion faiblement modulaire de poids 2k pour Γ toute

fontion méromorphef surledemi plan H,telleque

∀γ∈Γ, f(γ·z) =j(γ, z)kf(z).

Ladénition préédentesigniequelaformediérentiellef(z)(dz)k estΓ-invariante,'est-à- dire

∀γ∈Γ, f(γ·z)(dγ·z)k =f(z)(dz)k.

Laproposition5rendladénitionohérentear

f((γγ)·z) =j(γγ, z)f(z) =j(γ, γ·z)j(γ, z)f(z) =j(γ, γ·z)f(γ·z) =f(γ·(γ·z))

Soitf unefontionfaiblementmodulaire.D'aprèsladénitionappliquéeàγ=

1 1 0 1

,on

af(z) =f(z+ 1).Onpeutdonériref ommesommedesa sériedeFourier(f.AnnexeA),et

l'exprimerommefontiondeq=e2iπz,quenousnoterons: f(z) =X

nZ

cne2πnye2iπnx

f˜(q) =X

nZ

cnqn.

Lafontionestméromorphedansledisque|q|<1privédel'origine.

Dénition 7. Soit f une fontion faiblement modulaire. Sidénie omme préédemment se prolongeenunefontionméromorphe(resp.holomorphe)àl'origine,onditquef estméromorphe

(resp.holomorphe) àl'inni.

CelasigniequeadmetundéveloppementdeLaurentauvoisinagedel'origine:

f˜(q) =X

nZ

cnqn

lescn sontnulspournassezpetit(resp.pourn <0).

Lorsquef estholomorpheàl'inni,onposef(∞) = ˜f(0), 'estlavaleurdef àl'inni.

(6)

−2 −1 −1/2 0 1/2 1 2 ρ

S

STS ST ST

T−1 T

−1 −1

ST S 1

T S−1 TS

Fig.1Domainefondamental deΓ(1)et sesimagesparquelqueséléments.

2.2 Étude du groupe

Γ(1)

SoientS etT leslassesdeséléments

0 −1 1 0

et

1 1 0 1

deΓ(1).Onalesrelations: S2= 1, (ST)3= 1.

SoitDlesous-ensembledeHformédespointsztelsque|z|>1et|Re(z)|61/2.Nousallons

montrerqueDestundomainefondamental del'ationdeΓ(1) surH.En d'autrestermes:

Théorème 8. 1. Pourtoutz∈H,ilexiste γ∈Γ(1) telqueγ·z∈ D.

2. Supposonsquedeuxpointsdistintsz, z∈ DsoientongrusmoduloΓ(1).Onaalorsz∈∂D,

oupluspréisément,soit Re(z) =±1/2etz=z±1,soit |z|= 1 etz=−1/z=−z.

3. Soitz∈ D,etsoit I(z) ={γ∈Γ(1)/{±1}:γ·z=z}lestabilisateur de z dansΓ(1)/{±1}.

On aI(z) ={1}sauf danslestroisassuivants:

z=i,auquel asI(z)estle groupe d'ordre2engendréparS;

z=ρ=e2iΠ3 ,auquel asI(z)est legrouped'ordre 3engendrépar ST;

z=−ρ,auquel asI(z)est legrouped'ordre 3engendrépar T S.

Démonstration. Soit Γ legroupe engendrépar S et T. Nous allonsmontrerqu'il existe γ ∈Γ

telqueγ·z∈ D, equidémontreral'assertion1.duthéorème8.Siγ=

a b c d

∈Γ,ona

Im(γ·z) = Im(z)

|cz+d|2. (1)

Commecetdsontentiers,lenombredeouples(c, d)tels que|cz+d|soitinférieuràunnombre

donnéestni.Onenonlutqu'ilexisteγ∈ΓtelqueIm(γ·z)soitmaximum.Onpeutsupposer,

quitteàomposerpar unTk,que lapartieréelle deγ·z est ompriseentre12 et 1

2. L'élément

γ·zappartientàD;eneet,ilsutdevoirque|γ·z|>1,sinon,sil'onavait|γ·z|<1,l'élément

1

γ·z auraitunepartie imaginairestritementplusgrandequeIm(γ·z),equiest impossible.

Prouvonsmaintenantl'assertion 2.duthéorème 8:

Soientz∈ Detγ=

a b c d

∈Γ(1)telsqueγ·z∈D.Quitteàremplaer(z, γ)par(γ·z, γ1),

onpeutsupposerque Im(γ·z)>Im(z), i.e.que|cz+d| est61. Cei estimpossiblesi |c|>2

ar|c|23 6|c Im(z)|6|cz+d|61.Restentdonlesasc= 0,1,−1.

Si c = 0 alors d = ±1 et γ est une translation par ±b. Comme Re(z) et Re(γ·z) sont

omprisentre−1/2et1/2 alorsl'unvaut−1/2etl'autre 1/2.

(7)

Si c = 1 alors|z+d|61 entraîne d= 0, saufsi z =ρ(resp.z =−ρ) auquelas onpeut

avoird= 0,1(resp.d= 0,−1).Leasd= 0donne|z|61don|z|= 1.Commead−bc= 1

alorsb=−1.Donγ·z=a−1z etlapremièrepartiedeladisussionmontrequea= 0sauf

si Re(z) =±1/2,i.e.si z=ρou−ρ,auquelas onpeutprendrea= 0,−1oua= 0,1.Le

as z=ρ,d= 1, donnea−b = 1etγ·ρ=a−1/(1 +ρ) =a+ρ,d'où a= 0,1;ontraite

demêmeleasz=−ρ,d=−1.

Leas c=−1 seramèneauasc= 1 enhangeantlessignesdea, b, c, d(e quinehange

pasγ).

Ceiahèvelavériationdesassertions2.et3. etdonduthéorème8.

Théorème 9. Le groupeP SL2(Z) = Γ(1)/{±1} estengendréparS etT.

Démonstration. Soit γ un élément deΓ(1). Choisissonsunpoint z0 intérieur à D (parexemple 2i),et soit z =γ·z0. On avu plushautqu'ilexiste γ ∈Γ tel queγ·z ∈ D. Lespointsz0 et

γ·z= (γγ)·z0 deDsontongrusmoduloΓ(1),etl'und'euxestintérieuràD.D'après2.et3.,

il en résulte quees points sontonfondus et que γγ =±1.On abien γ ∈Γ, equi ahèvela

démonstration.

Remarque. 1. Onidentie S,Tetleursimages respetives dansP SL2(Z).

2. Enfait, P SL2(Z) = < S, T :S2= 1,(ST)3= 1>,'est-à-dire queP SL2(Z) estl'ensemble

desmots enS etT,moduloles2relationsS2= 1 et(ST)3= 1.

PosonsD =

z∈ D/non(|z|= 1et Re(z)>0)et(Re(z)6= 1/2) .

Corollaire10. L'appliation anoniqueD→H/Γ(1)estbijetive.

2.3 Étude du groupe

Γ

0

(4)

2.3.1 Préliminaires

Posons a=

1 0 4 1

∈Γ0(4) et b=T=

1 1 0 1

∈Γ0(4)

Γa,b= lesous-groupedeΓ0(4)engendrépara, b DΓ0(4) =

z∈H/ |Re(z)|61/2

et |z±1/4|>1/4 .

Montronsd'abordqueDΓ0(4) estundomainefondamentaldel'ationdeΓ0(4)sur H.

Proposition 11. L'indie de Γ0(4)dansΓ(1) est6.

Démonstration. Lemorphismedegroupeanoniqueϕ: Γ(1)→SL2(Z/4Z)est surjetif.Soit B=ϕ(Γ0(4)) =n a b

c d

∈SL2(Z/4Z) :c= 0o .

L'appliationϕpasse auquotientet donneuneappliation

˜

ϕ: Γ(1)/Γ0(4)→SL2(Z/4Z)/B.

L'appliation ϕ˜ est surjetive ar ϕ l'est. Elle est injetive ar ϕ1(B) = Γ0(4). Don l'indie [Γ(1) : Γ0(4)] = [SL2(Z/4Z) :B].

Lemme. Leardinal deGL2(Z/4Z) est96.

(8)

touslesveteurssauf

0 0

,

2 0

,

0 2

et

2 2

,equi donne12 = 4·4−4 possibilités.

Pour le deuxième veteur, on a le hoix parmi tous les veteurs sauf les 4préédents et les

multiples dupremier veteurs(qui ne peuvent être parmi les 4préédents). Ce qui nous donne

8 = 4·4−4−4 possibilités.Finalementleardinalreherhéest12·8 = 96.

Paronséquent,leardinaldeSL2(Z/4Z)est 48.LeardinaldeB est 8(2possibilitéspour ladiagonaleet4pourleoinsupérieurdroit).Finalement

[Γ(1) : Γ0(4)] = [SL2(Z/4Z) :B] = 6

Proposition 12. Leséléments1,S,T

1

S,TS,T

2

S ouT

2

S,ST

2

S ouST

2S sont desreprésen-

tantsde haque lassed'équivalene de Γ/Γ0(4).

Démonstration. Onvérieaisémentàlamainqueesélémentsnesontpasdanslamême lasse.

Parexemplepour TS et T

1

S, on a(T1S)1·TS=S T2S =

1 0 2 1

∈ Γ(1)\Γ0(4). Comme

l'indieest 6,onreprésentebien toutesleslasses.

Notonslesélémentspréédentsrespetivementg1, g2, g3, g4, g5 etg5, g6 etg6.

2.3.2 Résultats

Théorème 13 (DomaineFondamental).

1. Pour toutz∈H,il existeΓ∈Γ0(4)tel queγ·z∈ DΓ0(4).

2. Supposonsque deuxpointsdistints z, z∈ DΓ0(4) soientongrus moduloΓ0(4).On aalors,

soit Re(z) =±1/2 etz=z±1,soit |z±1/4|= 1/4 etz= 1/(∓4z+ 1).

3. ∀z∈ DΓ0(4),I(z) ={1} I(z)est lestabilisateurde z dansΓ0(4)/{±1}.

Démonstration. NotonsD1 etD2lesdemi pavés

D1={z∈ D/Re(z)60} et D2={z∈ D/Re(z)>0}.

Alors

DΓ0(4)= (i=14 gi 1D)[

(i=56 gi 1D1)[

(i=56 g′−i 1D2).

Demême notonsD1 etD2 lesdemipavésrestreints

D1={z∈ D/Re(z)<0} et D2={z∈ D/Re(z)>0}.

Posons

DΓ0(4)=

(i=14 gi1D)[

(i=56 gi1D1)[

(i=56 gi′−1D2)

− {S·ρ,ST1·i,ST2·i}.

LedomaineDΓ0(4) estdessinédanslagure2.C'estunerestritiondeDΓ0(4) pourlaquelleon

n'aqu'unreprésentantparlasse.

Montrons l'assertion1.:Soitz∈H,ilexiste g∈Γ(1)telqueg·z∈ D.Posons

γ=

ggi 1 sig∼gi pour16i64

ggi 1 sig∼gi pouri= 5,6et g·z∈ D1

gg′−i 1 sig∼gi pouri= 5,6et g·z∈ D2.

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