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Les occupants de résidences principales en Pays de la Loire

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Academic year: 2022

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connaissance des territoires et évaluation

novembre 2011

n° 51

Les occupants de résidences principales en Pays de la Loire

Une accession à la propriété particulièrement forte et précoce

Au 1er janvier 2009, la région des Pays de la Loire compte 1 487 040 ménages.

Au cours des 10 dernières années, leur nombre a crû davantage que sur le reste de la France, notamment en Vendée ainsi que dans les zones périphériques et rurales. Dans le même temps, la taille des ménages a diminué, passant de 2,53 à 2,38 personnes en moyenne. La conjonction de ces deux évolutions a entraîné une demande particulièrement forte de logements nouveaux.

Les ménages ligériens se caractérisent par une accession à la propriété largement tournée vers le logement individuel, à la fois importante et précoce. Le phénomène est d’autant plus à souligner que les moins de 40 ans sont proportionnellement (un peu) plus nombreux qu’ailleurs. Toutefois, la croissance des ménages est, ici comme ailleurs, surtout alimentée par les plus de 40 ans.

Les ménages ligériens sont peu concernés par les problèmes de sur-occupation qui affectent essentiellement les familles de 5 et surtout 6 personnes ou plus.

Les caractéristiques des logements occupés, particulièrement le statut d’occupation (propriétaires/locataires) et le type (individuel/collectif), mais également la surface habitable par personne, sont très dépendants des caractéristiques des ménages (âge, situation familiale, revenus). On observe également des spécificités liées aux types de territoires occupés (villes centres d’agglomération, banlieues, périphéries, rural, littoral).

L’ancienneté des logements occupés est corrélée avec l’âge des occupants, principalement au sein des ménages propriétaires.

Une forte croissance du nombre de ménages

Au 1er janvier 2009, la région des Pays de la Loire compte 1 487 040 ménages fiscaux occupant 1 529 786 résidences principales, correspondant à 5,8% des ménages et 5,7% de la population de France métropolitaine.

Durant la décennie écoulée, le nombre de ces ménages a crû au taux annuel moyen de 1,5 %, supérieur de 0,4 % à celui des ménages de l’ensemble de la France métropolitaine.

Evolution du nombre de ménages - Base 100 = 1999

100 105 110 115 120 125 130 135

1999 2001 2003 2005 2007 2009

littoral rural rural ville moyenne peripherie banlieue centre

Particulièrement élevé en Vendée, où il atteint 2,3 %, ce rythme correspond à une progression de 25 % sur 10 ans.

Il est également supérieur à la moyenne régionale en Loire-Atlantique (1,7 %), mais plus modéré sur les autres départements de la région (1,1 à 1,2 %), tout en y étant très proche de la moyenne nationale.

Présente dans tous les types de territoires, cette évolution est néanmoins nettement plus marquée dans les périphéries de grandes agglomérations et plus encore sur le littoral rural où elle atteint respectivement 2,4 % et 2,7 %. Viennent ensuite le rural proprement dit et les villes moyennes (1,7 %), puis les banlieues (1,3 %). C’est dans les centres de ces mêmes agglomérations qu’il est le moins manifeste (0,6 %).

Ce rythme de progression du nombre des ménages est par ailleurs supérieur de 0,6 % à celui de l’ensemble des occupants. Ce décalage est la conséquence de la décohabitation qui résulte à la fois des déformations de la pyramide des âges et d’une forte évolution des modes de cohabitation.

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP

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Une croissance surtout alimentée par les ménages de plus de 40 ans.

La structure par âge, la situation familiale, le nombre de personnes hébergées, pèsent sur les besoins en logements et sur l’évolution du parc. On soulignera donc que :

- les ménages dont le référent a moins de 60 ans (a priori, est en âge d’être actif) sont plus spécialement présents dans les principales aires urbaines, mais en proportions différentes dans les centres, les banlieues et les périphéries, variant notamment avec les tranches d’âge composant ce groupe ;

- les ménages dont le référent a plus de 60 ans sont proportionnellement plus nombreux sur les franges rurales de la région et surtout le littoral, mais sans être absents des autres types de territoires.

Les ménages dont le référent est âgé de moins de 40 ans ne progressent pas aussi intensément ni uniformément sur le territoire régional que leurs homologues plus âgés : ce sont principalement la Loire-Atlantique et la Vendée ou encore les périphéries des principales agglomérations et le rural qui les attirent. Leurs effectifs diminuent en revanche en Mayenne et dans la Sarthe, d’une part, dans les banlieues d’autre part.

Une diminution de la taille des ménages, tombée en 2009 à 2,38 personnes par ménage

En Pays de la Loire, les ménages se répartissent grosso modo entre un (petit) tiers de ménages d’une seule personne, un (petit) tiers de ménages de deux personnes, un (gros) tiers de ménages d’au moins trois personnes.

Comme sur l’ensemble de la France, la taille des ménages diminue globalement (2,38 personnes par ménage en 2009, contre 2,53 en 1999). Cette diminution résulte d’une forte augmentation des ménages de une et deux personnes, d’une croissance modérée des trois ou quatre personnes et d’une diminution des ménages de plus grande taille.

Cette taille atteint un maximum dans les tranches d’âge 25 –39 ans (2,7) et plus encore 40 – 59 (2,9), elle tombe à 1,9 entre 60 et 74 ans, puis à 1,5 au-delà. Les ménages monoparentaux, bien que privés d’un adulte, comptent en moyenne autant sinon davantage d’occupants que ceux mariés ou pacsés (plus de 3 occupants dans les deux cas).

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP

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Des revenus plus élevés en Loire-Atlantique, dans les périphéries et plus encore les banlieues

Les revenus moyens par ménage sont le reflet de la structure par âge (plus faibles chez les ménages jeunes et âgés, maximaux chez les 40 – 59 ans) et de la situation familiale (les ménages en couple bénéficient souvent de deux revenus réguliers, ce qui conduit leur ménage à un revenu moyen supérieur de plus de 75 % aux autres).

Les ménages à faibles revenus sont surtout présents dans les centres des principales agglomérations et l’espace rural, sans être absents des villes moyennes et du littoral. Les ménages à haut revenus sont plus nombreux dans les banlieues, dans les centres et périphéries d’agglomérations et sur le littoral (rural) secondairement.

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP

Un cadre familial qui impacte nettement la répartition territoriale

64,2% des ménages ligériens vivent en couple – parmi lesquels 49,7% sont mariés ou pacsés ; ils sont partagés en 34,6% de ménages sans personne à charge et 29,6% de ménages avec personne(s) à charge. Les ménages

« isolés » sans personne à charge représenteraient de leur côté 30,7% de l’ensemble des ménages ; avec personne(s) à charge (ménages « monoparentaux vrais »), leur proportion est estimée à 5,1%.

Les ménages en union libre sont répartis de façon assez homogène - leur proportion variant entre 12,4% et 15,6%

selon les types de territoire. En revanche, les ménages mariés ou pacsés sont nombreux dans les zones faiblement urbanisées (périphéries des villes en premier lieu, puis espace rural et banlieues), où leur part varie entre 60 et 53%, et beaucoup moins présents (35%) dans les villes centres, seul type de territoire sur lequel les ménages isolés sont majoritaires.

La présence (ou non) de personnes à charge au sein des ménages constitue un autre paramètre de différenciation spatiale. On observe une nette prédilection pour la périphérie (des principales agglomérations) des ménages ayant des personnes à charge, alors qu’à situation familiale identique, les ménages n’en ayant pas (ou plus) sont plutôt mieux représentés dans les villes centres et sur le littoral. La présence de personnes à charge amplifie donc la propension des ménages en couple à vivre en zone peu urbanisée.

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Un faible niveau de sur-occupation des logements

En Pays de la Loire, la proportion des ménages vivant dans un logement exigu (au regard des critères normatifs d’occupation) est faible, et la comparaison avec les données nationales est avantageuse quel que soit l’échelon territorial retenu. Les taux régionaux de ménages exposés à une sur-occupation voire à une sur-occupation lourde, à savoir 127 et 38 pour 10 000 sont très sensiblement inférieurs à leurs homologues nationaux (respectivement 204 et 66 pour la France de province, 316 et 119 pour la France métropolitaine).

Cette sur-occupation, qu’il convient donc de relativiser, affecte principalement les familles nombreuses (à partir de 5 personnes) et/ou monoparentales. Elle concerne au premier chef les logements sans ou de peu de confort et de très petite taille, de moins de 55 et surtout de 35 m². Les autres critères apparaissent moins discriminants ; néanmoins, les ménages du parc locatif, surtout privé, habitant en logements collectifs, et/ou datant d’avant 1949, sont plus exposés.

Une accession précoce des ménages ligériens à la propriété et plus encore au logement individuel

Dès 40 ans (âge du référent), la part des ménages propriétaires occupants de leur logement est supérieure à la moyenne nationale.

Avec un taux de 47,7 %, la part des ménages de moins de 40 ans qui sont propriétaires fait de la Vendée le 1er département français à ce titre (la moyenne de province correspondante étant de 35,5 %). Le département de la région le moins bien classé (le Maine-et-Loire) arrive quand même en 23ème position !

Au total, dans les Pays de la Loire en 2009, l’âge théorique des ménages à partir duquel la part des propriétaires occupants devient majoritaire est estimé à 50,2 ans (il est de 57,0 ans dans la France de province et de 59,4 ans dans l’ensemble de la France métropolitaine).

% cumulé de ménages propriétaires selon l'âge

0% 20% 40% 60% 80%

Vendée Sarthe Mayenne Maine-et-Loire Loire-Atlantique Pays de la Loire France province France métropolitaine

avant 25 ans entre 25 et 40 ans entre 40 et 60 ans ensemble

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP

Une ancienneté de construction fortement corrélée avec l’âge des occupants, surtout propriétaires

Répartition des ménages ligériens selon tranche d'âge et ancienneté de construction du logement

0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100

% Moins de 25 ans

De 25 à 39 ans De 40 à 59 ans De 60 à 74 ans 75 ans ou plus Ensemble des ménages

Avant 1949 De 1949 à 1967 De 1968 à 1974 De 1975 à 1981 De 1982 à 1989 De 1990 à 1999 Après 2000

La proportion des ménages de 25 à 39 ans est particulièrement élevée dans le parc construit à partir de 2000, celle des ménages de 40 à 59 ans dans les logements de la période 1982 – 1999, celle des ménages de 60 à 74 ans dans ceux de la période 1968 – 1981.

La représentation des ménages âgés de 75 ans ou plus est spécialement forte dans les résidences dont la construction est antérieure à 1975.

À l’écart de ce schéma, les ménages de moins de 25 ans, très majoritairement locataires, occupent proportionnellement davantage le parc récent et surtout le parc très ancien (construit avant 1949), et donc beaucoup moins le parc intermédiaire.

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP

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L’incidence de la situation de famille et du nombre de personnes sur les caractéristiques du parc occupé

Toutes proportions gardées, on trouve davantage d’occupants propriétaires et/ou titulaires de logements individuels chez les couples mariés ou pacsés que chez ceux vivant en union libre, de locataires parmi les ménages isolés, surtout du parc social lorsqu’ils ont des personnes à charge.

La proportion de logements individuels est voisine de 90 % chez les ménages mariés, de 75 % chez les ménages en union libre, de 55% chez les ménages isolés..

Les couples occupent davantage de logements récents, les ménages isolés sont proportionnellement plus nombreux dans les plus anciens. Quelle que soit la situation familiale, la présence de personnes à charge constitue un facteur favorable à l’occupation de logements récents.

Les couples, surtout mariés, occupent plutôt de grands logements, les ménages isolés de petits logements.

L’incidence de la présence de personnes à charge sur la taille des logements occupés est surtout importante au sein des union libres comme des ménages isolés.

Les propriétaires sont plus fréquents parmi les ménages de 2 à 5 personnes, moins chez les ménages d’une seule personne mais également de 6 personnes ou plus.

Les logements individuels sont d’autant plus convoités que les ménages sont plus grands jusqu’à 5 personnes, leur proportion diminue toutefois légèrement chez les très grands ménages (à partir de 6 personnes).

Une surface habitable de 89,1 m² par logement occupé au titre de résidence principale, comprise entre 68,4 m² pour les ménages d’une seule personne et 116,5 m² pour les ménages de 6 personnes ou plus La part des « grands » et « très grands » logements (surfaces habitables supérieures à 75 et 95 m²), s’élève à 63,7 %, elle concerne 30 % des ménages de 1 personne, pourcentage qui s’élève lorsque leur taille augmente.

La part des « petits » et « très petits » logements (surfaces habitables inférieures à 55 et 35 m²) est de 15,4 %. Elle atteint 35 % chez les ménages d’une seule personne pour tomber à 10 % chez les ménages de 2 personnes et diminuer progressivement ensuite. La presque totalité des plus petits logements est l’apanage des ménages d’une seule personne.

En lien avec le nombre d’occupants, les plus grands logements sont le fait des tranches 40 - 59 et 60 – 74 ans. La diminution de la taille moyenne des logements à partir de 60 ans est cependant bien plus faible que celle du nombre des occupants, il en résulte des surfaces moyennes de logements beaucoup plus élevées.

La surface moyenne par logement est également influencée par la situation de famille du référent : à nombre de personnes identique, elle est plus importante chez les ménages mariés et pacsés, plus faible au sein des familles monoparentales.

La surface moyenne par logement est encore sensible au type de logement lui-même fortement corrélé avec le statut d’occupation : les propriétaires de logements individuels bénéficient ainsi de surfaces habitables par occupant supérieures de 25 à 50%.

La surface moyenne par logement est par ailleurs sensible à la localisation résidentielle : à nombre de personnes identique, elle est nettement plus faible dans les centres des principales agglomérations (une dizaine de m² sous la moyenne régionale).

Source : DREAL des Pays de la Loire / Filocom d’après la DGFIP Relation entre surface habitable par logement et taille

(nombre de personnes) des ménages selon leur localisation territoriale

55 60 65 70 75 80 85 90 95 100 105 110 115 120 125

1 2 3 4 5 6 ou plus

littoral rural rural

villes moyennes peripheries princ. agglos banlieues princ. agglos centres princ. agglos

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Source et concepts

Présentation de la source FILOCOM

FILOCOM (FIchier des LOgements à la COMmune) résulte de l’appariement de 4 fichiers gérés par la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) : fichier de la taxe d’habitation, fichier foncier (des propriétés bâties), fichier des propriétaires, et fichier de l’Impôt sur les Revenus. Il est fourni tous les deux ans au service statistique du MEEDDM.

Le fichier contient des informations quantitatives et localisées décrivant au 1er janvier des années impaires : le parc de logements (type individuel ou collectif, mode d’occupation, année de construction, nombre de pièces, surface, etc.), les occupants (statut d'occupation, composition des ménages, nombre de personnes occupant le logement, revenus, durée d’occupation du logement, etc.), les propriétaires (personnes physiques ou morales, âge, lieu de résidence, etc.), ainsi que les mutations de logements au cours des cinq dernières années.

Les concepts et modes de collecte (sources administratives, enquêtes) diffèrent de ceux en usage pour d'autres sources comme le Recensement conduit par l’Insee, ce qui peut expliquer quelques différences de résultats. Il faut donc manier les comparaisons avec précaution et en connaissance de cause, le champ couvert par une même variable pouvant différer d'une source à l'autre.

Concepts territoriaux utilisés

Les concepts de centres, banlieues et périphéries, renvoient aux aires urbaines rattachées à des unités urbaines de 50 000 habitants ou plus qui toutes sont des pôles urbains. On en compte 8 en Pays de la Loire : Nantes, Angers, Le Mans, Saint-Nazaire, Laval, La Roche-sur-Yon, Cholet, Saumur :

- le centre correspond à la commune la plus peuplée de l’aire urbaine ;

- dans la banlieue sont incluses le cas échéant les autres communes du pôle urbain associé ; - la périphérie réunit les communes de la couronne péri-urbaine.

Les villes moyennes correspondent aux autres aires urbaines (14 en Pays de la Loire) rattachées à des unités urbaines de moins de 50 000 habitants.

L’espace rural au sens large couvre l’ensemble des communes non rattachées à une aire urbaine. Dans la présente étude sont distinguées les communes du littoral, issues de l’inventaire de l’ex-Institut Français de l’Environnement, des communes du (de l’espace) rural proprement dit.

Notas :

- Le zonage utilisé est issu du Recensement de 1999 ;

- Les communes littorales faisant partie d’une aire urbaine sont considérées en tant que composantes de l’aire urbaine et non en tant que communes littorales ;

- Avec l’intégration des résultats du Recensement Rénové, les concepts utilisés devraient faire l’objet de révisions périodiques à compter de l’automne 2011.

Concept de situation de famille

La situation familiale fiscale des ménages diffère de leur situation vécue.

En effet, outre la prise en compte de l’éventuelle présence de personnes à charge, la situation familiale considérée au plan fiscal associe les concepts de statut matrimonial (marié, pacsé, célibataire, divorcé, veuf) et, pour les célibataires, divorcés et veufs, de monoparentalité. Cette situation fiscale ne préjuge aucunement de la situation de fait vécue par ces ménages, en particulier dans l’occupation de leur logement.

L’approche vécue introduit le concept de ménages en couple (avec ou sans personne à charge), absent de l’approche fiscale, et celui, complémentaire, de ménages « isolés » (également avec ou sans personne à charge). Au sein des couples, il convient de distinguer les ménages mariés ou pacsés des ménages en situation informelle (union libre) qui ne répondent pas aux mêmes caractéristiques d’occupation des résidences principales ni de répartition spatiale .

Les ménages isolés avec personne(s) à charge sont considérés comme ménages

« monoparentaux vrais ».

C’est cette approche vécue qui est ici prise en considération.

DREAL 2011

Service connaissance des territoires et évaluation Division de l’observation des études et des statistiques

34 Place Viarme- BP 32 205 44022 NANTES Cedex 1 Tél. 02 40 99 58 13

Directeur de la publication : Hubert FERRY-WILCZEK ISSN : 2109 - 0025 Rédaction et mise en forme :

Sylvain Le Goff

sylvain.legoff@developpement-durable.gouv.fr

Les occupants des

résidences principales

Références

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