La haute disponibilité avec VMware

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BTS SIO 2014 La haute

disponibilité

avec VMware

PPE : vCenter

FALCHI_SOUBRAT_RAYMOND

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LA HAUTE DISPONIBILITE AVEC VMWARE FALCHI_SOUBRAT_RAYMOND 1/61

Table des matières

I- Définition ... 2

II- Contexte ... 3

III- Outils ... 5

IV- Pour comprendre ... 5

V- Mise en œuvre ... 12

5.1- Déploiement et configuration de l’Appliance Virtuelle vCenter ... 12

5.2- Création d’un Data Center ... 23

5.3- Création d’un Cluster ... 24

a- Configuration de la DRS ... 25

b- Configuration du DPM ... 26

c- Configuration de la HA du cluster ... 27

d- Configuration EVC ... 29

e- Emplacement des fichiers de SWAP ... 30

5.4- Ajout un ESXi (hôtes) a Cluster ... 33

5.5- Test de la HA ... 36

5.6- Ajouter une alarme sur ESXI ou sur une VM ... 37

5.7- Migration avec Storage vMotion ... 40

5.8- Cloner une Machine Virtuelle ... 44

5.9- Ajouter un NAS à ESXi ... 48

5.10- Installation du Client Web vSphere ... 58

VI- Détails du projet ... 59

VII- Sources ... 61

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I- Définition

Quel que soit le service rendu par un système informatique, il est essentiel que les utilisateurs aient confiance en son fonctionnement pour pouvoir l'utiliser dans de bonnes conditions. On appelle la haute disponibilité (high availability) toutes les dispositions visant à garantir la disponibilité d'un service, 24H/24, 7jour/7. La haute disponibilité est un terme souvent utilisé en informatique, à propos d'architecture de système ou d'un service pour désigner le fait que cette architecture ou ce service a un taux de disponibilité convenable. La disponibilité est aujourd'hui un enjeu important des infrastructures informatiques.

Deux moyens complémentaires sont utilisés pour améliorer la haute disponibilité :

la mise en place d'une infrastructure matérielle spécialisée, généralement en se basant sur de la redondance matérielle. Est alors créé un cluster de haute-disponibilité pour avoir accès aux données

la mise en place de processus adaptés permettant de réduire les erreurs, et d'accélérer la reprise en cas d'erreur, pour la disponibilité des services

En effet, la panne d'un système informatique peut causer une perte de productivité et d'argent, voire des pertes matérielles ou humaines dans certains cas critiques. Il est ainsi essentiel d'évaluer les risques liés à un dysfonctionnement d'une des composantes du système d'information et de prévoir des moyens et mesures permettant d'éviter ou de rétablir dans des temps acceptables tout incident.

Les risques de pannes peuvent être :

physiques naturelle ou criminelle désastre naturel

environnement panne matérielle panne du réseau coupure électrique origines humaines erreur de conception

origines opérationnelles, lié à un état du système à un moment donné bogue logiciel

dysfonctionnement logiciel malveillance intentionnelle

La disponibilité s'exprime sous la forme de taux de disponibilité, exprimé en pourcentage, en ramenant le temps de disponibilité sur le temps total. Le tableau suivant présente le temps d'indisponibilité sur une base d'une année en fonction du taux de disponibilité.

Taux de disponibilité Durée d'indisponibilité

97% 11 jours

98% 7 jours

99% 3 jours et 15 heures

99,9% 8 heures et 48 minutes

99,99% 53 minutes

99,999% 5 minutes

99,9999% 32 secondes

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II- Contexte

La salle 351 dispose de 16 serveurs ESXi 5.1 avec 16 clients pour administré ESXi avec vSphere Client. Les postes sont placés sous forme de quatre plots disposant chacun d’un NAS. Voici le schéma actuel de notre installation.

On souhaite que les VM d’ESXi soient disponibles sur les NAS pour que quand un ESXi tombe en panne un autre ESXi prend le relais de ses VM. Voici un schéma détaillé de ce que l’on souhaite faire :

Un client est connecté sur le serveur ESXi 1 qui lui-même gère les VM sur le NAS-1, idem pour ESXi 2.

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Si le serveur ESXi 1 venait à tomber en panne, le serveur ESXi 2 récupère automatiquement les VM présentent sur le NAS-1. Ce qui veut dire que, non seulement il gère les VM du NAS-2 mais aussi celle du NAS-1.

C'est la haute disponibilité (HA).

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III- Outils

Trois serveurs ESXi avec quelque VM, dont un avec au moins 100 Go d’espace libre.

vSphere client pour administrer ESXi, téléchargeable par un navigateur WEB à l’aide de l’IP d’ESXi

Le logiciel VMware vCenter 5.1 Virtual Appliance sous licence, téléchargeable sur le site VMware comprennent 3 fichiers avec les extensions suivantes, .OVA, .OVF et .VMDK (nous nous ferons un plaisir de vous passer les fichiers)

IV- Pour comprendre

VCenter : est l'outil de gestion phare de la gamme ESX. Cet outil de gestion permet de gérer l'ensemble des machines virtuelles et des hôtes physiques. Il est également possible à travers cette interface de gérer :

les alarmes de supervision (CPU/RAM)

les templates (enveloppes de systèmes d'exploitation préconfigurés)

l'utilisation des options (HA, VMotion, DRS, FT)

Cet outil nécessite l'installation d'une base de données (Oracle ou MS SQL Server). Toutefois, pour de simples tests, on peut s'en passer grâce à la présence d'une base de données intégrée. Mais, pour des tests importants de la production ou encore un vCenter pour plusieurs ESX, l'utilisation d'une base de données complète est indispensable. Toutes les données et les statistiques d'utilisation des ressources sont stockées ainsi que l'ensemble de la configuration. La base de données intégrées n'est pas configurée pour gérer un inventaire contenant plus de 5 hôtes et 50 machines virtuelles. Le dépassement de ces limites peut causer de nombreux problèmes, y compris l'arrêt de réponse de vCenter Server.

Depuis la version 5.0 de vSphere, l'outil vCenter est disponible sous forme d'Appliance Virtuelle préconfigurée, fonctionnant sur une distribution Linux Suse. Cette Appliance se nomme vCSA (vCenter Server Appliance).

VCenter Server Appliance : est une VM basée sur Linux préconfigurée et optimisée pour l'exécution de vCenter Server et des services associés. On trouve également VMware VCenter Server Appliance sous forme d’une suite de logiciel pour l’installer sur une machine Windows.

Appliance : serveur affecté à une seule tâche particulière. Lorsqu'il est acheté (configuré, avec tous les périphériques nécessaires, il n'y a plus qu'à le brancher pour qu'il effectue courageusement son travail) on parle d’Appliance, Par exemple, une LiveBox, un appareil photo numérique, un smartphone, une unité de disque NAS. Il a souvent un brave petit noyau Linux dans le ventre. Serveur applicatif en français, on précise parfois « dédié ».

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VSphere Storage VMotion : permet de déplacer les VM à chaud sans interruption du service d’un ESX a un autre. Il faut vérifier avant la transaction que la zone de stockage soit accessible par l'hôte source et la cible. Il est intégré à vCenter comme un plugin. Cette opération est possible lorsque les serveurs hôtes utilisent des microprocesseurs compatibles et que l'espace de stockage des fichiers des VM se trouve partagé sur un SAN ou un NAS. Le storage VMotion utilise la technologie du "Changed Block Tracking" ainsi que la technologie de snapshot.

VSphere HA : si un ESXi tombe en panne les VM concerné sont redémarré automatique sur un autre ESX qui a une capacité suffisante pour reprendre le service. Il est intégré à vCenter comme un plugin. Dans ce cas, la reprise ne se fait pas à chaud comme une migration simple avec VMotion, les machines virtuelles sont tout simplement redémarrées sur le second serveur VMware ESX. On peut ainsi avoir de la haute disponibilité au niveau des serveurs VMware ESX. Il surveiller aussi les machines virtuelles et les hôtes vSphere afin de détecter les pannes matérielles et les dysfonctionnements du système d’exploitation client.

DRS : (Distributed Resource Scheduler), cet outil permet la répartition de charges entre plusieurs serveurs ESX.

Plusieurs modes de fonctionnement sont disponibles. Il est par exemple possible de laisser DRS gérer automatiquement les ressources entre serveurs ESX. DRS s'appuie sur le mécanisme de vMotion pour déplacer des machines virtuelles entre les différents serveurs ESX membres d'un cluster. Il est en plus possible de créer des règles d'affinités, les machines virtuelles seront toujours déplacées ensemble, par exemple, cas d'un AD primaire et secondaire).

DPM : (VMware DPM) consolidation de serveurs physiques en machines virtuelles qui peut entraîner des réductions significatives des coûts associés à la maintenance du matériel et la consommation d'énergie. Dynamic Power Management VMware fournit des économies d'énergie supplémentaires au-delà de cet avantage initial en consolidant dynamiquement la charge de travail encore plus pendant les périodes de faible utilisation des ressources. Les machines virtuelles sont migrées sur moins d'hôtes et les hôtes ESX inutiles sont éteints. VMware DPM est une option de DRS.

EVC : VMware EVC est une fonctionnalité de virtualisation de VMware vSphere qui permet aux machines VM de se déplacer entre ESX et ESXi sur différents processeurs. Cette fonctionnalité fonctionne pour les différentes versions de CPU de la même marque. VMware EVC ne peut pas être activé sur vMotion entre les processeurs AMD et Intel.

VMware Consolidated Backup : c'est l'outil de sauvegarde de Virtual Center. Il permet de faire des sauvegardes des machines virtuelles. Il est possible de faire des sauvegardes à chaud, voire de faire des sauvegardes de l'ensemble des machines virtuelles à un moment donné pour éviter tout problème de désynchronisation.

VMware Converter : (P2V : Physical-to-Virtual), c'est un outil de migration qui permet de transformer le contenu d'un serveur physique existant vers une machine virtuelle Vmware. Après avoir fait une image du contenu des disques du serveur physique, VMware Converter analyse celle-ci et y fait des modifications afin de pouvoir amorcer ces disques dans une machine virtuelle.

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OVF = (Open Virtual Machine Format), proposé comme standard de stockage sur disque des images de machines virtuelles pour plusieurs plateformes de virtualisation. Il permettra de garantir la portabilité, l'intégrité, et d'automatiser les phases d'installation/configuration des machines virtuelles.

OVA : est simplement une compression contenant un fichier OVF, étant la configuration de VM.

SSO : l'authentification (Single Sign-On) est une méthode permettant à un utilisateur de ne procéder qu'à une seule authentification pour accéder à plusieurs applications informatiques (ou sites web sécurisés).

Cluster : (en français « grappe ») est une architecture composée de plusieurs ordinateurs formant des nœuds, où chacun des nœuds est capable de fonctionner indépendamment des autres. Dans la haute disponibilité les clusters permettent de répartir une charge de travail parmi un grand nombre de serveurs et de garantir l'accomplissement de la tâche même en cas de défaillance d'un des nœuds.

HTTPS : (Hyper Text Transfer Protocol Secure), c’est la combinaison du HTTP avec une couche de chiffrement.

HTTPS permet au visiteur de vérifier l'identité du site web auquel il accède, grâce à un certificat d'authentification émis par une autorité tierce. Il garantit la confidentialité et l'intégrité des données envoyées par l'utilisateur et reçues par le serveur. Par défaut, les serveurs HTTPS utilise le port TCP 443.

SAN : (Storage Area Network) un réseau de stockage spécialisé permettant de mutualiser des ressources de stockage. Le trafic sur un SAN est très similaire aux principes utilisés pour l'utilisation des disques internes (ATA, SCSI). C'est une mutualisation des ressources de stockage. Dans le cas du SAN, les baies de stockage n'apparaissent pas comme des volumes partagés sur le réseau. Elles sont directement accessibles en mode bloc par le système de fichiers des serveurs. En clair, chaque serveur voit l'espace disque d'une baie SAN auquel il a accès comme son propre disque dur. L'administrateur doit donc définir très précisément les LUN, (unités logiques), le masking et le zoning, pour qu'un serveur Unix n'accède pas aux mêmes ressources qu'un serveur Windows utilisant un système de fichiers différent. Le réseau SAN permet de résoudre les problèmes de connectivité entre plusieurs serveurs et unités de stockage. Il fournit en outre de nouvelles solutions en matière de stockage, telles que le regroupement de disques et de bandes, le partage de données hétérogènes, ainsi que la sauvegarde et la restauration de données hors réseau/sans serveur. Ce réseau secondaire soulage le réseau principal des charges induites par le transfert massif de données, dans la mesure où le trafic de sauvegarde s'effectue uniquement entre les unités de stockage au sein du réseau SAN.

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Il a les caractéristiques suivantes :

Qualité de service (Qos) : le commutateur garantit un débit fixe de 8 Gbit/s par lien en fibre optique, et assure le fait que la requête envoyée par un serveur a bien été reçue et prise en compte par les systèmes de stockage.

la disponibilité : le SAN peut assurer la redondance du stockage, c'est-à-dire l’accessibilité au système de stockage en cas de panne de l’un de ses éléments, en doublant au minimum chacun des éléments du système (haute disponibilité)

l'hétérogénéité : le SAN peut fonctionner dans un environnement complètement hétérogène : les serveurs Unix, Windows, Netware… peuvent tous rejoindre le SAN

performances variables : la performance de l'accès aux disques par un hôte varie en fonction des sollicitations de la part des autres hôtes sur les ressources partagées, elles peuvent donc varier dans le temps

Il existe trois types de SAN :

Fibre Chanel : mise en œuvre de plusieurs switch utilisant la fibre optique, nommé fabric, le plus utilisé de nos jours

iSCSI : utilisant la connective iSCSI sur le protocole TP/IP

FCoE : les trames du protocole Fibre Channel sont transmises sur un réseau Ethernet

NAS : (Network Attached Storage) un serveur de stockage en réseau, est un serveur de fichiers autonome, relié à un réseau dont la principale fonction est le stockage de données en un volume centralisé pour des clients réseau hétérogènes. Le stockage NAS permet, pour sa part, d'ajouter des capacités de stockage sans avoir à immobiliser le réseau. De plus, comme le stockage NAS ignore le système de fichiers, les clients peuvent accéder aux mêmes informations et les partager même s'ils utilisent différents systèmes d'exploitation. Les serveurs NAS sont

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également capables de partager une instance de données entre plusieurs serveurs d'applications, offrant ainsi des capacités de collaboration entre plates-formes. Le stockage NAS devient un nœud à part entière du réseau, ce qui permet aux systèmes hôtes d'accéder directement aux fichiers qu'il contient. Ses applications les plus courantes sont les suivantes: stockage consolidé, applications internet et d'e-commerce, ainsi que supports numériques.

Toutefois, le stockage NAS ne peut envoyer que des fichiers, et non des blocs de données.

Le NAS fournit des services à travers un réseau IP avec un ou plusieurs des protocoles qui sont :

Common Internet File System (CIFS) aussi nommé Server Message Block (SMB)

Network File System (NFS)

Apple Filing Protocol (AFP)

Parfois les fichiers sont disponibles via File Transfer Protocol (FTP), WebDAV et un gestionnaire de fichiers web. En général, le NAS est configuré via une interface web. Le NAS peut s'intégrer à un SAN ou en être le point d'entrée.

Le NAS se distingue :

du SAN qui utilise les protocoles comme SCSI, Fibre Channel, iSCSI, AoE ou HyperSCSI (en) à travers un réseau dédié

du Direct Attached Storage (DAS), c'est-à-dire d'un disque dur directement connecté à l'ordinateur qui utilise les protocoles ATA, SATA, eSATA, SCSI, SAS et Fibre Channel via des câbles dédiés

Comparatif DAS/NAS/SAN

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NFS : (Système de Fichiers Réseau ou Network File System), permet aux hôtes distants de monter des systèmes de fichiers sur un réseau et de les utiliser exactement comme des systèmes de fichiers locaux. Ceci permet aux administrateurs système de stocker des ressources sur des serveurs centralisés sur le réseau. C’est un protocole développé par Sun Microsystems en 19842 ? qui fait partie de la couche application du modèle OSI et utilise protocole RPC.

SCSI : (Small Computer System Interface), est un standard définissant un bus informatique reliant un ordinateur à des périphériques ou à un autre ordinateur.

iSCSI : est une abréviation d’Internet Small Computer System Interface. C'est un protocole de stockage en réseau basé sur le protocole IP destiné à relier les installations de stockage de données. En transportant les commandes SCSI sur les réseaux IP, iSCSI est utilisé pour faciliter les transferts de données sur les intranets et gérer le stockage sur de longues distances. iSCSI peut être utilisé pour transmettre des données sur des réseaux locaux (LAN), réseaux étendus (WAN) ou Internet et peut permettre d'être indépendant sur l'emplacement physique du stockage ou de la récupération de données. Le protocole permet aux clients d'envoyer des commandes SCSI (CDB) à des périphériques de stockage SCSI (targets) sur des serveurs distants. Il s'agit d'un protocole de SAN, qui permet de rassembler les ressources de stockage dans un centre de données tout en donnant l'illusion que le stockage est local. Contrairement à la fibre chanel, qui nécessite une infrastructure matérielle dédiée, iSCSI peut s'utiliser en conservant une infrastructure existante.

VMkernel : est la liaison entre les VM et le matériel physique qui les soutient. VMware appelle VMkernel un micronoyau, car il fonctionne sur le métal nu, directement sur les hôtes VMware ESX. Il est responsable de la gestion des ressources physique et de leur utilisation ainsi que de leur répartition. Il est aussi responsable de toutes

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les tâches liées à la virtualisation sur l’hôte. Il est dont le cœur du système permettant la virtualisation. Il est totalement propriétaire et développer entièrement par les ingénier de Vmware. Ses fonctions principales sont :

répartition CPU, mémoire et stockage

gère les pages mémoire

gère la virtualisation du stockage multiniveau

gère la virtualisation de la pile réseau

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V- Mise en œuvre

5.1- Déploiement et configuration de l’Appliance Virtuelle vCenter

Lorsque vous aller ajouter un hôte à votre VCenter vous aurez besoin à ce que l’accès à votre ESXi soit déverrouillé.

Pour cela basculer vos l’écran de vos ESXi aller dans le menu « Configure lockdown Mode » vérifier qu’il est décocher comme sur l'image ci-dessous.

Utilise la touche espace pour décocher.

Vous devrez accéder au bios de votre machine physique (ou est installé ESXI) pour modifier la date et l’horloge au risque de ne pas pouvoir aboutir à l'installation de VCenter.

Redémarrer votre ESXi, utiliser la touche F10 pour accéder au bios (Selon la marque, le modèle, la touche pour accéder au bios peut différer), modifier la date et l'heure.

Il faut déployer la VM qui accueillera VCenter nommé « Appliance Virtual vCenter ». Demander nous les fichiers.

Connecter-vous à ESXi à l’aide de son adresse IP en passant par VSphere client avec un client.

Cliquer sur « Fichier » puis « Déployer model OVF ».

Une fenêtre s'ouvre, cliquez sur « Parcourir » puis sélectionner le fichier avec l’extension .ovf. Faite « Suivant ».

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Vous obtiendrez alors un récapitulatif de VCenter. Faite « Suivant ».

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Nommer votre VM VCenter comme bon vous semble.

Ici vous devrez sélectionner le disque ou sera déployer votre VCenter. Dans notre cas une seule option vous est proposée, sélectionner « datastore1 ». Faite « Suivant ».

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Ici vous avez trois possibilités sur la gestion de l’espace de stockage. De préférence cocher « Thin Provision » cela permettra de faire accroitre l’espace disque en fonction du besoin. Faite « Suivant ».

Vous avez un récapitulatif de la configuration. Cocher « Mettre sous tension après le déploiement » cela évitera des cliques supplémentaires. Cliquer sur « Terminer ».

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Patienter durant le déploiement, environ 20 minutes.

Ouvrer la console de la VM vCenter.

Vous obtenez une interface pas très agréable rassuré vous, on a juste à récupérer l'URL ainsi que le port. Noter là, elle vous servira pour configurer vCenter en connexion sécurisé HTTPS.

Sur votre client, ouvrez un navigateur web récent. Par défaut est configuré en User Name « root » et en Password

« vmware ». Loguer vous « Login ».

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Accepter la licence, cochée « Accept license agreement ». Cliquer sur « Next ».

Cocher « Set custom configure ». Faite « Next ».

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VCenter a besoin pour gérer un ensemble d’ESXi d’une base de données. Si vous désirez gérer à partir du vCenter plus de 5 ESXi, utiliser une base de donné autre que celle intégré à VCenter. Sélectionner « embedded » pour utiliser la basse de donné de ESXi.

Faites « Suivant » et patientez.

Votre vCenter est entrain de test la configuration de la base de données.

A la prochaine fenêtre vous devez configurer le type de connexion SSO pour que vous puissiez vous connecter à vCenter.

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Sélectionnez pour SSO déploiement type « embedded ». Faites « Next ».

Désélectionnez « Active Directory Enabled ». Faites « Next ».

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Cliquer sur « Start » pour appliquer la configuration.

Vous êtes à un moment crucial de l’installation. Vous devez obtenir la validité de trois configuration, la base de donne, la connexion SSO et le démarrage de vCenter Server pour que votre installation soit réussi.

Si vous obtenez la fenêtre suivante cela signifie que tout fonctionne correctement si vous avez un problème reportez-vous au début de la procédure et vérifiez l’horloge de ESXi et le Configurer lockdown Mode.

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Dans l’onglet « Networking » sous-onglet « Address », configurer le « hostname » (non de vCenter), une adresse IP statique (IP réserver pour nos serveur Linux) ainsi que les adresses des serveurs DNS de Numéricâble (82.2.0.1 et 82.2.0.2). Cliquer sur « Save settings ».

Dans l’onglet « System » sous-onglet « Time Zone » renseigner le fuseau horaire. Cliquer sur « Save settings ».

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Vous avez la possibilité de modifier le mot de passe par défaut de Vmware dans l'onglet « Admin ». Cliquer sur

« Change password ».

Vous redémarrez votre VM pour que les modifications soit prise en compte. Aller dans « System » et confirmer en cliquant sur « Reboot ».

L’Appliance virtuelle vCenter est maintenant configurée.

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5.2- Création d’un Data Center

La création d’un Data Center vous permet par la suite d’ajouter des hôtes (ESXi) et des Clusters pour faire de la haute disponibilité.

Pour créer un datacenter dans vCenter Server 5, ouvrir une console vSphere Client puis se connecter sur le vCenter.

Se positionner au niveau du vCenter dans l’inventaire puis effectuer un clic droit et cliquer sur « New Datacenter ».

Puis donner un nom au datacenter.

L’opération est terminée.

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5.3- Création d’un Cluster

L’intérêt de crée un Cluster, sera d’appliquer un ensemble de règles pour la haute disponibilité a tous les hôtes (ESXi) que vous ajoutez à ce cluster.

Pour créer un VMware vSphere Cluster la première étape consiste à utiliser le vSphere Client pour se connecter au serveur vCenter.

Puis, dans la partie Inventory, cliquer sur la vue Hosts & Clusters.

Effectuer un clic droit sur un élément Datacenter par exemple puis cliqué sur New Cluster

Donner un nom au cluster et sélectionner les fonctionnalités associées au cluster :

 VMware HA = permet le redémarrage des VMs situées sur un hôte du cluster sur un autre hôte en cas de panne (haute disponibilité).

 VMware DRS = répartition dynamique des VMs du cluster en fonction du ratio ressources allouées/ressources disponibles (répartition de charge).

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Cliquer ensuite sur « Next ».

a- Configuration de la DRS

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Les niveaux suivants sont disponibles :

 Manual = vCenter fournit des recommandations et leur mise en place incombe à l’utilisateur.

 Partially automated = Les machines sont placées automatiquement sur l’hôte le plus approprié lors de leur démarrage, puis une fois démarrées, vCenter émet des recommandations dont la mise en place incombe à l’utilisateur.

 Fully automated (différents niveaux) = Les machines sont déplacées automatiquement selon l’utilisation globale des ressources du cluster. Plus le niveau est agressif, plus vCenter essaiera d’homogénéiser l’utilisation des ressources sur les hôtes.

Une fois le niveau sélectionné « Fully automated », cliqué sur « Next ».

b- Configuration du DPM

Il est ensuite possible de configurer la fonctionnalité DPM (Distributed Power Management).

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Celle-ci permet via le wake-on lan, l’IPMI ou l’interface ILO d’envoyer des commandes d’extinction aux serveurs hôtes (physiques) pour les éteindre lorsque les ressources globales consommées par les machines virtuelles du cluster permettent la mise hors tension de serveurs hôtes via la migration des charges de travail. Là encore différents niveaux sont disponibles :

OFF = la fonctionnalité DPM est désactivée.

Manual = vCenter émet des suggestions de migrations et d’extinction des hôtes dont la mise en place incombe à l’utilisateur.

Automatic (différents niveaux) = Les migrations et extinctions sont effectuées de manière automatiques. Plus le niveau est agressif, plus vCenter tentera d’éteindre de serveurs hôtes.

Une fois le paramétrage DPM effectué, cliqué sur Next.

c- Configuration de la HA du cluster

Ce dernier comporte différentes options.

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L’option Host monitoring permet d’activer le mécanisme de heartbeat des serveurs hôtes, ceux-ci envoient un

‘battement de cœur’ via le réseau qui permet (lorsque ceux-ci ne sont plus reçus) de déterminer un hôte isolé sur le réseau et de paramétrer les actions à effectuer en conséquence.

L’option Admission Control permet d’autoriser ou interdire le démarrage de VMs sur les hôtes du cluster qui violeraient les contraintes définies via l’Admission Control Policy.

L’Admission Control Policy permet de définir le niveau de tolérance de panne globale du cluster. Elle peut se définir en terme de nombre d’hôtes ou de % de ressources (mémoire, CPU), ou encore de dédier un hôte au failover.

NOTE : La policy s’applique aussi dans les cas suivants :

 Démarrage d’une VM en restaurant un snapshot à l’état Powered-ON.

 Migration vMotion.

 Augmentation des réservations mémoire et CPU d’une VM.

Une fois les options définies, cliqué sur « Next ».

Il est ensuite possible de définir des priorités quant au redémarrage des machines virtuelles en cas de panne, cette définition se fait via la VM restart priority. Si elle est définie, les machines virtuelles de plus haute priorité seront redémarrées jusqu’au niveau définit.

L’option Host Isolation response permet de définir le comportement à adopter par le vCenter quant aux VMS d’un serveur hôte lorsque celui-ci perds son réseau de management.

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Une fois les options renseignées, cliqué sur Next.

Les options de VM monitoring permettent d’identifier les pannes au niveau des machines virtuelles du cluster. Trois options sont présentes :

 Disabled = l’option est désactivée.

 VM Monitoring only = Seules les pannes de l’OS sont identifiées (via un mécanisme de heartbeat envoyées par les VMware Tools permettant par exemple d’identifier une VM freezée ou un BlueScreen).

 VM and Application Monitoring = Permet également de monitorer des applications en plus de l’OS.

La sensibilité du monitoring est également ajustable via l’option Monitoring Sensitivity (entre deux minutes et trente secondes sans heartbeat reçu avant d’entamer l’action de remédiation).

Une fois les options choisies, cliquer sur « Next ».

d- Configuration EVC

Passons maintenant à la fonctionnalité EVC pour Enhanced vMotion Compatibility. Cette dernière permet d’améliorer la compatibilité vMotion entre différents hôtes du cluster dont les sockets ne sont pas homogènes. En effet l’une des principales limites au vMotion est le fait qu’une VM ne peut être migré à chaud sur un hôte cible que si le socket de celui-ci comprends un processeur de famille et de génération identique partageant des instructions processeur semblables avec le serveur source. La seule alternative pour effectuer un vMotion entre deux serveurs hôtes embarquant des CPU de génération différentes étant le vMotion à froid (VM éteinte). EVC permet de pallier à cette limitation en restreignant les serveurs hôtes du cluster au même jeu d’instructions. Il

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s’agit en quelque sorte de brider l’ensemble des CPUs des hôtes du cluster aux instructions de la génération de processeur la plus ancienne présente au sein du cluster afin de permettre une compatibilité vMotion entre tous les serveurs hôtes.

NOTE : la fonctionnalité EVC ne permet toutefois pas la migration entre CPU de familles différentes ou encore de fabricants différents (AMD vers Intel).

Une fois le paramétrage EVC effectué, cliqué sur « Next ».

e- Emplacement des fichiers de SWAP

Il est possible de définir un emplacement personnalisé pour les fichiers de SWAP pour les VMs du cluster (exemple : si le dimensionnement est bien conçu et qu’il est prévu que les VMs ne swappent jamais, on peut positionner les fichiers de SWAP dont la taille est calculée via la formule Mémoire Allouée à la VM – Réservation sur un stockage NAS afin de ne pas encombrer une baie fibre ; ou à l’inverse si les VMs risquent de swapper, positionner les fichiers sur un stockage rapide tel une baie SSD. L’idéal étant bien sûr à tout prix d’éviter le SWAP des VMs). L’option

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recommandée étant de positionner les fichiers de SWAP dans le même répertoire que la VM (sur le même datastrore).

Une fois ce choix fait, cliquer sur « Next ». Cliquer sur « Finish » pour démarrer la création du cluster.

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La création du Cluster apparait dans les tâches en cours.

Le cluster est maintenant créé.

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5.4- Ajout un ESXi (hôtes) a Cluster

Pour ajouter des serveurs hôtes à un cluster vSphere 5, effectuer un clic droit sur le cluster puis cliquer sur Add host. Il est aussi possible de l’ajouter en faisant clisser l’hôte sur le Cluster si vous en avez ajouté auparavant.

Renseigner l’IP du host.

Si un avertissement de sécurité s’affiche, cliquer sur Yes.

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Les informations relatives au host s’affichent, cliquer sur Next.

Sélectionner la licence à assigner au host.

Puis cliquer sur Next.

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Activer ou désactiver le lockdown mode qui empêche de se connecter directement sur l’hôte via le vSphere Client, puis cliquer sur Next.

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Si aucune ressource pool n’est définie, sélectionner la première option, si des ressources pools sont définies sur l’host, sélectionner la seconde option pour les appliquer au niveau du cluster. Les ressources pools seront alors importées et renommées en ‘Grafted from xxx.xxx.xxx.xxx‘. Cliquer sur Next.

Cliquer sur Finish pour finaliser l’ajout de l’host au Cluster.

Attention: Si l'horloge de votre ESXi n'est pas à jour, il sera impossible de l'ajouter.

5.5- Test de la HA Suivez cette procédure.

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5.6- Ajouter une alarme sur ESXI ou sur une VM

Après avoir ajouté les serveurs ESXI dans vCenter, nous pouvons créer une alerte sur le fonctionnement du serveur ESXI ou bien sur une machine virtuel afin d'être averti de tout ce qui se passe sur vos machines.

Pour cela faites un clic droit sur une machine virtuel par exemple, et "Ajouter alarme...".

Vous avez le choix entre "Surveiller conditions ou état spécifique, par ex., utilisation CPU, état alimentation." et

"Surveiller événements spécifiques sur cet objet, par ex., VM sous tension.".

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Selon le choix que vous faites dans l'onglet "Déclencheur"

Pour "Surveiller conditions ou état spécifique, par ex., utilisation CPU, état alimentation." lorsqu'une adresse MAC de VM modifié ou bien d'une migration

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Pour "Surveiller événements spécifiques sur cet objet, par ex., VM sous tension." on aura les options suivantes, telles que l'état de la machine, être avertis de la latence de disque etc...

Une fois que vous avez sélectionné votre déclencheur, allez dans "Actions". Là aussi vous aurez différentes possibilités.

Les alertes s'afficheront en bas, dans la fenêtre générale (ou apparaît toutes vos machines).

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5.7- Migration avec Storage vMotion

Pour effectuer un vMotion (migration à chaud) d’une VM entre deux hôtes, il est nécessaire de s’assurer que ces deux hôtes disposent d’une configuration réseau virtuelle identique, mais également que ces deux hôtes disposent d’un port VMkernel dédié.

Normalement à la création de vos VM vous avez tous connecter vos VM a la première carte réseau et en même temps vous avez créé un switch virtuel ou est relié votre carte réseau et vos VM. Il ne devrait pas y avoir de configuration à faire ce niveau-là.

Sur vCenter placer vous sur un hôte puis faites un bouton droit sur une VM allumé pui sélectionné « Migrate ».

Vous avez trois possibilités de migration qui sont :

 déplacer la machine virtuelle vers un autre hôte

 déplacer le stockage de la machine virtuelle à une autre banque de données

 déplacer la machine virtuelle vers un autre hôte et déplacer son stockage à une autre bande de données (la VM doit être éteinte)

Choisissez la première option.

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On vous propose les ESXi que vous avez ajouté précédemment, sélectionnez l’hôte ou vous voulez déplacer votre VM.

Sélectionné « High priority » cela permet de effectuer le déplacement en priorité tout en réduisant les échecs.

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Vous obtenez un récapitulatif de votre migration qui sera effective dès que vous cliquez sur « Terminer ».

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La migration apparait et sa progression s’affiche dans le panneau des tâches récentes en bas de votre interface de vCenter.

Une fois la migration effectuée, le statu « Completed » doit s’afficher.

Si votre migration ne marche ne pas reportez-vous à cette procédure.

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5.8- Cloner une Machine Virtuelle

Pour cloner une VM dans vSphere 5, la première étape consiste à ouvrir le vSphere client. Naviguer dans l’onglet Inventory > VMs and Templates.

Effectuer un clic droit sur la VM à cloner puis cliquer sur « Clone ».

Renseigner le nom de la VM à créer puis son emplacement. Vous-pouvez sélectionner un cluster ou un hôte (ESXi) ou sera cloné votre VM.

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Renseigner l’hôte/cluster où positionner la VM puis cliquer sur « Next ».

Vous pouvez sélectionner le format du disque de la VM, laisser par défaut si vous n’y connaissez pas.

Sélectionner le datastrore sur lequel seront stockés les fichiers de la VM puis cliquer sur « Next ».

Vous pouvez sélectionner « Power on the virtual machine after creation » pour démarrer la VM après le clonage.

Cliquer sur « Next ».

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Vous obtenez un récapitulatif de votre configuration de clonage.

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Cliquer sur « Terminer ».

Une fois le statu « Completed » affiché, l’opération est terminée.

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5.9- Ajouter un NAS à ESXi

Avant de commencer cette étape vous devez vous connecter via une interface web au NAS ou vous voulez placer vos VM pour activer le protocole de partage NFS. Demander nous les codes d’authentification. Il est conseillé d’allumer en premier votre NAS puis par la suite votre ESXi

Dans un premier temps, se connecter au serveur hôte ESXi via le vSphere Client.

Cliquer sur « Inventory ».

L’écran suivant s’affiche.

Cliquer sur l’onglet « Configuration ».

L’opération d’ajout d’un adaptateur VMkernel n’est requise que si aucun adaptateur de ce type n’existe déjà. Si un adaptateur VMkernel est présent dans la configuration réseau, on passera cette étape.

Dans l’onglet « Networking », cliquer sur « Add Networking ».

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Choisir le type de connexion « VMkernel » et cliquer sur « Next ».

Créer un nouveau « vSwitch », sélectionner le/les adaptateurs physiques associés dans notre cas « vmnic 1 ».

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Configurer l’adressage IP du nouveau VMkernel, le masque de sous réseau et cliquer sur « Next ». Utilisé une IP fixe dédié pour nos serveurs Windows ou Linux de la sale 351.

Cliquer sur « Finish ».

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Passer maintenant dans la partie « Storage Adapters ».

Cliquer sur « Add ».

Choisir « Add iSCSI Adapter ».

Cliquer sur « Ok ».

Sélectionner le nouvel adaptateur iSCSI dans la liste et cliquer sur « Propriété ».

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Dans l’onglet « Network Configuration », cliquer sur « Add ».

Choisir un port group de type VMkernel.

Puis dans l’onglet « Dynamic Recovery », cliqué sur « Add ».

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Entrer l’adresse IP du NAS et cliquer sur « Ok ». Laissez le port par défaut.

Puis cliquer sur « Close ».

Cliquer sur « Yes » pour accepter le Rescan de l’adaptateur. Patientez.

Les nouveaux devices iSCSI devraient être visibles.

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Se rendre dans la partie « Storage » du menu.

Cliquer sur « Add Storage ».

La fenêtre suivante s’affiche. Choisir le type « Disk/LUN », puis cliquer sur « Next ».

Si vous voyez apparaitre votre NAS poursuivez sinon revenez en arrière et sélectionnez « Network File Système » et ajouter les informations du NAS demander, IP du NAS, chemin du volume, nom du nouveau stockage.

Vous pouvez basculer sur l’interface de votre ESXi pour faire un test de ping pour voir si le NAS communique bien avec l’ESXi.

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Choisir un Lun puis cliquer sur « Next ».

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Entrer le nom du datastrore, et cliquer sur « Next ».

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Cliquer sur « Finish ».

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Cette procédure que j’ai testé n’a pas fonctionné, il est possible que le NAS ne peut pas être reconçu comme un ISCSI ou que les informations ajoutées l’ors de l’ajout du NAS ne soient pas conformes. Je vous invite à la testerz, si vous trouvez une solution ou que vous y arrivez, faites le moi savoir. Merci.

Autre solution de dernière minute :

dans la salle 351 les NAS sont configuré en tant que partage NFS pour Windows. Un partage NFS pour UNIX semble plus approprié et sera sûrement reconnue par ESXi baser sur Linux.

Vous pouvez créer un NAS en virtuel à l’aide du logiciel FreeNAS et activer le partage NFS UNIX, voici la procédure. Par la suite ajouter le NAS a ESXi et déplacer vos VM sur le NAS a l’aide de cette procédure.

5.10- Installation du Client Web vSphere

Suivez cette procédure pour installer Client Web vSphere, la configuration de vCenter sera plus agréable graphiquement mais l’administration peut se faire à l’aide de vSphere Client en utilisant l’IP de vCenter.

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VI- Détails du projet

Numéro de tache

Collaborateurs Tache effectué Date Nombre

d’heure

Observation

1 Groupe Début projet, création et partage du doc en ligne, chef du projet Franck

26/11/13 30 minutes

Faire des recherches chacun de son côté pour définir le contexte, le choix, et les définitions

2 Groupe Recherche pour déplacer les VM sur le NAS. Création d’un nouveau datastrore sur le NAS avec vSphere pas réussi.

Contact Lysiane pour la HA, utilisation de vMotion et de vSphere HA.

Télécharge fichier par Strozzi pour la HA

29/11/13 3h Lire le mail pour comprendre le principe de vMotion et de HA

3 Groupe Excellent tutoriel de Strozzi

http://vpourchet.com/vmware/

installation et config de vCenter en VM, essai de connexion sur la VM avec vSphere = échec

6/12/13 4h Refaire l’installation au propre, ajouté les hosts a vCenter, essayer d’installer vSphere web client pour se connecter à vCenter ou utiliser vSphere client. Une foi réussi trouver une solution pour mettre les VM sur le NAS.

4 Franck Installation d’ESXi en virtuel pour faire des tests, MAJ du tableau et rédaction du doc, lecture des tutoriels Strozzi

08/12/13 5h FAIRE UN SUPER SCHEMAS POUR EXPLIQUER LA HA de notre sale

5 Franck test du tutoriel de Strozzi 2h

6 Vincent ? ? Schéma, tentative

d'installation de

VCenter sur

Windows Server 2012.

7 Groupe Thibaut et Franck installer vCenter en virtuel, problème rencontre l’horloge de ESX poser problème si elle est fausse, espace disque insuffisante = utilisation de v

center de l’ESXi de madame Strozzi pour ne pas perdre de temps.

Difficulté a rajouté des hôtes.

Franck a ressui à faire une migration et copie de VM entre deux ESXi, possibilité d’ajouter un ISCIS avec son adresse IP

Vincent finalise le schémas et fait

13/12/13 5h Prochaine fois chercher à ajouter le NAS on y est presque, faire la rédaction du tutoriel MAINTENANT ça Devient URGENT.

Thibault teste l’installation chez toi tout en virtuel.

Vincent doit fait son ECO DROIT.

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l’installation de vCenter sur serveur 2012 problème rencontre configuration échoué, ce mode d’installation s’emble vouloir utiliser des ressource que notre ESXi ne dispose pas (100 go de DD et 8 go de RAM) donc impossible.

Tester et découvrir les différentes alertes et HA de vCenter.

8 Franck Recherche et rédaction tutoriel 16/12/13 1h30

9 Groupe Vincent : travaille sur les alertes de vCenter.

Thibaud : travaille sur la haute disponibilité (synchronisation et reprise de VM)

Franck : solution pour ajouter le NAS au ESXi ou vCenter

20/12/13 3h30 Rédaction du tutoriel pendant les vacances chacun doit approfondir sa partie et rédiger

10 Franck Rédaction de l’installation de vCenter et de l’ajout du NAS, clonage, migration, plus complément sur le tutoriel

27/12/13 3h30 Demain terminer la rédaction du NAS et les définitions.

11 Franck Rédaction NAS, définition, correction tutoriel. Recherche d’une solution pour le NAS = peut être trouvé, a testé les deux liens ajouter la fin de la procédure. Agencement de creation du datacenter, du cluster, des options de la HA, DRS, DMP etc…

29/12/13 6h30 Il manque la procédure de la HA et de l’installation de vCenter web plus

adapté à la

configuration de vCenter

Bravo je vous félicite a tous HIHIHIHIHI Projet fini enfin Total

des heures

34h30

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VII- Sources

Sources Détails

http://www.vmware.com/fr/products/vsphere/features -storage

confirmation d'utilisation de NAS avec l'outil VMware VMFS

http://www.informatiweb.net/tutoriels/54--vmware- esxi-5-utiliser-un-nas-ou-recuperer-une-vm-sur-un- nas.html

connecter NAS sur vSphere

http://vpourchet.com/vmware/ tutoriel Strozzi https://support.ca.com/cadocs/0/CA%20ARCserve%20R

eplication%20and%20High%20Availability%20r16%205- FRA/Bookshelf_Files/HTML/VMS/index.htm?toc.htm?76 9011.html

diffèrent scénario de la HA

http://www.vmware.com/fr/products/vsphere/features -vmotion

déplacer les VM avec VMotion https://pubs.vmware.com/vsphere-

51/index.jsp#com.vmware.vsphere.vcenterhost.doc/GUI D-B8052D97-6C18-4BE0-8CD0-ABBB9FCA4912_copy.html

doc de VMotion

http://www.vmware.com/fr/products/vsphere/features /high-availability.html

doc VSphere

http://myvmworld2012.blogspot.fr/2012/12/comment- enregistrer-vsphere-web-client.html

configure vSphere web http://lea-linux.org/documentations/Leapro-pro_sys-

dispo

doc sur la HA

http://www.vmware.com/files/fr/pdf/support/VMware- ESX-and-vCenter-Server-Installation-Guide-PG-FR.pdf

doc officiel en PDF d'installation de vCenter

http://www.smnet.fr/sommaire.html

docs complète qui synthétisent vraiment tout ! Que ce soit l'installation d’ESXi ou VCenter. On doit vraiment se baser dessus bravo.

Vincent. Vincent tu feras ce tutoriel qui n'est pas en virtuel tu seras plus à l’aise.

Moi et Thibaut on s'occupe à deux de faire les tutoriels de Pouchet qui est virtuel pour accueillir le vCenter

http://www.t411.me/torrents/vmware-suite-vsphere- vcenter-vcloud-vfabric-et-outils

lien de téléchargement utile http://www.zdnet.fr/actualites/nas-contre-san-les-

criteres-pour-choisir-la-meilleure-option-de-stockage-en- reseau-2108230.htm

http://syskb.com/san-ou-nas-quelle-est-la-difference/

définition NAS et SAN avec comparaison