• Aucun résultat trouvé

Observation des états métastables d'alliages supraconducteurs de première espèce

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Observation des états métastables d'alliages supraconducteurs de première espèce"

Copied!
5
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00206818

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206818

Submitted on 1 Jan 1969

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Observation des états métastables d’alliages supraconducteurs de première espèce

C. Valette, J.P. Burger

To cite this version:

C. Valette, J.P. Burger. Observation des états métastables d’alliages supraconducteurs de première

espèce. Journal de Physique, 1969, 30 (7), pp.562-565. �10.1051/jphys:01969003007056201�. �jpa-

00206818�

(2)

L’intérêt de ces etudes reside dans la

possibilit6

de

determiner les sections efficaces de r6excitation elec-

tronique

des atomes m6tastables du neon

(transitions

métastables-niveaux

superieurs) .

Appendice.

- Les densites des atomes m6tastables

atteignent

leurs valeurs

d’équilibre B 20132013 =

dt

0

/ en

des

temps beaucoup plus longs

que ceux de la cascade radiative

(cf. [10], chap.

II

1)

et cette cascade radiative

ne

peut,

en raison de

l’emprisonnement

des raies de

r6sonance, qu’alimenter

les niveaux m6tastables. En

consequence,

nous

prendrons

pour aM 1’ensemble des sections efficaces

d’excitation,

soit

pratiquement

la

section efficace d’ionisation 6I.

Dans une

decharge r6gie principalement

par l’ioni- sation des atomes a 1’etat fondamental et la diffusion des electrons sur les

parois,

1’evolution de la densite

electronique

s’6crit :

A

1’equilibre,

nous obtenons la relation :

Et, puisque aM v > aI v), l’expression (A. 2)

nous permet d’ecrire :

Remerciements. -

Je

tiens à remercier M. le Pro- fesseur

J.

M. Rocard pour les conseils

qu’il

m’a

prodigues

au cours de la realisation de ce travail et

lors de la redaction de cet

article,

ainsi que

M.J.

Godart

(Laboratoire

de

Physique

des Plasmas

d’Orsay)

pour l’aide

qu’il

m’a

apport6e

lors du

d6veloppement

des

calculs.

BIBLIOGRAPHIE

[1]

MITCHELL

(A.

G.

C.)

et ZEMANSKY

(M. W.),

Reso-

nance Radiation and Excited A toms, The Macmillan

Company,

New York, 1934.

[2]

DIXON

(J. R.)

et GRANT

(F. A.),

Phys. Rev., 1957, 107, 1, 118.

[3]

WIESE

(W. L.),

SMITH

(M. W.)

et GLENNON

(B. M.),

Atomic Transition Probabilities, vol. I,

Hydrogen Through

Neon, NSRDS, NBS 4, 1966.

[4]

RICARD

(A.),

ROCARD

(J. M.)

et GOMES

(A. M.),

C. R. Acad. Sci., 1968, 267 B, 511.

[5] MASEK

(K.)

et VEPREK

(S.),

Czech.

J.

Phys., 1967, B 17.

[6]

DELPECH

(J. F.),

Thèse, Orsay, 1968.

[7]

PHELPS

(A. V.),

Phys. Rev., 1959, 114, 4, 1011.

[8]

HASTED

(J. B.),

Physics of Atomic Collisions, Butter- worths, London, 1964.

[9]

HOLSTEIN

(T.),

Phys. Rev., 1951, 83, 6, 1159.

[10]

RICARD

(A.), Rapport

interne, LPT 15, 1967.

OBSERVATION

DES

ÉTATS MÉTASTABLES D’ALLIAGES SUPRACONDUCTEURS

DE

PREMIÈRE ESPÈCE

Par C. VALETTE et

J.

P.

BURGER,

Laboratoire de Physique des Solides

(1),

Faculté des Sciences, 9I-Orsay.

(Reçu

le 18 mays

1969.)

Résumé. 2014 Nous avons fait une étude

expérimentale

des états métastables dans des

alliages

d’InBi

(concentration atomique

en Bi inférieure à 1

%) ;

nous en avons déduit la valeur du

paramètre

de

Landau-Ginzburg

x

près

de la

température critique.

Ces déterminations sont cohérentes avec celles obtenues sur des

alliages plus

concentrés, de deuxième

espèce.

Abstract. 2014 We have

performed experimental

studies of the metastable states in InBi

alloys (atomic

concentration in Bi lower than 1

%)

from which we have deduced the value of the

Ginzburg-Landau parameter

x near the critical temperature. These values are consistent with those obtained on more concentrated 2nd kind

alloys.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 30, JUILLUT 1969,

(1)

Associ6 au C.N.R.S.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01969003007056201

(3)

Dans les

supraconducteurs

de

premiere espece,

la

transition

supraconducteur

normal en

champ magn6- tique

est du

premier ordre,

ce

qui permet

de

distinguer,

outre le

champ thermodynamique H,,

deux autres

champs caractéristiques

d’etats metastables :

HSh champ

de surchauffe en

champ

croissant

Hsc champ

de retard a la condensation en

champ

decroissant =

2,39 xHc.

Les 6tats metastables dans les

supraconducteurs

de

premiere espece

ont ete 6tudi6s en detail sur

quelques

metaux purs

[1], [2].

Mais le cas des

alliages

de pre- mi6re

espece

avait ete laisse de cote. Faber

[3],

, dans

ses etudes sur la surchauffe et le retard a la conden- sation de

specimens massifs,

avait trouve que l’intro- duction de

0,5 %

d’indium en solution solide dans de retain pur suffisait a

empecher

l’observation du retard a la condensation par suite de la

presence

de d6fauts.

Les

experiences

ci-dessous ont ete faites sur une

s6rie

d’alliages d’InBi, prepares

sous forme de

grains

d’une dizaine de microns de

diametre,

en

suspension

dans de 1’huile. Comme on le sait

[1],

de telles

geome-

tries sont tres favorables a l’observation des 6tats

metastables,

fondamentalement pour deux

raisons;

la

premiere,

c’est

qu’il

est assez

facile,

contrairement au

cas des mat6riaux

massifs,

de

pr6parer

de tels

grains

de

petites

dimensions sans d6fauts

genants;

la

seconde,

c’est que si une nucleation accidentelle se

produit

dans

un

grain,

elle ne se propage pas dans les autres

grains :

il suffit donc d’avoir un certain pourcentage de

grains

«

parfaits »

pour observer les limites

th6oriques

d’exis-

tence des 6tats metastables. Or la mesure des

champs HSh

et

Hsc

est

particulierement int6ressante,

car elle

fournit une des rares determinations du

parametre

de

Ginzburg-Landau

x des

supraconducteurs

de

premiere espece ;

en

effet,

si dans le cas de

supraconducteurs

de deuxieme

espece

il existe de nombreuses methodes pour determiner x, il n’en est pas de meme pour ceux

de

premiere espece.

Preparation

des dchantillons. - A

partir

d’un

alliage mere,

nous avons

prepare

une serie

d’alliages

de

concentrations

0,1, 0,2, 0,4, 0,6, 0,8

et 1

%

de Bi

dans de Fin

(produits Johnson-Mattey, spectrographi-

quement

purs).

Les colloides ont ete faits par

agitation

ultrasonore a 80

kHz,

des

alliages

fondus a 180 °C

dans de 1’huile

Apiezon

de pompe a diffusion. Les colloides ainsi

prepares

ont ete recuits

pendant

une

semaine a 1400 dans des

capsules

de

teflon, puis agit6s,

afin de bien

s6parer

les

grains,

et

tremp6s

a 1’azote

liquide.

Le facteur de

remplissage

est de l’ordre de 1

%.

Technique

de mesure. - Nous mesurons la fr6- quence propre d’oscillation d’un oscillateur

immerge

dans 1’helium

liquide, compose

d’une

capacité,

d’une

bobine d6tectrice entourant le colloide et d’une diode

BD1 General Electric. Le

systeme

a une stabilite

meilleure que 10-6 a 2

MHz,

et il a

l’avantage

d’osciller

6galement

a la

temperature ambiante,

le

Q,

du circuit

6tant assez

important.

Les variations de

fr6quence

en

presence

d’un

champ magn6tique statique applique a

l’ échantillon sont enre-

gistrées,

mettant ainsi en evidence le

champ

de sur-

chauffe

Hh

au-dela

duquel

toute

supraconductivité

est

d6truite,

et le

champ

de retard a la condensation

Hsc

en dessous

duquel l’état

normal est seul stable

[1], [2].

Rdsultats. -

a)

TEMPERATURE CRITIQUE

Tc.

- Les

mesures de la

temperature critique

de nos

alliages ( fig. 1)

sont en accord avec celles de

Kinsel, Lynton,

Serin et Chanin

[4], [5].

Ce

fait,

ainsi que la faible

FIG. 1. - Variation de la

temperature critique

des

alliages

d’ InBi en fonction de la concentration ato-

mique

en

Bi.

largeur

des transitions

(10-2 OK,

du meme ordre que pour l’indium pur

colloidal) indiquent

que les échan- tillons peuvent etre consid6r6s comme

homog6nes.

b) ETATS

METASTABLES. -

oc)

Choix de la

température

de mesure. -

L’interprétation

des

expériences

6tant

faite dans

l’approximation

de

Landau-Ginzburg,

les

mesures doivent etre effectuées aussi

pres

que

possible de T, (d’ailleurs,

a basse

temperature,

les d6fauts des 6chantillons deviennent

plus genants

du fait de la diminution de la

longueur

de

cohérence ç(T)). Cepen- dant,

nous sommes limites d’une part par 1’existence d’une

largeur

finie de la transition en

temperature,

et d’autre

part

par la necessite d’6viter les effets de taille

(X(T) diverge

a

T,;

les

grains

de notre colloide

ont un diam6tre d’une dizaine de

microns).

Ceci

conduit a faire nos

experiences

a une

temperature

de

l’ordre de

0,97 T, ( fig. 2) (2).

(2)

Cette

temperature

n’est pas assez 6lev6e pour 6tre dans la limite de

Ginzburg-Landau,

definie

par X(T) > , (surtout

dans le cas de l’indium pur et des

alliages plus dilues)

l’incertitude

theorique

introduite dans la valeur de x

peut

etre estim6e a 2 a 3

% (ordre

de

grandeur

de

la variation

experimentale

du x de l’indium pur entre T = 0,97

T,

et T =

T,).

(4)

P)

Prévisions

thioriques

sur le

champ Hsh. -

Le rap-

port HShl He

a ete calcul6 en fonction de x dans

l’approxi-

mation de

Ginzburg-Landau

a une

dimension,

par

Ginzburg [6],

et

plus

r6cemment par Matricon et

Saint-James [7],

en cherchant la limite d’existence de

FIG. 2. - Courbes

experimentales

de la variation de

f requence

Av

(unite arbitraire)

de l’oscillateur en fonc- tion du

champ magn6tique applique,

montrant le

cycle d’hyst6r6sis

pour deux

alliages

d’ InBi colloidal :

a)

0,1

%

de Bi,

temperature TIT, -

0,972.

b)

0,4

0/

de Bi,

temperature TIT,

= 0,965.

1’etat Meissner. D’autres calculs

[8]

ont ete faits en

tenant

compte

des

perturbations

a

plus

d’un

degr6

de

libert6;

ils conduisent a une valeur inferieure du

champ HSh

dans le domaine des fortes valeurs de x.

Mais un calcul recent de Kramer

[9]

semble

indiquer

que le r6sultat est

inchangé

pour

x 0,5,

cas

qui

nous interesse ici

(3).

y)

Prévisions

thioriques

sur le

champ Hsc.

- Le

champ

de retard a la condensation est

simplement

le

champ Hsc

=

H,.

=

1,69

x

V2Hc

calcul6 par

Saint-James

et

de Gennes

[10],

tout au moins dans le cas ou

K 0,409.

Dans le domaine

0,409 x 0,417 (4),

il semble

6tabli

th6oriquement

et

exp6rimentalement

que le

champ Hsc

est inferieur au

champ HC3 [11], [12].

(3)

A cause de 1’existence du

champ d6magn6tisant

dans une

sphere supraconductrice,

on ne

peut

observer

la surchauffe dans des colloides que pour K 0,5 ; à

partir

de cette valeur, le

champ

de surchauffe d’une

sphere

devient inferieur a Hc.

(4)

Pour x = 0,417,

H,.,

= H,.

8) lnterprétation

de nos mesures sur les ichantillons de concentration

inférieure

a

0,6 %. -

La valeur de

H, pres

de

T e

est entach6e d’une certaine

imprecision,

due a 1’existence d’une

largeur

de transition en

temp6-

rature, faible mais non nulle. Afin de nous affranchir de cette

difficult6,

nous avons elimine

H,

en traqant

la variation de

HSh

en fonction de x. Dans le domaine

Hsc

de concentration

0-0,6 %,

nous en tirons les valeurs de x

( fig. 4).

Ces determinations sont

cependant

de

moins en moins

pr6cises quand

la concentration de Bi augmente, les

enregistrements pr6sentant

sur la courbe

de retard a la condensation des queues de transition de

plus

en

plus importantes ( fig.

2

b).

Cet

effet, qui

s’observe meme

quand

la

largeur

de transition en

temperature

est

faible,

semble trop

important

pour etre du seulement a 1’existence

d’inhomogénéité

de concen-

trations. 11

pourrait sugg6rer

1’action d’un mecanisme tendant a freiner

1’expulsion

du flux

magn6tique

en

champ

d6croissant. Les calculs de x pour les échan-

FIG. 3. - Variation de

fréquence

w

(unite arbitraire)

en fonction du

champ magnetique applique,

pour un 6chantillon massif

cylindrique

d’ InBi a 1 ° o,

temp6-

rature

TIT,

= 0,988.

FIG. 4. - Variation du

parametre

de

Ginzburg-Landau

x

pour des

alliages

d’ InBi, en fonction de la concentration

atomique en Bi.

(5)

tillons de concentration inferieure a

0,6 %

sont faits

mog6n6it6s residuelles) .

La

partie 61argie

est

reversible,

en

n6gligeant

ces queues de transition. On constate la

partie

raide montre une

hysteresis 16g6re.

Ces faits

une deviation

syst6matique

de la variation lin6aire

x (x),

nous conduisent a

interpreter

la transition raide comme

les valeurs de x

quand

la concentration augmente 6tant

Hc,

la

partie

reversible determinant

HC3 (on

devenant trop faibles. Pour 1’echantillon de

0,8 %, n6glige

la queue de

transition).

Le rapport de ces

on trouve une valeur nettement

trop

faible de x;

champs

fournit

donc x, cette

determination permettant

cependant,

notre methode de

d6pouillement

n’est vrai- de tracer avec une bonne

precision

la variation lin6aire semblablement

plus

correcte, le

champ

de retard a la de x avec la concentration.

condensation

pouvant

etre inferieur a

Hca.

s) Interpritation

de nos mesures sur l’echantillon de concen-

Conclusion.

- Nos déterminations

de x

pour

des

tration 1

%. -

% Sur l’ échantillon

colloidal,

on

observe alliages d !nBI supraconducteurs de premiere espece,

’.c..

I, ,

d d’ , bl h’

un

cycle d’hyst6r6sis

du meme

type,

avec

d’importantes

faites par

l’etude

des etats

metastables,

sont coherentes

queues de

transition,

non

interprétable

pour les mêmes avec d’autres mesures

[5]

effectuees sur des

alliages

raisons que

1’alliage a 0,8 %.

d’InBi

plus

concentres et de seconde

espece.

Cependant,

nous pouvons obtenir la valeur de x Cette 6tude montre donc que l’observation d’6tats par 1’etude du meme

alliage

a 1’etat massif. En

effet,

metastables est

possible malgr6

la

presence

de d6fauts

la mesure de cet 6chantillon a 1’etat

massif,

sous la inherents aux

alliages.

L’influence de ces

defauts depen-

forme d’un

cylindre

de 5 cm de

long

et 1 mm de dant du

rapport djE,(T)

ou d est la taille du d6faut se

diam6tre

place

a l’int6rieur d’un tube de pyrex et trouve minimis6e si l’on travaille au

voisinage

de la

soigneusement recuit,

met en evidence une transition

temperature critique (E,(T) diverge).

en

champ pres

de

T,

se

produisant

en deux temps

( fig. 3) :

une

partie

tres raide et une

partie 61argie

avec Nous remercions M. G. Deutscher pour de nom- une queue de transition

(probablement

due aux inho- breuses discussions sur le

sujet.

BIBLIOGRAPHIE

[1]

BURGER

(J. P.),

FEDER

(J.),

KISER

(S. R.),

ROTH-

WARF

(F.)

et VALETTE

(C.),

Tenth International Conference on Low

Temperature Physics,

Mos-

cow,

September

1966, 2 B, 352.

[2] FEDER

(J.),

KISER

(S. R.),

ROTHWARF

(F.),

BUR-

GER

(J. P.)

et VALETTE

(C.),

Solid State Commu-

nications, 1966, 4, 611.

[3]

FABFR

(T. E.),

Proc. Roy. Soc., 1957, A 241, 531.

[4]

CHANIN

(G.),

LYNTON

(E. A.)

et SERIN

(B.), Phys.

Rev., 1959, 114, 719.

[5]

KINSEL

(T.),

LYNTON

(E. A.)

et SERIN

(B.),

Review of Modern

Physics, janv.

1964, 105.

[6]

GINZBUPG

(V. L.),

Soviet

Phys., J.E.T.P.,

1958, 7, 78.

[7]

MATRICON

(J.)

et

SAINT-JAMES (D.),

Phys. Letters, 1967, 24 A, 241.

[8]

GALAIKO

(V. P.),

Soviet Phys.,

J.E.T.P.,

1966, 23, 475 ; Soviet Phys.,

J.E.T.P.,

1966, 27, 170.

[9]

KRAMER

(L.), Phys.

Rev., 1968, 170, 475.

[10] SAINT-JAMES (D.)

et DE GENNES

(P. G.), Phys.

Letters, 1963, 7, 306.

[11]

FEDER

(J.),

Solid State Communications, 1967, 5, 299.

[12]

MCEVOY

(J. P.), JONES (D. P.)

et PARK

(J. G.),

Solid State Communications, 1967, 5, 641 et 645.

Références

Documents relatifs

Avec une bobine à inductance propre très réduite, on peut effectuer la mesure sous un courant de 30 A avec un bruit de l’ordre de 10 03BCV, soit une

cette région ; 2) Dans le domaine des alliages « sales », la première approximation, examinée par Anderson, revient à supposer que le paramètre d’ordre 0394(r) est

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des

On peut donc dire que j* est une sorte de courant critique pour le système.. 6 et pour cette valeur de H, le champ a compl6tement penetre comme nous 1’avons vu

Des experiences r6centes nous ont montre que le spectre que 1’on croyait etre le spectre Raman du second ordre de la magnesie est en realite un spectre de

Pénétration de l’induction, champ électrique et pertes dans les supraconduc- teurs de seconde espèce impurs présentant un courant de surface... PÉNÉTRATION DE L’INDUCTION,

Des résultats ont été obtenus sur des alliages PbHg, dans lesquels les inclusions de fer étaient préparées par électrolyse d’une solution de sels ferreux sur

2014 Nous nous intéressons au temps de relaxation spin-réseau dans les supracon- ducteurs sales de deuxième espèce. 2014 This paper discusses the spin