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Contribution d'étude pétrographique et, méttalogénique du complexe volccano-sédimentaire, dans la région de Taballout, (Djilma, Nord Est Algérien)

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Academic year: 2021

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Sommaire

SOMMAIRE

Page Introduction générale

Chapitre I : Généralité

I.1 Situation géographique de la région étudiée I.2 Climat

I.3 Végétation

I.4 Réseau hydrographique I.5 Orographie

Chapitre II: Cadre géologique régional II. Géologie régionale

1- Introduction

2- Formations du domaine Kabyle 3- Formations du domaine des flyschs 4- Formations du domaine tellien 5- Flysch Numidien

6- Formations post-nappes 7- Formations Quaternaires 8- Roches magmatiques

9- Aspect structural de la partie occidentale de la petite Kabylie Chapitre III : Cadre géologique local et site

III-1- Cadre géologique local 1-1- introduction

1-2-Formations cristallophylliennes du socle Kabyle 1-3-Formations de type flysch

1-4- Formations telliennes 1-5- Trias

1-6- Formations numidiennes 1-7- Formations quaternaires III-2- Géologie de site

2-1- Introduction

2-2- Synthèse litho stratigraphique 2-2-1- formations de socle kabyle

2-2-2-formations du complexe volcano-sédimentaire 2-2-3- formations de type flysch

2-2-4- Trias

2-2-5- formations telliennes 2-2-6- formations numidiennes 2-2-7- formations Quaternaires

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Sommaire

Chapitre IV : Etude pétrographique.

IV-1- Etude pétrographique

IV-2- Description pétrographique sous microscope polarisant 2-1- Epidotite

A- Epidote B- Le Quartz

C- Les Minéraux d’altérations

a/ La Calcite b/ La Chlorite

D-Les minéraux opaques 2-2- Pistachite

A- Pistachite B- Le quartz C- Epidote D- La calcite

E- Les minéraux opaques

2-3- gabbro

A- Le Plagioclase B- Le Pyroxène C- L’amphibole

D- Les minéraux d’altérations a- La calcite

b- La Chlorite c-Epidote

E- Les minéraux opaques

2-4- Basalte à dolirite

A-LA Dolirite B- LE Plagioclase C-LE Pyroxène

D- LES Minéraux d’altérations a- Chlorite

b- Epidote

E-Les minéraux opaques 2-5- Dolirite

A- LE Plagioclase B- L e Pyroxène

C- Les minéraux d’altérations

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Sommaire

a-Epidote b- Chlorite

D- Les minéraux opaques 2-6- caleschiste

A- Le quartz B- La calcite C- Epidote

D- Les minéraux opaques Chapitre V : Etude métallogénie

V-1- Introduction V-2- partie pratique 2-1- La pyrite 2-2- la chalcopyrite Conclusion générale Bibliographie

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Introduction et Objectif du travail

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Introduction et Objectif du travail

Le présent travail rentre dans le cadre de la préparation du mémoire Master, ressources minérales et géomatériaux. L’objectif de ce travail consiste à contribuer à une étude

pétrographique et métalogénique du complexe volcano-sédimentaire du Taballoute, région de Djimla (NE algérien).

Bien que le complexe de Djimla est unique par ces caractéristiques dans la petite Kabylie, aucune étude détaillée ne leur a été consacrée. Une telle étude peut apporter beaucoup d’information concernant ce complexe, et concernant toute la géologie de la chaine alpine des maghrébides.

A ce propos et dans l’esprit d’une meilleure compréhension de la géologie de ce complexe volcano-sédimentaire ou par abréviation « CVS », notre démarche a été principalement axées sur:

La situation géographique et étude géologique régionale et locale ; Description des faciès et étude pétrographique du CVS du Taballoute;

étude métalogénique du CVS du Taballoute et Conclusion.

Pour cela nous avons parcouru le terrain d’étude pour faire des coupes géologiques et prendre des échantillons pour l’analyser au laboratoire. Beaucoup de contraintes nous ont empêchés de faire un travail complet et précis. On parle ici surtout de la confection des lames minces et des sections polies. Dont on a pris la peine et le temps pour aller à Annaba puis à Constantine afin de terminer la préparation de nos échantillons.

L’étude pétrographique et métalogénique des lames minces et des sections polies a été réalisée au laboratoire du département des sciences de la terre à l’université de Jijel à l’aide d’un microscope polarisant et un microscope réfléchissant. Les guides utilisés dans l’étude

pétrographique est « identification des minéraux sous microscope polarisant » du

M.ROUBAULT et dans l’étude métalogénique est « atlas des minéraux métalliques » du

P.PICOT.

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Chapitre I Généralité

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I. Généralité

I.1 Situation géographique de la région étudiée

A partir de la carte d’Etat major de Texanna NJ-31-VI-44- Ouest, le site du barrage de

Taballout concerné par notre étude est situé au Sud-est du village de Texanna qui se trouve à 21km de la ville de Jijel. Il est limité :

- NE : foret de Taballout et Fertessa - SW : foret de Beni Yadjis

L’assiette du barrage est installée sur la vallée de l’oued Djendjen au confluant des deux oueds : oued Missa à l’Ouest et Rha à l’Est. (Voir Figure. I.1).

Figure. I.1 Situation géographique du site de barrage de Taballout

I.2 Climat

La wilaya de Jijel comme celle de tout le littoral algérien est caractérisée par un climat méditerranéen, pluvieux et froid en hiver, chaud et humide en été. Les températures varient entre 20°C et 35°C, voir (entre les 20°C et 15°C) à Texanna. La saison des pluies dure environs 06 mois. Cette dernière subit l’influence de la mer méditerranéenne au Nord, et des reliefs montagneux au Sud. Ces deux raisons font que le climat de la région est tempéré, avec des températures élevées en été et basse en hiver.

Les précipitations d’eaux annuelles varient entre 900 et 1300 mm/an. Cette

pluviométrie classe la région parmi les zones les plus arrosées de l’Algérie. Cette dernière révèle un potentiel hydrique très important. Ce potentiel hydrique se manifeste par l’émergence de nombreuses sources d’eau de très bonne qualité. En plus d’une importante pluviométrie, la région d’étude est souvent recouverte par d’importantes quantités de neige.

Au niveau du col de Texanna situé à 725 m d’altitude, l’enneigement dur plus de 11

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Chapitre I Généralité

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Jours / an. Les vents dominants soufflent généralement de la mer vers le continent

(NNWSSE).

I.3 Végétation

La région d’étude est caractérisée par une couverture végétale assez dense. Cette dernière est favorisée par l’importance des précipitations. Les conditions climatiques et la nature des terrains de la région ont permis le développement de forêts très denses peuplées

essentiellement de chêne-liège, du chêne-zen, des broussailles, et autres arbres fruitiers. En général, ce potentiel forestier confère à la région une vocation agricole et forestière.

I.4 Réseau hydrographique

La région d’étude est caractérisée par un réseau hydrographique assez important en relation surtout par les sources résurgentes divers cours d’eau.

Ce réseau est représenté par les différents drains, alimentés surtout par les ressources et les ruissellements de surface en liaison surtout avec la fonte des neiges des reliefs élevés. Ces différents drains alimentent les principaux Oueds de la région (Oued Djendjen, Oued Missa, Oued Raha, Oued El-Agrem, Oued El-Mers, et Oued Djimla).

Le bassin versant d’oued Djendjen est formé par la jonction de divers cours d’eau parmi lesquels nous citons : Oued Bou Karma, Oued Djendjen et Oued Raha, oued Missa.

Notons que les Oueds : Bir, boukarma, Boudous, Bounassa, et Akahal sont de moindre importance que les premières cités.

L’étude de réseau hydrographique et son adaptation a la structure nécessite une parfaite

connaissance des caractères morphometriques du bassin et du tracé de l’Oued et de toutes ces modalités de drainage.

I.5 Orographie

La région de Texanna-Djimla est une région montagneuse caractérisée par un relief à topographie très contrastée.

Certains massifs montagneux culminent à plus de 1600 m (Tamasgida, Sidi Bouazza).

Le site du barrage se trouve a l’entrée du resserrement de la vallée du Djendjen qui a creusé une gorge en traversant les formations métamorphiques du paléozoïque. Au droit de la gorge devant accueillir le barrage, le lit de l’oued est à une cote moyenne de 217 m et les

largeurs moyennes des lits mineur et majeur sont respectivement de l’ordre de 10 et 40 mètres.

Les deux rives sont relativement raides et de pente régulière inclinée à plus de 40%

environ sur l’horizontale. Le lit de l’oued Djendjen possède une pente douce d’environ 1° ; 150 m à l’aval du pied du barrage, un étroit éperon qui culmine vers la cote 280 m oblige le cours d’eau à suivre brutalement un tracé en méandre en oblique 90° vers l’EST.

Photo I.1 Vue d’ensemble du Site de Taballout.

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Chapitre I Généralité

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Photo I.1 Vue d’ensemble du Site de Taballout

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Chapitre II Cadre géologique régional

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II. Géologie régionale

II.1. Introduction

La région de Jijel appartient au massif de la Petite Kabylie occidentale qui comprend les domaines suivants :

Le domaine Kabyle.

Le domaine des flyschs.

Le domaine tellien.

II.2. Formations du domaine Kabyle

Issu du domaine interne de l’orogène alpin, le domaine Kabyle comprend les formations cristallophylliennes du socle Kabyle, et l’ensemble des nappes supérieures qu’il supporte.

II.2.1. Socle kabyle

Le socle de la Petite Kabylie est composé de deux grands ensembles :(Djellit, 1987)

ensemble supérieur,

ensemble inférieur, - Ensemble supérieur

C’est un ensemble décrit pour la première fois par Ehrman (1928), et ensuite par

Durand Delga (1955) .Il comporte de bas en haut :

Des schistes noirâtres qui surmontent, parfois, des conglomérats remaniant les formations sous-jacentes ;

Des psammites rouges et vertes à graptolites ;

Des grés calcareux à tentaculites ;

Des calcaires à orthocères.

- Ensemble inférieur

Constitué de gneiss fins parfois oeillés, à intercalation de marbres et d’amphibolites. Les termes de base de cet ensemble conservent des assemblages reliques du faciès des granulites.

(Djellit, 1987).

II.2.2. Formations de l’Oligo-Miocène Kabyle (OMK) et les Olistostromes - Oligo-Miocène Kabyle

Il forme la couverture sédimentaire transgressive du socle Kabyle (Raoult ,1974 ; 1975,

Bouillin, 1977).

L’Oligo-Miocène Kabyle est constitué par des formations détritiques comportant trois termes :

Un terme de base formé de conglomérats grossiers polygénique reposant en discordance sur le socle Kabyle.

Un terme médian, comportant des grés micacés à débris de socle associés à des péllites micacés.

Un terme sommital formé de silexites. (Bouillin, 1977) - Olistostromes

Les olistostromes sont des formations tectono-sédimentaires à débris de flysch Maurétanien et Massylien reposant sur les formations de l’Oligo-Miocène Kabyle.

Ces formations, ont été décrites pour la première fois en Petite Kabylie par Raoult et Bouillin

(1971).

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Chapitre II Cadre géologique régional

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L’âge de ces formations selon ces derniers auteurs, est supposé Aquitanien à Burdigalien inférieur probable (Bouillin ; Raoult, 1971 ; Bouillin et al ,1973 ; et Bouillin, 1977).

II.3. Formations du domaine des flyschs

Les flyschs sont classiquement subdivisés en deux types principaux montrant des termes allant du Néocomien à l’Eocène ce sont : Le flysch Maurétanien (Unité de Guerrouch) et le flysch Massylien(Bouillin.J.P et al, 1969).

II.3.1. Flysch Maurétanien Comporte de bas en haut :

Un pré- flysch calcaire du Tithonique- Néocomien constitué d'une alternance de marnes grises et de turbidites calcaires.

Un ensemble (300m) de grés homométriques à cassure verte (flysch de Gerrouch) attribué à l’Albo-Aptien.

Localement, des phtanites rouges et blancs du Cénomanien supérieur.

Un Sénonien micro-bréchique. les micro-brèches à ciment spathique riche en quartz détritiques, peuvent être quelque fois remplacées par des micro-conglomérats.

Enfin, au sommet des conglomérats puis des grés micacés Tertiaires (Eocène à Oligocène). (Djellit, 1987)

II.3.2. Flysch Massylien

Il présente une série allant du Néocomien au Lutétien terminal et regroupe trois ensembles :

A la base, le classique" Flysch Albo-aptien" composé d’argiles et de grés quartzitiques, vert- olivâtre, en barres minces (10-30 cm), des grés légèrement calcareux, rosés à violacés et très localement des niveaux conglomératiques à Orbitolines.

Ensuite vient un ensemble comprenant des marnes et calcaires fins, jaunâtres du Vraconien, des microbrèches et Conglomérats plus ou moins silicifiés à Rotalipores et Orbitolines du Cénomanien inférieur-moyen., des calcaires fins, noirâtres, auxquels s’associent souvent des phtanites noirs du Cénomanien supérieur.

Enfin, au sommet, un flysch à marnes microbréchiques riches en Globotruncana du TuronienMæstrichtien ; sa base montre des bancs calcaires jaunes à rosés à microfaune pélagique du Turonien-Coniacien.

Cet ensemble est surmonté par des argiles rouges et des microbrèches calcaires bioclastiques à Nummulites de l’Eocène. (Djellit, 1987)

II.4. Formations du domaine tellien

Le domaine tellien est subdivisé du Nord au Sud en trois unités fondamentales ou nappes telliennes.

II.4.1. Nappes épi-telliennes

Constituées de terrains marneux allant de l’Albien au Lutétien supérieur. (Djellit, 1987) II.4.2. Nappes méso-telliennes

Qui montrent un dispositif de cinq écailles, formés de sédiments allant du Sénonien au Miocène. (Djellit.H, 1987).

II.4.3. Nappes infra-telliennes

Qui sont les unités les plus basses structuralement. Elles sont caractérisées par une

structure chaotique. Le Trias gypsifère, le Jurassique, le Crétacé et le Nummulitique ont glissé

sur les sédiments, en cours de dépôts, du Miocène inférieur, et ont été remis en mouvement

(Djellit, 1987).

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Chapitre II Cadre géologique régional

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II.5. Flysch Numidien

Le flysch numidien occupe la position la plus haute dans l’édifice structural de la région. Il est constitué de quatre termes lithologiques comprenant de bas en haut :

50 m d’argile aux teintes variantes : vertes, rouges, jaunes et grises, à intercalations calcaro- gréseuses.

10 à 20 m d’une alternance de péllites bleutées et de marnes à intercalations gréseuses décimétriques, soit en niveaux continus, soit lenticulaires et à figures de bases (les flûtes castes, figure de charge…).

Un ensemble (150 à 160 m) gréseux en bancs épais (2 à 3 m), faciès Numidien composé essentiellement de teintes jaunes blancs (rouille d’altération), à grains grossiers de quartz roulés (dragées de quartz).

10 à 15 m de bancs de calcaires gréseux associés à des marnes calcaires terminant cette succession. (Djellit, 1987)

II.6. Formations post-nappes

Comprenant des formations marneuses du Miocène et des conglomérats grossiers d’âge Pliocène.

II.6.1. Marnes du Miocène

Elles reposent en discordance sur le socle kabyle et les terrains sou jacent de l’OMK. L’âge Tortono-messinien est attribué à ces formations. Le Tortono-Messinien est constitué de ces marnes bleues à passées calcareuses discontinues (miches calcaires). (Djellit, 1987)

1I.6.2 Formations détritiques du Pliocène

Représenté par des dépôts détritiques, galets poudingues et argiles d’origine continentale.

L’épaisseur de cette formation varie de 30 à 50 m.

II.7. Formations Quaternaires

Elles sont bien représentées dans le bassin Néogène de Jijel, elles comportent les formations suivantes :

II.7.1. Les dunes de sables

Elles forment le cordon littoral et comportent :

-Des dunes anciennes : constituées également de sables fins limoneux parfois consolidés.

-Des dunes actuelles : constituée de sables fins parfois consolidés I.7.2. Les alluvions

Elles sont représentées par des alluvions récentes et des alluvions actuelles

-Les alluvions récentes : constituées essentiellement par des sables limoneux et des sables graveleux parfois consolidés. (Durand Delga, 1955).

-Les alluvions actuelles : sont composées d’éboulis d’alluvions et des brèches de pente non

consolidées ; la taille des éléments peut aller jusqu’à 50 mm de diamètre.

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Chapitre II Cadre géologique régional

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II.8. Roches magmatiques

Elles sont principalement représentées par :

Des roches basiques et ultrabasiques (Péridotites, Gabbros, Diorites, Microdiorites et Dolérites) du Texenna.

Des roches volcaniques (Rhyolites, Trachites, Andésites, Dacites, Rhyodacites, Pyroclastites) dans la région de Cavallo.

Des roches granitiques (Granites, Microgranites et Grano-diorites). Ces roches granitiques résultant d’un épisode magmatique miocène. (FOUGNOT, 1990)

II.9. Aspect structural de la partie occidentale de la petite Kabylie

La structuration géologique du massif de la Petite Kabylie est le résultat de plusieurs phases tectoniques :

II.9.1. Tectonique anté-Oligocène

La tectonique anté-Oligocène est particulièrement caractérisée par de grands accidents cassants d’ampleur régionale et de direction variée : Nord-Sud, Est-Ouest, Nord- Est, Sud-Ouest et Nord Ouest-Sud Est.

Cette tectonique cassante semble être à l’origine de la structuration du massif de Petite Kabylie en horst et grabens.

Par ailleurs, ces grands accidents tectoniques cassants (accidents du socle) semblent avoir guidé la mise en place des roches magmatiques (Bouillin, 1977).

II.9.2. Tectonique Miocène

La tectonique Miocène semble être responsable de la structuration géologique actuelle du massif de la petite Kabylie. Cette tectonique s’est manifestée par des plissements, des charriages et une reprise des jeux des failles qui ont surtout rejoué en faille décrochantes (NO-SE dextre et NE-SO senestre).

Par ailleurs, ces jeux de faille semblent avoir eu un rôle important dans la mise en place des roches magmatiques Miocène et la remonté des diapirs du Trias.

Au Néogène, la tectonique est marquée par le retrait de la mer de la plus grande partie des terres émergées. Les invasions marines ne vont atteindre que des aires limitées, notamment les dépressions côtières (bassin de Jijel) où vont se déposer les marnes bleues du miocène terminal.

Les zones montagneuses émergées ont subi une intense érosion et modelage qui leur ont donné

l’aspect actuel (Bouillin, 1977).

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Chapitre II Cadre géologique régional

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1 : Pliocène conglomératique;

2 : Post-nappe (Tortono-méssinien) marnes gris-bleutées;

3 : Numidien assise gréseuse;

4 :O.M.K : Molasse olistostromique (Aquitano-Sérravalien);

5 : Flysch massylienAlbo-aptien;

6 : Formations telliennes;

7 : Trias (argile gypsifère varicolores);

8 : Complexe volcano-sédimentaire;

9 : Socle Kabyle (formations cristallophylliennes).

Fig. II.1 :Coupe géologique N-S de la région d'étude .

Tamesguida

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Chapitre III Cadre géologique locale et site

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III.1. Géologie local :

III.1.1. Introduction :

La région de Djimla dont fait partie certaines zones instables étudiées est située dans la zone de contact des formations du domaine interne avec les formations du domaine externe.

Du Nord vers le Sud on peut distinguer :

- Les formations du socle Kabyle.

- Les formations de type flysch.

- Les formations telliennes.

- Les formations du flysch numidien.

- Les formations quaternaires.

III.1.2. Les formations cristallophylliennes du socle Kabyle :

Au Nord de Djimla les formations du socle Kabyle sont représentées d’une part par les formations du complexe volcano-sédimentaire du Djebel Draa El-Fertassa, et d’autre part les formations cristallophylliennes du socle Kabyle, regroupant des schistes, des micaschistes, des gneiss et des calcaires métamorphiques du Djebel Sidi-Bouaza.

L’ensemble de ces formations est charrié vers le Sud sur les formations du flysch massylien. Le contact de chevauchement est situé à environ 250m au Nord de l’oued Djimla.

III.1.3. Les formations de type flysch :

Elles sont représentées dans la région étudiée par les formations du flysch massylien. Ce flysch comporte une alternance des bancs de grés quartzitiques décimétriques, parfois centimétriques, et des argiles noires schisteuses, à schistosité chaotique.

III.1.4. Les formations telliennes :

Dans la région étudiée, les formations telliennes sont représentées par les marnes à boules jaunes d’âge Lutétien à Préabonien.

III.1.5. Le Trias :

Le long de l’oued Djimla on rencontre parfois du Trias diapirique comportant du gypse, des marnes gypsifères, des argiles bariolées, et des argiles de couleur lie de vin. Ces formations apparaissent en contact anormal avec les formations telliennes et les formations du flysch massylien.

III.1.6. Les formations numidiennes :

Elles comportent des argiles de teinte verte et rouge ou violacée « argiles à

Tubotomaculum » dites argiles sous-numidiennes. Ces argiles sous-numidiennes affleurants le

long de la route au Sud du village de Djimla. Elles sont surmontées par une épaisse série de grés

numidien, à grains hétérométriques, à cassure blanchâtre, et contient des dragées de quartz

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Chapitre III Cadre géologique locale et site

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Les formations numidiennes reposent en discordance sur les formations telliennes.

III.1.7. Les formations quaternaires :

Elles sont représentées par une tranche de terre végétale argilo-limoneuse, dont la quelle sont noyés des blocs de grés numidien de taille variable.

III.2. Géologie de site :

III.2.1. Introduction :

Tabellout est située sur le transversale N-S Texanna-Djimla. Le massif de Tabellout est constitue de roches métamorphiques du socle kabyle et le djebel Draa EL Fertassa est représente par les formations du complexe volcano-sédimentaire ; ce dernier se trouve en chevauchement vers le sud sur la zone des flysch dont l’inclinaison peut atteindre 60°N (Djellit 1987).

III.2.2. Synthèse litho stratigraphique :

Fig. III.1. Catre géologique de la région de Tabellout

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Chapitre III Cadre géologique locale et site

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III.2.2.1. Les formations de socle kabyle :

D’âge Précambrien elles sont représentées dans la région de Texanna par des gneiss oeillées, et des phyllades. Ils forment la plus basse unité géologique de la région probable est attribué à ces formations (Durand Delga, 1955).

Au Nord de Djimla les formations du Socle Kabyle sont représentées d’une part de formations du complexe Volcano -Sédimentaire de Draa-El Fartassa et d’autre part de formations Cristallophyllien du socle Kabyle, regroupant des Schistes, micaschistes, Gneiss et Marbre du Sidi Bouaza.

L’ensemble de ces formations est charrie vers le Sud sur les formations du Flysch Massylien. (CVS).

III.2.2.2. Les formations du complexe volcano-sédimentaire :

Ces formations reposent par un contact anormal sur les formations du flysch massylien.

Pour Bouillin (1979), le « complexe volcano-sédimentaire » de Texanna représente le substratum Jurassique du flysch mauritanien. Il comporte de bas en haut :

a- Un ensemble basal : d’une épaisseur allant de 200 m à 300 m, il est composé d’un

empilement de roches volcaniques à textures variables. Ces roches sont d’épaisseur métrique, foliées et s’organisent en niveaux parallèles entre eux. Cet ensemble débute localement par des Pillow-lava auxquels sont associées des radiolarites recristallisées (Bouillin (1979).

b- Un ensemble sommital : d’une épaisseur de 200 m environ, il est divisé en deux termes : - Le premier terme est constitué d’une série volcano-sédimentaire (50m

d’épaisseur) contenant des niveaux quartzo-pélitiques et des basaltes, passant à des dolérites, ou encore des parasinites, et des gabbros dioritiques à amphiboles brunes.

- Le deuxième terme est essentiellement constitué par de calcaires centimétriques à décimétriques.

On rencontre cet ensemble éruptif à Djebel Sendouah (Texanna), (Djellit ; 1987).

III.2.2.3. Les formations de type flysch :

Elles sont représentées dans la région étudiée par les formations du flysch massylien, ce terme a été proposé par [Raoult (1969)], pour caractériser les formations détritiques schisto quartzitiques. Ce flysch comporte une série allant du Néocomien au Lutétien terminal et regroupe trois ensembles qui sont du bas en haut :

Des argiles et grés quartzitiques, des grés légèrement calcareux et localement des niveaux conglomératiques de l’Albo-Aptien.

Des marnes et calcaires fins du Vraconien, des microbrèches et des conglomérats du Sénonien inférieur et moyen auxquels sont associées des phtanites noires.

Des bancs calcaires à microfaunes pélagiques du Turonien-Cénomanien. Il est

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Chapitre III Cadre géologique locale et site

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caractérisé par des schistes, des grès quartzitiques surmontée par des microbrèches à éléments calcaires et à ciment pélitique et des marnes, allant du Néocomien à l’Albien supérieur [Raoult, 1969].

III.2.2.4. Le Trias :

Le long de l’oued Djendjen et d’Oued Rha on rencontre par fois du Trias diapirique comportant du gypse, des marnes gypsifères, des argiles bariolées et des argiles lie de vin.(Ces formations triasiques soulignent les contacts tectoniques des nappes de telliennes.

III.2.2.5. Les formations telliennes :

Les unités telliennes affleurant au niveau du barrage de Tabellout sont représentées principalement par :

-Des marnes verdâtres à jaunâtres présentant un débit en plaquettes dans les quelles s’intercalent de fins lits calcareux souvent froissés par la tectonique.

- Des bancs décimétriques de marno-calcaires jaunâtres légèrement indurés à nombreux veines de calcite de recristallisations.

Cette série est surmontée par des marnes noires à faciès suessonien. Les contactes lithostratigraphiques de la région sont souvent palonnés par des lames de trais evaporitiques.

Le peu important affleurement de trais se souligne le contact flysch massyliennes/tellien dans l’assise même de barrage et s’étale en diapir au niveau des Beni Yadjis.

III.2.2.6. Les formations numidiennes :

Elles comportent des argiles de teinte verte et rouge ou violacée « argiles à Tubotomaculum » dites argiles sous-numidiennes. Ces argiles sous-numidiennes affleurant le long de la route au Sud du village de Djimla. Elles sont surmontées par une épaisse série de grés numidien, à grains hétérométriques, à cassure blanchâtre, et contient des dragées de quartz.

Les formations numidiennes reposent en discordance sur les formations telliennes.

III.2.2.7. Les formations Quaternaires :

En majorité, elles sont représentées par une tranche de terre végétale, parfois des argiles à blocs, galets ainsi que des éboulis des piémonts ou éluvions.

Dans ce qui suivre, la description lithologique des formations obtient à l’ordre de la position structural de chacune d’elles sur la transversal de barrage soit de nord au sud

Socle kabyle+CVS

Flysch massilyen

Trais

Tellien

Numidien

(18)

Chapitre III Cadre géologique locale et site

Page 7

Légende :

Fig. III.2 Coupe géologique interprétative de la chaine numidique-région de Jijel

Algérie Nord orientale

(19)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

IV.1. Etude pétrographique

Le complexe vulcanaux sédimentaire de Tabelloutte est formée par des roches

magmatiques ultrabasiques et basiques de déférentes textures, ces roches sont classées dans les diagrammes de streckeisen (1974).

Epidotite et pistachite sont classes dans le diagramme A-P-Q (Fig. III.1) .

Gabrro, basalte et dolirite sont classes dans le diagramme OPX-CPX-PL (Fig.III.2).

Calschiste ce sont des roches de métamorphisme épigonale issus des formations sédimentaire calcaro-pelitiques.

Fig.IV.1: Diagramme A-P-Q

(20)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

Fig.IV.2: Diagramme OPX-CPX-PL

(21)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

IV.2 Description pétrographique sous microscope polarisant

L’étude pétrographique, sur terrain et ou laboratoire de échantillons de la région d’étude, a permis de révéler plusieurs facies magmatiques basique et ultrabasique, et autres légèrement métamorphique qui constituent le complexe volcano-sédimentaire et les roches environnantes de la région de Tabelloute. Les roches basiques rencontrées à Tabelloute sont des Basaltes, des Gabrro des Dolirites. Des Epidotites et des Pistachites à Oued missa. Les roches légèrement métamorphisées sont les Calcschistes.

IV.2.1 Epidotite

L inventeur et étymologie de épidote est Décrit par René Just Haüy en 1801. Il tire son nom du grec, epidosis qui signifie « qui a reçu un accroissement». Les descriptions faites par Romé de l'Isle et Delamétérie.

Leur topo type décrit par

Bourg-d'Oisans, Isère, Rhône-Alpes, France. Le matériel de référence est déposé au Muséum national d'histoire naturelle, Paris, France.

Une épidote est une espèce minérale du groupe des silicates sous groupe des sorosilicates, de formule Ca

2

(Fe, Al) Al2(SiO

4

) (Si

2

O

7

)O(OH) avec des traces de magnésium et de manganèse (Mg et Mn). Ce minéral peut donner des cristaux prismatiques long jusqu'à 35 cm. Il est assez répandu et donne des gemmes qui peuvent être taillées.

On trouve l'épidote dans les roches métamorphiques, hydrothermales, métasomatiques de contact. Par altération des plagioclases.

On utilise les épidotes comme pierres fines en cristaux facettés ou en cabochons ou encore en tant que minéral de collection à l'état brut.

On a développé l épidotite de nos échantillons d étude dans la région d’Oued missa

Photo IV.1 Une masse

d’Epidotite

(22)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

Ce sont des roches mélanocrates de couleur verdatre.de texture schisteuse finement grenue, formée essentiellement d épidotes avec fréquemment au peu de quartz.

A/ Epidote

Elle se présente en petites plages xénomorphes (Pl IV. Fig3.B) ou en paillettes allongées (Pl IV.

Fig3.A). L’épidotes manifeste en section de teinte de polarisation vive et variée donnant l’allure d’un manteau d’arlequin. Comme il trouve de forme roulante a couse de remplacement des grenat (Pl IV. Fig3.C). Ce minéral quand il existe, il se trouve toujours développe sur certains panaires ou dans la fracturation.

B/ Le Quartz

C’est le produit d’altération hydrothermale, ce trouve au niveau de fracture et Lépide le minéral d’origine, se présente en cristaux xénomorphes de petit taille. (Pl IV. Fig3.B).

C/ Les Minéraux d’altérations a- La Calcite

Ce minéral d’altération se présente en petites plages généralement xénomorphes en remplissant les discontinuités et les veinules. (Pl IV. Fig3.D).

Photo IV.2 Epidotisation ET calcite

Calcite

epidotite

(23)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

b- La Chlorite

Elle se présente en section sub-automorphes souvent déformée suivant les clivages. La chlorite se particularise par une accumulation d’oxyde de fer le long de clivage. (Pl IV. Fig3.E) .

D/Les minéraux opaques

Sont présentent des sections automorphe a cube. La tailles de ces minéraux est variable selon le type d’opaque de un a cinq millimètres. (Pl IV. Fig3.F).

A

B

PLANCHE IV

Fig.3.A. veinule d épidote en forme S la texture fluidole indique un cisaillement synchronique a la mise en place de dolerite

.

(en

LP).(Objx2.5)

Fig.3.B section montrant les quartzs en cristaux ou

niveau de fracture. (en LP).

(Objx2.5).

(24)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

c

D

Fig.3.C Section de grenat altéré et remplace par épidote.(en LP).(Objx10)

Fig.3.C Section de grenat altéré et remplace par épidote.(en LN).(Objx10)

Fig.3.D. Texture vitreuse

couper par des veinule de la

calcite.( en LP).(Objx2.5).

(25)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

E

F

IV.2.2 Pistachite

Mot invente par le minéralogiste allemand Abraham Gottlob wener et qui évoque la couleur verte particulière du minerai qui ressemble a la pistache. Leur minéralogie comme épidotite.

Est un épidote monoclinique a espèce minérale, ce minéral donner des cristaux prismatique long, l est assez répandu et donne des gemmes qui peuvent être tailles. Elle compose comme minéraux : quartz, pistachite, épdote, calcite, et les minéraux opaques. (Pl IV. Fig4.)

A/ La Pistachite

C’est le minéral le plus dominant se trouve en section xénomorphe très réfringentes plus ou mois nettement clavée.

Fig.3.E. figure montrant le minéraux d’altération chlorite. (En LP). (Objx2.5).

Fig.3.F. minéraux opaque.

(En LP). (Objx2.5)

(26)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

B/ Le Quartz

il se présente en sections assez grandes xénomorphes au automorphes montrant souvent des extinctions. Il montre parfois, des grains de petite a moyennes tailles.

C/ Epidote

Il se présente en petites plages généralement xénomorphes de teinte très vive.

D/ La Calcit e

ce minéral d’altération se trouve en plages isolées xenomorphe.il se en section de couleur brune avec plan de clivage régulier.

E/ Les minervaux opaques

Sont présentent a minéralisation primaire et secondaire.

PLANCHE IV

Fig.4

.

aspect microscopique de pistachite

en lame

mince. (En LP) (Objx10).

(27)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

Dans les gabbros, le plagioclase est le minéral cardinal, accompagné par d'autres minéraux; si le plagioclase est absent, on a des roches intrusives ultrabasiques, formées uniquement de

pyroxènes et d'olivine, seuls ou associés.

Les gabbros sont l'équivalent intrusif des roches les plus répandues de l'écorce terrestre, les basaltes. Ce sont des roches sombres à structure grenue, holocristalline, analogue à celle de ces derniers. Volumétriquement, le plagioclase constitue environ 50 % des minéraux du gabbro; il s'agit, en général, de labrador en cristaux de forme aplatie, analogues à ceux que l'on rencontre dans les équivalents effusifs des gabbros, les dolérites. Leur couleur est souvent blanche, mais la présence de minuscules inclusions de minéraux ferrifères peut leur conférer une couleur noir-gris et un éclat métallique.

Les pyroxènes sont les minéraux les plus abondants après les plagioclases. Ils peuvent être orthorhombiques ou bien monocliniques. Dans un gabbro stricto sensu, le pyroxène est

monoclinique (clinopyroxène) ; dans une norite, il est orthorhombique (orthopyroxène). Tous les passages entre gabbro et norite peuvent exister dans la nature. Les pyroxènes monocliniques sont généralement de l'augite, du diallage ou de l'augite titanifère. L'orthopyroxène est généralement représenté par des termes plus ou moins ferrifères de la famille enstatite-bronzite-hypersthène.

Les deux types de pyroxènes peuvent contenir des inclusions lamellaires de minéraux ferrifères ou bien des inclusions de pyroxènes de composition chimique différente de celle du minéral hôte (par exemple, l'augite dans le pyroxène orthorhombique et vice versa). L'étude de leur

composition exacte et de leurs rapports réciproques est importante pour déterminer leur ordre de cristallisation dans le magma.

On peut trouver des amphiboles dans certains gabbros; toutefois, en général, il s'agit de minéraux secondaires provenant de l'altération des pyroxènes, par suite d'un métamorphisme général ou par des phénomènes d'auto-métasomatisme, accompagnés d'un apport d'eau.

L'olivine peut être un des composants essentiel des gabbros; elle se présente en cristaux trapus, souvent transformés partiellement ou entièrement en serpentine. La présence d'olivine dans le gabbro signifie que le magma originel était pauvre en silice; l'olivine a, en effet, une composition plus pauvre en silice que les pyroxènes.

Certains gabbros à plagioclases et pyroxènes peuvent contenir du quartz qui cristallise très tardivement à partir d'un liquide résiduel enrichi en silice. La présence d'olivine, même en petites quantités, exclut totalement la présence de quartz.

(28)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

IV.2.3 Gabbro

Ce sont des roches a structure grenue de couleur vert a noire dite plutonique.

Il peut être utilisé comme source de métaux ou comme pierre de taille.

Elle compose comme minéraux essentielles : plagioclase, pyroxane, amphibole, les minéraux accessoires : chloritoide, sphène et les

minéraux d’altération est la calcite, chlorite, épidote.

A/ Le Plagioclase

Il est relativement peu abondant, il se présente soit en grains dissémines sub-automorphe a macle polysynthétique, soit en petit plage moulées par la schistosité. Les plagioclases s’altèrent le plus souvent en calcite, plagioclases calciques. (Pl IV. Fig5.A.).

B/ Le Pyroxène

Ils existent en plages xénomorphes de taille millimétrique sont reconnus par une réfringence élevée et des clivages sub-orthogonaux 2

eme

ordre. Ce pyroxéne altérer partiellement en amphibole. (Pl IV. Fig5.B.).

C/ L’amphibole

elle se présente sous forme des cristaux xénomorphes de taille millimétrique de couleur jaune clair 1

er

ordre a biréfringence forte, les plages sont losangique. (Pl IV . Fig5.B.).

D/ Les minéraux accessoires a- La Chloritoide

Les rosettes de chloritoide représente de couleur gris a orangé (teintes anormales assez fréquentes ; violacé ; li de vin ; jaune verdâtre). Et de biréfringence faible a moyenne.

(Pl IV. Fig5.C

.

).

b- Le Sphene

il se présente de petit point de teinte rose dans le clinopyroxene de couleur gris et fort relief.(Pl IV. Fig5.D

.

)

.

E/ Les minéraux d’altérations a- La calcite

Ce minéral d’altération est reviens tardive a ces minéraux remplissant les discontinuités et les veinules. (Pl IV. Fig5.E).

b- La Chlorite

Elle se présente en plage généralement xénomorphe de couleur verte, et clivage fin a

biréfringence moyenne a élever.(Pl IV. Fig5.F).

(29)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

c-Epidote

c’est un minérale d’altération des minéraux primaires. Il se trouve en plages xénomorphes de taille un a deux millimètres et se manifeste en section de teinte polarisation rose et très vive.

(Pl IV. Fig5.F.).

E/ Les minéraux opaques

Sont toujours sous forme soit en minéralisation primaire associée a la paragenès essentielle soit en minéralisation secondaire dans les veinules.(Pl IV. Fig5.J.).

A PLANCHE III

Fig5.A Echantillon et lame mince gabbro

En voit bien les plagioclases en pyjama raye plus ou moins altérer. (En. LP).

(Objx2.5).

(30)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

B

C

Fig.5.B une section mantra le Pyroxène et amphibole et leur altération Pyroxène- amphibole.

(En PL). (Objx2.5)

Fig.5.C. la rosette de Chloritoide.

(En LP). (Objx10).

(31)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

D

E

F

Fig.5.D Parmi les minéraux accessoires on peut y

observer très difficilement le sphene. (En LP). (Objx2.5)

Fig.5.E figure montrent veinules de la calcite. (En LP) (Objx2.5)

Fig.5.F section montrent plage d’épidote et de

chlorite. (En LP). (Objx2.5)

(32)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

J

IV.2.4 Basalte à dolirite

Ces roche sont milanocrates, microlitique de texture vitreuse a des viens riche en minéralisation.

Le para genèse observée sous microscope polarisant la suivante :

A/ Dolirite

C’est le minéral le plus dominent se présente a des plages de texture doliritique, des cristaux allongées et dons les veinules (Pl IV. Fig6.A).

B/ Plagioclase

Il se présente en cristaux sub-outomorphe à automorphe de taille millimétrique, l’interaction entre plagioclases a engendré la texture doliritique de ces roches (Pl III. Fig6.B).

C/ Pyroxène

C’est un minéral abondant et se trouve en section xénomorphe de taille millimétrique sa réfringence est élevée (Pl IV. Fig6.B).

D/ Minéraux d’altérations

a- Chlorite C’est un minéral d’altération, il se présente en cristaux xénomorphe de couleur vert. en remarque par fois la présence des inclusions d’oxyde de fer (Pl IV. Fig6.B).

b- Epidote C’est un minéral d’altération primaire, il se trouve en plage xénomorphe de taille un à deux millimètres a teinte très vive (Pl IV. Fig6.B).

Fig.5.J la minéralisation

primaire. (En LP). (Objx2.5)

(33)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

E/ Les minéraux opaques

Se présente sous forme soit en minéralisation primaire associe a la para genèse essentiel (Pl III.

Fig6.B), soit en minéralisation secondaire dans les veinules (Pl IV. Fig6.C).

A

B PLANCHE III

Fig.5.A section montrent les

deux formations de dolerite -dolirite en plage.

-dolirite en veinule.

(En LP) (Objx2.5).

Fig.6.B Figure montrant cristaux isolée de pyroxène, plage xénomorphe de

chlorite et cristaux d’épidote et minéralisation primaire.

(En LP) (Objx2.5)

(34)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

C

IV.2.5 Dolirite

Les dolirite sont des roches melanocrates de la texture doléritique (Pl IV. Fig7.A). ces roches sont formées par des grains de tailles millimétriques. Elles montrant une minéralogie essentielle de plagioclases et de pyroxène et des minéraux d’altérations : chlorite, épidote, et des minéraux opaques.

A/ Le Plagioclase

Il se présente en section xénomorphe de taille millimétrique, la majorité de ces plagioclases sont altérées en calcite ou participe a la formation des épidotes l’interaction entre les plagioclases a engendré la texture doléritique de ces roches (Pl IV. Fig7.B).

B/L e Pyroxène

Se trouve en sections xénomorphes. Il est reconnu par sa réfringence élevée et par ces clivages n’est pas carrées parce que il s’altaire parceillement en amphibole. (Pl IV. Fig7.B).

C/ Les minéraux d’altérations a- Epidote

C’est un minérale d’altérations des minéraux primmaire.il se trouve en cristaux xénomorphes de petit taille de teinte vive. (Pl IV. Fig7.C).

b- Chlorite

Il se présente sous deux formes : des cristaux xénomorphe de taille un à deux millimètres (Pl IV. Fig7.D), et en plages de texture doléritique. (Pl IV. Fig7.C).

Fig.6.C. les minéralisations secondaire sont accumulées dans l es plans discontinuité.

Fractures. (En LP).

(Objx2.5)

(35)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

D/ Les minéraux opaques

La minéralisation primaire se trouve en paillettes de petite taille rentrant dans la formation du tissu primaire et des veinules de la même minéralisation présente la minéralisation secondaire.

(PlIV.Fig7.E).

A

B

PLANCHE IV

Fig.7.A la texture doliritique. (En LP) (Objx2.5).

Fig.7.B section de pyroxène

globes par plagioclase. (En

LP) (Objx2.5).

(36)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

C

D

E

Fig.7.D figure montre une plage xenomorphe de chlorite et minéralisation.

Fig.7.C section montrent plage doliritique de chlorite, des épidotes. (En LP)

(Objx2.5)

Fig.7.E la minéralisation et

chlorite en LN (Objx2.5)

(37)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

IV.2.6 caleschiste

Ce sont de structure schisteuse de couleur blanchâtre ou verte. L’association minéralogique rencontrée comporte : quartz, calcite, épidote

A/ Le Quartz

Le quartz est très abandon , Il est de forme xenomorphe et parfois étiré suivant les plans de schistosité, il présente généralement des grains a extinction roulante, et montre souvent une texture graphique. On peut également observer le quartz en petites section en gobées par la calcite.se présente sous forme de petites lentilles de taille millimétrique suivant les plans de schistosité. (Pl IV. Fig8.A).

B/ La Calcite

Se trouve en plage xénomorphe de teinte élevée avec plan de clivage plus ou moins fins et réguliers, forment un quadrillage losangique (Pl IV. Fig8.B). ou en petite lentilles.

(Pl IV. Fig8.A).

C/ Epidote

Elle est presque abondant se présente sous forme de petits cristaux de taille millimétrique être suivant les plans de schistosité. (Pl IV. Fig8.A).

D/ Les minéraux opaques

La minéralisation primaire se présente a des cristaux cubique. Et la minéralisation secondaire

remplie les veinules au plan de schistosité. (Pl IV. Fig8.C).

(38)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

A

B

c PLANCHE IV

Fig.8.A. lentilles de calcite et épidote et des veinules de minéralisation secondaire

Fig.8.B section montrent cristaux de quartz et plage de la calcite. (en LP) (Objx2.5)

Fig.8.c Figure de

minéralisation primaire en

cube (en LP) (Objx2.5)

(39)

Chapitre IV Etude pétrographique

Page 14

(40)

Chapitre V Etude métallogénie

Page 34

I. Etude métallographique v -1- Introduction

L`étude métallographique est a la métallogénie ce que la pétrographie est a la géologie.

Elle a pour but la détermination des différents espèces minérales constituant un minerai, l`examen de leurs relations mutuelles, l`étude de leur évolution dans le temps et l`espace.

En effet. Les minéraux métalliques sont des corps fortement absorbants en général opaques en lame mince et par non étudiables en lumière transmise par la technique microscopique utilisée en pétrographie, on est donc conduit a les examiner en lumière réfléchie en confectionnant des sections polies, étudiées en suite a l`aide d un microscope métallographique.

La méthode que nous utilisons pour faire nos section polie peut être résumée de les opérations suivent :

-1

er

opération : Inclusion de l`échantillon.

-2

eme

opération: Dégrossissage.

-3

eme

opération: Polissage.

V-2-Partie pratique

Etude métallogénie de nos section polie a permis d`identifier les minéraux suivants : Pyrite : (FeS

2

) cubique

En principe de couleur jaune très claire, polarisent faiblement. Isotrope, la plupart de pyrite se présente un zonage net cubique (Pl IV. Fig1. A) et aussi se présente de façon xénomorphe avec tissus cellulaires (Pl IV. Fig1.B). Les minéraux associes de pyrite : la galane, pyrhotite,

mispickel,…chalcopyrite.

Chalcopyrite :(CuFeS

2

)

Jaune cuivre en masse xénomorphe a faibles anisotropie parfois légèrement anisotrope.

(Pl IV. Fig1.A)

(41)

Chapitre V Etude métallogénie

Page 34

A

:

B

Fig.1 : observation microscopique en lumière réfléchie.

A) cube de pyrite et cristau de chalcopyrite. B) plage de pyrite xénomorphe. (LN.G x 20).

PLANCHE V

(42)

Chapitre V Etude métallogénie

Page 34

_ j ai aucune édit a ces minérales ???????? (Pl IV. Fig2.A) et (Pl IV. Fig2.B).

A

B

Fig.2: A) et B)…………?????????????

PLANCHE V

(43)

Conclusion générale

40

Conclusion générale

La région de Taballoute à Djimla, est caractérisée par l’existence des roches magmatiques sous saturées en silice encaissées dans des Calcschistes, l’ensemble est appelé le complexe volcano-sédimentaire, ou « CVS ». Ce dernier est installé dans les zones internes de la chaîne alpine d’Algérie orientale associe du Socle Kabyle et des formations de type Flyschs

schistogréseux.

Les roches magmatiques du CVS du Taballoute sont des roches ultrabasiques et basiques de textures différentes. Elles s’agissent, des Epidotites, des pistachites, des Gabbro, des Basalte a dolirite, des Dolérites . Les Calcschistes sont des roches épi-métamorphiques des roches sédimentaires préexistantes calcaro-pélitiques.

La paragenèse des formations du CVS du Taballoute est la suivante : Epidotite = Epidote +Quartz± Calcite ± Chlorite;

Pistachite = Pistachite + Quartz + Epidote ± Calcite ;

Gabbros = pyroxène + Amphibole + plagioclase ± Chloritoide± Sphene ±Calcite ± Oxyde de Fer

± Epidote ±chlorite ;

Basalte a dolirite= Dolirite + Plagioclases + Pyroxènes ± Chlorite ± Epidote Dolérites = Plagioclases + Pyroxènes ± Chlorite ± Epidote ± Oxyde de Fer ; Calcschistes = Chlorite + Plagioclase + Quartz + Calcite + Oxyde de Fer.

Ces différentes roches sont affectées par une altération hydrothermale profonde .

Sur le plan métalogénique les formations CVS du Taballoute sont caractérisées par une

Minéralisation primaire disséminée dans la roche et contribue à la formation de la paragenèse

essentielle et une minéralisation secondaire concentrée dans les veinules. Cette minéralisation

est résumée en Pyrite, Calcopyrite, et une minéralisation ??…

(44)

Bibliographie

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kornprobst J . (1977) : Contribution à l’étude pétrographique et structurale de la zone interne du Rif . Thèse, Paris.

Site web:http://earth.google.comIntroduction et Objectif du travail

(46)

Résumé

Le Complexe Volcano Sédimentaire de la région de Sendouah encaissé dans la Petite Kabylie, est formé par des roches finement schisteuses, les roches schisteuses sont des Calcschistes, et des roches magmatiques basiques et ultra basiques plutoniques et volcaniques.

Les roches ultrabasiques sont les Dunites fortement altérées en Serpentine et des Pyroxénolite.

Les roches basiques sont les Gabbros, les Gabbros lités et les Dolérites. Le Complexe Volcano Sédimentaire et le Socle du Sendouah sont traversés par des filons de dolérites.

Sure le plan métallogénique le Complexe Volcano Sédimentaire du Djebel Sendouah est représentée par une minéralisation primaire disséminé et contribue à la formation de la paragenèse essentielle de la roche et une minéralisation secondaire concentrée dans la fracturation. La minéralisation existante dans le Complexe Volcano Sédimentaire est : l’Or, la Mispickel, l’Hématite, la Pyrrhotite et la Pyrite…

Mots clés : Mispickel, Or, Complexe Volcano Sédimentaire, magmatique, Sendouah.

Abstract

The volcano sedimentary complex of Sendouah area situated in the base of the Petite Kabylie, it is formed by finely schistose rocks, such as Calcschists and igneous basic and ultramafic plutonic and volcanic .The ultramafic rocks are highly altered Dunite serpentine and

Pyroxénolite. Basic rocks are Gabbros, Gabbros and Dolerites. The volcano sedimentary complex and the base of Sendouah are traversed by veins of Dolerites.

The volcano sedimentary complex of Sendouah area is represented by a primary disseminated mineralization and contributes to the formation of the essential mineral assemblage of rock and a secondary mineralization concentrated in factoring .Existing mineralization in The volcano sedimentary complex are: Gold, arsinopyrite, Hématite, pyrrhotite anth pyrite…

Key words: Arsinopyrite, Gold, volcano sedimentary complex, magmatique, Sendouah.

صخلم

تقطىمن ٍبىسزنا ٍواكزبنا بكزمنا عضىتَ

حوذىس تقرىم ام اعىو رىخص هم نىكتَ ىه و يزغصنا مئابقنا مكىس ٍف

تُواكزب رىخص و تُتنساب قىفو تُتنساب تُتامغام رىخصو تسُشكناك ٍهو تَزعت اهن تثذح ٍتناو تُووذنا ٍه تُتنساب قىف رىخصنا ,

ٍهو تُتنساب رىخصو ذولابرىهنا عم تَزُتسبىناو

تَرىووزباغنا ,

ٍتُن وزباغنا ةدروأ مكش ًهع نىكت تُواكزب رىخص كنذكو تَرىنوذنا و

تقطىمن ٍبىسزنا ٍواكزبنا بكزمنا حوذىس

ةأشىناب تطبتزم تُنوأ نداعم ًهع ٌىتحَ

ًنولأا تَىواث نداعم و رىخصهن .

نداعمنا يذه مهأ بهذنا

لاكُبسُمنا تَزُبنا

...

تاملكلا ةيحاتفملا

لاكُبسُمنا

:

, بهذنا , , تُتامغام ,

ٍبىسزنا ٍواكزبنا بكزمنا

حوذىس

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