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LANGUES MODERNES. Version provisoire - essai de terrain RÉFÉRENTIEL DE SAVOIRS DE BASE. Conseil de l Enseignement des Communes et des Provinces

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Academic year: 2022

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RÉFÉRENTIEL

DE SAVOIRS DE BASE

LANGUES MODERNES

Version provisoire - essai de terrain

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Avant-propos

Ces référentiels de savoirs de base sont diffusés aujourd’hui dans leur version de « mise à l’essai » pour quatre de nos programmes d’études : Français, Histoire - géographie, Langues modernes et Éducation artistique. Ceux relatifs aux Mathématiques, aux Sciences et à l’Éducation physique seront diffusés prochainement.

Chaque référentiel de savoirs de base sera complété dans un premier temps d’un recueil non exhaustif d’activités pouvant être menées en classe intitulé « Situations mobilisatrices ». Ces situations placent les élèves devant un problème à résoudre ; problème pour lequel ils devront mobiliser et/ou acquérir les compétences, les savoirs et les savoir-faire mentionnés.

Dans un second temps, une boite à outils reprenant des supports pratiques variés sera mise à la disposition des équipes éducatives.

Enfin, la diffusion de nos orientations méthodologiques clôturera la rédaction de notre nouveau Programme d’études pour l’enseignement primaire.

De plus, les enjeux liés à l’entrée à l’école maternelle, la promotion d’une approche globale du développement de l’enfant, l’importance d’une articulation fine avec l’enseignement primaire nous amènent également à proposer prochainement un

« Programme des apprentissages pour l’enseignement maternel ».

Ces Programmes sont conçus pour soutenir les Pouvoirs Organisateurs et les équipes éducatives dans leurs missions pédagogiques. Ils visent à montrer les liens entre les savoirs, les compétences et les situations d’apprentissage mais également la continuité des apprentissages tout au long de l’enseignement fondamental.

La mise à l’essai de ces derniers, leur conception en collaboration étroite avec les Pouvoirs Organisateurs et les équipes éducatives, sont autant de propositions concrètes qui, nous l’espérons, contribueront à l’amélioration continue de la qualité de notre Enseignement, et ce, dans le but de permettre à chacun des enfants qui sont confiés à l’enseignement officiel subventionné de s’épanouir pleinement dans « le métier d’élève ».

Christian LECLERCQ, Fanny CONSTANT,

Président Secrétaire générale

Ces référentiels de savoirs de base sont diffusés aujourd’hui dans leur version de « mise à l'essai » pour quatre de nos programmes d'études : Français, Histoire - géographie, Langues modernes et Éducation artistique. Ceux relatifs aux Mathématiques, aux Sciences et à l’Éducation physique seront diffusés prochainement.

Chaque référentiel de savoirs de base sera complété dans un premier temps d’un recueil non exhaustif d’activités pouvant être menées en classe intitulé « Situations mobilisatrices ». Ces situations placent les élèves devant un problème à résoudre ; problème pour lequel ils devront mobiliser et/ou acquérir les compétences, les savoirs et les savoir-faire mentionnés. Dans un second temps, une boite à outils reprenant des supports pratiques variés sera mise à la disposition des équipes éducatives.

Enfin, la diffusion de nos orientations méthodologiques clôturera la rédaction de notre nouveau Programme d’études pour l’enseignement primaire.

De plus, les enjeux liés à l'entrée à l'école maternelle, la promotion d'une approche globale du développement de l'enfant, l'importance d'une articulation fine avec l'enseignement primaire nous amènent également à proposer prochainement un « Programme des apprentissages pour l'enseignement maternel ».

Ces Programmes sont conçus pour soutenir les Pouvoirs Organisateurs et les équipes éducatives dans leurs missions pédagogiques. Ils visent à montrer les liens entre les savoirs, les compétences et les situations d'apprentissage mais également la continuité des apprentissages tout au long de l’enseignement fondamental.

La mise à l'essai de ces derniers, leur conception en collaboration étroite avec les Pouvoirs Organisateurs et les équipes éducatives, sont autant de propositions concrètes qui, nous l’espérons, contribueront à l’amélioration continue de la qualité de notre Enseignement, et ce, dans le but de permettre à chacun des enfants qui sont confiés à l’enseignement officiel subventionné de s’épanouir pleinement dans « le métier d’élève ».

Christian LECLERCQ, Président

Fanny CONSTANT, Secrétaire générale

(4)

Sommaire

Avant-propos . . . . 01

Sommaire . . . . 02

Introduction . . . . 03

Finalités spécifiques au domaine d'apprentissage . . . . 04

Cadre européen commun de référence . . . . 05

Compétences . . . . 09

Référentiel de savoirs de base . . . . 11

Structure générale . . . . 12

Savoir pour agir… Agir pour savoir . . . . 13

Modalités de lecture . . . . 16

Grilles de savoirs de base : Néerlandais . . . . 17

Grilles de savoirs de base : Anglais . . . . 31

Grilles de savoirs de base : Allemand . . . . 43

(5)

e

e générale

Introduction

Ce référentiel constitue l’ensemble des savoirs de base que nous considérons indispensables à aborder, à acquérir, à maitriser soit en fin de cycle, soit en fin de formation, soit pour les besoins d’une activité déterminée, quels que soient les moments d’apprentissage, leur lieu, leur organisation.

Dans le cadre de ce référentiel, nous entendons par « savoirs de base » l’ensemble des savoirs déclaratifs qui correspondent à des notions, des concepts, une terminologie, des principes, des faits, des évènements, des formules…

Les préoccupations suivantes ont inspiré la rédaction de ce référentiel :

• La volonté de transposer les savoirs formulés dans le document « Socles de compétences » en savoirs à enseigner : le QUOI enseigner.

• La volonté de proposer une planification de ceux-ci : le QUAND enseigner.

• La volonté de porter une attention particulière à la continuité des apprentissages du cycle 2 (dès la 3e maternelle – M3) au cycle 4.

Ce référentiel doit être considéré comme un outil de travail quotidien auquel l’enseignant se réfère en fonction de ses besoins particuliers, des situations qu’il rencontre, de l’environnement dans lequel il agit, des spécificités des élèves. Il est donc à considérer comme un outil évolutif et actualisable, comme une « estimation » de repères, de contenus qui paraissent indispensables à mettre en œuvre tout au long de la formation de base.

Les savoirs proposés ont été élaborés en fonction des savoirs déclaratifs à aborder, à maitriser, obligatoires et/ou facultatifs, explicitement ou non identifiés dans les « Socles de compétences », ainsi que dans les évaluations externes certificatives / non certificatives, que dans différents manuels scolaires agréés par la FWB.

Les savoirs de base (ainsi que les repères proposés en 3e maternelle - M3) proposés sont planifiés au travers des différents cycles dans l’intention de favoriser la progression et la continuité des apprentissages. Ils sont présentés sous forme de grilles référentielles.

Les référentiels de savoirs de base se structurent en trois parties :

1. Une introduction succincte au domaine d’apprentissage envisagée ;

2. Un rappel des compétences disciplinaires reprises des « Socles de compétences » de la Fédération Wallonie-Bruxelles ;

3. Le référentiel de savoirs de base précisant à partir de quel cycle aborder les différents savoirs. Ce référentiel est introduit par une section intitulée « Savoir pour Agir… Agir pour Savoir » reprenant une série non exhaustive de propositions d’activités susceptibles d’aborder ces savoirs.

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retour structure générale

Finalités spécifiques aux domaines disciplinaires

L’enseignement d’une langue moderne à l’école primaire doit cibler le niveau A1 de connaissances linguistiques et communicatives du Cadre européen commun de référence pour les langues.

Publié en 2001, il constitue une approche totalement nouvelle qui propose de repenser les objectifs et les méthodes d’enseignement des langues et, surtout, il définit une base commune pour la conception de programmes, de référentiels, d’évaluations et de certificats. Ce cadre informe les apprenants des connaissances et des habiletés à acquérir et des niveaux de compétences qui mesurent les progrès à chaque étape de l’apprentissage.

Le Conseil de l’Europe a pour but d’améliorer la communication entre européens de langues et de cultures différentes, pour faciliter la mobilité et les échanges, ce qui favorise la compréhension réciproque. Plus que jamais, il s’agit d’orienter l’élève vers un savoir-faire dans une autre langue.

Dans un premier temps, c’est en exposant l’élève à l’autre langue et en privilégiant la communication orale qu’on établira les bases d’un apprentissage. Cet objectif de communication trouve sa place dans une grande variété de situations proposées aux apprenants, aussi proches que possible de celles de la vie réelle en fonction des besoins de chacun.

C’est bien la pratique effective des langues qui doit être ciblée aujourd’hui, afin de faire émerger la compétence de communication tant dans le domaine personnel, public, éducationnel que professionnel, le moment venu, et dans le monde actuel de plus en plus ouvert aux échanges et à la mobilité.

Les caractéristiques générales sont :

• Faire en sorte que toutes les catégories de la population disposent des moyens pratiques pour acquérir une connaissance des langues des autres états membres (ou d’autres communautés de leur pays) et une aptitude à utiliser les langues pour répondre aux besoins de communication et plus particulièrement :

- de faire face aux situations de la vie quotidienne dans un autre pays,

- d’échanger des informations, des idées, des pensées, des sentiments avec des personnes parlant une autre langue, - de mieux comprendre le mode de vie et la mentalité d’autres peuples ainsi que leur patrimoine culturel ;

• Promouvoir, encourager et appuyer les efforts des enseignants et des élèves :

- en fondant l’enseignement et l’apprentissage des langues sur les besoins, les motivations, les caractéristiques et les ressources de chacun,

- en définissant des objectifs valables et réalistes,

- en élaborant des méthodes plus communicatives avec des ressources appropriés, riches et variées, - en mettant au point des modalités et des outils d’évaluation pertinents ;

• Promouvoir des programmes de recherche et de développement visant à construire, à tous les niveaux, la compétence de communication orale.

Chaque apprenant peut découvrir son niveau de connaissances communicatives dans une autre langue par rapport aux compétences à développer en consultant la grille d’autoévaluation ci-après.

(7)

e

e générale

C adre euro péen c omm un de ré fér en ce pou r le s lan gue s - Grille d 'a ut oé valuat ion

nion européenne et Conseil de l'Europe, 2004-2014 | http://europass.cedefop.europa.eu Page 1 / 1

A1

Utilisateur émentaire

A2

Utilisateur émentaire

B1

Utilisateur indépendant

B2

Utilisateur indépendant

C 1

Utilisateur expérimen

C 2

Utilisateur expérimen

Compr end re

Écouter

Je peux comprendre des mots familiers et des expressions très courantes au sujet de moi-même, de ma famille et de l'environnement concret et immédiat, si les gens parlent lentement et distinctement.

Je peux comprendre des expressions et un vocabulaire très fréquent relatifs à ce qui me concerne de très près (par ex. moi-même, ma famille, les achats, l’environnement proche, le travail). Je peux saisir l'essentiel d'annonces et de messages simples et clairs.

Je peux comprendre les points essentiels quand un langage clair et standard est utilisé et s’il s’agit de sujets familiers concernant le travail, l’école, les loisirs, etc. Je peux comprendre l'essentiel de nombreuses émissions de radio ou devision sur l'actualité ou sur des sujets qui m’inressent à titre personnel ou professionnel si l’on parle d'une façon relativement lente et distincte.

Je peux comprendre des conrences et des discours assez longs et même suivre une argumentation complexe si le sujet m'en est relativement familier. Je peux comprendre la plupart des émissions devision sur l'actualité et les informations. Je peux comprendre la plupart des films en langue standard.

Je peux comprendre un long discours même s'il n'est pas clairement structuré et que les articulations sont seulement implicites. Je peux comprendre les émissions de vision et les films sans trop d'effort.

Je n'ai aucune difficul à comprendre le langage oral, que ce soit dans les conditions du direct ou dans les médias et quand on parle vite, à condition d'avoir du temps pour me familiariser avec un accent particulier. Lire

Je peux comprendre des noms familiers, des mots ainsi que des phrases très simples, par exemple dans des annonces, des affiches ou des catalogues.

Je peux lire des textes courts très simples. Je peux trouver une information particulre pvisible dans des documents courants comme les petites publicis, les prospectus, les menus et les horaires et je peux comprendre des lettres personnelles courtes et simples.

Je peux comprendre des textes dis essentiellement dans une langue courante ou relative à mon travail. Je peux comprendre la description d'événements, l'expression de sentiments et de souhaits dans des lettres personnelles.

Je peux lire des articles et des rapports sur des questions contemporaines dans lesquels les auteurs adoptent une attitude particulre ou un certain point de vue. Je peux comprendre un texte litraire contemporain en prose.

Je peux comprendre des textes factuels ou littéraires longs et complexes et en appcier les différences de style. Je peux comprendre des articles spécialisés et de longues instructions techniques même lorsqu'ils ne sont pas en relation avec mon domaine.

Je peux lire sans effort tout type de texte, même abstrait ou complexe quant au fond ou à la forme, par exemple un manuel, un article spécialisé ou une litraire.

Par ler Prendre part à une conversation

Je peux communiquer, de façon simple, à condition que l'interlocuteur soit dispo à répéter ou à reformuler ses phrases plus lentement et à m'aider à formuler ce que j'essaie de dire. Je peux poser des questions simples sur des sujets familiers ou sur ce dont j’ai immédiatement besoin, ainsi quepondre à de telles questions.

Je peux communiquer lors deches simples et habituelles ne demandant qu'un échange d'information simple et direct sur des sujets et des activités familiers. Je peux avoir des échanges très brefs même si, en gle rale, je ne comprends pas assez pour poursuivre une conversation.

Je peux faire face à la majorité des situations que l'on peut rencontrer au cours d'un voyage dans unegion où la langue est parlée. Je peux prendre part sans préparation à une conversation sur des sujets familiers ou d'int personnel ou qui concernent la vie quotidienne (par exemple famille, loisirs, travail, voyage et actualité).

Je peux communiquer avec un deg de spontanéi et d'aisance qui rende possible une interaction normale avec un locuteur natif. Je peux participer activement à une conversation dans des situations familières, psenter et fendre mes opinions.

Je peux m'exprimer spontanément et couramment sans trop apparemment devoir chercher mes mots. Je peux utiliser la langue de manre souple et efficace pour des relations sociales ou professionnelles. Je peux exprimer mes idées et opinions avec précision et lier mes interventions à celles de mes interlocuteurs.

Je peux participer sans effort à toute conversation ou discussion et je suis aussi ts à l’aise avec les expressions idiomatiques et les tournures courantes. Je peux m’exprimer couramment et exprimer avec précision de fines nuances de sens. En cas de difficul, je peux faire marche arrière pour y remédier avec assez d'habile et pour qu'elle passe presque inapeue. S’exprimer oralement en continu

Je peux utiliser des expressions et des phrases simples pour décrire mon lieu d'habitation et les gens que je connais.

Je peux utiliser une série de phrases ou d'expressions pour décrire en termes simples ma famille et d'autres gens, mes conditions de vie, ma formation et mon activité professionnelle actuelle ou cente.

Je peux articuler des expressions de manre simple afin de raconter des exriences et des événements, mes ves, mes espoirs ou mes buts. Je peux brièvement donner les raisons et explications de mes opinions ou projets. Je peux raconter une histoire ou l'intrigue d'un livre ou d'un film et exprimer mes réactions.

Je peux m'exprimer de façon claire et taillée sur une grande gamme de sujets relatifs à mes centres d'int. Je peux velopper un point de vue sur un sujet d’actualité et expliquer les avantages et les inconnients de différentes possibilis.

Je peux présenter des descriptions claires ettaillées de sujets complexes, en ingrant des thèmes qui leur sont liés, en veloppant certains points et en terminant mon intervention de façon appropre.

Je peux présenter une description ou une argumentation claire et fluide dans un style adap au contexte, construire une psentation de façon logique et aider mon auditeur à remarquer et à se rappeler les points importants.

Écri re

Écrire

Je peux écrire une courte carte postale simple, par exemple de vacances. Je peux porter des tails personnels dans un questionnaire, inscrire par exemple mon nom, ma nationalité et mon adresse sur une fiche d'hôtel.

Je peux écrire des notes et messages simples et courts. Je peux écrire une lettre personnelle très simple, par exemple de remerciements.

Je peux écrire un texte simple et cohérent sur des sujets familiers ou qui m’inressent personnellement. Je peux écrire des lettres personnelles pour crire expériences et impressions.

Je peux écrire des textes clairs et taillés sur une grande gamme de sujets relatifs à mes ints. Je peux écrire un essai ou un rapport en transmettant une information ou en exposant des raisons pour ou contre une opinion donnée. Je peux écrire des lettres qui mettent en valeur le sens que j’attribue personnellement aux événements et aux exriences.

Je peux m'exprimer dans un texte clair et bien structuré etvelopper mon point de vue. Je peux écrire sur des sujets complexes dans une lettre, un essai ou un rapport, en soulignant les points que je juge importants. Je peux adopter un style adap au destinataire.

Je peux écrire un texte clair, fluide et stylistiquement adap aux circonstances. Je peux diger des lettres, rapports ou articles complexes, avec une construction claire permettant au lecteur d’en saisir et de mémoriser les points importants. Je peuxsumer et critiquer par écrit un ouvrage professionnel ou une œuvre littéraire. Cadre euroen commun de rence pour les langues (CECR): © Conseil de l'Europe

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retour structure générale

Le niveau A 1, présenté ci-dessous, doit être atteint en fin de scolarité primaire.

L’apprenant :

- peut comprendre et utiliser des expressions familières et quotidiennes ainsi que des énoncés très simples qui visent à satisfaire des besoins concrets ;

- peut se présenter ou présenter quelqu’un et poser à une personne des questions la concernant sur son lieu d’habitation, ses relations, ce qui lui appartient et peut répondre au même type de questions ;

- peut communiquer de façon simple si l’interlocuteur parle lentement et distinctement et se montre coopératif.

Les descripteurs des niveaux A 1 et A 2, repris ci-après, indiquent clairement la continuité dans l’apprentissage d’une langue et constituent l’essentiel du développement linguistique chez un apprenant.

Compétences A 1 A 2

Comprendre : écouter

Comprendre : lire

Parler : prendre part à une conversation

Parler : s’exprimer oralement

en continu

Écrire

Je peux comprendre des mots familiers et des expressions très courantes au sujet de moi-même, de ma famille et de l’environne- ment concret et immédiat, si les gens parlent lentement et distinctement.

Je peux comprendre des noms familiers, des mots ainsi que des phrases très simples, par exemple dans des annonces, des affiches ou des catalogues.

Je peux communiquer, de façon simple, à condition que l’interlocuteur soit disposé à répéter ou à reformuler ses phrases plus lentement et à m’aider à formuler ce que j’essaie de dire. Je peux poser des questions simples sur des sujets familiers ou sur ce dont j’ai immédiatement besoin, ainsi que répondre à de telles questions.

Je peux utiliser des expressions et des phrases simples pour décrire mon lieu d’habitation et les gens que je connais.

Je peux écrire une courte carte postale simple, par exemple de vacances. Je peux porter des détails personnels dans un questionnaire, inscrire, par exemple mon nom, ma nationalité et mon adresse sur une fiche d’hôtel.

Je peux comprendre des expressions et un vocabulaire très fréquents relatifs à ce qui me concerne de très près, par exemple moi-même, ma famille, les achats, l’environ- nement proche, le travail. Je peux saisir l’es- sentiel d’annonces et de messages simples et clairs.

Je peux lire des textes courts très simples.

Je peux trouver une information particulière prévisible dans des documents courants comme les publicités, les prospectus, les menus et les horaires et je peux comprendre des lettres personnelles courtes et simples.

Je peux communiquer lors de tâches simples et habituelles ne demandant qu’un échange d’informations simple et direct sur des sujets et des activités familiers. Je peux avoir des échanges très brefs même si, en règle géné- rale, je ne comprends pas assez pour pour- suivre une conversation.

Je peux utiliser une série de phrases ou d’expressions pour décrire en termes simples ma famille et d’autres gens, mes conditions de vie, ma formation et mon activité profes- sionnelle actuelle ou récente.

Je peux écrire des notes et messages simples et courts. Je peux écrire une lettre personnelle très simple, par exemple de remerciements.

Références

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