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Inventaire et répartition spatiale des ravageurs de l’olivier au lac de Réghaïa

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Academic year: 2022

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ISSN : 2437-1114

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Inventaire et répartition spatiale des ravageurs de l’olivier au lac de Réghaïa

K. Yahiaoui*,O. Bouchenak, M. Fertas, K. Arab

Faculté des Sciences, Université M’Hamed Bougara, Boumerdes, Algérie

*Corresponding author:yahiaoui_karima2005@yahoo.fr

ARTICLE INFO ABSTRACT/RESUME

Article History :

Received : 25/02/2017 Accepted : 11/09/2017

Abstract:The olive faces many pests (insects, fungi and bacteria),

including the olive moth, the olive fly, black scale olive and olive psyllid. These pests can cause economically significant damage in the absence of any health intervention. For this, an inventory of enemies and auxiliary olive is made at Réghaia, Lake in order to know the different pests. The results from this study revealed the presence of the thirteen species of arthropods, seven fungi, a bacterium (Pseudomonas savastanoi), and four types of indeterminate lichens. Analysis of the results showed the existence of affinity- enemies of the attacked.

Résumé :

L'oléiculture fait face à de nombreux ravageurs (insectes, champignons et bactéries), notamment la teigne de l'olivier, la mouche de l'olivier, la cochenille noire de l'olivieret le psylle de l'olivier. Ces ravageurs peuvent provoquer des dégâts économiquement importants en l'absence de toute intervention sanitaire. Pour cela, un inventaire des ennemis et des auxiliaires de l’olivier est réalisé au lac de Réghaia, dans le but de connaitre les différents ravageurs. Les résultats émanant de cette étude ontrévélé la présence de treize espèces d’arthropodes, sept champignons, une bactérie (Pseudomonas savastanoi), et un lichen indéterminé.

L’analyse des résultats a montré l’existence d’une certaine affinité ennemis-partie de l’arbre attaquée.

Key Words:

the olive; pests;

Pseudomonas savastanoi;CFA .

Mots clés :

olivier;ravageurs;

Pseudomonas savastanoi; CFA .

I. Introduction

La zone humide du lac de Réghaia représente aujourd’hui l’unique vestige de la plaine de la Mitidja, autre fois marécageuse. Ce site d’importance écologique et de dimension internationale englobe une multitude d’écosystèmes (lacustre, marécageux, forestier, dunaire) d’extrême biodiversité et d’une grande fragilité. Vu sa position semi urbaine, ce lac est exposé à la fois à de nombreusesactions anthropiques, et à différentes pathologies menaçant ainsi sa biodiversité. Les terrains en pente entourant le lac, sont occupés par une importante forêt qui représenteles vestiges de l’ancien maquis à Oleolentisque.Ce dernier est le seul témoin des divers caractères biogéographiques des zones humides dans la région de l’algérois, dont la protection de l’écran végétal est une condition

nécessaire pour préserver ce milieu et les espèces qu’il abrite (Derghal, 2009).

L’Olivier est aujourd’hui un symbole du Bassin méditerranéen et il constitue à ce titre un patrimoine à conserver. Il est aussi une culture relativement rustique, qui peut être fortement attaqué par de multiples ravageurs qui peuvent s’attaquer à touts les organes de l’arbre: feuilles, rameaux, fleurs et fruits. Les ennemis de l’Olivier sont la Cochenille noire de l'olivier (Saissetia oleae), la Cochenille à bouclier du lierre (Aspidiotus hederae), Le Psylle de l'olivier (Euphyllura olivina), la Teigne de l'olivier Prays oleae, la Mouche de l'olivier (Dacus oleae), l’Otiorrhynque (Otiorrhynchus cribricollis), le Thrips de l'olivier (Liothrips oleae), L’œil de paon (Cycloconium oleaginum), la Fumagine (Capnodium oleaginum), et Pseudomonas savastanoi(Coutin, 2003 ; Hmimina,

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Copyright © 2017, Algerian Journal of Environmental Science and Technology, All rights reserved lutte biologique.Dans cette perspective un

échantillonnage des organes de l’olivier (feuilles, rameaux, troncs) a été effectué dans le but d’inventorier les déprédateurs de l’olivier, afin de mieux adapter les moyens de lutte et préserver ainsi l’espèce végétale.

II. Materials and methods II.1.Choix de la région d’étude

Le lac de Réghaia représente le dernier vestige des zones humides côtières de l’Algérie, d’où la nécessité d’une éventuelleprotection et valorisation.

Pinaceae.Par ce travail, nous essayons de contribuer à l’amélioration de la connaissance des ravageurs de l’olivier au niveau du maquis du lac de Réghaia.

II.2.Echantillonnage

Les ravageurs des plantes affectent les racines, le tronc, les rameaux, les feuilles, et mêmes les fruits.

Durant cette étude, nous avons réalisé un échantillonnage homogène le long du maquis. Pour cela, trois parcelles de 100 m2 sont échantillonnées (Fig. 1).

a. Région d’étude b. Stations d’échantillonnage Figure 1: Représentation de la zone et des stations d’échantillonnage.

Dans chaque station, l’échantillonnage s’est déroulé de l’extérieur vers l’intérieur, tout en prenant en considération quatre arbres représentatifs (Quatre externes, quatre internes et un arbre central). Ainsi, au total 27 sont visités. Chacun est échantillonné sur les quatre côtés en prélevant à chaque fois 8 feuilles, 5 rameaux, et des carrées du tronc. Pour ce dernier, nous avons effectué un prélèvement à 10, à 20 et à 30 cm par rapport au sol. Ce type d’échantillonnage, considéré par Dajoz et Gordan (1982) comme étant strictement probabiliste, permet d’avoir un aperçu qualitatif sur les ravageurs de l’olivier. Une fois récoltés, les prélèvements sont placés dans des sachets en plastique, portant des étiquettes sur lesquelles la date, la station, le pied et le côté sont mentionnés.

II.3. Identification des ravageurs de l’olivier II.3.1. Arthropodes

L’observation des caractères taxonomiques des espèces est faite sous une loupe binoculaire simple.

Leur détermination est basée sur les travaux d’Auber (1971) et Baraud (1985) pour les

coléoptères, de Stanek (1989) pour les lépidoptères et de Zahradnik (1977) pour les autres insectes.

II.3.2. Techniques d’isolement de Pseudomonas à partir des galles

Afin de préparer une solution mère, les galles sont lavées abondamment avec de l’eau distillée, puis mises dans un erlan Meyer contenant 250 ml d’eau physiologique (0, 85%).L’ensemble est mis sous agitation pendant 60 minutes. L’isolement de la bactériese fait par ensemencement de quelques gouttes de la solution mère avec une pipette pasteur sur des boites de Pétri contenants le milieu King B.

L’opération est répétée une seconde fois.

L’incubation dure 24 à 72 h à une température de 37° C.Le choix des colonies se base sur les critères macromorphologiques reconnus chez les Pseudomonas ssp fluorescents. Il s’agit de la fluorescence, de l’aspect des colonies, du contour et de l’odeur. Les colonies fluorescentes sont prélevées et repiquées en stries sur milieu King B, dans le but d’avoir des colonies individualisées. Le repiquage successif est répété jusqu'à l’obtention des colonies purifiées. L’identification de la

Station Nord (S3)

Station Nord (S2)

Station Nord (S1)

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bactérie est basée sur des tests morphologiques, physiologiques et biochimiques.

II. 3. 3. Identification des moisissures

Pour l’analyse de la mycoflore associée aux feuilles d’olivier, nous avons adopté la méthode de buvard modifiée (Benkirane, 1995). Des repiquages consécutifs accompagnés d’observations microscopiques permettent d’obtenir des cultures pures de champignons. L’observation in situ de la morphologie des chaines de spores et celles du mycélium est référée aux travaux de Barnett et Hunter (1999). Elle se fait soit par un montage entre lame et lamelle et l’ajout d’une goutte de bleu de méthylène ou d’une goutte d’eau distillée stérile, soit par le prélèvement des hyphes de la moisissure à l’aide du scotch et les mettre sur une lame contenant une goutte du bleu de méthylène.

II. 3.4. Analyse factorielle des correspondances:

L’analyse factorielle des correspondances (AFC) cherche à préciser les normes du partage d’un univers écologiques (Blondel, 1979). Il s’agit d’une méthode d’analyse multidimensionnelle qui permet d’établir un diagramme de dispersion unique dans lequel apparaissent à la fois chacun des caractères pris en considération et chacun des individus observés. Elle a l’avantage de représenter

plusieursespèces en même temps (Blondel, 1979).

Dans la présente analyse, elle est utilisée dans le but de montrer la distribution des ravageurs de l’olivier en fonction de la situation des arbres.

III. Résultats et discussion III.1. Inventaire des arthropodes

Au cours de cette étude, treize espèces d’arthropodes sont inventoriées sur l’olivier au niveau du lac de Réghaia (Tab. 1).

III.2. Inventaire des champignons et des lichens Sept espèces de champignons et un lichen sont inventoriés sur l’olivier au niveau du lac de Réghaia. Cependant, deux espèces uniquement sont identifiées. Il s’agit de l’Œil de paon (Cycloconium oleaginumCastagne, 1845 ; Dematiaceae) et de la Fumagine (Capnodium oleaginum Tul., 1801 ; Pleosporaceae).

III.3. Inventaire des bactéries

La bactérie inventoriée est Pseudomonas savastanoi, appelée aussi Tuberculose de l’olivier.

Cette espèce appartient à l’ordre desPseudomonadaleset à la famille des Pseudomonadaceae. Elle est détectée sur terrain grâce à la présence de galles au niveau des rameaux et des troncs.

Tableau 1 :Arthropodes inventoriés sur l’olivier

Ordre Famille Espéce Nom français

Isopoda Oniscidés Porcellio simulatorBudde-Lund, 1885 Cloporte

Isoptéres / Isoptera sp. ind Termite

Homoptères Psyllidés Euphyllura olivina (Costa, 1839) Psylle de l’olivier Homoptères Diaspididés Aspidiotus hederaeVallot, 1829 Cochenille à bouclier du lierre

Hemiptères Lécaniidés Saissetia oleae(Olivier, 1791) Cochenille noire de l'olivier Homoptères Aleyrodidés Aleurolobus olivinus(Silvestri, 1911) Aleurode noir de l’olivier

Homoptères Cicadellidés / /

Homoptères Aphididés Aphis sp Puceron

Coléoptères Curculionidés Otiorrhynchus cribricollisGyllenhal, 1834

Otiorrhynque

Hyménoptères Formicidés Crematogaster scutellaris (Olivier, 1792)

Fourmis

Hyménoptères Cynipidés Cynipidae sp. ind. /

Thysanoptère Phloéothripidés Liothrips oleae(Costa, 1857) Thrips de l'olivier Lépidoptères Yponomeutidés Prays oleae(Fabricius, 1794) Teigne de l'olivier

Névroptères Chrysopidés Larve de Chrysope Chrysope

Diptères Téphritidés Bactrocera oleaeGmelin, 1790 Mouche de l'olive (Keïroun)

Acariens / Acarien sp. ind. Acariens

III.4.Exploitation des résultats de l’échantillonnage des arthropodes et desmicroorganismes prélevés sur l’olivier par l’analyse factorielle des correspondances

Les espèces recueillies sont traitées par cette méthode en fonction de la localisation de l’élément échantillonné sur l’arbre (feuille, rameaux, tronc).

Cette technique est appliquée pour mettre en

évidence des variations spatiales (Localisation sur l’arbre et dans la station) des espèces échantillonnées. Elle tient compte de la présence ou de l’absence de ces dernières en fonction des paramètres sus cités. La désignation des espèces et des paramètres par des codes (Euphyllura olivira:

EA, Aspidiotus hederae: AH, Saissetia oleae: SO, Aleurolobus olivinus: AO, Liothrips oleae: PO,

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Copyright © 2017, Algerian Journal of Environmental Science and Technology, All rights reserved Champignonind. sp2:CI2, Champignon ind. sp3:

C13, Champignon ind. sp4: C14).

La contribution à l’inertie totale des espèces inventoriées est de 60, 74%pour l’axe F1 et de 21, 17% pour l’axe F2. La somme de ces deux contributions est égale à 81,91%. Ainsi, l’essentiel de l’information est comprise dans ce plan formé par ces deux axes (Fig.2)

L’analyse a fait ressortir que les trois stations d’étude sont réparties entre trois quadrants. Le premier renferme les feuilles des arbres centraux des stations 2 et 3. Le second est composé des troncs des arbres externes et centraux des trois stations. Le dernier regroupe l’ensemble des rameaux et, et les feuilles des arbres internes échantillonnés dans les trois stations.

Pour ce qui concerne la répartition des espèces en fonction des quadrants, il est à signaler que lesgroupements sont désignés par les chiffres I, II, III et IV (Fig. 3). Le premier (I) renferme sept espèces. Il s’agit de quatre champignons indéterminés, présents uniquement au niveau des troncs externes en particulier dans la première station, et des puceron/acarien omniprésents dans les trois stations au niveau des feuilles et des rameaux. Le groupe II est composé uniquement de

printemps. Selon les conditions climatiques, trois à quatre générations se succèdent de fin juin à octobre. Le groupe III concerne les espèces détectées dans les trois stations et à la fois, au niveau des feuilles, rameaux et tronc d’une manière aléatoire. Il renferme des espèces exclusivement foliaires, tel que l’œil du paon (CO), la Fumagine (FS), et d’autres espèces pouvant partager plusieurs endroits de l’arbre. Il s’agit de la Cochenille noire de l’olivier (SO), la Cochenille à bouclier du lierre (AH), les Psylles (EA), les Aleurodes (AO), la Teigne de l’Olivier et l’Otiorrhynque. La présence simultanée des Champignons et des Cochenilles est expliquée par le fait que ces dernières offrent, en affaiblissant l’arbre, les conditions favorables à l’installation des champignons. Cette idée est appuyée par Vigourou (1991). Ce dernier affirme que les pourridiés se développent dans les zones de vergers à tendance asphyxiantes et typique de ce qu’on appel maladie de faiblesse. Ce même auteur décrit parmi les multiples facteurs responsables de cet état: les Pucerons, les Aleurodes et les Cochenilles. Enfin, le dernier groupe (IV) renferme les espèces fréquentant beaucoup plus les rameaux, en particulier Pseudomonas (PS), et la Cochenille noire de l’Olivier (SO).

Figure 2:Répartition des espèces en fonction des quadrants

IV. Conclusion

L’olivier est une culture relativement rustique, qui peut être fortement attaqué par de multiples ravageurs, affectant touts les organes de l’arbre:

feuilles, rameaux, fleurs et fruits. L’inventaire réalisé sur l’olivier révèle la présence de multiples

ravageurs, à savoir des arthropodes (Cochenille, Coléoptères, Teigne, Psylle et Aleurodes), des champignons (Œil de paon et Fumagine), une bactérie, des acariens, et des pucerons. Les tests menés sur la bactérie isolée montrent qu’il s’agit dePseudomonas savastanoi. L’analyse factorielle Figure 3 : Répartition des espèces inventoriées le long de l’arbre de l’olivier.

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des correspondances montre d’une part que les parties de l’arbre sont positionnées différemment sur les trois quadrants, montrant ainsi, l’existence d’une certaine affinité ravageur-partie de l’arbre attaquée. D’autre part, à travers cette même analyse, il ressort que même les espèces inventoriées se répartissent différemment tout le long de l’arbre et également en allant de l’extérieure vers l’intérieurs pour une même station.

V. Réferences

1. Auber, L.Atlas des Coléoptères de France, Belgique, Suisse. Ed. Boubée et Cie, Paris, (1971) 272.

2. Baraud, J. Faune du nord de l’Afrique, du Maroc au Seinai. Ed. Le chevalier, Paris, (1985) 651.

3. Barnett, H.J.; Hunter, B.B. Illustrated Genera of Imperfect Fungi. Ed. APS. Press, Saint Paul, (1999) 218.

4. Benkirane, R. Contribution à l’étude des maladies du riz au Maroc. Cas de la pyruculariose due à Pyricularia oryzae. Thèse 3ème Cycle. Université Ibn Tofaïl. Fac. Sci. Kénitra, Maroc, (1995) 189.

5. Blondel, J. Biogéographie et écologie. Ed. Masson et Cie., Paris, T. XV, (1979) 1164.

6. Coutin R.Les insectes de l'olivier. Insectes, 130 (3) (2 0 0 3 ) 19-22.

7. Dajoz,G.Ecologie des insectes forestiers. (Ecologie fondamentale et appliquée). Ed. Gautier, Paris, (1982) 489.

8. Derghal, N.K. Etude de la végétation du lac de Réghaïa, étude phytosociologique, dynamique et cartographique. Mémoire Magistère, Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie, (2009) 137.

9. Hmimina, M. Les principaux ravageurs de l’olivier.

Bulletin mensuel d’information et de liaison du Programme National de Transfert de Technologie en Agriculture (PNTTA), (2009) 183:1-4.

10. Stanek, V.J. Encyclopédie des papillons. Ed. Gründ, Paris, (1989)989.

11. Vigourou, A. Influence des conditions du milieu sur la prédisposition des plantes aux maladies. Actes des 5èmes journées du groupe de travail relation insectes- plantes, 26-27 octobre, Montpellier, France (1995).

12. Zahradnik, J. Guide des insectes. Ed Hatier, Paris, (1977) 318.

Please cite this Article as:

Yahiaoui K., Bouchenak O., Fertas M., Arab K., Inventaire et répartition spatiale des ravageurs de l’olivier au lac de Réghaïa, Algerian J. Env. Sc. Technology, 3:3-A (2017) 463-467.

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