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EXERCICE I – (9 points)
Donner les réponses à cet exercice dans les cadres prévus ci-dessous Un constructeur automobile achète des pneus à trois fournisseurs dans les proportions suivantes : 20 % au premier fournisseur, 50 % au second fournisseur, 30 % au troisième fournisseur.
Le premier fournisseur fabrique 90 % de pneus sans défaut, le second fournisseur fabrique 95 % de pneus sans défaut, le troisième fournisseur fabrique 80 % de pneus sans défaut.
On note F1 l'événement "le pneu provient du premier fournisseur", F2 l'événement "le pneu provient du second fournisseur" et F3 l'événement "le pneu provient du troisième fournisseur".
1- On choisit un pneu au hasard dans la livraison. On note S l'événement "le pneu est sans défaut".
a- Calculer la probabilité P ( S ) que le pneu soit sans défaut.
b- Le pneu choisi étant sans défaut, quelle est la probabilité PS(F1) qu'il provienne du premier fournisseur ? Donner la valeur exacte et une valeur approchée à
10 3
près, de PS(F1).2- On suppose que la probabilité qu'un pneu monté soit sans défaut est de 0,895.
Calculer la probabilité R, que sur un lot de 12 pneus montés, un pneu au plus soit défectueux.
On donnera une valeur approchée à
10 3
près de R.3- La durée de vie en km d’un pneu est une variable aléatoire
T
qui suit une loi exponentielle deparamètre :
2 10
550000
1
.Selon cette loi, pour tout
x
de[
0 ; + [
, on a :P T x 0 x e t dt
.a- Quelle est la probabilité P1 qu'un pneu dure moins de 50 000 km ? Donner la valeur exacte de P1. b- Quelle est la probabilité P2 qu'un pneu dure plus de 50 000 km ? Donner la valeur exacte de P2. c- Quelle est la probabilité P3 qu'un pneu dure plus de 50 000 km, sachant qu'il a déjà duré 25000 km ?
Donner la valeur exacte de P3.
REPONSES A L’EXERCICE I I-1-a- P ( S ) = 0,895
I-1-b- valeur exacte de PS(F1) : 179
36
valeur approchée de PS(F1) : 0,201 I-2- valeur approchée de R : 0,636
I-3-a- P1 = 11e
I-3-b- P2 = e1
I-3-c- P3 = 2
1
e 1 e
EXERCICE II – (11 points)
Donner les réponses à cet exercice dans les cadres prévus à la page 3
A - Préliminaires :
On considère deux points quelconques M et N du plan . 1- Déterminer la norme u , du vecteur MN
u MN1 .
2- Soit Q un point du segment
[
MN]
et soit le vecteur : QNQM QN
w QM1 1 .
Justifier que le vecteur west nul.
B - On considère un triangle ABC du plan dont les trois angles sont aigus.
On note de la façon suivante les mesures des angles géométriques de ce triangle : BAC =
, ABC = et ACB = .
A
B C
On désigne par A1, le pied de la hauteur du triangle ABC, issue de
A
.1- a- Exprimer tan et tan , en fonction des longueurs des côtés de triangles judicieux de la figure donnée.
b- Montrer que A1 est barycentre du système
(
B, tan)
;(
C, tan)
.2- Justifier que le barycentre H du système
(A, tan) ; (B, tan ); (C, tan )
est l'orthocentre du triangle ABC .3- Soit A’, B’ et C’ les milieux des côtés respectifs
[
BC]
,[
AC]
et[
AB]
. a- Montrer que les médiatrices du triangle ABC sont les hauteurs du triangle A’B’C’.b- En déduire que le centre O du cercle circonscrit au triangle ABC est barycentre des points A’, B’ et C’ affectés de coefficients a’, b’ et c’ que l'on précisera.
REPONSES A L’EXERCICE II
II-A-1- 1 MN 1 u MN
II-A-2- Justification de : w0
Comme Q [MN] les vecteurs QM et QN sont colinéaires et n’ont pas le même sens.
Les vecteurs QM
QM
1 et QN
QN
1 sont unitaires d’après la question II-A-1-. De plus, ils sont colinéaires et de sens opposés. Leur somme est donc nulle.
II-B-1-a- tan = B A AA
1
1 tan = C A AA
1 1
II-B-1-b- Justification de : A1 barycentre du système
(
B, tan)
;(
C, tan)
] [BC
A1 donc d’après I-A-2-, on a : AC O
C B A
B A
A1 1 1 1
1 1
En multipliant les deux membres de cette égalité par AA1 on obtient :
A Btan . A C O .
tan 1 1
donc A1 est barycentre de
(
B, tan)
;(
C, tan)
II-B-2- Justification de : H orthocentre de ABC
H barycentre de
(
A,tan)
;(
B, tan)
;(
C, tan)
donc par associativité des barycentres, H est barycentre de (
A, tan)
,(
A1 , tan tan)
donc H appartient à la droite (AA1) , hauteur de ABC .Soit B1 le pied de la hauteur de ABC issue de B . On a : B A tan BB
1
1 et
C B tan BB
1
1
Comme B1[AC] , alors d’après I-A-2- ; BC O C
A B A B
B1 1 1 1
1 1
En multipliant par BB1 cette égalité, on obtient : tan .B1A tan.B1C O donc B1 est barycentre de
(
A,tan)
;(
C, tan)
Ainsi par associativité des barycentres, le barycentre H de
(
A, tan)
;(
B, tan)
;(
C, tan)
est aussi le barycentre de
(
B, tan)
,(
B1, tantan)
donc H appartient à la hauteur (BB1)de ABC . Ainsi H est l’orthocentre de ABC . II-B-3-a- Justification de : les médiatrices de ABC sont les hauteurs de A’B’C’
Soit 1 la médiatrice de [BC] alors 1 passe par A' et 1 (BC) . Or B' et C' sont les milieux de [AC] et de [BA] donc (B'C' ) est parallèle à (BC) . Ainsi 1 (B'C' ) d’où
1 est la hauteur issue de A' du triangle A'B'C' . Même raisonnement pour montrer que les deux autres médiatrices de ABC sont hauteurs de A'B'C' .
II-B-3-b- a' = tan b' = tan c' = tan
II-B-3-c- a = tantan b = tan tan c =
tan tan
EXERCICE III – ( 9 points )
Donner les réponses à cet exercice dans les cadres prévus à la page 5
La réussite de certaines recettes de cuisine réside en un chauffage doux et homogène, que l’on réalise par l’intermédiaire d’un bain-marie.
On considère une préparation (un ramequin par exemple, de taille suffisamment petite pour qu’on puisse y considérer la température comme uniforme) dont la température initiale est 20 °C .
On la met dans un bain-marie, c'est à dire dans un récipient contenant de l'eau maintenue à température constante de 80 °C.
La température T(t) de cette préparation en fonction du temps suit la loi de Newton, décrite par l’équation différentielle suivante :
(E) : T’ ( t ) =
–
K(
T ( t )–
80)
(K est un réel, fixé, strictement positif) L’unité de temps est la minute !1- Sans résoudre l’équation (E), donner le sens de variation de la fonction T. Justifier votre réponse.
2- a- Donner, en fonction de K, l’expression générale des solutions de l’équation (E).
b- En utilisant la donnée initiale, déterminer, en fonction de K et du temps t, la température )
(t T
du ramequin.
3- En plongeant un thermomètre culinaire dans la préparation, on constate qu’au bout de 10 minutes la température est de 42,2 °C.
En déduire la valeur exacte de K et justifier votre résultat.
Donner une valeur approchée de K à 104 près.
4- En choisissant cette valeur approchée pour K, déduire l’expression de la température T(t) du ramequin à l'instant t.
5- Dans un repère orthonormé (O,i ,j ), on considère la courbe CT représentative de la fonction T définie à la question III - 4 -.
Justifier que CT admet une asymptote quand t tend vers et donner une équation de .
6- La préparation est cuite à point lorsque la température atteint 65 °C.
Pendant quelle durée d doit-on encore prolonger la cuisson après que l’on ait relevé la température de 42,2 °C . Justifier votre résultat.
REPONSES A L’EXERCICE III
III-1- Sens de variation de T : T est croissante Justification :
Pour tout t positif on a : 20T(t) 80 donc T(t) 80 0 Comme K 0 alors K ( T(t)80) 0 ainsi
0 soit
quelque ,
0
(t) t
T'
III-2-a- Les solutions de (E) sont de la forme :
80
C e Kt (t)
T
C avec C un réel quelconqueIII-2-b- T(t)= 60 eKt 80
III-3- Valeur exacte de
K
:10 63 0, ) (
ln K
Justification :
42,2 80 60
42,2
10 ) e 10 K (
T
0,63 60
80 2
10 42,
e K
10 63) 63) (0,
(0,
10
K ln K ln
Valeur approchée de
K
: K 0,0462 III-4- T(t)= 60 e0,0462t 80III-5- Equation de
y80Justification :
80 )
T(t
t lim car 0,0462 0
e t t limIII-6- d = 20 minutes Justification :
65 80 60
65
T(t) e0,0462t
0,25
60 80
0,0462 65
e t t ln0,0462(0,25) 30,0... et d (t10)minutes
EXERCICE IV – (9 points)
Donner les réponses à cet exercice dans les cadres prévus à la page 7 Le plan complexe est rapporté au repère orthonormé (O,u,v ).
Dans tout cet exercice, on désigne par z le complexe conjugué de
z
, par z le module du complexe z et par arg
z un argument de z (défini à 2k près où k Z ).Soit F la fonction qui, à tout point M du plan, d’affixe z non nulle, associe le point M' d’affixe z' définie par : z'1z .
1- a- Déterminer z' en fonction de z .
b- Déterminer un argument de z' en fonction d’un argument arg
z de z.Que peut-on en déduire pour les points O, M etM' ?
2 - On considère le cercle
de centre O et de rayon 1. Soit M un point de
d’affixe z.a- Déterminer z' .
b- Quelle est l’image du cercle
par la fonction F ?3 - On appelle A et B les points d’affixes respectives 1 et – 1 et C le cercle de centre A, contenant le point O. Soit M un point du plan d’affixe z.
a- Quelle relation doit vérifier z , pour que M appartienne à C ?
b- On suppose que M est un point du cercle C, différent de O. Calculer alors z'z'1 . On justifiera le résultat.
Comparer alors les longueurs BM' et OM'.
En déduire que M' appartient à une droite fixe D , qu’on précisera.
c- Construire sur la figure, les images M'1 et M2' des points M1 et M2.
A
1
B
1 2
1 O
M2
M1
C
d- Quelle est l’image du cercle C privé de O, par la fonction F ?
REPONSES A L’EXERCICE IV
IV-1-a- z' = 1z
IV-1-b- arg z'= argz (2 ) Déduction pour O, M et
M'
: O,M et M' sont alignés et O appartient au segment [M M']IV-2-a- z' = 1
IV-2-b- L’image de
par F est le cercle lui-même.IV-3-a- M C si et seulement si z1 1
IV-3-b- z'z'1 = 1
Justification : z'z'1 1z'1 1z 1z 1z 1
Comparaison de BM' et OM' : BM'OM'
D est la droite d’équation
2
1
y . D est la médiatrice du segment [OB] . IV-3-c-
A
1
B
1 2
1 O
M2
M1
C
M'2
M'1
IV-3-d- L’image de C privé de O par F est la droite D .
EXERCICE V – (22 points)
Donner les réponses aux questions de la partie A et aux questions 1 et 2 de la partie B
dans les cadres prévus à la page 9 PARTIE A
Soit la fonction f définie sur
]
_ ; 1[
]
1;
parx (x) e
f
x
1
1 .
On note Cf sa courbe représentative dans un repère orthonormé (O,i ,j ).
1- a- Déterminer f'(x) et donner le tableau de variation de f en précisant les limites aux bornes de l’ensemble de définition def .
Donner, dans ce tableau, la valeur de f(_1). Les valeurs données dans le tableau seront exactes.
b- Donner les équations des droites asymptotes de la courbeCf . 2- Soit a un réel distinct de 1 et M le point de la courbe Cf d’abscisse a.
Déterminer, en fonction de a, une équation de la tangente TM à la courbeCf , au point M.
PARTIE B
On considère l’intégrale suivante :
J
01f (t) dt
.L’objet de cette partie est d’encadrer l’intégrale J et non d’en calculer la valeur exacte.
1- Utiliser le tableau de variation de f vu à la question V - A - 1 - a - pour justifier que l’on a : 2
1 1 J
e .
2- On pose, pour tout entier naturel n :
u n 0 1 t n e t 1 dt
.a- Calculer u0.
b- Etablir une relation de récurrence entre un 1 et un , à l’aide d’une intégration par parties dans
u
n 1 où l’on posera :g (t) t n
1 eth' (t) e t
1.On donnera le détail des calculs.
c- Calculer alors successivement u1, u2, u3, u4 et u5
sous la forme : ui pi
qi e1où pi et qi sont deux entiers relatifs que l’on précisera, pour chaque ui, dans le tableau prévu à cet effet. (On utilisera le résultat de la question V - B - 2 - a - pour u0).
REPONSES A L’EXERCICE V – PARTIE A – PARTIE B
V-A-1-a- f'(x) 2
1
1 x) (
e x x
x
_
1
0 1
(x) '
f
_ _
(x) f
½
1
e
0_ V-A-1-b- Les asymptotes de Cf ont pour équation : x1 et y0
V-A-2- Equation de TM :
a a) ae a) (x ( y aae
1 1
1 2
1
V-B-1- Justification de 2 1 1 J
e : D’après le tableau de variation de f vu en V-A-1-a-, on a pour tout
t
de[ 1 ; 0 ]
: 21 1 f (t) e
donc
01
012 11dt dt
e J ainsi
0 1 0
1 2
1 1
[ ] ]
[
t J te et 1e J 21
V-B-2-a- u0 1e1
V-B-2-b- g(t)tn 1 g'(t) (n 1)tn
1
et (t)
h' h(t)
1
et
d’où un 1 tn 1e t 1 (n 1)tn e t 1 dt
0 1 0
1
donc
n n
n n u
u
1 ( 1 )
1 ( 1 )
0
V-B-2-c-
n un pn qn
0 u0 1e1 p0 1 q0 1
1 u1 e1 p1 0 q1 1
2 u2 12 e1 p2 1 q2 2
3 u3 26 e1 p3 2 q3 6
4 u4 924 e1 p4 9 q4 24
5 u5 44120 e1 p5 44 q5 120
EXERCICE V – PARTIE B (SUITE)
Donner les réponses aux questions 3 et 4 de la partie B dans les cadres prévus à la page 11
3- Soit pour tout entier n, la somme :
n uS 0 uu 21 u... n
.a- Exprimer Sn sous forme d’une intégrale du type : 0
e t
1P n ( t ) d t
1
où Pn
( t )
est un polynôme que l’on précisera.b- Justifier alors que l’on peut écrire :
uJ uu u... n RSJ nn
0 21
avec
R n
0f ( t ) t n
1d t
1
.t
t d
I 0 n 1
4- a- En utilisant le tableau de variation de f, obtenu à la question V - A - 1 - a - ,
justifier que si n est impair, pour tout
t [ 1, 0 ]
on a :1 1
1 2
1 1 t n f t)t( n t n
e
,puis montrer que : e(n12) Rn 2(n12) .
b- Justifier que si n est pair, pour tout
t [ 1, 0 ]
on a :1 1
1 1
2
1 t n f t)t( n e t n
,puis montrer que :
2) (
1 2)
(2 1
R ne
n n
.REPONSES A L’EXERCICE V – PARTIE B (SUITE)
V-B-3-a- Pn( t ) =
1 ttt 32 t.... n
V-B-3-b- Justification de
J S n 0 f ( t ) t n 1 d t
1
:
dtt...t
edte t t....tt
fSJ ( n )() tt n )(
n
0 1 1 1 0 1 1 1 1 1
or
t
t...t n t n
1
1 1 1
car t 1 pour toutt [ 1 ; 0 ]
d’où
dt t edt t t t
eSJ t t n
t n
n
0 1 1 1 1 1 1 1 0 1 1 1 1
t n
1f ( t ) dt
0 1
V-B-3-c- In =
2 1 )
1(
n
n
V-B-4-a- Pour n impair et t [1,0]
1 1 1
2 1 1 t n f t)t( n t n
e
car :D’après le tableau obtenu en V-A-1-a-, on a, pour tout
t [ 1 ; 0 ]
: 2 1 1 f(t) eComme n est impair n 1 est pair et
t n 1
est positifdonc
1 1 1
2 1
1 t n t)t(f n t n
e
Justification de
2) ( 2
1 2)
( 1
R n
n
e n
:D’après l’inégalité
1 1 1
2 1
1 t n t)t(f n t n
e
on a
dtt dtt)t(f
e dtt
n n
n 1
0 1 1 0 1 1 0
1 2
1
1
et d’après V-B-3-c-,on a comme
( 1 ) n 1 1
car n 1 est pair : e(n ) n 2(n 2) R 1
2 1
V-B-4-b- Pour n pair et t [1,0]
1 1 1 1
2
1 t n f ( t)t n e t n
car :Comme n est pair n 1 est impair donc
t n 1
est négatifainsi
1 1 1 1
2
1 n n t n
t)t(f e
t
d’oùdtt
dtt)t(f e
dtt n n
n 1
0 1 0 1
1 1 0 1
1 2
1
Justification de
2) (
1 2)
(2 1
R ne
n n
:D’après V-B-3-c-
2 1 2 1)( 1
1 0
1
t n dt n n n
1 1 1
1
EXERCICE V – PARTIE B (SUITE)
Donner les réponses à la question 5 de la partie B dans les cadres prévus à la page 13
5-a- En détaillant le calcul, résoudre l’inéquation suivante, dans l’ensemble des entiers naturels N :
50 1 2) (
1 2)
( 2 : 1 )
(
1
n e E n
et donner le plus petit entier naturel n0 qui vérifie (E1).
b- Justifier que l’on a : S4 121 J S4 61e .
Préciser les réels V et W de l’encadrement suivant, obtenu de façon similaire :
S W V J
S 1 1
5
5
.En utilisant le tableau de la question V - B - 2 - c -, calculer
43 21
04 uuS uuu
etS 5 uuu 210 uuu 543
,sous forme : 1
4
A B e
S
et1
5 C eD
S
,où A, B, C et D sont des entiers relatifs que l’on précisera.
e- En déduire un encadrement de J , d’amplitude inférieure à 50
1 , par deux nombres décimaux.
Expliquer la démarche.
REPONSES A L’EXERCICE V – PARTIE B (SUITE)
V-B-5-a- Résolution de(E1) :
50 1 2) (
1 2) (2
1
ne
n
50 1 2 1 1
2
1
e n
e
n 1
2 50 1
2
...
e ,
n 1 2 460
2
50 1
d’où n0 5
V-B-5-b- Justification de
S e J
S 6
1 12
1 4
4
En utilisant l’encadrement vu en V-B-4-b- pour n 4
On a : 121 JS4 61e d’où S4121 J S461e
V-B-5-c- V = 7e
W = 14
V-B-5-d- A = 13
B =
34
V-B-5-e- Encadrement de J à 1/50 e près, par deux nombres décimaux : 0,399 J 0,418
Justification : 4 61 4 121 0,0220.... 501
S
S e
et 5 141 5 71 0,0188.... 501
S e S
d’où l’encadrement suivant est à e 50
1 près :
0,4179... 0,418
14 S 1 7 J
S 1 . 0,39912...
0,399 5 5
e
et 0,418 0,399 0,019 501