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Mercredi 13 mars 1889.

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PA M. Jules Gfeller Berne

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

T r o i s i è m e a n n é e . — N0 2 1 .

P r i x du n u m é r o IO c e n t i m e s

Mercredi 13 mars 1889.

B u r e a u x : R u e d e l ' U n i o n , 2

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O r g a n e d e l a S o c i é t é î n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r u l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Syndicat des fabricants d'horlogerie.

La Commission d'initiative pour la constitution d'un syndicat des fabricants d'horlogerie adresse la circulaire suivante aux fabricants d'horlogerie adhérents au Syndicat :

Messieurs et chers Collègues, La Commission d'initiative nommée à l'assemblée générale des fabricants d'hor- logerie de la région biennoise, du 26 fé- vrier ! 888, est arrivée au terme du man- dai qui lui avait été donné. Elle vient vous en rendre compte.

Dix-neuf localités : Bienne, Longeau, Perles, Granges, Bellach, Soleure, Buren.

Ncuveville, Tramelan et environs, les Breuleux, Sonvillier, St-Imier, Villeret, Renan, La Ferrière, Corgémont, Cortébert, Courlelary, Cormoret, ont été visitées par la Commission de propagande chargée de développer le but du Syndicat au sein d'assemblées de fabricants convoquées spécialement et de recueillir les adhé- sions.

Accueillis partout avec la plus grande sympathie, les délégués de la Commission peuvent dire aujourd'hui que le succès a couronné leurs efforts, puisque 200 fabri- cants ont donné leur adhésion signée au Syndicat.

Vous lirez plus loin le compte-rendu financier de la Commission d'initiative.

L'adhésion que vous avez donnée au principe de la fondation d'un Syndicat des fabricants d'horlogerie pourra bientôt, nous l'espérons, devenir définitive, lorsque la Commission d'initiative aura soumis à votre approbation un projet de loi organique et un programme d'activité, qui seront élaborés de concert avec les délégués de nos divers centres industriels.

Mais avant d'en arriver là, il faut qu'une propagande active ait amené l'adhésion de nos nombreux collègues du canton de Neuchàtel qui, jusqu'ici, n'ont pas été visités.

Nous nous sommes adressés à M. Ro- bert Comtesse, conseiller d'Etat neuchà- telois et président de la Fédération hor- logère, pour lui demander de bien vouloir entreprendre la lâche de grouper les fabri- cants neuchàlelois. Nous avons le plaisir de vous annoncer que M. Comtess nous a donné une nouvelle preuve de son dévoue- ment à la cause de notre industrie hor- logère, en acceptant cette mission, qui ne pouvait être remiseendemeilleuresmains.

Tout fait donc espérer que le jour vien- dra bientôt où les fabricants d'horlogerie, imitant l'exemple donné par leurs confrè- res d'autres groupements industriels, auront manifesté leur volonté de s'unir dans une pensée commune de dévoue- ment aux intérêts généraux de notre in- dustrie horlogère.

Ce jour-là, le principe de la solidarité aura remporté une éclatante victoire sur le particularisme étroit qui nous a domi- nés jusqu'ici, frappant d'impuissance les plus généreux efforts.

Il sera alors facile de trouver la for- mule de la nouvelle organisation et de s'entendre sur les différents points de son programme.

Comme on peut prévoir que le Syndicat sera formé d'un certain nombre de grou- pes régionaux, réunis sous l'égide de la Fédération horlogère, nous pensons qu'il est opportun que les fabricants apparte- nant aux régions que nous avons grou- pées jusqu'ici, forment, dès ce moment, leurs groupements respectifs. Nous pour- rons ainsi, une fois constitués, nous met- tre officiellement en rapport avec les syn- dicats déjà existants — ébauches, boîtes, pendants — pour arrêter les relations à

entretenir avec eux, dans l'intérêt des membres de notre Syndicat.

Nous vous convoquons donc à une as- semblée générale, qui aura lieu à Bienne, le dimanche- 31 mars, à 2 heures'de ï'après-midi, dans la grande salle du Ruse h Ii.

Les fabricants d'horlogerie des diver- ses localités syndiquées sont instamment priés de se réunir avant l'assemblée, pour donner à leurs délégués des instructions aussi précises que possible concernant l'organisation du Syndicat.

En attendant le plaisir de vous voir nombreux à l'assemblée importante à laquelle nous vous convions chaleureuse- ment, nous vous présentons, Messieurs et chers collègues, nos salutations dé- vouées.

L e B u r e a u d e l à C o m m i s s i o n d ' i n i t i a t i v e : Le Vice-Président,

Louis MULI-ER.

Le Caissier, L. GlRARDIN-BOURQUIN.

Le Président,

H E N R I T H A L M A N N .

Les Secrétaires,

F R I T Z H U G U E N I N . J E A N A E G L E R .

ORDREDUJOUR: ' Rapport de la Commission de propa- gande.

Rapport financier.

Formation des groupes.

Nomination des comités des groupes.

Propositions individuelles.

P. S. — Les participants à l'assemlée sont priés de ce munir de la carte de légitimation.

Etat de la caisse du Syndicat au 14 mars

RECETTES

151 cotisations de 10 francs versées à ce jour . . . Intérêts eu dépôt à la Ban-

que populaire au 31 dé- cembre 1888 . . .

fr. 1,510,—

» 18.25

fr. 1.528.25

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102

DÉPENSES

Frais divers, délégations, annonces, imprimés, cir-

culaires, etc., etc. . . . fr. 377.85 Avoir à la Banque populaire » 1.117.45 Solde en caisse . . . . » 32.95

fr. 1.528^5 Bienne, le 14 mars 1889.

Le Caissier,

L . GIRARDIN-BOURGEOIS

> --m • ι

LA QUESTION DES MUSÉES.

Elle est très compliquée la question des musées ! C'est qu'en effet, il y a musée et musée. Voyons un peu la nomenclature de ceux actuellement projetés : musée national, musée suisse des beaux-arts, musées indus- triels, musées commerciaux, musées d'expor- tation. Voilà, nous semble-t-il, une respec- table liste !

Que nous veulent donc tous ces musées?

Le musée national est destiné à nous rap- peler les hauts faits de nos ancêtres, et par là à servir d'école à notre patriotisme. Bâle Berne, Zurich se disputent à coups de cen- taines de mille francs le siège de ce musée que chacune de ces villes pourrait en outre doter d'emblée de vrais trésors historiques.

Par l'érection d'un musée suisse des beaux- arts, on penserait éveiller le sens du beau dans les masses et cultiver la disposition à rechercher la beauté des formes et l'harmo- nie des couleurs, deux qualités qui, dans la décoration horlogère, doivent être constam- ment maintenues à la hauteur du progrès international.

On se souvient que la création d'un musée de commerce a fait l'objet d'une décision de la part de la dernière assemblée de délégués de la Société intercantonale des industries du Jura. D'une manière générale, on a été d'avis qu'un établissement central ne répondrait pas aux conditions d'existence de l'industrie suisse, point de vue qui est également celui des sociétés de géographie commerciale suisses, auxquelles on doit l'initiative d'une action en faveur de cette création. C'est d'ail- leurs dans ce sens aussi que s'est prononcé le Conseil des Etats en renvoyant au Conseil fédéral une motion de M. Gobât sur le même objet.

Il va de soi, étant donné le système de groupement régional de nos industries, que, I pour rendre des services, les différents musées de commerce à créer ou les succur- sales de l'établissement central devront être installés au siège même des principales bran- ches d'industrie du pays. Là donc, rien que de très naturel et qui ne soit généralement admis.

En revanche, là où on parait avoir mal com- pris la portée et le but des musées de com- merce, c'est lorsqu'on a avancé que ces éta- blissements ne présenteraient aucun intérêt, parce que les fabricants se garderaient bien d'y exposer autre chose que des produits anciens, partout sans valeur pour l'ensemble.

Cela ne pourra pas se produire, dans un musée de commerce proprement dit, par la raison bien simple que ces institutions ne sont pas destinées à renseigner sur la production nationale, mais, ce qui est fort différent, à tenir les industries indigènes au courant des progrès de la concurrence étrangère. A cet effet, on réunit'dans les musées de commerce des échantillons de tout ce que l'étranger apporte de remarquable et de nouveau sur les marchés du monde, soit par des achats effec- tués par les correspondants spéciaux, soit grâce aux bons offices des agents cosulaires.

FEDERATION HORLC3ERE SUISSE

Que dans cet orde d'idées, l'horlogerie suisse ait peu à apprendre, vu la situation privilégiée qu'elle occupe dans l'industrie de la fabrication de la montre, c'est fort possible. Pourtant, la raison ne serait pas suffisante pour refuser à d'autres industries suisses moins bien pla- cées, les facilités qu'elles espèrent retirer de l'institution qui nous occupe. Dans ce domaine aussi, il est bon de savoir à l'occasion ne pas oublier la solidarité des intérêts de l'industrie suisse.

Au reste, ce n'est pas dans les centres hor- logers qu'on parait le moins bien disposé pour les musées de commerce, preuve en est celui que la ville de Genève vient d'adjoindre à son école de commerce de récente fonda- tion. Dans ledit musée, on peut voir, si nous en croyons le dernier rapport annuel du con- sul suisse à Alger, des collections envoyées par les soins de ce fonctionnaire consulaire sur la demande des autorités genevoises.

Les musées qui s'adressent aux acheteurs étrangers et qui, par conséquent, doivent réunir des échantillons des industries natio- nales, s'appellent musées d'exportation. Dans de tels musées, les fabricants déposent ce qu'il leur plait de déposer. Ils sont d'ailleurs astreints au paiement de frais d'exposition et de placement, lorsque l'institution parvient à recueillir des commandes. Est-il naturel de croire que dans de telles conditions, les inté- ressés n'exposeront que des produits hors de mode? Mais s'il en était ainsi, mieux vaudrait de leur part ne rien envoyer au musée, puis- que ces expositions ont précisément pour but d'éclairer les acheteurs étrangers. D'ailleurs, qu'on se tranquilise, l'expérience en cette matière est faite et les résultats acquis con- tredisent absolument l'affirmation d'après laquelle on n'exposerait que les collections sans valeur.

Dirons-nous un mot des musées industriels?

Le type en est connu dans plusieurs de nos villes suisses. Quant au but, il consiste dans les moyens d'enseignement offerts à la petite industrie et aux métiers, afin de les retirer de l'ornière de la routine.

La raison d'être des divers types de musées existe. C'est aux intéressés qu'il appartient de rechercher celles des combinaisons qui répondent le mieux aux ressources dont on dispose et.'aux besoins à satisfaire. G.

Dépréciation de l'argent, sa production et son emploi. — La question monétaire.

La Suisse libérale a publié, dans un de ses derniers numéros, l'article qui suit, que nous reproduisons pour répondre au vœu qui nous en a été exprimé :

L'once d'argent au titre de 14/12 (22 karats) est cotée à Londres 42 1/2 pence. En 1870, elle valait 60 pence, en 1880, 51 pence, en 1884, 50 pence, et ces dernières années, sauf une légère reprise en 1887, l'affaissement a été continu ; la moyenne pour 1888 est la plus basse que l'on ait eu jusqu'ici à enregistrer.

Le prix du métal blanc sur les principaux marchés monétaires correspond au rapport de un à vingt-deux et demi entre la valeur commerciale de l'or et celle de l'argent, tan- dis que le rapport légal dans les pays de l'U- nion latine est de quinze et demi, c'est-à-dire qu'un kilogramme d'argent fin qui, nomina- lement vaut 220 francs, ou plus exactement 218 fr. 89, s'échange au cours de 158 à 159 fr.

Celui qui aurait aujourd'hui la malencon- treuse idée de fondre des pièces de cinq francs pour les convertir en lingots subirait une perte de 28 %· Cette situation est la résul- tante de deux causes principales, l'accroisse- ment énorme de la production de l'argent et l'amoindrissement de son rôle monétaire.

C'est aux Etats-Unis et dans les provinces septentrionales du Mexique que l'extraction

de l'argent a pris le plus d'extension. En 1860, les Etats-Unis fournissaient à peine 150 mille dollars argent ; aujourd'hui, ils produi- sent annuellement cinquante millions de dol- lars et on ne peut pas prévoir un ralentisse- ment prochain. La métallurgie de l'argent fait chaque jour de nouveaux progrès ; depuis vingt ans, les procédés d'extraction ont été complètement transformés. En 1886 seule- ment, on commença à traiter le plomb argen- tifère dans les Etats et les territoires à l'Ouest du Mississipi ; les premiers établissements métallurgiques qui réussirent furent ceux de Helena, dans le Montana, et d'Oreana, dans le Nevada ; mais le transport du minerai gre- vait la production de dépenses considérables et il fallait, pour donner à l'exploitation tout son développement, la construction des grands chemins de fer transcontinentaux qui relient New-York aux rives du Pacifique. Les usines métallurgiques poussèrentalors comme des champignons dans le Colorado, l'Arizona, l'Utah, le Nevada, le Montana, l'Idaho, le Nouveau-Mexique. Les Etats-Unis qui, après 1848, avaient déversé sur l'Europe un vrai fleuve d'or, inondent d'argent notre conti- nent ; les cours du métal baissent ; il semble- rait que la production dût se restreintre et attendre des temps meilleurs, tout au con- traire, on produisit davantage en perfection- nant les moyens d'extraction et en faisant donner au minerai tout son métal.

En même temps que l'argent américain ve- nait peser lourdement sur les cours, plusieurs pays d'Europe limitaient le pouvoir libéra- toire de ce métal, en passant à l'étalon d'or.

L'Allemagne décréta sa réforme monétaire aussitôt qu'elle eût réalisé son unité politique et, de 1871 à 1884, elle retira de la circulation plus d'un milliard de marks d'argent, et ses ventes, à Londres, ont contribué pour leur part à l'affaissement des prix ; il ne faudrait pas, toutefois, comme on est disposé à le faire aujourd'hui, s'exagérer l'influence de ces ventes ; tous les thalers retirés n'ont pas été vendus. Haupt estime que la Banque impé- riale d'Allemagne a dans ses caveaux 450 millions de marks d'argent et qu'une somme égale est encore dans la circulation sous la forme de thalers. De plus, la frappe des mon- naies d'appoint a dû absorber une grande quantité de métal.

Suivant l'exemple donné par l'empire alle- mand, les trois Etats Scandinaves, la Suède, la Norwège et le Danemark, signaient en 1873 un traité monétaire par lequel ils introdui- saient chez eux l'étalon unique d'or et limi- taient la force libératoire de l'argent à la somme de 20 kroner. La même année, les Pays-Bas suspendaient la frappe de l'argent et, en 1871, l'Union latine s'imposait le sys- tème des contingents, par l'application duquel la frappe des écus de cinq francs était limitée pour le compte des gouvernements et inter- dite pour celui du public. En 1878, les pays du franc entraient dans la période du double étalon boiteux, en cessant complètement la fabrication des écus d'argent, tout en mainte- nant la pleine valeur légale à ceux en circu- lation. En revanche, les Etats-Unis qui, en 1873, avaient abandonné l'argent, revenaient partiellement, sous l'influence des régions minières, au double étalon, par le vote du Bland bill.

A l'heure qu'il est, si la démonétisation de l'argent n'est pas proclamée en principe, elle l'est en fait. Il n'y a plus que l'or et le papier qui circulent comme instruments principaux des transactions. Par suite de l'accroissement de sa production et de la diminution de son emploi monétaire, l'argent fait une perte de près de 30 % . Cet écart, la volonté de tous les législateurs du monde serait impuissante â l'empêcher, car la moindre hausse du métal blanc agit comme un stimulant énergique pour

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 103

les producteurs. H est maintenant oiseux de discuter si on a bien ou mal fait de repousser l'argent après 1870, si une entente interna- tionale était alors possible, si le bimétallisme universel était chose réalisable. On se trouve en présence d'un fait: la dépréciation cons- tante de l'argent qui va bientôt cesser de mériter son nom de métal précieux.

Tous ceux qui s'occupent des questions monétaires n'ont pas cependant renoncé à réhabiliter l'argent. Il y a une véritable levée de boucliers en faveur de ce métal en Angle- terre, en Allemagne, en Belgiqne, en Frane.

L'Angleterre, qui depuis 1816 a l'étalon d'or, pourrait se désintéresser de toutes les fluctuations du métal argent, si elle n'avait pas à se préoccuper de la situation faite à ses colonies des Indes orientales. L'Inde, comme tous les pays de l'extrême Orient, se sert de l'argent comme monnaie légale. Depuis 1835, la roupie d'argent de la Compagnie des Indes est la seule monnaie officielle. Les monnaies d'or, le mohur entre autres, y sont considé- rées comme une marchandise dont le prix varie suivant l'offre et la demande. Or, les emprunts anglo-indiens émis sur le marché de Londres sont remboursables en or et le paiement des coupons doit s'efiectuer aussi en métal jaune. Lorsque l'argent faisait prime en Europe, que l'on convertissait en lingots nos monnaies d'argent, le gouvernement co- lonial y trouvait tout bénéfice et les lingots d'argent transportés de Calcutta à Londres faisaient prime sur le marché.

Actuellement, l'Inde continue à percevoir les impôts en monnaie d'argent ; mais, comme elle doit faire à Londres ses paie- ments en or, l'annuité que le budget indien prévoit pour le service des emprunts se trouve grevée d'un lourd supplément destiné à parfaire à la dépréciation de l'argent.

(La fin au prochain numéro.)

NOUVELLES DIVERSES

T r a i t é e d e c o m m e r c e . — France-Tur- quie. En suite d'une interpellation à la Cham- bre des députés de France, le ministre des affaires étrangères a donné la déclaration suivante conc rnant la date d'expiration de ce traité, dans lequel est aussi comprise la Suisse :

Première question : Quelle est la date pré- cise à laquelle le traité turc prendra fin ? Dans l'opinion du ministère des affaires étran- gères, ce traité prendra fin le 13 mars 1890, c'est-à-dire après l'expiration de la période de vingt-huit ans pendant laquelle il doit du- rer, et ce, aux termes de la note qui a été publiée dans le Moniteur universel du 25 sep- tembre 1861. Cette note est ainsi conçue :

« Les négociations ouvertes entre la Porte et les diverses puissances, pour la conclusion des traités de commerce conformes à ceux qu'elle a récemment signés avec la France, l'Angleterre et le royaume d'Italie, n'étant pas terminées, le gouvernement ottoman a demandé que l'application de ces dernières conventions, qui avait d'abord été fixée au 1er octobre prochain, fût reportée au 13 mars 1862. Cette proposition qui a pour objet de prévenir les perturbations que jetterait dans le service des douanes turques, ainsi que dans les transactions commerciales, la diver- sité qui succéderait tout à couP à l'uniformité qu'ont présentée jusqu'ici le régime conven- tionnel et le système économique de la Tur- quie, a été accueillie par le gouvernement de l'empereur. »

Deuxième question : Le traité a-t-il besoin d'être dénoncé? Non. Il résulte, en effet, de l'article 17 du traité passé avec la Porte, que ce traité est valable pour vingt-huit ans, qu'il

n'est soumis à aucune clause de tacite recon- duction et qu'il n'a pas besoin, pour prendre fin, d'être dénoncé.

Nous ajoutons à cette déclaration que les négociations, entre la Suisse et la France d'un côté et la Porte de l'autre, sur un nouveau tarif douanier, dans lequel sont aussi fixés les droits pour les principaux articles d'expor- tation de Suisse en Turquie, sont terminées;

celles concernant le texte d'un nouveau traité sont assez avancées. La Porte négocie actu- ellement avec l'Autriche-Hongrie et l'Italie ; de nouveaux traités entre la Turquie, l'Alle- magne et la Grande-Bretagne sont déjà con- clus, mais il ne seront publiés que plus tard.

La Porte a l'intention de faire entrer en même temps en vigueur tous les nouveaux traités.

Jusqu'alors il est toujours prélevé provisoire- ment un droit général de 8 % sur la valeur.

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