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Le cerf Virginie a4-11 sa place danz

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Academic year: 2022

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Le cerf Virginie a4-11 sa place danz

,

forêt privée?

Michel Bélanger, biologiste Magella Morasse, ingénieur forestier

Gouvernement du Québec

Ministère du Tourisme, de la chasse et de la pêche Direction générale de la faune

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Introduction

Bien avant l'arrivée des premiers colons en Amérique du Nord, le cerf de Virginie occupait déjà une bonne partie du territoire. "À ce moment là, les Amérindiens faisaient une grande consommation de cet animal pour se nourrir et se vêtir. Par la suite, les chasses intensives faites par les blancs avec des armes à feu ont menacé cet animal d'extinction. C'est grâce à des mesures de protection promulguées vers la fin du XIX siècle qu'il a pu repeupler de vastes étendues".'

Depuis 1965, le nombre de cerfs récoltés à la chasse sportive a diminué dans plusieurs régions de la province. Les facteurs responsables de ce déclin sont les hivers difficiles, la détérioration de l'habitat d'hiver (ravage*), la surexploitation par la chasse, la prédation, le braconnage, etc. Pour rétablir la situation, certaines mesures ont été adoptées: les saisons de chasse ont été modifiées, les ravages situés sur les terrains publics sont protégés contre les coupes forestières abusives et un certain contrôle des prédateurs est exercé où il y a nécessité.

Photos page couverture: Pierre Pouliot Conception graphique: Clermont Lizotte Dépôt légal:

Bibliothèque Nationale du Québec 4e trimestre 1978

*Ravage: "Canadianisme désignant un chemin battu par les animaux sauvages, surtout l'hiver. Par extension, on désigne par ce mot les quartiers d'hiver du cerf de Virginie, de l'orignal et du caribou à cause du dommage causé par ces animaux à la végétation dans ces endroits".

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Mot. 1973

— Aire de répartition et densité relative du cerf de Virginie au Québec en 1972.

Le présent travail vise à faire connaître l'importance de l'habitat d'hiver du cerf de Virginie, les besoins rencontrés durant cette période critique et les méthodes que l'on peut utiliser pour protéger et améliorer les ravages. Ce bulletin s'adresse particulièrement aux propriétaires de boisé, aux entreprises exploitant la forêt et à tous ceux intéressés à la cause du cerf de Virginie.

Où le retrouve-t-on au Québec?

Au Québec, on retrouve le cerf en plus ou moins grand nombre suivant les régions. Les densités moyennes et fortes se retrouvent dans les régions de l'Outaouais, du Nord de Montréal et dans toute la partie sud de la province. D'autre part, l'île d'Anticosti est une zone exceptionnelle avec un habitat différent et où les densités sont des plus élevées.

Son comportement

En général, durant la période s'étendant du printemps à l'automne, le cerf vit en solitaire sauf les femelles qui sont accompagnées de leurs jeunes. Les cerfs occupent alors presque tout le territoire et on peut les retrouver dans les forêts de résineux, de feuillus ou en bordure des champs et des routes. Cependant, à l'arrivée de l'hiver, ils se rassemblent en groupes plus ou moins importants dans des ravages où ils peuvent trouver abri et nourriture.'

En hiver, il est facile d'identifier ces endroits par les pistes et les sentiers dans la neige. Une autre indication est la présence des tas de crottins déposés le long des sentiers et des pistes. De plus, étant donné que ces animaux se nourrissent de jeunes pousses, un grand nombre de branches sont broutées ou cassées.

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Un ravage de cerf est facile à identifier à l'aide des pistes et sentiers dans la neige ainsi que des branches broutées.

Habitat d'hiver

est-ce qui peut nuire au cerf ? Au début de l'hiver, quand la neige est peu abondante, les animaux se déplacent aussi bien

dans les peuplements feuillus, mélangés et résineux. Par contre, lorsque l'accumulation de neige atteint 50 cm, les réseaux de sentiers se limitent surtout aux peuplements mélangés et résineux, là où l'épaisseur de neige est moindre et où les déplacements sont aisés.' En général, les ravages se retrouvent aux mêmes endroits d'une année à l'autre; certains individus parcourent même des distances de plus de 50 km (Pichette, comm. pers.) et reviennent d'année en année au même lieu pour y passer l'hiver.

En plus de posséder un bon couvert forestier constitué de sapins, de pruches, d'épinettes, de cèdres, de pins, le ravage doit offrir une bonne quantité de nourriture. L'alimentation des cerfs durant l'hiver est composée surtout des ramilles d'érables, de cerisiers, de noisetiers, etc. Cette nourriture, pour être accessible, doit être dispersée sous le couvert ou en bordure de ce dernier.

Un bon agencement du couvert et de la nourriture est essentiel pour maintenir les animaux en bonne conditions physique. Ainsi, ils pourront mieux résister aux agressions naturelles qu'ils auront à subir durant les périodes critiques de l'hiver au moment où ils sont le plus vulnérables.

Parmi les facteurs qui peuvent modifier les ravages, le plus important est sans doute l'exploitation forestière; les effets des coupes de bois dépendent en grande partie des méthodes utilisées. Ainsi les coupes à blanc sur de grandes superficies peuvent amener la disparition plus ou moins rapide d'un ravage; après ce traitement, le couvert forestier qui servait de protection au cerf a complètement disparu et la nourriture pourtant très abondante est inaccessible.

L'absence complète d'exploitation forestière peut également avoir des effets néfastes sur la qualité des ravages. Les vieilles forêts résineuses non perturbées offrent généralement un bon abri pour le cerf, mais la quantité de nourriture fait souvent défaut.

D'autres facteurs peuvent compromettre l'existence des ravages; ainsi les développements résidentiels et touristiques aménagés à l'intérieur des ravages occupent souvent des superfi- cies importantes. De tels aménagements ajoutés à la construction de maisons, de chalets, de routes, le défrichement du sous-bois, les ouvertures faites pour les installations sportives, entraînent la perte graduelle d'une partie des ravages et amènent à plus ou moins court terme la disparition de ces derniers.

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L'exploitation forestière et le cerf de Virginie

La forêt occupée par le cerf a subi une exploitation extrêmement intensive au cours des 20 dernières années; dans plusieurs régions, on a coupé beaucoup plus de bois qu'il ne fallait.' De plus, les méthodes de coupe utilisées, en particulier les grandes coupes à blanc faites de façon incontrôlée ont laissé des effets sur le milieu pour plusieurs années à venir. Cette méthode d'exploitation, en particulier pour les petits propriétaires, rapporte beaucoup sur le moment, mais leur laisse les mains vides pendant une longue période. Après une telle opération, le terrain a une faible valeur marchande et il s'écoule plusieurs années avant de produire du bois de qualité. De plus les risques d'incendie après une coupe à blanc sont élevés, dû aux déchets de coupe très secs. Dans les boisés où les pentes sont raides, le sol peut être emporté par l'eau des crues; finalement un tel terrain après avoir subi une coupe à blanc supporte très peu de gibier; les lièvres, perdrix, cerfs de Virginie, etc... ne trouvant plus d'abris.

Par contre, les coupes partielles et les petites coupes à blanc (inférieure à un acre) ont des effets bénéfiques. En l'exploitant ainsi, on peut cultiver son boisé tout comme une terre agricole et récolter jusqu'à deux fois plus de bois durant la même période; en planifiant on s'assure un revenu soutenu tous les ans, compte tenu de la superficie du boisé. Suite à ce traitement, la valeur marchande du lot demeure toujours élevée grâce à la qualité et à la quantité de bois sur pied; d'autre part, un boisé exploité partiellement supportera une grande quantité et une grande variété d'animaux.

9 Toutes ces activités à l'intérieur des ravages ne font pas seulement que détériorer l'habitat;

elles entraînent un harrassement plus élevé des animaux. On augmente ainsi la prédation par les chiens, le harcellement par les motoneigistes, le braconnage, les accidents routiers, etc.

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Le propriétaire qui exploite sagement son boisé retire des bénéfices immédiats tout en s'assurant un avenir prometteur.

Aménagement des ravages

Les ravages de cerf de Virginie ont évidemment subi des dommages suite à l'exploitation désordonnée de la forêt. Plusieurs ravages ont disparu, provoquant indirectement la mort d'un grand nombre d'individus.

Comment peut-on rétablir et améliorer un ravage existant? On peut difficilement agir sur les animaux pour améliorer leur situation; cependant, il est facile d'intervenir sur leur habitat par exemple en protégeant certaines essences essentielles à leur bien-être ou en procédant à des coupes de faible étendue pour produire de la nourriture.'

Ceux qui possèdent des ravages sur leur propriété peuvent contribuer largement à l'essor des populations de cerf tout en cultivant leur boisé. En effet, les traitements qui sont recommandés, en plus d'être bénéfiques pour le cerf, augmentent généralement la produc- tion de bois à long terme. Par exemple, on prélèvera d'abord les arbres défectueux, malades ou trop vieux pour conserver les jeunes sujets en croissance, on favorisera les essences plus résistantes comme l'épinette au dépens du sapin, on procédera à des coupes sur de faibles superficies plutôt que des grandes coupes à blanc.

Un lot boisé coupé à blanc devient moins productif et est peu fréquenté par le cerf.

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Forêts de sapin et d'épinette

Les forêts jeunes de sapin et d'épinette, c'est-à-dire de 30 à 50 ans, sont généralement très denses et doivent être éclaircies pour stimuler leur croissance. On peut récolter de 30 à 40 pour cent des arbres en sélectionnant les plus mauvais sujets et en gardant l'épinette aux dépens du sapin. Ainsi, les arbres restés sur pied s'accroîtront beaucoup plus vite en profitant des éclaircies créées. Pour le cerf de Virginie, le couvert demeure suffisant, tandis que les petites ouvertures provoquées par l'enlèvement des arbres produiront de la nourriture facilement accessible.

Les forêts de sapin et d'épinette à maturité doivent être exploitées de façon à produire le maximum de matière ligneuse tout en conservant un bon abri pour les animaux. Dans les forêts de sapin, on sélectionne d'abord les arbres déjà tombés, les arbres défectueux et sévèrement attaqués par la tordeuse. Lorsque tous les arbres sont sains, on coupe par bandes (environ 40 m de largeur) ou par trouées de faible superficie. Lorsque le sapin est associé à l'épinette ou à d'autres essences comme la pruche ou le cèdre, on prélèvera d'abord le sapin pour conserver les autres essences qui sont plus résistantes aux agents naturels tels que le vent et les épidémies.

Dans les peuplements à maturité, lorsque l'on effectue des petites coupes à blanc soit par trouées ou par bandes, il faut s'assurer que l'on conserve toujours une bonne proportion d'arbres debout. On peut par exemple dans un premier temps couper 25 pour cent de la superficie totale et ensuite échelonner les coupes sur plusieurs années de façon à toujours maintenir un couvert suffisant pour les animaux.

Forêts de pruche

La pruche est l'essence qui offre le meilleur abri aux animaux; dû à la structure de ses rameaux, cette espèce retient la neige mieux que tout autre arbre et permet aux cerfs de se déplacer facilement sous son couvert. Il est fortement souhaitable de toujours conserver ces arbres dans un ravage. Dans les cas où on retrouve la pruche en peuplement pur, on peut couper de 20 à 30 pour cent des arbres; cependant lorsque les tiges sont éparpillées, il est préférable de toutes les conserver. Lorsque la pruche est associée à d'autres essences comme l'épinette, le sapin, le pin ou les feuillus, il est préférable de conserver la pruche.

Dans les prucheraies, on peut enlever un arbre sur quatre.

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Lorsque la pruche est associée à d'autres conifères, il est préférable de conserver la pruche et d'enlever d'abord le sapin.

Cédrières

Le cèdre est surtout connu pour l'attrait qu'il exerce comme nourriture pour le cerf.

Cependant, dans les endroits où on a coupé les autres essences résineuses, les cédrières servent de couvert. Ces peuplements doivent être coupés par bandes d'environ 20 m de largeur ou par trouées de 400 m' de façon à permettre la régénération de cette essence; on doit couper au maximum le 1/3 de la superficie du peuplement. De plus, dans les cédrières humides, la coupe à blanc change souvent le milieu qui devient très humide et empêche l'établissement immédiat d'une régénération en cèdre, en sapin ou en épinette et on se retrouve avec une aulnaie sans grande valeur marchande.

Forêts de pin

Les forêts de pin (pin blanc, pin rouge) doivent être exploitées pour les besoins industriels.

Cette essence de haute valeur doit être perpétuée à l'aide de coupe à blanc sur de faibles superficies (bandes de 20 m de largeur ou trouées de 400 m2). Lorsque le pin se retrouve avec le sapin et l'épinette, on conservera ces derniers surtout si la plus grande partie du lot est déboisée.

Forêts mélangées

Les forêts mélangées sont généralement très utilisées par les cerfs de Virginie. Lorsqu'il y a suffisamment de couvert résineux, ils peuvent les utiliser tout au long de l'hiver et trouver une nourriture généralement abondante.

Lorsque les résineux sont associés au bouleau blanc, au tremble, il est recommandable de couper ces feuillus pour accélérer la croissance des résineux et, de plus, les petites ouvertures ainsi créées produiront beaucoup de nourriture facilement accessible au cerf. Si la proportion de résineux est assez élevée, on peut procéder à des coupes partielles dans les résineux un peu plus tard.

Dans les peuplements mélangés, l'enlèvement des feuillus stimule la production de nourriture; on peut également couper quelques sapins lorsque le pourcentage de résineux est élevé.

Lorsque le pourcentage de feuillus tels que l'érable, le bouleau jaune, l'orme, etc., est supérieur à 50 pour cent, on doit absolument conserver tous les résineux en bon état. On peut couper périodiquement les feuillus, surtout durant l'hiver alors que les déchets de coupe (branches) peuvent être utilisés comme nourriture par le cerf.

Lorsque les feuillus et les résineux sont en proportion égale, on doit conserver tous les résineux

Forêts de feuillus

Les forêts de feuillus constituées d'érable, de bouleau jaune, de hêtre, de chêne, d'orme, etc.

ont peu d'intérêt pour le cerf durant l'hiver lorsque les conditions de déplacement sont difficiles. Les animaux fréquentent ces milieux lorsqu'il y a des opérations forestières, ils empruntent alors les chemins de halage pour se déplacer et se nourrissent des déchets de coupe laissés sur place.

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Type forestier

Peuplement jeune de sapin et d'épinette

Peuplement de pruche Cédrière

Peuplement de pin Peuplement mélangé Peuplement feuillu

Peuplement mûr de sapin et d'épinette

Résumé des prescriptions de coupe dans un ravage de cerf de Virginie

Prescription suggérée

Coupe sélective, favorisant l'épinette Coupe par trouées ou par bandes sur de petites superficies

Conserver la pruche

Coupe par trouées ou par bandes Coupe par trouées ou par bandes

Coupe des feuillus et conserver les résineux Coupe par diamètre-limite

Les coupes effectuées en hiver fournissent aux animaux une nourriture abondante et facilement accessible.

Conclusion

Quand doit-on effectuer des coupes dans un ravage de cerf ?

Généralement, toute intervention visant à accroître la production de bois à long terme améliore la situation d'un ravage de cerf. Si l'on conserve des blocs de forêt d'âges variés et si l'on exploite périodiquement de façon à assurer un rendement soutenu, on retrouve une forêt variée en âges et en espèces; les aires nouvellement coupées et regénérées fournissent de la nourriture tandis que les peuplements résineux et mélangés, qu'ils soient jeunes ou à maturité, constituent le couvert et servent d'abri.

Le moment le plus opportun pour effectuer des coupes dans un ravage est l'hiver. Loin d'effrayer les animaux, les opérations de coupe durant cette saison attirent ces derniers et leur fournissent une nourriture d'appoint grâce aux déchets de coupe laissés sur place. De plus, les animaux empruntent les chemins de halage ce qui facilite grandement leur déplacement et réduit leur dépense d'énergie.

D'autre part, il faut éviter de débroussailler ou nettoyer le sous-bois lorsque l'on traite la forêt car les arbustes constituent la majeure partie de la nourriture d'hiver de ce cervidé. Les arbustes qui n'ont aucune valeur marchande et semblent nuisibles sont extrêmement importants dans la diète d'hiver du cerf et doivent être laissés intacts.

Le climat est sant doute le principal facteur qui conditionne l'abondance du cerf de Virginie au Québec. Nous ne pouvons évidemment rien faire pour enrayer les chutes de neige ou pour contrer le froid mais nous pouvons facilement contribuer à diminuer l'effet de ces facteurs sur les animaux. Le cerf qui peut se déplacer allègrement grâce au maintien d'un bon couvert résineux dépensera moins d'énergie; de plus, s'il retrouve une alimentation abondante et facilement accessible pour se maintenir en bonne condition, il résistera aux agressions auxquelles il doit faire face comme les prédateurs ou le harcèlement par les braconniers, par exemple.

Il faut compter sur la contribution de tous pour rehausser nos populations de cerf de Virginie. Les chasseurs et tous les citoyens doivent faire preuve de civisme en respectant les lois régissant la faune; durant les périodes critiques, il faut éliminer les causes de stress comme les poursuites en motoneige ou par les chiens laissés en liberté; finalement tous les exploitants forestiers doivent se soucier de l'habitat d'hiver de ce cervidé en protégeant certains secteurs indispensables à son bien-être et en exploitant rationnellement la forêt.

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OUV1AGES CITÉS

1 Huot, J. 1973. Le cerf de Vir e au Québec. Québec, Minist. Tour. Chasse et Pêche, Service de la Faune, Bulletin N° 17, 50 pp.

Potvin, F. éd. 1972. L'aménagement intégré de la Faune et de la forêt du Québec — Normes générales —. Québec, Minist. Tour. Chasse et Pêche, Faune du Québec, Bulletin N° 16, 48 pp.

Potvin, F., R. Joly, M. Bélanger, J-M. Brassard, S. George et P. Lessard. 1977. Problé- matique de la chasse du cerf au Québec. Québec, Minist. Tour. Chasse et Pêche, Dir.

Générale de la Faune, Faune du Québec, Rapport spécial N° 8, 150 pp.

Robert, J. et J.-P. Robert. 1976. Statistiques forestières relatives aux propriétés privées. Québec, Minist. des Terres et Forêts, Dir. Générale des Bois et Forêts, Service de l'Aide à la Forêt Privée, Service des Plans d'Aménagement, 4` édition, 215 pp.

Service de la Faune, 1973. Le cerf de Vir:.; i'e. Québec, Minist. Tour. Chasse et Pêche, Dir. Générale de la Chasse et de la Pêche, Faune du Québec, no 2, 8 pp.

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