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A. KÖNIG. — Zur Kenntniss dichromatischer Farbensysteme ( Sur les systèmes de couleurs dichromatiques); Wied. Annalen, t. XXII, p. 567 ; 1884

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238412

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238412

Submitted on 1 Jan 1885

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A. KÖNIG. - Zur Kenntniss dichromatischer Farbensysteme ( Sur les systèmes de couleurs

dichromatiques); Wied. Annalen, t. XXII, p. 567 ; 1884

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. A. KÖNIG. - Zur Kenntniss dichromatischer Farbensysteme ( Sur les systèmes

de couleurs dichromatiques); Wied. Annalen, t. XXII, p. 567 ; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1885, 4

(1), pp.322-323. �10.1051/jphystap:018850040032201�. �jpa-00238412�

(2)

322

L’auteur fait remarquer que les nombres de la dernière colonne

sont presque identiques pour l’acid e chlorhydrique, l’eau, l’ammo- niaque et le gaz des marais : leur valeur moyenne est 3,5. Or ces

corps sont précisément les types d’où la plupart des autres se dé-

rivent par des substitutions. Le rapport caractéristique est plus

fort pour les dérivés complexes, mais présente en général un

rapport simple avec la valeur moyenne 3, 5 trouvée ci-dessus.

D’après les calculs de M. Sarrau, le rapport T p273 serait 3,4

pour l’oxygène et 3,5 pour l’azote. Ces nombres coïnciden t presque

avec ceux de M. Dewar. E. BOUTY.

A. KÖNIG. 2014 Zur Kenntniss dichromatischer Farbensysteme ( Sur les systèmes

de couleurs dichromatiques); Wied. Annalen, t. XXII, p. 567 ; 1884.

On sait que les daltoniens (Farbenblinder) ne perçoiven t dans

toute l’étendue du spectre que deux couleurs, séparées par une

région qui leur paraît incolore ou blanche. L’auteur s’est proposé:

IOde déterminer le degré de précision que comporte la détermi-

nation de la longueur d’onde caractéristique pour

un

daltonien

donné, de la région neutre; de voir comment varie cette lon-

gueur d’onde d’un daltonien à

un

autre; 31 d’examiner comment elle varie pour chacun d’eux avec l’intensité de l’éclairage ( 1 ).

L’appareil employé consiste en un spectroscope à prisme équi- latéral, dont l’une des arêtes bissecte l’objectif de la lunette. Dans

ces conditions, si, après avoir enlevé l’oculaire, on regarde à travers

une fente oculaire, on vuit l’une des faces seulement du prisme

illuminée par une lumière homogène, de longueur d’onde connue, grâce à une graduation préliminaire de l’appareil, et variable

avec l’orientation du tube collimateur. La seconde face du prisme,

tournée vers l’objectif, est recouverte d’une couche diffusante de

magnésie, éclairée par la lumière des nuages. Pour chaque dal- tonien, on fait mouvoir le tube collimateur, de manière que les deux faces du prisme paraissen t de m ême co uleur :

1° Pour chaque daltonien, on parvient sans peine à déterminer, à 1 1000 près environ, la longueur d’onde de la région neutre.

(1) PREYER, PflÜger’s Ai-chiv.,

t.

SXY, p. 31 1881.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018850040032201

(3)

323 2" Cette longueur d’onde, pour divers daltoniens et pour un même degré d’éclairage, a varié de lie

=

491, 7 à ),

=

504, 75 sans du’il y ait aucune différence entre les aveugles pour le rouge et les

aveugles pour le vert ;

3° Lorsque l’intensité augmente, la ligne neutre se déplace vers

la région la plus réfrangible du spectre.

J. MACÉ

DE

LÉPINAY.

A. KONIG

ET

C. DIETERICI. 2014 Ueber die Empfindlichkeit des normalen Auges

für Wellenlängenunterschiede des Lichtes (Sur la sensibilité de l’0153il normal pour les différences de longueurs d’onde de la lumière); Wied. Annalen, t. XXII, p. 579; 1884.

L’appareil employé est un spectroscope double : le prisme est équilatéral et orien té de telle sorte que l’axe optique bissecte F un

des angles dièdres du prisme. Deux collimateurs envoient leur lu-

n1ière, l’un sur la moitié gauche, l’autre sur la moitié droite du

prisme. Si l’on regarde au travers d’une fente oculaire, on voit les

deux faces du prisme tournées vers la lunette illuminées de la même teinte homogène si les deux collimateurs sont symétrique-

ment orientés. Pour effectuer une mesure, l’un des collimateurs

restant fixe, on déplace lentement l’autre j usclu’au moment la

différence de coloration des deux moitiés du champ devient ap-

préciable. Chaque mesure est répétée cinquante fois, et l’on calcule 1’erreur Bloyenne

Si l’on prend pour abscisses les longueurs d’onde, pour ordon- nées les erreurs moyennes, on obtient des courbes en tout sem-

blables à celles obtenues par M. Peirce (1). Les auteurs toutefois

pensent que le maximum de sensibili té, indiqué par ce dernier dans le rouge, proviendrait uniquement de la prompte variation d’in- tensité dans cette région suffisante pour difl’érentier les champs

éclairés que l’on compare.

Ce travail conduit en outre à plusieurs résultats nouveaux :

(1) Journal de Physique [2], t. III, p. 186; 1884.

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