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Promociones agropecuarias Monterrey. Visite entomologique 6-7 décembre 1990

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Institut de Recherches pour les Huiles et Oléagineux

Département du Centre de Coopération Internationale

en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD)

11, Square Pétrarque 75116 Paris- Tél.: (1)45 53 60 25 -Télex 630491 IRHO PARIS

PROMOCIONES AGROPECUARIAS

MONTERREY

VISITE ENTOMOLOGIQUE

6 - 7 Décembre 1990

D. MARIAU

Doc n° 2315

Février 1991

(2)

6 - 7 Décembre 1 9 9 0

D . MARIAU Doc . N° 2 3 1 5

(3)

VISITE ENTOMOLOGIQUE

DE LA PLANTATION PROMOCIONES AGROPECUARIAS MONTERREY

D . MARIAU

6 et 7 / 1 2 / 9 0

A l ' occasion d ' un déplacement en Co l ombie d e M . MARIAU deux jours ont été consacrés à la visite de la plantation de Puerto Wilches af in de faire l e point de la s ituation sanitaire et faire d ' éventuel les propositions sur l e s probl èmes qui se posent sur cette plantation .

Nous remercions l e Dr . VARGAS pour son accuei l à Bogota ainsi que l es responsables de la plantation se trouvant sur le terrain et plus particu l ièrement l es Drs F . LOPEZ , Directeur Agronomique et M . CRUZ en charge des questions sanitaires pour l ' organisation de la mis s ion et l eur disponibi l ité tout au l ong de l a visite .

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SITUATION SANITAIRE DE LA PLANTATION

L ' aspect général de l a plantation est très satisfaisant , la végétation pouvant être l ocal ement un peu moins bel l e . C ' est le cas notamment secteur par secteur

- à Monterrey du Nord de C2 ( Retracrus ) au nord de Dl ( attaque Eucl ea en mars )

- à Primavera : sur l es parties ouest de C3 et C4 où l e s feuil l es bas se s et moyennes présentent des dégâts sens ibl es de Pesta l lozia . Au nord de ce secteur on pouvait observer une pul lulation d ' intensité moyenne d ' Euprosterna .

dans l e Corredor : au centre de H4 parce l l es 2 et 3 on observe un important foyer de Pesta l l o z ia , l e s feui l l e s bas ses et moyennes étant très abimées .

- à San Franc isco et la Esperanza on observe de temps en temps un petit foyer de dével oppement de Retracrus . Sur l es parcel l es 5 et 4 de A6 on note une forte infestation par Pesta l l o z ia , l e s couronnes basses et moyennes étant très touchées avec des tâches de champignon sur l e s feu i l l e s hautes . Les popul ations de Leptopharsa n I avaient j ama i s été très él evées

( entre 30 et 60 adultes à parti r d ' août 89 mai s le traitement n ' a été réa l isé qu ' en juin 1 9 90 ) .

- cultures 1 9 8 2 : sur l es parcel l e s 1 et 2 de H7 assez fort développement de Pesta l l o z ia ; de même sur H8 .

- toutes l es cultures 8 1 ( 6 0 9 ha matériel IHRO ) sont en exce l l ent état avec de magnifiques couronnes de régimes ) .

- sur l es parce l l es G8 - F8 - F9 - G9 ( matériel Papua ) on observe un développement très sensiblement supér ieur de l ' acarien Retracrus , les couronnes ne sont que très peu chargées .

On peut faire la même observation sur les cultures 86 entièrement plantée s avec du matériel Papua . Ce matériel apparaît être nettement plus sensible aux attaques de Retracrus . Cela se voit bien sur la plantation voisine de Bucarel ia , principa l ement plantée avec ce type de matériel , qui par contre apparaît être moins sensibl e aux attaques de Pestal otiopsis .

En dehors de quelques zones l imitées , l a plantation présente donc un aspect végétatif tout à fait satisfaisant ce que

nous n ' avions jamais vu au cours de nos visites antérieures ( 7 3 , 7 8 , 8 1 , 8 6 ) . C ' est l à un résultat diffic i l e à obtenir dans un pays où il y a beaucoup de ravageurs au niveau fol iaire dont la plupart favorisent le déve loppement du champignon Pestal otiopsi s.

Les que lques dégâts que l ' on observe n ' auront en moyenne aucune incidence sur la production qui a d ' ai l l eurs été excel l ente en 1 98 9 , un peu moins bonne en 1 9 9 0 et promet d ' être exce l l ente au cours du premier semestre 91 tout au moins sur l e matériel IRHO et plus particul ièrement sur l e s 6 0 0 ha plantés en 1 98 1 ( voir tabl eau de production en annexe ) .

(5)

3

-TRAITEMENTS REALISES

Au cours de l ' année 1 9 9 0 il a été traité près de 7 0 0 0 hectares soit près de deux fois l ' ensemb l e d e l a plantation de plus de 4 ans ( voir tabl eau en annexe ) .

- l e s traitements aériens ( 16 9 0 hectares ) ( voir carte 1 en annexe ) ont essentiel lement été dirigés contre les deux principaux défol iateurs Euprosterna et Eucl ea à l ' a ide d ' Al systin ( inhibiteur de la chitine ) ou de curac ron . Ce dernier produit qui présente une excel l ente efficacité a été préféré en cas de fortes populations ( plusieurs centaines voire plus d ' un mil l ier de chenil l es par feuil l e ) . L ' Al systin , un peu moins efficace , a une action un peu plus l ente ce qui est normal pour un

insecticide biologique . En

pul lulations très fait justifiées . Bucarel ia , moins pul lul ations .

1 9 9 0 l a plantation a donc eu à faire face à des viol entes et l es interventions étaient tout à On a pu voi r sur la p lantation voisine de vig i l ante les dégâts occasionnés par ces - l e s traitements par pul vérisation

2 en annexe ) d ' Al systin ont été plus local isés même intéress é 340 hectares . Ceux uti l isant

Retracrus ont , eux , porté sur 2 2 0 ha .

terrestre ( carte mai s ont tout de l ' El osa l contre

- toute la plantation ( parcel l es âgées de plus de 4 ans ) a été traitée , au moins 1 foi s et certaines parcel les 2 fois , à l ' aide de traitements systémiques contre Leptopharsa

1 0 3 9 ha ( Monterrey -La Esperanza - San F ranci sco ) l ' ont été par inj ection de monocrotophos dans l e stipe a l ors que 3 6 2 3 ha ont fait l ' obj et d ' un traitement par absorption radiculaire .

Le déta i l du coût en dol lars des traitements ca l culé par MM . CRUZ et LOPEZ est donné en annexe .

Le coût des traitements réa l isés en 1 9 9 0 peut se résumer de la manière suivante :

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Technique Surfaces Coût / ha Coût total

de traitées

traitement en ha en do l lars en dol lars

Systémique injection 1 0 3 9 2 3 , 2 2 4 1 0 5 Systémique absorption 3 6 2 3 3 7 , 1 1 3 4 4 1 3 Pulvérisat . aérienne 1 6 9 0 24 , 5 4 1 4 0 5 Pulvérisat . terrestre 5 6 0 2 0 ( estimé ) 1 1 2 0 0 TOTAL 6 91 2

-

2 1 1 1 2 3

-Pour une production d ' hui l e e stimée en 1 9 9 0 à 1 2 . 0 0 0 tonnes vendue à un cours moyen de 3 0 0 U S $ l e coût des traitements a été l ' équival ent de 6 % environ de la production .

COMMENTAIRES ET RECOMMANDATIONS

Si l a plantation a un aspect végétatif sati sfaisant , condition indispensabl e pour l ' obtention d ' une production é l evée , l e coût pour obtenir un te l résultat est é l evé . On a vu que l es tra itements réa l isés contre l e s chenil le s défo l iatrices étaient bien justifiés . I l semb l e que l ' on ne puis se pas en dire toujours autant des traitements contre Leptopharsa .

En examinant les f iches parcel laires on constate en effet que très souvent des traitements systémiques ont été réa l i sés a lors que les populations de Leptopharsa étaient très faib l es . Cela a par exemple été le cas sur le b l oc G5 ( parcel les 1 - 2 - 3 -4 ) traitées en octobre 90 a lors que les indices Leptopharsa étaient inférieurs à 5 ou sur E3 , F3 en juin ou encore B2 en septembre pour ne c iter que quelques exemples .

A cela l es responsables de l a plantation répondent que l e s relevés réal isés donnent une mauvaise image de la réal ité en raison du fait qu ' un petit nombre d ' arbre s , qui échappent l e plus souvent au contrô l e , sont fortement infestés et contaminent donc l e s autres palmiers . Cette hétérogénéité est en partie l iée à ce l l e des traitements par absorption radiculaire . Par injection dans le stipe on obtient un traitement beaucoup plus homogène .

I l est indispensabl e que l e s relevés que l ' on fait soient représentatifs des populations existantes quitte à augmenter le nombre d ' échantil lons en cas de forte hétérogénéité .

Les traitements ne doivent être décidés que sur une va l eur moyenne des indices . Les indices moyens d ' intervention sont norma l ement de 5 0 à 1 0 0 mai s , on l ' a vu , des indices voi s ins

(7)

5

-de 5 0 peuvent entraîner à la longue -des déve l oppements -de Pestalotiopsis non tolérables .

A l ' inverse on a pu observer en saison séche sur la plantation de San Alberto des populations l argement supérieures à 1 0 0 n ' entrainant aucun dével oppement du champignon .

C ' est donc par une bonne connaissance du terrain que l ' on peut préciser l e s indices critiques qui sont en tous cas , sûrement supér ieurs à

1,

à condition bien entendu que l e chiffre soit représentatif . Pour assurer l e coup i l n ' est pas rare que

la plantation réa l ise 2 traitements successifs ce qui ne parait pas norma l .

I l nous a été rapporté que l e traitement systémique n ' atteignait pas ou mal l es adultes s e trouvant sur l a feui l l e 1 et sur laquel le l es insectes se réfug ieraient . Cela nous paraît surprenant et mér iterait d ' être vérifié de très près en enfermant des insectes dans des petites cages .

Pour plusieurs raisons , dont l e coût , la plantation préfère l ' ut i l i sation du traitement par injection . Cependant i l éta it apparu que sur d e j eunes cultures ( moins de 8 à 1 0 ans environ ) , la répartition de l ' insecticide dans la couronne était moins bonne avec un traitement par injection que par absorption radiculaire . De plus l e traitement par injection blesse l e stipe . Tout en tenant compte des remarques précédentes on devrait pouvoi r maintenant uti l iser p lus l argement la technique de traitement par injection compte tenu de l ' âge des plantations et de l a bonne c icatrisation des plaies que l ' on obtient en uti l isant du c iment pour boucher les trous en remplacement des taquets de boi s ou de plastique . La c icatrisation se fait

égal ement mieux sur l es arbres plus âgées .

I l est reconnu que les traitements systémiques n ' ont pas d ' action directe sur la faune auxi l iaire qui joue un rôl e important , même s i i l e s t souvent discret , dans la stabil ité des

populations des défol iateurs . Cependant ces traitements

présentent une efficacité sur tous l e s défol iateurs qui tuent bien entendu indifféremment l es chenil l es saines et parasitées . Le traitement a donc une action indirecte sur l e s paras ites atix stades larvaires contenus dans les cheni l les ou parce que les adultes ont du mal à trouver des hôtes pour assurer l eur développement . Cette raréfaction des parasitoides pourrait expl iquer , en partie , les fréquentes pul lulations de chenil les .

Bien que nous n ' ayons pas vu fonctionner l ' appareil de traitement par voie terrestre , il ne nous a pas paru être particul ièrement bien adapté au traitement des palmeraies notamment pour les vieux pa lmiers . Pour les traitements par voie terrestre nous pensons que la thermonébul i sation , avec des appare il s de type Swingfog ou Pul sfog , pourrait rendre de grands services . L ' inconvénient de cette technique est qu ' il faut traiter en l ' absence tota l e de vent de façon à ce que le broui l lard ait un l ent mouvement ascensionnel sans dérive latéral e . En bien des endroits cette s ituation n ' est obtenue que la nuit ou tard le soir et tôt l e matin . On notera cependant qu ' i l n ' y a pas beaucoup de vent dans la va l l ée du Magdal ena .

(8)

En 1 9 8 6 ( document 2 01 7 bis ) nous avions proposé , s e l on une périodicité semestrie l l e ou , l ocal ement plus fréquemment ,

l ' étab l issement de cartes permettant de visua l iser l ' aspect végétatif de la plantation . De tel le s cartes fac i l es à étab l i r ,

fac i l iteraient l a gestion de l a s ituation sanitai re sur la p lantation même et permettraient à ceux qui ne vont pas souvent sur l e terrain de mesurer très rapidement la s ituation santaire . Nous renouve l ons donc cette proposition déta i l l ée dans l e

document c ité précédemment .

ETUDES BIOLOGIQUES

La biologie de Leptopharsa , qui demeure l e ravageur l e p l u s diffic i l e à combattre , n ' est pas bien connue . On pourrait amé l iorer l es techniques de lutte en ayant une mei l l eure connai ssance du ravageur . Le responsabl e des probl èmes sanita i res n ' a pas le l oisir de se consacrer à ce type d ' étude qui nécessite de l o ngues observations mais il pourrait superviser le t ravail d ' un étudiant qui trouverait avec cet insecte un très bon sujet .

Les g randes l ignes d ' un tel trava i l pourraient être l e s sui­ vantes :

- étude du cyc l e et de l a fécondité en fonction des saisons , de l ' âge des pa lmiers , du rang de la feui l le

- étude de l a dynamique des populations

- facteurs de réductions : parasitoides - champignons para sites ( Sporotix - Beauveria ) ;

- Relation insecte-développement du champignon para s ite Pestal otiopsis ;

(9)

7

-CONCLUSION

Une gestion rigoureuse des probl èmes sanitaires par des responsables de la plantation permet maintenant aux palmiers d ' avoir un feui l !age en bon état , condition indispensabl e à

l ' obtention d ' une production é l evée .

Nous pensons égal ement qu ' une situation comparable pourrait être obtenue à un moindre coût tout en conservant une grande rigueur dans l e s déci s ions de traitement . I l devrait être pos s ible , sans prendre de risques , de réduire progressivement l ' importance des traitements systémique s . Un bon traitement systémique par injection doit permettre de maintenir l es populations de Leptopharsa à un faibl e niveau pendant au moins 2 ans et parfois beaucoup pl us ( dans l es conditions de San Alberto ) • La réduction des traitements systémiques pourrait permettre , en respectant mieux de manière indirecte la faune aux i l iaire , d ' assurer un mei l l eur équil ibre entre les différentes e spèces de chenil l es défol iatrices et l eurs ennemis naturel s .

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ANOS HAS CON AEREOS INYECCION ABSORC . RADIC . mientos

+ DE 4 TOTAL T / Ha /

ANOS Superficie T /ha / Superf. T/ha / Super f. T/ha / ano

terres-ha. ano ha. ano ha. ano tres

1 978 1 . 1 3 1 3 . 04 2 2 . 7

-

-

-

-

3 . 042 2 . 7 1 9 7 9 1 . 16 6 3 . 01 2 2 . 6

-

-

-

-

3 . 01 2 2 . 6 1 98 0 1 . 3 8 1 3 . 6 6 4 2 . 6

-

-

-

-

3 . 26 4 2 . 6 1 98 1 1 . 71 2 4 . 9 9 5 2 . 9

-

-

-

-

4 . 995 2 . 9 1 9 8 2 2 . 05 0 7 . 7 5 4 3 . 8 1 . 2 9 0 0 . 6

-

-

9 . 044 4 . 4 1 9 8 3 2 . 2 41 4 . 2 7 1 1 . 9 3 5 8 0 . 2

-

-

4 . 26 9 1 . 9 1 9 8 4 2 . 27 3 7 . 26 5 3 . 2 1 . 2 94 0 . 6

-

-

8 . 5 5 9 3 . 8 1 98 5 2 . 3 5 2 3 . 48 5 1 . 5 1 . 2 7 4 0 . 5

-

-

4 . 2 5 9 2 . 0 1 98 6 2 . 96 9 9 0 9 0 . 3 1 . 02 5 0 . 3

-

-

1 . 934 0 . 6 1 9 8 7 3 . 06 4 2 . 36 6 0 . 8 6 0 0 0 . 2 2 . 3 7 6 0 . 8 5 . 3 42 1 . 7 1 98 8 3 . 0 6 4 1 . 38 8 0 . 5 9 4 2 0 . 3 1 . 877 0 . 6 4 . 2 0 7 1 . 4 6 0 0 1 98 9 3 . 2 5 4 1 . 6 2 8 0 . 5 5 6 8 0 . 2 2 . 7 3 6 0 . 8 4 . 93 2 1 . 5 1 1 0 0 1 9 9 0 3 . 5 2 2 1 . 6 9 0 0 . 5 1 . 0 3 9 . 0 0 . 3 3 . 6 22 . 8 1 . 0 3 6 . 3 5 1 . 8 1 . 8 5 6 0

T/Ha/ano =numero de tratamientos /Ha/ano .

(11)

9

-PRODUCTION MONTERREY EN 1 98 9-1 9 9 0

Années Productions 1 2 mois t/ha

Ha cultures à 8 9 à sept . 9 0 1 9 6 2 8 5 . 5 2 0 . 5 1 6 . 2 1 9 6 3 1 48 . 7 2 1 . 1 1 6 . 9 1 964 2 2 1 . 7 2 0 . 7 1 8 . 3 1 9 6 5 2 7 5 . 9 1 9 . 1 1 6 . 9 1 9 6 7 T X D 1 2 4 . 2 1 9 . 8 1 6 . 1 1 9 6 8 T X D 7 3 . 9 2 0 . 5 1 5 . 9 1 97 2 Chemara 1 4 2 2 1 . 6 1 3 . 3 1 97 4 DP / CA 3 4 . 5 2 4 . 3 1 9 . 6 1 97 5 DP/ IRHO 2 1 3 2 6 . 4 2 0 . 1 1 9 7 6 Il " 3 0 8 . 4 2 2 . 3 1 8 1 977 " " 3 3 7 . 1 2 1 . 2 1 6 . 5 1 978 " " 1 9 1 . 1 1 9 . 9 1 5 . 4 1 9 7 9 OP Papua 2 5 . 6 2 4 . 7 1 0 . 5 1 9 8 0 DP C . R . 7 3 . 4 2 0 . 0 9 . 9 1 98 1 DP/ IRHO 6 0 9 . 2 2 3 . 7 1 8 . 9 1 9 8 2 " " 1 1 1 . 9 2 0 . 4 1 6 . 0 1 984 " " 2 1 8 . 6 1 6 . 6 1 1 . 0 1 9 8 5 OP C . R . 3 4 . 6 9 . 8 1 0 . 5 1 98 6 Papua 2 6 9 . 1 5 . 2 1 1 . 6 TOTAL 6 4 9 2 4 t 5 6 9 4 3 t 1 2 9 8 5t huil e 1 1 4 0 0t hui l

(12)

Costos por hectarea a diciembre 1 9 9 0 d e 3 tipos de control industrial de Leptopharsa ( Seguin M . CRUZ y F . LOPEZ ) A . FUMIGACION AEREA 1 . 2 . 3 . 4 . 5 . 6 . F l ete avion •

.

. . .

. . .

. .

.

.

. .

. . .

Tractores en bandereo • . • • • • • • • • • . • • • • • • • . • • Mano de obr a • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Insecticida fosfamidon • • • • • • • • • • • • • • • . • • • • . Adherente . . . . · . . . .

.

. . . .

Varies • . . • Subtota l . . . . Coste dos tratamientos .

B . INYECCION DE PALMA 1 . 2 . 3 . 4 . 5 • Transporte de equipo • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Mano de obra $ 0 . 0 4 2 / palma • • • • • • • . • • • • • • • • •

Equipas . • • • • • • Insecticida Tapones -arena , Total • • • • • • • • •

. . .

.

. . .

.

. .

.

. . .

. . .

.

2 1 t s / Ha • • • • • . • • • . • cemento • • • • . • • • • • . • • • • • C . ABSORCION RADICULAR 1 . Transporte de equipo • • • • • • • • • . • . • . • • • • • • • • •

2 . Mano de obra $ 0 . 0 98 /palma • • • • . • • • • . • • • • • • .

3 . Mano de obra supervision . • • • • • • . • • • • • . • • • . .

4 . Equipes de operacion • . • • • • • • . • . . . • . . • . . .

5 . I nsecticida 2 l t s / Ha . . • • • • • • . • . • • • • • • • • • • . .

6 . Bol sas plasticas • • • • • • • • • . • • • • • • • • . • . • • . . • •

Total . . . • . . .

. . . .

D , FUMIGACION TERRESTRA ( estimacion D . Mariau ) • • • • • • 1 hectarea de pa lma = 1 4 3 arbo l es .

Palmas Monterrey . Puerto Wi l ches . Atendieron

Marcos CRUZ , Jefe - Division Sanidad Fabio LOPEZ , Director de Agronomica .

costo/Ha (dollars) 8 . 0 0 1 . 0 0 0 . 4 0 1 4 . 5 0 0 . 5 0 0 . 1 0 2 4 . 5 0 4 9 . 0 0 1 . 5 0 6 . 0 0 0 . 6 0 1 5 . 0 0 0 . 1 5 2 3 . 25 1 . 2 3 1 4 . 0 0 6 . 0 0 0 . 2 0 1 5 . 0 0 0 . 6 5 37 . 08 2 0 . 0 0

(13)

P ROMOCIONE S AGR:lPECUARI A'3 nl O N TE R R E Y LTDA. l'L A NO l l Hl a A L Dl LA P\.AHUCDH I I CAL ' 1 : � . 000 o1 •�1• : J . IAL D A li-! P!!

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