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Academic year: 2022

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Psychologie médicale.

Au XIX et XXe siècle, le développement de la physiopathologie anatomique contribue à la détermination dʼun support lésionnel à des plaintes. Ainsi, quand la plainte sʼaccompagne dʼune lésion objectivable, lʼon parle de maladie. Laenec et Brasset cherchaient à mettre en évidence une lésion pour chaque plainte.

Lʼavantage est que la compréhension des les causes de la maladie a permis de meilleurs soins. Lʼinconvénient est que les malades sans lésion objectivable furent considérés comme de faux malades. Il y eût une discrimination de vrais malades.

Ainsi, le diagnostic des troubles fonctionnels (sommeil, trouble intestinal,...) va devenir la roue de secours des médecins. Cependant, si lʼon se réfère à la sémiologie de la plainte, il est directement possible de se baser sur des troubles fonctionnels dès le début, et non pas de sʼy référer en second lieu.

Cette démarche permet dʼétablir directement des causes. Babinski, successeur de Charcot va reprendre les travaux sur lʼhystérie de Charcot. Ce dernier avait mis en évidence que cette névrose nʼempruntait pas les mêmes circuits neurologiques, cʼest un trouble fonctionnel appartenant aux névroses sans altération du système

nerveux. Babinski va entreprendre une exploration méthodique des réflexes afin de mettre en évidence ce qui différencie une atteinte lésionnelle dʼune simulation en conséquence de lʼhystérie. En effet, lʼhystérie est aussi appelée la grande

simulatrice car elle peut mimer une paralysie des membres inférieurs par exemple.

Si la lésion est objective alors au contact du bord latéral externe de la plante du pied avec une pointe émoussée, lʼon constate une élévation majestueuse du gros orteil doublé dʼune ouverture en éventail des autres orteils. Cʼest le signe de Babinski, qui différencie le pithiatisme (anomalie du fonctionnement qui peut être réversible par la suggestion, comme lʼhystérie ou la simulation) dʼune paralysie hypo ou hypertonique cʼest à dire dʼune interruption du faisceau pyramidal (liant cerveau et membres inférieurs).

Malgré les découvertes de Babinski, les troubles psychiques débouchant sur une véritable souffrance étaient encore considérés comme des simulateurs. En effet, bien que des palpitations, des vertiges ou des maux de tête puissent être constatés, la non présence de symptômes lésionnels les classe dans les non malades.

Au fur et à mesure que les radiographies et autres procédés de pointe se sont

développés, les maladies non objective se sont trouvées encore plus en retrait. Mais il faut savoir quʼune clientèle classique se compose de 50 à 70% de malades sans lésions organiques objectivables.

Quelles réponses du médecin à des troubles fonctionnels?

Rq: un schéma corporel est la vision que lʼon a de son propre corps.

1/ Refus de prendre en compte. En effet, dans bien des cas les médecins

nʼapprécient pas de revoir le même patient. A tort bien entendu puisque la relation crée avec le patient (et ses parents) est indispensable. De plus cette attitude tend à promouvoir le novalisme qui est de changer de médecins régulièrement.

2/ Tentative dʼexplication physiopathologique, pseudo objectivation. Ceci est fait dans le but dʼapaiser le patient car le vocable est très important en médecine. Mettre un nom sur une maladie rassure immédiatement. Cʼest pourquoi le terme de

“syndrome dʼAsperger” entre autres a fait son apparition. Asperger, psychologue

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autrichien va dans les années 50 décrire lʼautisme (comme Kanner) chez des enfants intelligents. Et cette nuance dʼintelligent plaît plus que le terme dʼautisme.

Ainsi, lʼon parlera aussi de neurasthénie, de dérèglement du système végétatif, de névrose cardiaque, de syndrome polyalgique, ou de dystonie neurovégétative. Mais ces mots ne sont que des étiquettes et ne font quʼentériner le trouble et le patient dans sa pathologie.

3/ Se demander à quel malaise interne correspond lʼexpression du trouble.

Expression qui engage lʼensemble de la personnalité. Le patient via ce symptome qui lui procure des avantages tels quʼattention,...(= avantages secondaires) aura du mal à sʼen défaire. Balint, discutait avec ses collègues des demandes implicites des patients. Ils ont pu montrer avec quelle fréquence les patients ont généralement besoin du relationnel dʼoù le novalisme ou alors création de nouvelles pathologies.

La médecine moderne influencée par la science a supplanté la magie et le divin, on a cru que le médecin avait remplacé le chaman.

La personne qui a la mission de guérir a aussi la responsabilité de la mort.

Accès au secret de la mort, de la vie, du corps, du sexe,...

→ secret professionnel.

On lʼadmire, le respecte mais en même temps, on est méfiant vis à vis de lui. On est prêt à le mettre en accusation sʼil se trompe

→ procès.

En dépit des progrès de la médecine scientifique, les pouvoirs attribués au médecin restent imprégnés de magie, dʼirrationnel et de subjectivité.

Comme en témoignent les succès persistants des guérisseurs, des charlatans.

Et dans une moindre mesure, les médecines douces ou parallèles.

Tentative dʼobjectivation de ces effets: lʼeffet placebo, efficacité et observance, évaluation des psychothérapies.

Effet placebo: A priori, la prescription dʼun médicament, la chimiothérapie- notons au passage que la France est le plus gros consommateurs de médicaments- cʼest lʼintroduction dʼune molécule chimique dont on connaît les effets pharmacologiques qui ont été expérimentés et mesurés sur des animaux puis sur des hommes

malades ou non. On essaye de définir lʼeffet du médecin sur lʼorganisme.

On a pu montrer la part d'irrationalité au delà de lʼeffet pharmacologique pur.

Définition: Placebo signifie “qui plaît” et désigne les modifications objectives et subjectives de lʼétat dʼun sujet auquel on a administré en milieu médical un corps, une substance sans action pharmacodynamique propre cʼest à dire inerte appelée placebo.

Lʼeffet placebo est la différence constatée entre les modifications constatées cliniquement et celles qui sont strictement attendues imputable à lʼadministration dʼune substance active prescrite.

Rq: Lʼeffet nocebo diffère de lʼeffet placebo car le patient se plaint dʼeffets indésirables.

Facteurs responsables: liés au médecin (a), au médicament (b) ou à la personnalité du malade (c).

(a): La croyance personnelle du médecin dans les médicaments joue pour

beaucoup. Dans les tests où lʼon compare les effets dʼun produit vrai à un inerte (=

étude en double aveugle car ni le médecin ni le patient ne savent si le médicament est actif ou inerte.). Ces expériences sont éthiquement criticables. Maintenant on

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privilégie un produit dont on connaît les effets et un produit dont on souhaite les découvrir pour ce genre de tests.

Les médecins optimistes connaissent de meilleurs résultats quʼun médecin plus pessimiste ou très protocolaire. En effet, un médecin empathique connaîtra de grands résultats. Lorsque le médecin peut servir de support aux projections des patients telles que la sympathie,.... qualités bien entendu attribuées par le patient, les patients guériront dʼavantage.

(b): La présentation du produit va avoir son importance. Les français pensent quʼun médicament est plus actif en intraveineuse ou intramusculaire que par voie orale. Or, le tranquillisant quʼest le valium produits les mêmes effets par voie orale que par voie intraveineuse ou intramusculaire.

La couleur aussi a son rôle puisque le bleu est sédatif, le vert anxiolytique cʼest à dire contre lʼangoisse, apaisant, le rouge est stimulant, le marron laxatif, le jaune antidépressif et le blanc analgésique.

La forme et le goût participent aussi et étrangement, plus le médicament est mauvais et plus ils fonctionnera.

Notons que même si le corps est inerte, il y aura des effets secondaires.

(c): La sensibilité au placebo nʼest pas dépendante des caractères physiologiques mais bien de sa croyance et de sa dépendance dʼeffets magiques. Il nʼy a pas de personnalités typiques mais on pourrait appelée “placeboréactive”, les personnalités présentants des traits de soumission par exemple. En effet, cʼest souvent lié à des déterminants sous jacents, inconscients.

Les acouphènes qui sont des bourdonnements dans lʼoreille sont améliorables grâce à lʼeffet placebo dans 40% des cas, les arthrites à 80%, les céphalées (= maux de tête) à 54%, les coliques à 60, 70% et contre les douleurs dans 30 à 40% des cas.

Pour quʼun médicament soit considéré comme intéressant par les laboratoires, il faut quʼil connaisse un taux de réussite minimum de 40%.

Lʼobservance:

Adhésion du malade aux médicaments prescrits par le médecin.

Lʼobservance stricte nʼexiste que dans 15% des cas.

Rq: Les femmes sont dʼavantage rétives que les hommes puisquʼelle ne respectent lʼobservance que dans 5% des cas.

Souvent les patients remanient leur ordonnance afin de se revaloriser dans leur infériorité dû à la maladie.

Facteurs qui expliquent la non observance: la nature de la maladie (a), le sujet (b), le traitement (c) et le médecin (d).

(a): La non observance est dʼautant plus importante que la maladie nʼest pas ressentie (anémie, diabète,...) contrairement à une maladie provocant nausées,...

(b): La personnalité du patient, sʼil est soumis plutôt que indépendant et méfiant.

(c): La nature du traitement: si efficace

→ bien toléré. Plus le traitement est

complexe (nombre de médicaments) est moins lʼobservance sera respectée car le patient la remaniera dans le but de la simplifier.

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(d): Par son comportement, sa relation avec le médecin. Sʼil est amical, sʼil sʼinquiète du patient, sʼil est sympathique,...

Rq: Le malade obéit à lʼobservance si il sʼagit de son médecin habituel (75%) plutôt que sʼil sʼagit du remplaçant (50%).

Sʼil nʼattend pas longtemps en salle dʼattente et quʼil est écouté longtemps, le patient respectera plus facilement lʼobservance.

Lʼentourage peut accroître ou amoindrir lʼobservance, cʼest tout un jeu relationnel dans la famille.

Médicalisation de la vie:

La médecine moderne du fait de ses avancées techniques tend à être utilisée par les personnes dans la vie quotidienne de façon considérable.

Augmentation de la croyance dans les capacités de cette médecine. On va assister à une extensions des demandes adressées au médecin (demande des choses hors propos).

Problème liés à des carences sociales, économiques ou plus individuels liés à des carence de travail.

Demandes liées à la croyance en son efficacité.

Dépenses illimitées pour la médecine (

→ problèmes de la CQ).

Refus de soigner peut être pris comme un délit.

Difficultés inhérentes à lʼéducation des enfants (ex: hyperkinésie)

→ sont amenés au psychiatre. Sous lʼinfluence des idées venues des E-U (prescrire ritaline, une

amphétamine).

Cʼest au parents de sʼen charger: problème éducatif transformé en problème médical.

Idem si difficultés scolaires ou vieillissement. Le vieillissement nʼest quʼun phénomène physiologique inéluctable

→ inconvénients (prise en charge dans les hospices).

Difficultés professionnelles, conjugales, familiales,...

→ On risque ainsi une extension de la notion de maladie (physique

→ malaise social).

La notion de droit à la santé devient expansive. Demande dʼaide pour des événements de la vie normale. Risque de confondre la psychiatrie et la santé mentale.

Demandes dʼintervention des psychiatres lors de catastrophes.

Face à la douleur, les médecins ont tendance à faire appel aux psychiatres.

Surconsommation médicale avec vulgarisation des examens complémentaires.

A la télévision, lʼon constate une extension de la médecine (cosmétique, diététique:

label médical utilisé).

Maladie utilisée à des fins publicitaires.

Médecine amené à remplacer le système des valeurs morales.

(ex: Sida

→ jugement moraux sur lʼhomosexualité. On attribue une valeur morale à la médecine pour dire de lʼhomosexualité, ou des pervers sexuels que ce nʼest pas bien.)

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Transformation de lʼapproche scientifique de la médecine en approche scientiste. En effet, il y a utilisation de résultats scientifiques dans des domaines hors propos pour sous-tendre des facteurs émotionnels.

Démonstration scientiste pour démontrer que la vie existait très tôt chez lʼembryon.

En bref, social, publicitaire, moral et culturel sont désormais le credo de la médecine.

Il y a confusion entre santé et bonheur.

Anthropologie médicale

→ étude sur comment une société traite de la vie, de la mort,...

Dans un contexte de santé, la souffrance liée au deuil est considérée comme une maladie

→ inflation de la prescription des antidépresseurs= “pilule du bonheur”.

Association dʼune succession de deux mouvements se déclenchant mutuellement:

Le citoyen demande à la société de supprimer les souffrances liés aux échecs. La société se tourne vers la médecine pour quʼelle traite ses problèmes.

Inversement, depuis quelques dizaines dʼannées, un mouvement contradictoire dans la société apparaît; cʼest le mouvement de désinstitutionnalisation. En effet, les gens vont essayer de désinstitutionnaliser les internés psychiatriques.

Grande proportion de malades mentaux chez les marginaux et les désoeuvrés.

Prise en charge des patients handicapés.

Succès de la médecine et évolution de la société, se conjugue pour une demande de protection, de réassurance

→ droit aux soins, à la santé

→ revendications.

Bonne santé est fonction de lʼinvestissement, de la mobilisation du sujet.

Revendications dʼordre affectif à la médecine

→ multiplie les prescriptions et examens

→ coûteux.

Il nʼest pas dans notre intention dʼopposer perspectives médicales à perspectives sociales, elles sont complémentaires:

Les succès de la médecine dans certains domaines augmentent, et dans dʼautres diminuent.

Les approches statistiques et économiques ne doivent pas masquer lʼimportance de chaque cas individuel.

Le médecin ne peut percevoir que ce quʼil a été formé à percevoir. (palper,...) approche sensorielle.

Plus le niveau technique de la médecine s'accroît, plus le médecin devient tributaires des informations

→ perception subjective, intuitive, relationnelle et concrète, objective,...

Cette approche subjective est dans le cadre dʼune approche subjective relationnelle.

Cf le livre de Gori: “La santé totalitaire”, publié chez Denoël.

Sociologie. (Cf “sociologie de la maladie et de la médecine”)

Maladie= dysfonctionnement du corps, alors pourquoi la sociologie?

À première vue, maladie et médecine échappe à la sociologie.

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1948, Talcott Parsons: Première analyse sociologique portant sur la maladie.

1926, Marcel Mauss: Effet physique de lʼidée de mort suggéré par la collectivité.

Parsons définit le rôle social du médecin et du malade:

À chaque société, à chaque époque et à chaque niveau social correspondent des maladies spécifiques.

Etre malade a des signification sociales. La bonne santé est la norme, et ce nʼest pas la moyenne selon Émile Durkheim. Plutôt au delà du corps, lʼhomme dans son milieu.

Gorges Canguilhem (Cf “le normal et le pathologique” (1966)).

Modalité des réponses de la société à la maladie:

Des rôles, des professions et des institutions soignantes.

La pratique médicale, structure la rencontre malade maladie, modélise la prise en charge et assigne au malade un statut.

Les sociologues se sont intéressés à lʼévolution de la prise en charge, la médecine scientifique du XIXe, les liens entre homme et environnement (déterminants

sociaux).

Approche sociologique du fonctionnement de l'hôpital.

Rappel: les hôpitaux en France: 4000 établissements, 700 000 lits et 1 000 000 dʼemployés.

Historique: les “maisons Dieu” au moyen-âge avaient un rôle de bienfaisance.

Les hôpitaux généraux en 1956 se doublent dʼun contrôle social, tout le monde y ait accueilli et recueilli par les archers sociaux.

Fin XVIIIe, le clergé sʼestompe devant lʼétat.

Médecine scientifique du XIXe + soins scientifiques.

Premiers travaux sociologiques:

Aux E-U: 1950.

En France: 1970.

Lʼon étudie alors l'hôpital comme une organisation, un travail de soin et une fonction thérapeutique.

Fonction thérapeutique de l'hôpital (René Fox).

Transfert des soins de la famille (

→ à l'hôpital).

L'hôpital= une institution soignante par elle-même.

Les attentes de la société sont que l'hôpital soigne, protège le malade et le resocialise.

Mais à risque iatrogène (= fait de transmettre des infections nocosomiales par exemple) surtout dans les hôpitaux psychiatriques.

Tosquelles-Cury: l'hôpital peut produire la maladie.

Notion de milieu thérapeutique, de communauté thérapeutique et de thérapie institutionnelle.

Organisation du travail à l'hôpital:

Pouvoir hiérarchique, régies impersonnelles et but spécifique.

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Mais à l'hôpital, il y a deux lignes dʼautorités: administrative et médicale.

Nécessité de négociation et dʼhumanisation.

Un environnement divers extérieur au système: clientèle, pouvoirs locaux et état.

Il faut en tenir compte.

Lʼaffrontement de deux logiques: médicale-scientifique dʼune part, rationalisatrice- économique: lʼétat dʼautre part.

Soins et contraintes budgétaires: budget global et évaluation activité (PMSI-ISA).

Pas dʼévolution possible sans forte implication des acteurs dixit Françoise Gonnet.

L'hôpital: lieu de production du travail de soins.

1. Variété des travaux (Hughes).

Plus ou moins valorisés= hiérarchie.

Les changements de rythmes entraînent une modification de la hiérarchie. En effet, entre routine et urgence, la hiérarchie varie.

Persistance de la mission dʼassistance (Jean Peneff).

> aux urgences (80%).

Les filières de solo sont socialement hiérarchisées.

2. Trajectoires de maladies et de soins (Strauss).

Plusieurs spécialités, plusieurs types dʼinterventions= coordination.

Concerne des êtres humains (soignés et soignant)

→ réactions émotionnelles inattendues.

Le patient nʼest pas inactif dans ce travail.

3. Incertitude (René Fox).

Thérapeutique et recherche expérimentale.

Prise de risques: aussi dangereux que prometteur.

Dʼoù cohésion, solidarité et coopération entre le malade et lʼéquipe médicale.

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