GIROUD-BÉHÉ-MEYER LEGATAIRE RRÈNE. Glénat

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RÉSUMÉ DU TOME 1

Jeune Beur contestataire passé à l'intégrisme, Merwan Khadder voit sa vie basculer sous l'influence d’un homme et d'un livre. L'homme, écrivain turc de renommée internationale, s'appelle Halid Riza et fait l’objet d'une fatwa. Un jour Merwan, qui l'a reconnu dans une gare, emprunte le même train que lui dans l'intention de le tuer. Mais la personnalité du vieil homme, sa parfaite connaissance du Coran et sa vision pénétrante de l'Islam déroutent l'exécuteur. Quant au livre qu'il lui fait découvrir - “Nahik”, un ouvrage oublié vieux de deux siècles — , il est encore plus déconcertant. Parmi les aqua- relles qui l’illustrent, se trouve en effet la reproduction d'une omoplate de chameau sur laquelle figure une sourate inconnue : dix versets présentés comme le testament de Mahomet, appelant à la paix. à la réflexion et à la tolérance.

Après avoir tué accidentellement Halid, Merwan se retrouve pourchassé à la fois par la police et par les fondamentalistes qui veulent l'empêcher de révéler à la communauté musulmane les dernières volontés du Prophète.

Mais plus que par la peur ou les difficultés matérielles, l'ancien intégriste est rongé par le doute. Cette sourate est-elle authen- tique ? A-t-il bien fait de sacrifier à cause d'elle ses compagnons de lutte, ses convictions antérieures et même Aline, la femme qu'il a tant aimée ?..

Alors qu'il mène une existence de clandestin sur la côte espagnole, il découvre “La Marque du Prophète”, un best- seller de Simon Broemecke.… qui n'est autre que la traduction quasiment littérale de “Nahik”. Détail encore plus étrange, le roman est illustré par la fameuse omoplate ! Aussitôt, Merwan gagne Glasgow où réside l'écrivain, afin de l’inter- roger sur “Nahik” et sur l'aquarelle.

Il y arrive trop tard : Simon s’est suicidé quelques mois plus tôt. Merwan contacte alors sa veuve, Gwen Kinnel, pour essayer d’en savoir davantage sur les sources d'inspiration du romancier. Malheureusement pour lui, Gwen ignore tout de

“Nahik” et des aquarelles. Pire : elle est totalement effondrée quand elle réalise que celui qu'elle aimait n'était qu'un plagiaire et qu'il a peut-être tué une femme qui le faisait chanter.

Néanmoins, elle accepte de lui montrer divers documents retrouvés dans les affaires de Simon. Mais tandis que Merwan s'apprête à lui rendre visite, un psychopathe surnommé le

“Tueur de la Clyde” fait irruption chez elle et met en place une macabre mise en scène. #

GIROUD-BÉHÉ-MEYER

LEGATAIR

TOME II © LE SONGE DE MÉDINE

POUR APPRÉCIER PLEINEMENT CE RÉCIT, IL EST VIVEMENT CONSEILLÉ DE RELIRE LES TOMES L, IT ET SURTOUT X Du

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SCÉNARIO : FRANK GIROUD DESSIN : CAMILLE MEYER ET JOSEPH BÉHÉ

COULEUR : AMANDINE LAPRUN

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Glénat

Un grand merci à Giulio De Vita qui a créé physiquement le personnage de Merwan Khadder.

Hé, Farid ! Merci pour tes insultes... Al'hass touzi ! T'es un vrai charretier ?!

Frank Giroud

Merci à Gilles Scheid et Mathias Braun pour leur aide amicale à la mise au net de certains décors.

Joseph Béhé

Merci à Émilie, Geoffroy et Sébastien Camille Meyer

Avertissement :

Ce présent ouvrage est un récit de fiction.

Tous les noms et situations figurant dans cette série sont purement imaginaires.

Une quelconque ressemblance avec des situations ou des personnages existants ou ayant existé serait totalement fortuite.

Illustration de couverture : Gilles Scheid et Joseph Béhé

www.glenat.com

© 2007 Éditions Glénat-B.P. 1777 - 38008 Grenoble Cedex Tous droits réservés pour tous pays.

ISBN 978-2-7234-5459-9 Dépot légal : janvier 2007 Achevé d'imprimer en janvier 2007 par Lesaffre en Belgique

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Ù T'AGTES COMME UNE MARIANETE, TU FENDS TOUS LES RISQUES 1 ALORS QUE LA RUTION EST FEUT- ETRE À RRIÉE LE AIN

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PLONGÉ DANS UNE VERI- Ni Si BANARD | FARCE QE TABLE FIÈVRE |! TE T'EN Si TU AS NoiRQi DU ÉAr à

TOiNS UN RÉSUMÉ RUS ÆENDANT ZiN@ ANS,

d. EN ANNEXE, , U AS OÙ EN RACONTER

7 in LECER- EAU À DU MAL

no" pa PARPONNE h Moi CETTE

S teux te TArrkecie

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UNE TiTE CRAÎNE !

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FEUT PAS AGIR MAINTENANT.

7 APPAREMMENT, iL VA Os / DINER.. S'i EST DU GENRE

À PRENDRE SN AFS

L FERA NUIT ŒQUAND IL SORTIRA n

AMENANT, US DE

DATE : CES 2EBRES-CA Mi CHASANT LE NÈME

GIBIER QUE NOUS 0:

MM à L VA FhUoIR £€ Ù

MONTRER FUS RAPICES, 4

Eminence grise des premiers califes, Yakûb ibn Lahât s’est voué corps et âme à la défense du jeune Empire musulman, aussi vaste que fragile. Et à ses yeux, il n’y a qu’un moyen d’atteindre ce but : préserver à tout prix l’orthodoxie de la foi, seul ciment de cet ensemble hétéroclite.

DAT 5“:

C’est au nom de ce principe . guidés par Mahdjubah,et qui

qu’il traque toutes les hé- s’appuie sur l’existence d’une

résies, notamment celle des omoplate de chameau sur laquelle

“Vrais Croyants”.… 4 le Prophète aurait calligraphié un résumé de sa foi.

L’ossement a été trouvé 71 Yakûb pourchasse sans répit les | par le père de Mahdjubah, Vrais Croyants, dont les derniers

survivants trouveront refuge dans 1] le “labyrinthe de Thot”.

Khalîd, dans la demeure de Mahomet, quelques heures

après sa mort*.…

*1I1 a soixante-dix ans passés et vient de se retirer de la vie publique lorsqu'il reçoit une visite inattendue …

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H CE LE DÉCALOGE TNE10 : La dernière Sourale

38

EH BIEN FOUR UNE SURFRKE, C'EST UNE SURRÉE | NOUS

NE NOUS SOULES FAS REUUS DŒRIS AU MOINS

Lu À L'ÉPOQUE U Nous FARTAGIO

LES DERNIERS TOURS D

\L'ENOYÉ tu CU EST-CE

_QU\ T'AMÈNE À DAMES, OU FUS RÉCISÉMENT.

CHEz Moi Afeès

TOUTES CES

ANNEES 7 7€ CONSAE

QUE T'AS L'EFRIT RES,

VIF, YAKUB 1e mn

D [l COMME

FAGE, MA 4

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D'ARLE !! TU PIQUES MA CURiŒitÉ !

AURAS TU COM -

Mis UN CRIME,

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JE CONFE LR Ti PUR

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OÙ FROPHETE, LE

À ERÈÉ*,

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ACAUIGRAPHIÉ <UR. UNE OMOPLATE CE CHAMEAU, AS6EZ MECHAUUENT, OELECTE À L'AVANCE

EN IMAGIiNANT LA FA DON MUHAM4AD VA CHA- ET QUI $E VEUT UN ABRELÉ DE L'ISLAM &cus ‘M LR TE L'ANVOUE

FORME DE DECA 6

SER CET IMUMINE

COR, CONTEE TUE ATENTE, VoiLA QU'TL REMERCIE DHIS ET ie ATENTUSMENT [ CES \ERSETS |! F

UNE Fais LE TE PART I, ET DEVANT MA AIiNE ÉBAHIE, LE RO-

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INTERRETÉE PAR ES L PAAZAN | QUE DNINE LU

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AFORIER UN EOUT | D'OSEMENT

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UN SiMPE ANIAAL 10 L N'UPRTE

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40

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u IL LES RÉEXANIRE LONGUEMENT UN FAR

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L'INSPIRATION ET, d À LA LUEUR DE M

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FUS IL NME CHARGE DE (ES ., RECOPIER SUR DEUX. MENI- FiQUES SCARAGEES ÉGYP- TIENS QU ON LU À OFERTS QUELQUES TEMPS PUS

IL MODIFIE UNE SOURME

TROIS DES VERSETS,

Ho

LE

RÉSUMÉ, DE 1 54 Pi.

VOIS FRENLRE WI-NEUE (€

CALANE, Lin CAR TL TENT À Œ QUE CES DIX VERSETS FIGURENT SUR UN SUADRT DIGNE D'EUX, AVANT D'ETRE PLACES AUR Æ PRINCIPAL Leu DE FRÈRE DE MÉDINE.

EN \VERSETS GE L'UN ET CINQ \ERSES IR L'AUTRE.

À AU oui! EN EFFET. Tu- MAS J'A À _{î PHENÉ} C'EST \RAi QUE Fr TU TOURS EST |

Fri aout M, AG ABANDOULE RE

GRAS DIFFÉREND JR LA FABRICATION DE me « EN

COMNERCIAL e 4 QUE

HAFPEUE NESQE, PLUS Lu- ÉYPE,

AEANoRE CRATE SE SUPPÉE ÿ DE, d =

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À | Kb Sù .

BIEN AIANTAION RETOUR, nET TOMEE SUR FERSUIDE QUEUE EST

KHALTD SN MFPAR, QUE Lovorure Æ | || ; DE AUHMMMAD,

TV AS BIEN CONNU DENT À EN DIFFUSER

NU

RENTREE UN DERNI | Le HOUMAGE Al DÉFUNT, Bd =

U'À CE QUE TS HOUMES NETENT FIN FRÉDICATION D'UNE FAGON,, RAPICALE.

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AÏté, TE. , FAMEUSE SOURATE ETAT

L'ŒLNRE D'UN | iULU4 Ne 2./,

"_ FAT ÊTRE, UAS Œ DECALCGUE N ÉTAIT EX AUCUNE FAÇON DE LA MAÏN DU FROHÈE | ET HIB

S'EST BIEN GARE D'AVOUER, LA

VÉRITÉ |

u PAS VRAMENT ! DHIS ÉTAIT UN EXCEN - TRIQUE AS, DANS CE CAS AIS, À SEUEJE QUIL AT ÉTÉ

ET DIRE QUE FENDANT DES ANNEES TE AE Suis

KONGE LES SANES EN VE DEMANDANT £i T'AVAÏS

BIEN AGi!,

Mer AUSS1, TE LE ui Fosé CAE ŒUESTION

FENDANT DES

: ANNEES

y 10 EN L ÉTAIS REXÉ

INSPIRE !

077 Si 1 N'AVAIS PAS LE UN SACRILEGE EN

[22

NS

81 1 N'AAS PAS FERSÉCUTÉ

ŒS TUAES | « FHEMNT DISPHRAÎTRE ET, - MELSAGE SA a og c ao 112

MERRÉ, TÙ VEUX DIRE: QUAND AS-TU REAUSÉ GC

NOREGIDE ÉTAITART, LE | VOOR POUVAIT ÊTRE, DANCE-

PAYS ENFROùE AL HAS, à à REUX 7 FE

EATEME RETRAUNAIS AUEC| fé 24, UN HÉRITAGE PUS DAN- À

LEREUX QU UNE TARE

D'ASPICS !!

jAÏS ŒUAND TAÏ À A EN LR Œ KHAUD, PARDI ! TA VTE GUFRS

CE Gui S'ÉAIT FASÉ

in ET JA 50 QUE JE NE

DANS CA TUÉE Si Æ M 'AVI- LAÏS SEULEAENT D'EVORUER

CES FRECEFTES |

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ZUR (& SOUE FES SCARA MEN -

BÉES: PUIS J'Ai ENFERIÉ À] TANT PAR OMIESION TE PESERVAIS LE PAPYRUS ETES DEUX / | FEUT-ERE NOÎRE JEUNE ÉTAT ) STATUETES DANS CETE | CNE D'UNE QUEREULE INTÉSTINE GUI

D, ARCHE n. 0): __ POUVAIT Lit ÊTRE FATALE 1

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7 n CH 1 NEÉRABLE EXIS- CRIE NE VOUDRAIS AS TENCE NE \ALAIT PAS CEE FOR: \ kg, à GUITER. CE MONDE SANS

mue, A sis !uAs LA JS SE] | SÔVOR.. PE AUS QUE

SURVIE DE L'EMPIRE 7 MÉRAÎT- à k NET PÉCHAREE Œ ,

MENSANGE 7 ,

JUSQU'À PRÉSENT, TE KA FPS TROUÉ (A

AL LIEU DE RÉPANDRE

AU D D'UNLOFFRE NT æÆ AN CŒUR. ,

À, VRAIS CROYEN

EN 9?)

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TE CONFRENPS QUE DTEN ÉANNES|

MMS VOiSTU YAKÜR., LE TEMPS PAGE, ET L'ÂGE VIENT OFFRIR (RUELQUES FRUILÈGES 1 ENTRE AUTRES , UN ŒRTAIN LERACHE -

MENT Vis-A-Vis DU RÉPAS 1 Où, cui, YAKÜE !

ET CELA GRACE À DES HOAWES TELS ŒUE Ti! Æ NE VOUBLIE PS EX C'EST L'UNE DES RAÏSONS

FU LESRUEUES dE SUÏS Ci.

ET Wi£w À PART NOUS DEUX , QU RESET-IL, PARMI LES ANCIEN® ? PARA ŒUX Qui CNT FERSONNEULE MEN

CONNU L'EANVOYÉ ET &OÛTÉ LA PAROLE DIVINE DISTILEE PAR SES

LÈVRE6

u AINSI QU'URE _

CERTAINE WCIDNE À SN AAROCHE : N'EST- il PAS DITQUE LE VERTGE DE LA MORT RESTI -

STE LΠVRAIS * A

M Ex FUIS, Qui SAT 2 LE TON COTE, PEU-ÈTRE ES - TU DEVENU MONS

Cevet |

L'AVOIR TAMAÏS

ÉTÉ, MON ViEÏL

N HicHM ur “

. … CAR AUTANT JE REDOUTAIS EN INTRAN SISEANCE ET TA ERUMAUITÉ, AUTANT J'ADMIRAS TON INTEULIGENCE ,TON SENS FOùTIQUE ET TA DEVOTION À NOIRE

—_. ANE ÉTAT

1 26 KMEDN, HICHAM 1 LE TEUFS À PASGÉ. ET AVEC LUI LES RÉQUES AU MENA-

CAENT l'EMFI

MO'AUIYAF EN À

FAT UN BLOC Q QUASI ENT INDESTRCTIB(E, ET L'ISLAU

NE DoiT PUS REDOUTER LA VÉRITÉ.

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GE TERRE, CAR DIEU EST. FRÉSENT DANS À

| OINDRE PARLE

(DU RSSEAU TR A GAUET D Gi

AZEUE, AU SCARA- Bée , DE L'ACACIA

D BEÏN D'URAE,

TE (A QUE DU MRRÈE _Al

* {ID'ANIYA -IEA- ABU- SOFYAN

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DANENIR SENÉRAL ET TE ir (ARE. NOUMÉ CONERNEUR DE ŒUE-Ci, il LE FT ROCLAMER CAÛFE DURANT LA GUERRE CIVILE Qui SUIVIT LA MORT D'UTAUAN, EN GE. APRÈS S'ÈTE DÉEAR- RAGGÉ DE SES LiVAUX: iL DÉ- CRÉTA L'EUFIRE HÉRÉDAIRE ET TRANSFÉRA ZA CAPITALE Œ MEDINE À DMWS,

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T'A AGOMPU SANS FREMIR CEE T'ES TIMAS NÉCESSAIRE À à

DE, L'ÉTAT MAS « AU FOND DÆ KG LORSQUE TE REFENSAIS À CETE SOURATE ,.T'ETAIS EN- VAHI PRE DOUTE : Er CES COMNANDENENTS ÉMANMENT VRAIMENT DE MUHAUUAD

“ ad Free ” ICHAM ÎLNE PAS CONFONDRE FERME

1É ET CERTES 111

NOBLE Figure DE ES = AT ALORS ME HANTER AVEC

LE LE KHAUD, D'HLÉAYN

ET DES AUTRES n.

7, EH BIEN MoN RECIT TAP À CN FRE EN ONE p ur LE

l DONNER CEUE

QE Æ SUS \E-

À PRÉSENT, FARCON- NE-MOi DE DÉCLINER TON HOSPIAUTÉ, MAÏSin , SE

FRÉFERE REPARTIR..

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| MANDAÏS So CH L'EFANSE Han Gui AUAITSAUV

ETLES VRAIS Made) EM OYANTS * NE CE CACHAÎT FAS EN el

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SÛR QUE CA Ke rs DÉTA (f

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GARDE-LES ,ILSNE FUR- RMENT < TRANER EN DE NE ŒUVRES MAÏNS. &Loi Jets TU

DELIRES, TE E A6 QUE Œ SERA Æ BON CHOIX,

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LA DERNIÈRE SOURATE”

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(u__7NOTRE SEÏCNEUR ‘+ ET

\ C'EST À Noi TE TE REUR AM CiER, YAKOE =

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Hicham quitte Damas le coeur léger, |* Les semaines passent et | = Lorsqu'il apprend Fa mais c'est à présent sur les é- il hésite encore sur la ll l'arrestation de deuxk M paules de Yakûb que pèse le fardeau conduite à tenir... Zee) Vrais Croyants venus |]

MA dont il vient de se débarrasser... |: | ALL 1 prêcher en Syrie.

Ji<231n0

Usant de l'influence qu'il conserve au Palais,

il les fait libérer et conduire chez lui.

À [70

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ALES? ARS VE 6 RE

QUE NOUS CHER-

CHONS À T'oFfEN- 4 Le

SER YAKOB,

DURANT DES ANVÉES , TU NOUS D'AUTANT AUS QUE À TRÂQUES COMNE DES ÊTES FRÉTENDS “COREÏGER!'

Vibes te cou) ÉREIEe

ET TT D'UN Cour T0 VEUX NOUS AIDER À DIFFUSER LA &

ET Si LON ATEN RENE Te:

EN INSISTANCE FUR FEN- LEUR REPAIRE CU > ET Me Pare CONTRER NOTRE VÉNÉRÉ AUDE + ÉLIMINER LEUR SE LERUENER AUX

MBHPTUEAH , CERMAINS ÆURCHENT CHEF! A * VOIR LANS TON RENVILEMENT UNE : 7/\

GRIESIÈRE MANEUNRE EUR 1S

DÉSTABLISER LES VEA CRAANTS

Loin de renvoyer les deux hommes dans les geôles de Mo'Awiya, Yaküûb

leur offre des montures et leur confie le papyrus de Mahomet afin que Mahdjubah l'examine à loisir...

...et suffisamment ins- U4 truit pour tracer une

carte sommaire de son itinéraire.

Du moins jusqu'à l'entrée de leur refuge...

ARRRSREREEREAERR EEE C

..Mais il les fait suivre par un homme de main suffissamment habile |.

pour rester hors de vue jusqu'à leur repaire...

... car il s'agit d'un véri- table labyrinthe dans lequel

il n'ose s'aventurer.

Pendant ce temps Yakûb a

dans sa réflexion

face aux Byzantins lui fait soudain comprendre que l'em- pire n'est pas aussi indestructible qu'il

le pensait...

.. il faudra bien resti- tuer aux fidèles la véri- table parole du Prophète!

Et pour cela, il doit en préserver l'existence

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Sachant le parchemin de Maho- met en sécurité ches les Vrais Croyants, il place les scara- bées dans un coffre scellé aux côtés de ses mémoires, du récit ||

d'Hicham et de la carte d'accès |

. et pas encore prêt à subir Pour autant la Dernière sans dommages les effets d'une Sourate ne doit pas être grave querelle théologique. détruite : car le jour

où plus personne ne son- gera à remettre l'Islam

en question...

au Labyrinthe...

... Puis, sans révéler la nature exacte de son dépôt, il confie le tout aux ar- chives de l'État.

ere. fnag 124 préren par la vielenee l fetour régre ibbsenénce du Ecran et

& la fsdihion jslsmioue..

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LEXISÉ EL ET BIEN “UNE LOURAME INCONNCE ET

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Nous AVEZ RAceN, AFRÈS TOUT PEUT Gt CES GRAVES Ty CHERCHAENT-LS SIMPLEMENT À Vous

FAIRE UNE FARCE 1 7 AU FAT ET ÉCE!

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