CH. BURTON. -- On endless availability, and on a restriction to the application of Carnot's principle (Restriction au principe de Carnot); Phil. Mag. , 5e série, t. XXVIII, p. 185; 1889

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Submitted on 1 Jan 1890

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CH. BURTON. – On endless availability, and on a restriction to the application of Carnot’s principle (Restriction au principe de Carnot); Phil. Mag. , 5e

série, t. XXVIII, p. 185; 1889

E. Bouty

To cite this version:

E. Bouty. CH. BURTON. – On endless availability, and on a restriction to the application of Carnot’s principle (Restriction au principe de Carnot); Phil. Mag. , 5e série, t. XXVIII, p. 185; 1889. J. Phys.

Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.340-341. �10.1051/jphystap:018900090034001�. �jpa-00239109�

340

Les trois autres substances n’omt guère que ^la moitié de la pro-

priété du sulfure : ce sont le siilfiti-e d’étain) ^le wlzos~n~zir.ne ^de

~zr2c, l’o.xyde ^{de cuivre; tous ces} corps ^sont cas5ants, ^{on est} obligé

de les sceller dans la cire d’Espagne ^{et de les} travailler à la litme

et à l’émeri pour ^les réduire en lame mince; leur intérêt est, ^comme

nous l’avons dit, ^la généralisation clu’ils indiquent pour la pro-

priété radiophoniques.

Nous ne saurions trop engager les jeunes physiciens ^en quête ^de sujets ^{nouveaux à} rechercher et étudier de nouvelles substances

radiophoniques. ^{Ils en} trouveront un grand ^nombre parmi ^les

corps ^à éclat métallique qui ^{ont conservé une certaine} transpa-

rence pour ^{toutes les} radiations. Il faut aussi s’adresser à des élec-

trolytes, ^{car il} n’y ^a guère qne ^cette classe de conducteurs dont la résistance soit aussi fortement diminuée _par les agitations ^molé-

culaires.

CH. BURTON.

On endless availability, ^{and on a} restriction to the application

of Carnot’s principle (Restriction ^au principe ^de Carnot); Phil. Mag., ^5e série,

t. XXVIII, p. I85; I889.

Voici l’nne des expériences ^de M. liurton.

Un dialyseur ^{est constitué} par ^{un vase} A, fermé au fond _par une

membrane et soutenu dans un autre vase B qui ^{est vide. Le tout}

est recouvert d’une cloche de volume à peine plus grand.

On introduit dans A. une solution saturée de sulfate de soude à dix. équivalents ^{d’eau et un cristal du même sel. Au bout de} quelques jours, ^{le cristal est dissous et la} majeure partie ^du liquide

est passée ^{dans le vase B.} ~l. Bu1-ton considère cette première

’

phase ^de la transformation comme isotherme, ^bien qu’il ^n’ait pris

aucune précaution spéciale pour maintenir la température rigou-

reusement invariable.

On mêle les liqueurs ^{de A et de B et la} température ^{s’élève de} plus ^{de 10} (transformation adiabatique). ^{Enfin, on} abandonne la

liqueur ^à elle-mème, ^{elle se} refroidit, ^{et le lendemain on} y ^re-

trouve des cristaux en quantité sensiblement équivalente ^{au cristal}

introduit primitivement ^{en A.}

Le cycle ^{se trouve ainsi Cermé : il} n’y ^a d’autre travail mécanique

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090034001

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dépense due celui qui correspond ^{à la chute du} liquide ^{de A en B,}

et ce travail est négligeable par rapport ^{à la} quantité ^{de chaleur} pl’od ui te ^{par le} mélange ^des liquides. Une certaine quantité ^de

chaleur a donc été empruntée ^au milieu ambiant à la température t

de la transformation isotherme, puis ^{reversée dans ce même inil ieu}

à iine série de températures comprises entre t et t -f- ~ , ^ce qui

est contraire ^au principe ^{de Carnot.}

Il ^ne semble pas que ^{dans cette} expérience, ^non plus que dans deux autres assez analogues signalées par ~1. l3urton, ^des précau-

tions st]fCis.-tntes aient été prises pour fermer rigoureusement ^le cycle. ^En particulier, ^{on ne} dit rien de l’état initial et final de la

~neml~rane, ^et l’on n’a pas effectué la pesée des cristaux.

E. BOUTY.

J.-T. BOTTOMLEY.

Expansion with rise of temperature of wires under pulling

stress ( Dilatation calorifique de fils soumis à l’extension ); Phil. Mag., ^5e série,

t. XXVIII, p. 94; I889.

Au cours d’expériences sécnlaires S II rI’ aU 0 n g e nl en t ^{de fils} charges ^de poids, entreprises ^{dans la tour de} l’Uni versi té de

Glasgow, ^{sous le} patronage de l’Association Britannique, ^{M. Bot-} ton1ley ^{a eu} l’occasion d’étudier la dilatation calorifique ^{de ces}

fils. Les expériences dn’il publie ^se rapportent ^à des fils de cuivre et d’un alliage analogue ^au maillechort, ^{mais contenant un}

peu de tungstène (platinoïde). Deux fils de même espèce ^sont placés ^{dans un} long ^{tube verticai et soumis d’une} manière perma-

nente à l’action de poids différents correspondante par exemple, ^am

dixi ème et à la moitiés de la charge ^de rupture. ^On peu t porter ^ces fils à une ten1pérature ^de ()8" ^à 99° par ^un rapide ^{courant de sa-}

peur d’eau circulant dans le tube qui les environne.

Cela pose, ^on observe d’abord que, si l’on ^soumet les fils à des alternatives d’échallÍfen1ent et de ref’roidissement, ^{ils ne reviennent}

pas ^tout d’abord à leur longueur primitive. ^{Ce n’est} qu’au ^{bout t}

d’un nombre assez grand d’alternatives que l’élai ^t de régime ^est

atteint et ce nombre est beaucoup plus grand pour celui des deux fils qui supporte ^le poids ^le plus ^lourd.

A l’état de régime correspond ^{un excès} de dilatation du fil le

plus charge.