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L hygiène corporelle et vestimentaire

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Academic year: 2022

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L’HYGIÈNE INDIVIDUELLE

L’ hygiène corporelle et vestimentaire

Les pratiques d’hygiène corporelle et vestimentaire assurent la prévention de l’in- fection et le bien- être corporel. Elles revêtent une importance capitale dans la vie de l’être humain pour sa santé et ses relations aux autres. Ce sont des habitudes à prendre dès le plus jeune âge.

Importance des pratiques d’hygiène

Les pratiques d’hygiène ont pour but d’assurer :

la santé de la peau (prévention de l’infection et de l’irritation) ;

la détente du corps (le confort et le bien- être de la personne) ;

une image positive de soi, essentielle dans la relation aux autres ;

de bonnes habitudes éducatives dès le plus jeune âge (les premiers points de repère pour le jeune enfant).

Caractéristiques des diff érentes pratiques d’hygiène

Pratiques d’hygiène Réalisation, rythme et moyens adoptés La douche ou le bain

Ils s’administrent le soir de préférence afi n de débarrasser le corps des souillures avant le long repos de la nuit. Ainsi, la peau peut respirer, le corps se décontracte

Le savon est indispensable, il débarrasse la peau de l’excès de sébum gras et des souillures responsables d’odeurs et d’irritation

Le lavage des mains

Les mains se salissent beaucoup plus que le reste du corps et véhiculent des micro- organismes Il faut donc les laver souvent

Il faut les laver avec du savon et de l’eau (en insistant sur le pourtour des ongles, entre les doigts et sur le poignet) et bien les sécher, en particulier :

– avant les repas

– après avoir touché des objets souillés

6.

A.

B.

(2)

Pratiques d’hygiène Réalisation, rythme et moyens adoptés Les soins de bouche

Le lavage des dents pratiqué matin et soir permet la prévention des caries. Il évite la mauvaise haleine

Il faut les laver avec du dentifrice, choisir une brosse à dents adaptée et la renouveler tous les 6 mois

Les soins des cheveux

La chevelure doit être lavée au moins 1 ou 2 fois par semaine et brossée tous les jours

Les peignes et brosses doivent être bien entretenus à l’eau et au savon. L’hygiène participe à la prévention des parasitoses (ex. : les poux)

Les soins des pieds

– Les soins des pieds doivent s’effectuer quotidiennement

– Les chaussettes doivent être changées tous les jours

– Les ongles des pieds doivent être coupés au carré et brossés de temps en temps – La couche cornée doit être adoucie avec une râpe fi ne (selon les besoins) – Toutes les déformations des pieds doivent être soignées en temps voulu. Les chaussures doivent être entretenues (embauchoirs) L’ hygiène vestimentaire

Les vêtements doivent être :

– propres et renouvelés très souvent (car ils absorbent sueur et poussières) – perméables à l’air (car il faut permettre à la peau de « respirer »)

– doux au toucher

– adaptés à la température ambiante et à la saison

– ne pas provoquer d’irritations – ne pas provoquer d’allergies

– Les vêtements seront entretenus correctement, pour cela, il faut :

• utiliser des produits non irritants

• bien les rincer et ne jamais les ranger humides

• les repasser (le fer stérilise)

• les secouer (avant de les mettre dans la penderie)

– Les vêtements devront être protégés :

• des mites

• de la poussière

• de l’humidité lors du rangement saisonnier

(3)

L’ hygiène alimentaire

L’alimentation doit être équilibrée, c’est- à- dire apporter tous les nutriments néces- saires à notre organisme afi n :

d’assurer une bonne croissance pendant l’enfance et l’adolescence ;

de permettre un bon fonctionnement de l’organisme ;

de prévenir certaines aff ections de l’âge adulte, en particulier les maladies cardio- vasculaires, l’obésité ou les caries dentaires ;

de lutter contre les carences responsables de maladies dites nutritionnelles (ca- rences en calcium, fer, vitamines, etc.)

Les besoins de l’organisme

Besoins de l’organisme Source alimentaire Rôle

Les besoins en aliments énergétiques : – glucides

– lipides – Féculents, fruits, céréales, sucre

– Huiles, beurre, margarine, graisses de constitution

Ils sont nécessaires au fonctionnement de l’organisme (source d’énergie pour l’activité des organes, des muscles et des tissus)

Les besoins en aliments plastiques : protéines

– Viande, œuf, poisson, abats – Produits laitiers

Ils sont nécessaires à la constitution de l’organisme (renouvellement cellulaire) Les besoins en nutriments

non énergétiques :

– minéraux et oligo- éléments

– vitamines

– fi bres indigestibles

– Calcium (produits laitiers et lait), fer (viande et abats), phosphore (œuf et viande) – Lait et produits laitiers, poisson, œuf, huile, fruits et crudités, céréales, légumes – Légumes et fruits, pain complet, légumes secs

Ils sont nécessaires à la bonne utilisation des nutriments

7.

A.

(4)

Les principaux nutriments et les sources alimentaires

Principaux nutriments Source alimentaire Rôle

Les protéines : – animales

– végétales

– Lait et produits laitiers, viande, œuf, poisson, abats – Céréales, légumes secs

– Fabrication

et renouvellement des tissus du corps

– Croissance (apport d’acides aminés)

Les glucides : – complexes

– simples

– Amidon des féculents – Lactose du lait

– Saccharose (sucre ordinaire) – Fructose des fruits

– Énergie pour les muscles et les organes

– Fonctionnement cérébral Les lipides :

– animaux

– végétaux

– Beurre

– Lait et produits laitiers – Viande, œuf, poisson – Huiles végétales (tournesol, olive, arachide), margarine

– Source d’énergie – Absorption des vitamines liposolubles (A, D, E, K) – Renouvellement des membranes cellulaires – Croissance cérébrale (apport d’acide linoléique et linolénique) pour le petit enfant

Les groupes d’aliments et les équivalences a. Les principaux groupes

Les aliments sont classés en six grands groupes (le groupe des viandes, poissons et œufs, le groupe du lait et des produits laitiers, le groupe des fruits et légumes, le groupe des féculents, le groupe des matières grasses et enfi n le groupe des produits sucrés). Les aliments d’un même groupe possèdent des caractéristiques communes, ce qui permet de les remplacer l’un par l’autre et donc de varier les menus.

b. Les principales équivalences

Équivalences énergétiques :

1 g de protide fournit environ 17 kJ (4 kcal) ;

1 g de glucide fournit environ 17 kJ (4 kcal) ;

1 g de lipide fournit environ 38 kJ (9 kcal).

B.

C.

(5)

L’hygiène alimentaire

7

Équivalences protidiques  : 10 g de protéines sont apportés par  : 50 g de viande

= 50 g de poisson = 40 g de jambon = 1 œuf.

Équivalences calciques  : 150 mg de calcium sont apportés par 125 mL de lait

= 100 g de fromage frais = 1 yaourt = 15 g de gruyère.

L’utilisation de ces équivalences dans la ration alimentaire journalière permet de varier les menus en remplaçant un aliment par un autre de la même catégorie, afi n de respecter les goûts des personnes dont nous avons la charge.

Les erreurs alimentaires et leurs conséquences

Les principales erreurs alimentaires sont le résultat des habitudes concernant l’ali- mentation. Il faut proposer aux convives une alimentation équilibrée, prise régulière- ment, sans excès, en fonction des besoins énergétiques, de l’âge et de l’état de santé.

Principales erreurs alimentaires

Conséquences sur la santé

Recommandations

Mauvaise répartition des prises alimentaires dans la journée (pas de petit déjeuner, déjeuner et/ou dîner trop importants)

– Hypoglycémie – Fatigue

– Mauvaise digestion – Somnolence

– Redonner un bon rythme alimentaire

– Redonner une bonne hygiène de vie – Connaître les règles de l’équilibre des repas Excès de corps gras

d’origine animale

– Surcharge pondérale – Risque

d’hypercholestérolémie

Diminuer les quantités de charcuteries, de viandes et de fromages gras Excès d’aliments gras – Surcharge pondérale :

source d’hypertension – Pathologies cardiovasculaires

Limiter la fréquence des frites, croissants, chocolat, charcuterie, mayonnaise, cacahuètes, etc.

Excès de glucides simples – Obésité – Hyperglycémie – Apparition de diabète

– Éviter les achats de sucreries et de gâteaux en grande quantité – Boire de l’eau plus souvent que du soda ou des jus de fruits naturels Abus de sel Hypertension artérielle Éviter de manger trop salé

D.

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Principales erreurs alimentaires

Conséquences sur la santé

Recommandations

Excès de protides d’origine animale (viandes)

Excès de déchets uréiques Varier les sources de protéines animales (privilégier poisson et œufs) Insuffi sance de fi bres

végétales

– Constipation – Troubles du transit intestinal

– Consommer des aliments riches en fi bres (fruits et légumes, pain complet) – Introduire à chaque repas une crudité

– Boire au moins 1,5 L d’eau par jour

Insuffi sance de produits laitiers

Carence en calcium (apparition de l’ostéoporose chez la personne âgée)

– Introduire lait et fromage dans des préparations (purée, crème)

– Proposer à chaque repas des produits laitiers

La prévention des pathologies alimentaires a. Les régimes alimentaires

Quelques exemples de régimes alimentaires adaptés à certaines pathologies.

Quels sont les régimes particuliers ?

Quelles sont les principales règles d’hygiène alimentaire ?

Exemples

–  Régime désodé –  Régime en cas de diabète

–  Régime hypolipidique (pour l’obésité) –  Régime riche en fi bres (contre la constipation) –  Régime antidiarrhéique

– Contrôler l’apport de sodium de l’alimentation – Répartir les aliments en 3 repas équilibrés, limiter les desserts sucrés – Surveiller l’apport de tous les aliments riches en lipides visibles ou cachés

– Enrichir l’alimentation en cellulose

– Supprimer :

• les aliments gras

• les produits riches en cellulose

• les céréales avec le son

– Aliments salés supprimés (olives, cacahuètes, etc.) – Légumes et fruit à tous les repas

– Aliments gras supprimés (sauces, huiles, etc.) – Légumes et fruits recommandés

– Pas de friture ni viande en sauce…

– Légumes, fruits crus supprimés

– Pain complet supprimé

E.

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L’hygiène alimentaire

7

b. Les menus diététiques

Quelques exemples de menus diététiques.

Menu normal Menu hypocalorique Menu en cas de constipation

Menu en cas de diarrhée – Salade verte

– Poisson pané – Riz et ratatouille – Emmental – Tarte aux pommes

– Salade verte – Poisson vapeur – Riz et tomates au four – Yaourt – Pomme cuite

– Salade verte – Poisson pané – Ratatouille – Emmental – Pruneaux cuits

– Poisson vapeur – Riz créole – Emmental – Pomme cuite

+ eau + pain complet à chaque repas (sauf en cas de diarrhée : suppression du pain complet)

La réglementation dans le domaine alimentaire

Tous les aliments gardent leur saveur et leur valeur nutritionnelle à condition de bien respecter les conditions de stockage et les dates limites de consommation. Il existe diff érentes gammes de produits alimentaires.

a. Les gammes alimentaires

Gammes alimentaires Produits concernés Première gamme Les produits frais du marché (bruts) Deuxième gamme Les produits pasteurisés, les produits stérilisés

ou appertisés (les conserves) Troisième gamme Les produits surgelés et congelés Quatrième gamme Les produits frais « prêts à l’emploi »

Cinquième gamme Les produits frais, précuits ou cuits, conservés sous vide

b. La conservation des aliments

Nature des denrées Température maximale des denréesa Denrées congelées et surgeléesb

• Toutes denrées surgelées et poissons congelés

• Glaces et crèmes glacées

– 18°

– 18°

F.

(8)

Nature des denrées Température maximale des denréesa Denrées réfrigéréesc

• Poissons frais

• Viandes hachées et préparations de viandes hachées

• Préparations prêtes à l’emploi

• Œufs

• Lait (pasteurisé)

• Plats faits maison, produits entamés

• Produits laitiers frais

• Fromages affi nés

• Fruits et légumes à l’état brut

0 à + 2°

+ 2°

+ 4°

+ 5°

+ 6°

+ 3°

+ 3 à 5°

+ 6 à 7°

+ 6°

a. Il est donc nécessaire de conserver les denrées alimentaires en dessous de cette température. Si le fournisseur indique une température de conservation, elle doit être respectée.

b. État congelé : la température de la denrée indiquée est la température maximale sans limite inférieure.

c. État réfrigéré : la température de la denrée doit être comprise entre la température maximale indiquée et la température de début de congélation.

Liaison chaude/liaison froide

■  On parle de liaison chaude lorsque les plats, préparés le jour même de leur consommation, sont conservés par la chaleur.

Les plats destinés à être mangés chauds sont maintenus à 63 °C au moins à cœur, depuis la fi n de la cuisson jusqu’au service au consommateur, grâce à des bacs isothermes ou des chariots chauff ants.

Les plats destinés à être mangés froids (entrées, desserts, etc.) sont conservés à la température qui leur correspond (cf. tableau précédent). Ils peuvent être gardés à + 10 °C maximum dans un délai de 2 heures avant le repas.

■ Lorsque le repas doit être consommé à distance dans l’espace ou dans le temps de sa fabrication (dans un autre bâtiment ou les jours suivants), on met en œuvre une liaison froide.

Les plats sont conservés par le froid, après avoir subi un refroidissement rapide (moins de 2 heures entre la fi n de la cuisson et l’obtention d’une température de 10 °C à cœur) grâce à un matériel spécial appelé cellule de refroidissement rapide.

La remise en température des plats servis chauds a lieu immédiatement avant leur consommation.

Les objectifs de la réglementation

Les objectifs de la réglementation sont de protéger les consommateurs.

Quatre droits fondamentaux sont revendiqués par les consommateurs :

la protection de la santé et la sécurité ;

G.

H.

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L’hygiène alimentaire

7

la protection des intérêts économiques ;

le droit à être informés et éduqués ;

le droit à réparation.

La réglementation de l’ Union européenne pour l’étiquetage des produits alimentaires

L’ étiquetage ne doit pas être trompeur. L’information doit être exacte. Les alléga- tions de santé sont interdites (ex. : on ne peut pas indiquer « le fromage est bon contre l’ostéoporose »).

L’étiquetage comporte des mentions obligatoires :

la dénomination du produit ;

l’origine ou la provenance s’il y a lieu pour éviter une confusion ;

la liste des ingrédients avec la présence éventuelle des allergènes1 ;

la quantité nette du produit ;

les conditions de conservation et la date limite de consommation ou la date limite d’utilisation optimale ;

le mode de préparation s’il y a lieu ;

l’état physique ou le traitement spécifi que subi par le produit ;

les coordonnées du fabricant.

Réglementation des eaux préemballées

La réglementation des eaux du commerce distingue :

l’eau de source  : c’est une eau potable, issue de nappes souterraines profondes, embouteillée sans traitement ;

l’eau minérale naturelle : c’est une eau dotée de propriétés favorables à la santé, en provenance d’une source dont l’exploitation a été autorisée par décision mi- nistérielle. Elle peut être plate ou gazeuse.

1. La directive européenne désigne 14 allergènes dont la mention est obligatoire : œuf, lait, poisson, crustacés, mollusques, arachide, fruits à coque (noix, etc.), céréales contenant du

I.

J.

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Sous sa forme traditionnelle, l’hygiène de vie reste individuelle. Elle passe par l’hygiène de toutes les fonctions de l’organisme, c’est- à- dire celle de nos « appa- reils ».

L’ hygiène de l’appareil nerveux

L’hygiène de l’appareil nerveux concerne le sommeil et les loisirs. Il est recom- mandé de :

respecter le sommeil :

un bon sommeil combat le stress,

réveiller quelqu’un pendant son sommeil est déconseillé,

un manque de sommeil est nocif ;

connaître son rythme de sommeil : le sommeil est caractérisé par des phases suc- cessives, communes à l’adulte et à l’enfant de plus de 2 ans :

une phase d’endormissement (en début de sommeil),

une phase de sommeil lent (réparateur de la fatigue physique),

une phase de sommeil paradoxal (réparateur de la fatigue nerveuse),

une phase intermédiaire (de disposition à l’éveil) ;

dormir suffi samment :

l’adulte dort environ 8 h par nuit,

l’adolescent 9 à 10 h,

l’enfant 10 à 12 h en moyenne,

la durée peut varier selon les personnes ;

choisir une bonne literie, ni trop dure, ni trop molle, pour une bonne position de la colonne vertébrale ;

réduire les excitants : éviter la consommation excessive de café, de thé, d’alcool ;

lutter contre le bruit car il a des eff ets très néfastes sur le système nerveux ;

planifi er son temps libre :

les promenades et les activités de plein air sont nécessaires à une bonne oxy- génation (cf. Hygiène de l’appareil locomoteur ci- après),

les voyages, les week- ends à la campagne sont très bénéfiques à notre santé  : pour profiter pleinement de la détente apportée par le dépayse- ment, il est conseillé d’éviter les jours et les heures de grande affluence sur la route,

les sorties culturelles (cinéma, spectacle, exposition, etc.) et les soirées entre amis peuvent participer à la gestion du stress, à condition de rester raison- nable sur le niveau de bruit et la consommation d’alcool.

A.

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L’hygiène de vie

8

L’ hygiène de l’appareil locomoteur

Une bonne hygiène consiste à entretenir le corps en fonction de son âge et des besoins de son organisme. Il est recommandé de faire chaque jour l’équivalent d’une demi- heure de marche à pied, à un rythme plus ou moins soutenu.

Les bénéfi ces de l’activité physique sont nombreux1 :

l’activité physique protège votre santé :

elle diminue le risque de maladies cardiovasculaires et d’hypertension arté- rielle,

elle diminue le risque de certains cancers,

elle diminue le risque de diabète de type 2,

elle diminue le risque d’ostéoporose,

elle prévient la prise de poids,

elle diminue le taux de graisses dans le sang et augmente le bon cholestérol, etc. ;

l’activité physique améliore la condition physique :

elle augmente la force musculaire,

elle améliore la souplesse, l’équilibre et la coordination,

elle améliore les fonctions cardiaque et respiratoire,

elle aide à lutter contre le mal de dos,

elle permet de rester physiquement plus autonome avec l’âge ;

l’activité physique permet d’être en forme :

elle améliore la qualité de vie,

elle favorise la résistance à la fatigue,

elle diminue l’anxiété et la dépression,

elle aide à se relaxer et à être plus détendu,

elle améliore l’endormissement et la qualité du sommeil (à confi rmer via études),

elle favorise la convivialité entre amis ou en famille.

B.

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L’HYGIÈNE INDIVIDUELLE

1. Mme D. est enceinte de 8 mois. Elle pèse 66 kg et mesure 1,55 m. Elle vit dans un 2 pièces avec ses 2 enfants et son mari. Elle ne travaille pas.

Quels conseils lui donneriez- vous en matière d’hygiène vestimentaire ? d’hygiène corporelle ? d’hygiène de vie ? d’hygiène alimentaire ? 2. Comment feriez- vous dans une structure d’accueil (ex.  : crèche) pour

entraîner 2 à 3  enfants à se laver les dents ? (Détaillez les précautions d’hygiène et la technique de brossage des dents.)

3. Le besoin de sommeil est primordial. Pourquoi et comment l’adulte doit- il le respecter tout particulièrement ? Quel est le rôle de l’AS/AP à la crèche auprès de l’enfant ?

4. Si l’enfant n’aime pas le sport…

« Pas de sport, cela signifi e ennui, grignotage, obésité qui n’incitent pas à faire du sport… Le cercle vicieux. Les professeurs d’éducation physique ont un rôle essentiel à jouer. Ils doivent former des groupes distincts, adapter la diffi culté… Tout faire pour que l’enfant un peu rond se dépense, sans craindre les moqueries des autres. À cet âge- là, l’obésité est réversible. L’enfant qui reprend goût à l’activité physique a toutes les chances de redémarrer une vie normale. Il faut l’encourager. » (Extrait de presse)

Donnez votre avis sur ce texte.

5. Dans une structure d’accueil de la petite enfance, quelles sont les dif- férentes pratiques d’hygiène qui ponctuent la journée ? Quel est votre rôle auprès des enfants ?

6. Dans une maison de retraite (ou en service de gériatrie), quelles sont les différentes pratiques d’hygiène qui ponctuent les journées ? Quel est le rôle de l’aide- soignant(e) ?

7. Peut- on pratiquer une activité physique quand on est âgé ? Quel en est l’intérêt ?

8. Quel lien faites- vous entre l’alimentation et la santé ?

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